Archive pour le Tag 'Xavier Bertrand :'

Crise de l’énergie : faire davantage pour les entreprises (Xavier Bertrand)

Crise de l’énergie : faire davantage pour les entreprises (Xavier Bertrand)

À juste titre Xavier Bertrand considère que le plan français n’est pas adapté aux enjeux économiques français pour les entreprises. Une enquête menée par la fédération des petites et moyennes entreprises Montre que 10 % d’entre elles pourraient mettre la clé sous la porte suite au augmentation des prix de l’énergie.

« Il faut faire davantage, notamment pour la facture d’énergie de nos entreprises, et il faut aller bien au-delà des 12 milliards d’euros qui ont été annoncés », a déclaré M. Bertrand.
« Les Allemands font 200 milliards, et nous on fait 12 », a-t-il ajouté.

Le gouvernement a annoncé jeudi de nouvelles aides pour soutenir entreprises et collectivités avec une enveloppe totale de près de 12 milliards d’euros.
Pour Xavier Bertrand, « contrairement à ce qu’on peut imaginer, il est plus intéressant de mettre de l’argent aujourd’hui pour les aider à payer leurs factures, de façon à ce qu’elles ne mettent pas la clé sous la porte. Parce que si les entreprises concernées ferment, vous allez avoir des prestations à verser ».

« Soit le gouvernement (…) obtient de Bruxelles d’avoir une liberté pour passer des contrats entre EDF et les entreprises, ce que l’Espagne et le Portugal ont obtenu, et dans ces cas là ça ne coutera pas le même argent, ou alors il faut augmenter les aides », a-t-il dit.

Le SMIC à 1500 euros net par mois » ( Xavier Bertrand)

Le SMIC à 1500 euros net par mois », ( Xavier Bertrand)

Le SMIC actuellement à 1258 € nets passerait à 1500 € nets par mois selon la promesse faite hier par Xavier Bertrand.

Une mesure de justice sociale sans doute mais aussi de nature politique pour contourner les organisations de gauche. La concurrence sur le niveau du SMIC est donc lancée  En témoigne l’annonce faite par Anne Hidalgo, ce lundi 22 novembre dans un entretien aux « Dernières Nouvelles d’Alsace ».

La candidate du Parti socialiste fait de la hausse du salaire minimum l’une de ses grandes priorités. « Je commencerai par une revalorisation du smic et des bas salaires de 15 % », déclare-t-elle, soucieuse de répondre aux préoccupations des Français pour leur pouvoir d’achat. Cela reviendrait à faire passer le smic de 1 258 euros net à 1 446 euros net, soit une hausse de près de 190 euros. « Le travail est au centre de mon projet car il impacte toute la société : le pouvoir d’achat mais aussi l’écologie, l’école, l’hôpital », insiste celle qui veut aussi augmenter le salaire des profs.

La veille, c’est le candidat communiste, Fabien Roussel, qui plaçait la hausse des rémunérations au cœur de son discours. « Ma gauche à moi croit au travail et aux salaires », a-t-il lancé lors de son meeting, place Stalingrad à Paris. Fabien Roussel va un peu plus loin qu’Anne Hidalgo. Il propose une augmentation du smic et des pensions de retraite à 1 500 euros net, des mesures financées par un « impôt Covid » sur les bénéfices et par le « triplement de l’ISF ».

Islamisme : Macron sous –estime la situation (Xavier Bertrand) »

Islamisme : Macron sous –estime la situation (Xavier Bertrand) »

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Le président des Hauts-de-France Xavier Bertrand  accuse le locataire de l’Elysée d’avoir « perdu deux ans » dans la lutte contre l’islam politique. (Interview JDD extraits.)

