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Environnement: des grands projets exemptés de Zéro artificialisation nette (ZAN)

Environnement: des  grands projets  exemptés de Zéro artificialisation nette (ZAN) 

Le ministre de l’écologie, Christophe Béchu va  publier un arrêté concernant une liste de 424 projets qui pourront être exclus du dispositif « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN). Transmise aux élus locaux mercredi, la liste sera publiée ce jeudi et fera l’objet d’une consultation publique durant un mois, précise le cabinet de Christophe Béchu. A noter cependant que l’artificialisation des sols est due pour près des deux tiers à la construction de logements.

 

Au total, dans sa liste publiée ce jeudi après-midi, 167 projets d’envergure nationale ou européenne qui échapperont au dispositif du zéro artificialisation nette (ZAN). Parmi eux, certains projets industriels stratégiques pour le gouvernement, notamment la future autoroute A69 Castres-Toulouse, les sites de construction des futurs EPR2, ou encore le projet de mine de lithium en Allier, pourront donc être menés à bien sans restriction liées au ZAN. A noter : les nouvelles usines représentent 30 % des 167 projets inclus dans la liste, tandis que les infrastructures (routières ou ferroviaires) en représentent la quasi-moitié.

La loi « Climat et résilience », issue de la Convention citoyenne et voté en 2021 visait initialement le « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN) en 2050, avec pour objectif intermédiaire la réduction de moitié de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers (Enaf) d’ici 2031. L’objectif final est, lui, prévu pour 2050. Pour y arriver, la France est censée diviser par deux, tous les dix ans, son rythme de grignotage des espaces naturels par l’étalement des villes.

A noter cependant que l’artificialisation des sols est due pour près des deux tiers à la construction de logements, qui prennent plus d’espace en France qu’ailleurs du fait d’un modèle d’aménagement du territoire ayant favorisé la maison individuelle.

Les grands projets exemptés de Zéro artificialisation nette (ZAN)

Les  grands projets  exemptés de Zéro artificialisation nette (ZAN) 

Le ministre de l’écologie, Christophe Béchu va  publier un arrêté concernant une liste de 424 projets qui pourront être exclus du dispositif « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN). Transmise aux élus locaux mercredi, la liste sera publiée ce jeudi et fera l’objet d’une consultation publique durant un mois, précise le cabinet de Christophe Béchu. A noter cependant que l’artificialisation des sols est due pour près des deux tiers à la construction de logements.

 

Au total, dans sa liste publiée ce jeudi après-midi, 167 projets d’envergure nationale ou européenne qui échapperont au dispositif du zéro artificialisation nette (ZAN). Parmi eux, certains projets industriels stratégiques pour le gouvernement, notamment la future autoroute A69 Castres-Toulouse, les sites de construction des futurs EPR2, ou encore le projet de mine de lithium en Allier, pourront donc être menés à bien sans restriction liées au ZAN. A noter : les nouvelles usines représentent 30 % des 167 projets inclus dans la liste, tandis que les infrastructures (routières ou ferroviaires) en représentent la quasi-moitié.

La loi « Climat et résilience », issue de la Convention citoyenne et voté en 2021 visait initialement le « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN) en 2050, avec pour objectif intermédiaire la réduction de moitié de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers (Enaf) d’ici 2031. L’objectif final est, lui, prévu pour 2050. Pour y arriver, la France est censée diviser par deux, tous les dix ans, son rythme de grignotage des espaces naturels par l’étalement des villes.

A noter cependant que l’artificialisation des sols est due pour près des deux tiers à la construction de logements, qui prennent plus d’espace en France qu’ailleurs du fait d’un modèle d’aménagement du territoire ayant favorisé la maison individuelle.

Les grands projets industriels exemptés de Zéro artificialisation nette (ZAN)

Les  grands projets industriels exemptés de Zéro artificialisation nette (ZAN) 

Le ministre de l’écologie, Christophe Béchu va  publier un arrêté concernant une liste de 424 projets qui pourront être exclus du dispositif « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN). Transmise aux élus locaux mercredi, la liste sera publiée ce jeudi et fera l’objet d’une consultation publique durant un mois, précise le cabinet de Christophe Béchu. A noter cependant que l’artificialisation des sols est due pour près des deux tiers à la construction de logements.

 

Au total, dans sa liste publiée ce jeudi après-midi, 167 projets d’envergure nationale ou européenne qui échapperont au dispositif du zéro artificialisation nette (ZAN). Parmi eux, certains projets industriels stratégiques pour le gouvernement, notamment la future autoroute A69 Castres-Toulouse, les sites de construction des futurs EPR2, ou encore le projet de mine de lithium en Allier, pourront donc être menés à bien sans restriction liées au ZAN. A noter : les nouvelles usines représentent 30 % des 167 projets inclus dans la liste, tandis que les infrastructures (routières ou ferroviaires) en représentent la quasi-moitié.

