Archive pour le Tag 'X'

Interdire le réseau X en Europe ?

Interdire le réseau X en Europe ?

 

Il est clair que le réseau X (ex Twitter) est globalement devenu une véritable poubelle dont le contenu invraisemblable et ordurier est destiné à inciter les connexions et les profits. En outre son propriétaire Elon Musk  maintenant en fait un outil d’influence politique en intervenant un peu partout par exemple dans la vie politique britannique en soutenant l’extrême droite ; même chose en Argentine. À l’inverse le milliardaire génial mais fou a fortement critiqué le pouvoir actuel en Grande-Bretagne. De la même manière il milite pour que l’extrême droite triomphe en Allemagne. Et désormais il se tient évidemment dans ses velléités néo colonialistes pour reprendre possession du Canada, du Groenland ou encore du canal de Panama.

.Au-delà de ces objectifs politiques Hélène masquent se veut un leader politique qui veut s’attaquer à la démocratie libérale pour y substituer des régimes réactionnaires et lillibéraux . Ces prises de position en outre valident  d’une certaine manière les velléités de Poutine d’imposer aussi son régime politique et ses prétentions de conquête territoriale. De quoi faire réagir le monde libre qui tarde à s’unir pour élaborer une réplique à la hauteur de l’enjeu. Surtout en Europe particulièrement visée par Elon Musk.

C’est pourquoi, mercredi matin, l’ancien ministre de l’Économie et ancien commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, a affirmé sur LCI qu’il était «possible» d’interdire le réseau social dans l’Union européenne. A Tout le moins il faudrait cesser d’alimenter en information cette poubelle qui est devenue le réseau X.

Musk et X au Brésil: un enjeu de désinformation

Musk et X au Brésil: un  enjeu de désinformation

 

Après des semaines de bataille judiciaire médiatique, Elon Musk, propriétaire du réseau social X (ex Twitter), a annoncé, fin septembre, qu’il se conformait aux demandes du juge Moraes lui demandant de bannir certains comptes de la communauté d’extrême droite du pays. Cet épisode soulève d’importantes questions sur la régulation des plateformes, la lutte contre la désinformation et la liberté d’expression.Il ne faut pas se laisser distraire par les piques et les fanfaronnades qui émaillent la querelle opposant publiquement l’homme le plus riche du monde et un juge opiniâtre de la Cour suprême du Brésil. Elon Musk, le propriétaire milliardaire du réseau social X, a publié nombre de messages méprisants adressés à Alexandre de Moraes, qu’il qualifie de « dictateur » et de « Dark Vador brésilien » sur la plateforme dont le juge a interdit l’accès dans le cadre d’une longue campagne contre la désinformation.  Mais en tant que spécialiste du droit numérique brésilien, j’y vois davantage qu’une simple querelle personnelle teintée d’amertume. La bataille juridique qui oppose X et la Cour suprême brésilienne soulève d’importantes questions sur la régulation des plateformes et la manière de lutter contre la désinformation, tout en préservant la liberté d’expression. Ces débats, qui dépassent largement ce cas précis, font rage dans le monde entier.

 

par 

Research associate, University of Virginia dans The Conversation 

L’antagonisme entre Musk et de Moraes a atteint son paroxysme au mois d’août, mais la bataille couvait depuis des années.

En 2014, le Brésil a adopté la Déclaration des droits sur Internet (« Marco Civil da Internet »). Cette loi, qui bénéficiait d’un soutien bipartisan, définissait les principes de la protection de la vie privée et de la liberté d’expression des internautes, et instaurait des sanctions pour les plateformes qui enfreignent les règles.

Cette mesure comportait un système de « notification judiciaire et de désactivation » dans lequel les plateformes n’étaient tenues responsables des contenus nuisibles générés par les utilisateurs que dans le cas où elles ne les supprimaient pas après en avoir été informées par une ordonnance judiciaire spécifique.

Cette méthode tentait à la fois de défendre la liberté d’expression et de s’assurer que les contenus illégaux et préjudiciables étaient supprimés. Elle permettait d’éviter que les plateformes, les applications de messagerie et les forums en ligne soient automatiquement tenues responsables des publications des internautes, tout en donnant la possibilité aux tribunaux d’intervenir si nécessaire.