 

Que pensez-vous du discours d’Emmanuel Macron après l’attaque de la préfecture de police à Paris?
C’était un discours fort, nommant clairement « l’hydre islamiste ». Mais ce sont surtout d’actes forts que nous avons besoin. Il faut mettre un coup d’arrêt à la propagation de l’islam politique. Ce qui se joue, c’est la cohésion républicaine. Sur ce sujet, nous avons tous péché par ignorance, naïveté ou lâcheté. C’est un échec collectif. Les provocations des radicaux, les intimidations et les attentats remettent en question notre mode vie. Pour tout cela, ce doit être l’affaire du président de la République.

Faut-il une « société de vigilance », comme Macron le souhaite?
Attention à ce terme. Que cela ne se traduise pas par de la méfiance à l’égard de l’ensemble de nos compatriotes musulmans. C’est à l’Etat de protéger, d’agir et d’être implacable. Il peut mobiliser la société, mais la responsabilité de l’État et de son chef ne se délègue pas et ne se partage pas.

 

La « société de la vigilance » ne désigne-t-elle pas comme suspects tous les musulmans?
On n’a pas le droit de confondre les islamistes et l’ensemble des musulmans. Je m’opposerai fermement à tout amalgame de ce type. Et rappelons aussi que la France n’est pas islamophobe. Nos ennemis, c’est l’islam politique, la radicalisation et le terrorisme. Une laïcité forte protège chacun dans l’exercice de sa liberté de conscience. Quant aux signalements auxquels fait allusion le Président, ces trois dernières années 70.000 ont été faits aux autorités pour de supposés cas de radicalisation. Quelles suites ont été données? Bien souvent le problème est là. L’islam politique est un danger majeur qui remet en question les fondements de notre société. Mais cela n’a clairement pas été la priorité d’Emmanuel Macron jusque-là, parce que ce n’est pas sa grille de lecture de la société. Nous avons perdu deux ans. L’islam politique, lui, a continué à avancer.

 

Quelle est sa « grille de lecture »?
Concernant la place de la religion dans la société, un responsable politique est plutôt libéral ou plutôt républicain. Emmanuel Macron est plutôt libéral, moi je suis fermement républicain. L’islam doit s’adapter à la France, pas le contraire. Au fond, jusqu’à cette semaine, il ne mesurait pas à quel point la situation est grave et que les intégristes ont une stratégie claire : provoquer une guerre des civilisations. On est en guerre, monsieur le Président. Alors il faut changer. N’oublions pas, aussi, de tarir la source de recrutement. Rien ne peut excuser qu’on prenne les armes contre ses compatriotes. Rien. Comme Manuel Valls, je refuse le principe d’excuse sociale. Mais dans trop de quartiers il est facile pour les radicaux de recruter. Nous devons sortir nos concitoyens de la misère et de la colère. Cela passe par le retour de l’autorité, des services publics, de l’emploi, de la République sous toutes ses formes.

 

 

La déforestation en Amazonie a doublé en un an, une catastrophe mondiale

 

 

Une véritable catastrophe mondiale en Amazonie avec d’innombrables incendies dont les fumées ont recouvert  un territoire presque aussi grand que la France. Une situation d’autant plus tragique que le président brésilien n’a pas pris des moyens à temps  d’éteindre les feux, pire qu’il se dit incapable de mettre fin à cet embrasement qui va priver la planète  d’une partie de son poumon.

La déforestation en Amazonie brésilienne a augmenté de 93% au cours des neuf premiers mois de 2019, par rapport à la même période l’an dernier. Au total, 7 853 km2 ont été déboisés, bien au-dessus des 4 075 km2 enregistrés entre janvier et septembre 2018, selon l’Institut national de recherche spatiale (INPE) qui a publié ces chiffres vendredi 11 octobre. Sur l’ensemble de l’année 2018, la déforestation avait concerné 4 947 km2. Cela pourrait atteindre 10 000 km2 en 2019.

 

Au cours du seul mois de septembre, 1 447 km2 ont été déboisés, soit une hausse de 96% par rapport à septembre de l’année dernière. En août, 1 700 km2 de forêt ont disparu. Les chiffres de la déforestation se situaient début 2019 dans la moyenne des dernières années, jusqu’à une hausse significative à partir de juin. Selon les experts, la déforestation pourrait atteindre 10 000 km2 en 2019, une première depuis 2008.