La loi « Climat et résilience », issue de la Convention citoyenne et voté en 2021 visait initialement le « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN) en 2050, avec pour objectif intermédiaire la réduction de moitié de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers (Enaf) d’ici 2031. L’objectif final est, lui, prévu pour 2050. Pour y arriver, la France est censée diviser par deux, tous les dix ans, son rythme de grignotage des espaces naturels par l’étalement des villes.

A noter cependant que l’artificialisation des sols est due pour près des deux tiers à la construction de logements, qui prennent plus d’espace en France qu’ailleurs du fait d’un modèle d’aménagement du territoire ayant favorisé la maison individuelle.

 

Immobilier- « Zéro artificialisation nette (ZAN): Refus d’application par la région Auvergne Rhône-Alpes

Immobilier- « Zéro artificialisation nette (ZAN): Refus d’application par la région Auvergne Rhône-Alpes

Le président d’Auvergne-Rhône-Alpes, a annoncé ce samedi la sortie de sa région du « zéro artificialisation nette » (ZAN) .

La loi Climat et Résilience vise à interdire notamment toute nouvelle surface de construction d’habitation, même à transformer un bâtiment existant en logement. Des restrictions s’appliquent aussi aux espaces économiques. Un objectif largement soutenu par les écolos qui veulent concentrer les populations dans les zones urbaines.

Une loi que refuse le président de la région Auvergne Rhône-Alpes pour protester contre un élément de frein à l’accession à la propriété notamment en zones rurale.

Notons aussi que ce concept de ZAN est très flou car le territoire au cours de l’histoire a toujours été remanié et d’une certaine manière est totalement artificiel par rapport à son état d’origine.

i y aurait sans doute mieux à faire notamment en s’attaquant à la bétonisation et à la sur urbanisation qui génère de nombreux couts sociaux en termes de nuisances, de sécurité et de pollution.

Notons que le développement économique de certaines zones rurales est très contingenté, en clair il est limité. De sorte que les habitants sont contraints de multiplier les kilomètres de déplacements pour trouver du travail ce qui n’est pas particulièrement cohérent avec des objectifs environnementaux

Zéro artificialisation nette » des sols (ZAN): Un objectif ésotérique

« zéro artificialisation nette » des sols (ZAN): Un objectif ésotérique

La ZAN pour « zéro artificialisation nette » des sols est une sorte de principe pour figer les surfaces occupées par des installations baâties ( habitat, industrie, commerce, agriculture etc.). Ce concept de zéro artificialisation des sols apparaît à la fois ésotérique et impossible à appliquer totalement.

De tout temps, la quasi-totalité du territoire a été artificialisée par l(homme aussi bien concernant les surfaces bâties que non bâties. Le figeage n’a donc guère de sens car en outre il officialise un urbanisme complètement débridé et la désertification du territoire. Bien entendu il convient de préserver les sols mais dans une sorte de gestion harmonisée et partagée selon la nature des constructions et leur localisation.

Cet objectif de fichage de l’artificialisation actuelle entérine la désertification du territoire et pousse évidemment à construire en hauteur, ce qui n’est pas nécessairement non plus un progrès.

Toutes les opérations qui consistent à « transformer un sol naturel, agricole ou forestier par des opérations d’aménagement pouvant entraîner une imperméabilisation partielle ou totale afin de les affecter notamment à des fonctions urbaines ou de transport » font en effet l’objet d’une réglementation stricte depuis la promulgation de la loi « Climat et Résilience » d’août 2021.

Le Sénat veut instaurer un « plancher de droits à artificialiser », en l’occurrence laisser à chaque commune une enveloppe d’au moins un hectare. Soit près de 34.945 hectares au regard du nombre de communes au 1er janvier 2022. L’Assemblée, elle, préfère une « garantie rurale » totale de 22.000 hectares – et donc 12.945 hectares de moins – pour « loger les habitants et accueillir les entreprises ».

Quelle différence à part la quantité disponible ? « Nous proposons un pourcentage de la surface déjà artificialisée [1% des 220.000 hectares ces dix dernières années, Ndlr] et partons d’un principe de mutualisation à l’échelle intercommunale pour éviter qu’un territoire se voit amputé de tous ses droits à construire », affirme Lionel Causse. En réalité, le député ne fait que reprendre que les promesses de la Première ministre en clôture du congrès des maires. En novembre, Elisabeth Borne a « garanti » que toutes les communes rurales puissent bénéficier d’une possibilité de construction, en particulier, lorsqu’elles ont peu construit par le passé.

Deuxième idée forte avancée par les macronistes de l’Assemblée : une mutualisation de l’artificialisation liée aux grands projets nationaux d’intérêt général « définis par décret et limitativement énumérés », afin de ne pas impacter les droits à construire des communes les accueillant. Les sénateurs conseillent, eux, de placer les grands projets d’envergure dans un « compte foncier national » spécifique. Là encore, la locataire de Matignon s’est déjà exprimée sur le sujet, toujours porte de Versailles : « La liste de ces grands projets sera arrêtée au premier trimestre 2023 ».




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