Mais la loi de 2014 n’allait pas jusqu’à établir des règles détaillées de modération des contenus. Par conséquent, les plateformes telles que Facebook et X étaient en grande partie responsables de les mettre en œuvre.

L’aggravation de la désinformation ces dernières années, en particulier lors des élections présidentielles brésiliennes de 2022, a mis en évidence les limites de cette approche.

À l’époque, le chef de l’État, le démagogue d’extrême droite Jair Bolsonaro, et ses partisans ont été accusés de se servir des réseaux sociaux, dont X, pour diffuser des mensonges, semer le doute sur l’intégrité du système électoral brésilien et encourager les actions violentes. Quand Bolsonaro a été défait aux urnes par le politicien de gauche Luiz Inácio Lula da Silva, une campagne en ligne de négationnisme électoral a pris de l’ampleur, dont la prise d’assaut du Congrès, de la Cour suprême et du palais présidentiel par les partisans de Bolsonaro, le 8 janvier 2023, a été le point culminant, dans des circonstances similaires à l’assaut du Capitole, aux États-Unis, deux ans plus tôt.

En réponse aux campagnes de désinformation et à ces émeutes, la Cour suprême a diligenté deux enquêtes, sur les milices numériques et sur les manœuvres antidémocratiques, visant les groupes impliqués dans le complot.

Dans le cadre de ces enquêtes, la Cour suprême a demandé aux réseaux sociaux, comme Facebook, Instagram et X, de lui communiquer les adresses IP et de suspendre les comptes des personnes liées à ces activités illégales.

Mais Elon Musk, qui se qualifie lui-même de « fondamentaliste de la liberté d’expression », était entre-temps devenu propriétaire de X, et promettait de soutenir la liberté d’expression, rétablir les comptes exclus et réduire considérablement la politique de modération des contenus de sa plateforme.

Depuis, Elon Musk n’a cessé de défier ouvertement les arrêts de la Cour suprême. En avril 2024, l’équipe des « affaires gouvernementales internationales » de X a commencé à rendre publiques des informations sur ce qu’elle qualifiait de requêtes « illégales » de la Cour suprême.

La querelle s’est intensifiée fin août, quand le représentant de X au Brésil a démissionné et que Musk a refusé de lui trouver un successeur, une décision que le juge de Moraes a interprétée comme une tentative de se soustraire à la loi. Le 31 août, il a donc ordonné l’interdiction de la plateforme.

Cette décision s’accompagnait de lourdes sanctions destinées aux Brésiliens tentés de contourner l’interdiction. Toute personne utilisant des réseaux privés virtuels (VPN) pour accéder à X s’exposait ainsi à des amendes quotidiennes de près de 9 000 dollars américains, davantage que le revenu annuel moyen de nombreux Brésiliens. Ces décisions ont été confirmées le 2 septembre par cinq juges de la Cour suprême. Mais l’assemblée plénière des 11 membres de la Cour suprême doivent réexaminer le dossier et sont susceptible d’infirmer cette partie de la décision du juge de Moraes, alors que beaucoup dénoncent les excès de l’institution judiciaire.

L’affaire X contre la Cour suprême du Brésil a été profondément politisée. Le 7 septembre, des milliers de partisans de Bolsonaro ont participé à une manifestation « en faveur de la liberté d’expression » qui prenait pour cibles le gouvernement de Lula et la Cour suprême. Pour l’opposition et les factions de droite, la suspension de la plateforme est devenue le « symbole de l’ingérence excessive de l’État ».

Cette rhétorique contraste fortement avec les efforts, pourtant plus mesurés et consultatifs, visant à réguler les plateformes, depuis la Déclaration des droits sur Internet il y a plus de dix ans. Elle témoigne aussi du difficile équilibre entre liberté d’expression et lutte contre la désinformation, dans un environnement profondément divisé, un problème auquel le Brésil n’est bien évidemment pas le seul à être confronté.