Pour les défenseurs de l’environnement et les spécialistes de l’Amazonie, cette recrudescence s’explique par la pression exercée sur la forêt par les bûcherons et éleveurs de bétail, encouragés par les prises de position du président d’extrême droite Jair Bolsonaro qui prône l’exploitation des ressources naturelles dans les aires protégées.

 

Xavier Bertrand : candidat en 2022 ?

Xavier Bertrand : candidat en 2022 ?

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Le président de la région des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, n’est pas encore officiellement candidat en 2022 mais il y pense sérieusement. Le problème pour lui, c’est de savoir sous quelle étiquette. Forcément sous une étiquette d’opposition à Macron mais une posture de droite qui ne cracherait pas sur les des sympathisants de gauche. Du coup, Xavier Bertrand pourrait se présenter sans l’appui officiel d’un parti politique. Finalement, il pourrait prendre la démarche de Macron dont il vise à peu près la même clientèle. Xavier Bertrand ne peut pas compter sur les voix d extrême-gauche, ni sur les voix d’extrême droite. L’intéressé a relativement bien réussi comme président de région, le problème maintenant est de parvenir à une image de présidentiable. Il y a du chemin à faire entre la position d’un baron local et celui d’un président de la république potentiel.  Non seulement Xavier Bertrand aura besoin d’appui nationaux qui lui manquent aujourd’hui mais il devra aussi se distinguer par le contenu de son programme. L’intéressé reconnaît la difficulté de la tâche. Président de la république, “J’y pense mais y penser ne suffit pas”, a déclaré l’ancien ministre dans l’émission “Vous avez la parole” sur France 2 à propos de la prochaine course à l’Elysée.

“Il faut un projet global, une vision, il faut aussi avoir une équipe parce qu’un homme seul ne peut pas réussir”, a-t-il ajouté. “Comment vous réparez les fractures françaises, comment vous rebâtissez une nouvelle société française, comment vous relancez ce pays en lui donnant une vraie perspective, ça demande un travail énorme. Aujourd’hui j’ai un certain nombre de réponses, je ne les ai pas toutes”, a poursuivi l’élu de 54 ans, sans étiquette politique depuis son départ

Les élections régionales sont, à ses yeux, un passage obligé sur le chemin de la présidentielle.

“Je ne brûle pas les étapes : ma priorité aujourd’hui, c’est la région des Hauts-de-France”, a-t-il dit. “Il est évident que si dans la région des Hauts-de-France six millions de personnes ne souhaitent pas que je continue, ça veut dire ne sont satisfaites de mon action, ne sont pas d’accord avec les idées, les propositions que j’ai faites dans la région parce qu’ils estiment que je ne vais pas suffisamment loin, que ce ne sont pas de bonnes réponses, dans ce cas-là je n’ai aucun crédit pour être candidat à l’élection présidentielle, c’est une évidence”.

En cas de défaite en 2021, il affirme qu’il arrêtera la politique.

Xavier Bertrand a quitté Les Républicains en décembre 2017 dans la foulée de l’élection de Laurent Wauquiez à la tête du parti, qui doit se doter d’un nouveau président le mois prochain. Secrétaire général de l’UMP de 2008 à 2010, Xavier Bertrand a été élu président de la région des Hauts-de-France il y a quatre ans.

Bien placé dans les sondages de popularité après des sympathisants de droite, il dit vouloir incarner une troisième voie entre La République marche d’Emmanuel Macron et le Rassemblement national de Marine Le Pen, les finalistes de la présidentielle de 2017.Pour Xavier Bertrand, ce duel encouragé par l’actuel chef de l’Etat revient à “confisquer” le débat politique.

“Là, on est en train de nous dire : ‘vous êtes gentils mais circulez y a rien à voir, les deux de la dernière fois c’est eux qui vont être à nouveau candidat’. Mais dans ce cas-là il n’y a plus de débat démocratique”, a-t-il considéré.




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