La complexité de la crise favorise les tentations fascistes
Un peu partout dans le monde, y compris en Europe la sensibilité d’extrême droit progresse nettement. Parfois jusqu’à convaincre es plus radicaux de l’efficacité d’un régime autocratique voire fasciste.
On l’a constaté aux Etats-unis avec le syndrôme « Ttump » sur le point de réussir d’envahissement du Capitole pour refuser le résultat des élections; maintenant, c’est au Brésil qui ajoute une crise politique à une très grave crise économique et sociale . D’autres pays d’Amérique sont tentés. En Asie, la Chine tente d’imposer son modèle voire même de l’exporter en Afrique grâce à la corruption; En Europe , il y a une nette droitisation de l’opinion.
En, cause la complexité de la crise systémique qui concerne autant les champs économiques,sociaux, écologiques, technologiques que sociétaux; le monde un peu simpliste est demandeur de solutions radicales et immédiates. Ce ce promettent des démagos. Contrairement à ce que l’on peut penser la démocratie n’est jamais gagnée, c’est une sorte de combat permanent car les conditions de mise en ouvre de la démocratie sont largement critiquables. Avec ses imperfections, la démocratie est préférable à un régime qui inévitablement finit par la répression et la régression; Voir à cet égard l’exemple de la Russie et même de la Chine.