Dans la lutte contre la désinformation en ligne au Brésil, et la volonté de tenir les plateformes responsables des contenus préjudiciables, les tensions politiques qui entourent l’interdiction d’X n’augurent rien de bon.

Un « projet de loi sur la désinformation » a été soumis au congrès en 2020. Il vise à créer des mécanismes de surveillance et à assurer une meilleure transparence en matière de publicités à caractère politique et de modération des contenus.

Mais en dépit de ses intentions louables, et d’une approche très mesurée d’« autorégulation », la dernière version de ce projet de loi a été retoquée après trois ans de débat.

Cela fait suite à une campagne menée par des responsables politiques de droite et des lobbyistes des géants du numérique, qui qualifient ce projet de « loi de censure », arguant qu’elle porterait atteinte à la liberté d’expression et entraverait les débats politiques. Le sort de ce projet de loi semble donc incertain.

Entre-temps, le 23 août, la Cour suprême a annoncé qu’elle examinerait deux passages clés de la Déclaration des droits sur Internet, dans le cadre d’un réexamen qui interviendra en novembre.

Le premier concerne la lenteur du processus de notification judiciaire et de désactivation qui, pour ses détracteurs, permet aux plateformes de ne pas mettre en œuvre des mécanismes de modération de contenus plus efficaces. Les partisans de la loi soutiennent, à l’inverse, que le contrôle exercé par l’institution judiciaire est indispensable pour empêcher les plateformes de supprimer arbitrairement des contenus, ce qui pourrait conduire à instaurer une forme de censure.

Le second concerne les sanctions potentielles évoquées dans la Déclaration des droits sur Internet pour les entreprises qui ne respectent pas les règles. La question est de savoir si les sanctions actuelles, et notamment les suspensions de service, sont proportionnelles et constitutionnelles. Les critiques soutiennent que la suspension totale d’une plate-forme constitue une violation de la liberté d’expression et du droit à l’information des internautes, tandis que ses partisans insistent sur le fait qu’il s’agit d’un outil nécessaire pour faire respecter la loi brésilienne et préserver la souveraineté.

Le sort du projet de loi sur la désinformation et de son réexamen par la Cour suprême pourrait engendrer de nouvelles normes juridiques pour les plateformes au Brésil, afin de savoir jusqu’où le pays peut aller pour contraindre les entreprises numériques mondiales à lutter contre la désinformation.

Même si la Cour suprême n’a pas directement lié ce réexamen au différend en cours avec X, le conflit avec Elon Musk sert bel et bien de toile de fond politique aux débats sur l’orientation de l’expérience brésilienne en matière de régulation des plateformes. Les retombées de cette querelle en apparence personnelle pourraient avoir, en la matière, des conséquences majeures pour le Brésil et, potentiellement, pour d’autres pays.

Le réseau X (ex twitter) dans la tourmente financière

Le réseau X (ex twitter) dans la tourmente financière

 

Du fait de l’attitude de son nouveau propriétaire le réseau X (ex Twitter) se révèle une véritable catastrophe financière. Le milliardaire Elon Musk est en effet en train de payer son cocktail de provocations, de fausses informations et de politiques en faveur de Trump. Or la rentabilité s’écroule complètement alors que le prix d’achat du réseau s’est effectué avec un emprunt de 44 milliards.

 

Et l’entreprise a perdu la moitié de sa valeur du fait de la défection surtout des publicitaires; exemple, celui de Jack Dorsey, le cofondateur de Twitter, qui a investi 1 milliard d’euros : la valeur de sa participation, en 2024, est estimée à 280 millions de dollars. Ce dernier avait déjà exprimé des regrets après le rachat, par le patron de Tesla, du réseau social. «Elon Musk n’aurait jamais dû acheter Twitter, tout est allé de travers depuis», avait-il déclaré en mai 2023, moins d’un an après le rachat de la plateforme.

Le prince saoudien Alwaleed bin Talal a investi, lui, 1,89 milliard de dollars. La valeur de sa participation est aujourd’hui évaluée à seulement 280 millions de dollars. Le plus gros perdant restant Elon Musk lui-même. Le magnat de la tech a investi un total de 33,5 milliards de dollars. Or, la valeur de ce qu’il détient dans sa plateforme est aujourd’hui évaluée à 9,38 milliards de dollars.

 

Twitter : réseau X ou réseau Trump ?

 Twitter :  réseau X ou  réseau Trump ?

Elon Musk Le milliardaire a tendance à se mêler de tout d’économie bien sûr mais aussi de politique mondiale. Il est un des plus fervents supporters de Trump. Le milliardaire Elon Musk, à qui l’on impute la consommation de cocaïne, d’ecstasy ou de LSD de manière excessive ( Ce qui expliquerait sa proposition d’implanter des puces électroniques dans le le cerveau humain !), a d’ailleurs interviewé lui-même Trump sur le réseau X. Résultat : un exercice d’une rare bêtise et truffé de mensonges. En mélangeant les deux genres, Elon Musk ne sert sans doute pas la cause de Trump et encore moins la cause d’un réseau X de plus en plus marqué politiquement et qui fait fuir d’ailleurs les annonceurs. Par ailleurs le réseau X est menacée par l’Europe d’une très forte amende pour diffusion de propos calomnieux et violents. La question du boycott de X voire de son interdiction en Europe pourrait se poser.

 

On se souvient qu’avant le rachat de Twitter par Elon Musk, Trump  avait été exclus de Twitter. Il a été réhabilité Elon Musk qui prend le risque d’une désaffection croissante non seulement des utilisateurs mais aussi des annonceurs. Après le rétablissement de son compte sur X, l’ex-président n’avait toutefois pas recommencé à poster régulièrement sur son ancien canal de communication favori, privilégiant pour ses publications quotidiennes sa propre plateforme, Truth Social. Grâce à Elon Musk, le réseau X devient cependant   le principal support de la campagne républicaine et de la désinformation

 

Réseau Twitter : de réseaux X à réseau Trump

Réseau Twitter : de réseaux X à réseau Trump

Elon Musk Le milliardaire a tendance à se mêler de tout d’économie bien sûr mais aussi de politique mondiale. Il est un des plus fervents supporters de Trump. Le milliardaire Elon Musk, à qui l’on impute la consommation de cocaïne, d’ecstasy ou de LSD de manière excessive ( Ce qui expliquerait sa proposition d’implanter des puces électroniques dans le le cerveau humain !), a d’ailleurs interviewé lui-même Trump sur le réseau X.  En mélangeant les deux genres, Elon Musk ne sert sans doute pas la cause de Trump et encore moins la cause d’un réseau X de plus en plus marqué politiquement et qui fait fuir d’ailleurs les annonceurs. Par ailleurs le réseau X est menacée par l’Europe d’une très forte amende pour diffusion de propos calomnieux et violents.

 

On se souvient qu’avant le rachat de Twitter par Elon Musk, Trump  avait été exclus de Twitter. Il a été réhabilité Elon Musk qui prend le risque d’une désaffection croissante non seulement des utilisateurs mais aussi des annonceurs. Après le rétablissement de son compte sur X, l’ex-président n’avait toutefois pas recommencé à poster régulièrement sur son ancien canal de communication favori, privilégiant pour ses publications quotidiennes sa propre plateforme, Truth Social. Grâce à Elon Musk, le réseau X devient cependant   le principal support de la campagne républicaine et de la désinformation

 

JO de Paris 2024 : Record d’audience dans les médias

JO de Paris 2024 : Record d’audience dans les médias

Au total, 60 millions de téléspectateurs ont regardé les Jeux olympiques de Paris 2024 sur France Télévisions, selon des chiffres de Médiamétrie publiés ce lundi. Les radios et journaux ont également enregistré une forte hausse des audiences pendant ces deux semaines.

 « Au total, 60 millions de Français (sur une population de 68 millions, Ndlr) ont assisté aux JO sur France Télévisions, ce qui est inédit, et chaque Français en a regardé 20 heures en moyenne », a déclaré ce lundi à l’AFP le numéro 2 du groupe public, Stéphane Sitbon-Gomez.

Selon France TV, qui cite Médiamétrie, les deux plus hauts pics ont été atteints par le nageur Léon Marchand : 14,5 millions de téléspectateurs pour sa quatrième médaille d’or le 2 août et 13,5 millions pour son doublé le 31 juillet. Le troisième pic est la victoire de la France au judo par équipes avec Teddy Riner le 3 août (13 millions).

Encore un score impressionnant pour le service public. Médiamétrie a comptabilisé 17,1 millions de téléspectateurs branchés sur France 2, dimanche soir, pour regarder la cérémonie de clôture des Jeux olympiques de Paris 2024 qui se déroulait au Stade de France (Seine-Saint-Denis).

Un spectacle qui a toutefois attiré moins de téléspectateurs que la cérémonie d’ouverture sur la Seine, le 26 juillet. Celle-ci avait été suivie en direct par 23,2 millions de téléspectateurs en moyenne, puis revisionnée en replay par 1,2 million de personnes supplémentaires, pour un total historique de 24,4 millions.

 

Musk censure sur X un compte de soutien à Camilla Harris

 

Musk censure sur X un compte de soutien à Camilla Harris

Le milliardaire fou Musk (Qui veut implanter des puces électroniques dans le cerveau) entretient une relation particulière avec la démocratie puisqu’il vient de censurer sur X(ex Twitter) dont il est propriétaire) un compte de soutien à Kamala Harris. Ce qui ne l’empêche nullement de mettre le même réseau à disposition de Trump dont il est un fidèle partisan.

 
Mardi, le réseau social X (ex-Twitter) du milliardaire américain a suspendu un compte de soutien en faveur de la candidate démocrate Kamala Harris. Le compte en question, @dudes4harris, est rattaché à l’initiative « White Dudes for Harris », comprenez « des hommes blancs en faveur de Kamala Harris ». Ce groupe de soutien, qui n’a cependant pas d’affiliation juridique avec la campagne de Kamala Harris, a levé la somme folle de plus de 4 millions de dollars pour la vice-présidente de Joe Biden lors d’une vidéoconférence sur la plateforme Zoom lundi.

Le compte a néanmoins été réinstallé ce mardi matin. D’après une capture d’écran publié sur X par les organisateurs du mouvement, il a été suspendu pendant quelques heures en raison d’un « rapport d’utilisateur » pour avoir violé les règles de la plateforme et plus précisément les « règles relatives à l’évitement de la suspension ». Une raison peu claire.

 

L’antisémitisme d’Elon Musk coule le réseau X (Twitter)

L’antisémitisme d’Elon Musk coule le réseau X (Twitter)

À titre personnel le nouveau patron du réseau X a déjà émis des propos de vis-à-vis des juifs mais surtout devant la chute de fréquentation, il a largement encouragé la diffusion de postures antisémites pour faire du chiffre.

Malheureusement pour lui, les annonceurs n’ont pas apprécié cette image de plus en plus troubls du réseau et beaucoup ont décidé de suspendre leur campagne de publicité. Ainsi IBM, Apple, Disney, Warner Bros. Discovery, Comcast ou Paramount ont suspendu leurs campagnes publicitaires.

Mercredi dernier, Elon Musk, qui compte près de 164 millions de followers, a répondu à un utilisateur de X qui affirmait que les personnes juives encourageaient la « haine contre les Blancs », par ce commentaire : « Tu as dit l’exacte vérité ».

Bronca générale face à ce message aux relents antisémites et conspirationnistes. Un jour plus tard, nouvelle controverse.. D’autres faits du même type à la fois condamnables et provocateur ont encouragé les fournisseurs de publicité à se retirer d’un réseau de plus en plus contesté.

On sait aussi qu’Elon Musk est proche de Trump. Il pourrait être tenté une nouvelle fois d’utiliser le réseau au service de ce candidat très controversé. Ce serait alors sans doute la condamnation du milliardaire fou qui ne parvient pas à distinguer gestion des affaires et politique…..comme Trump!.

Elon Musk et X (tweet) accusés d’antisémitisme

Elon Musk et X (tweet) accusés d’antisémitisme

En mal d’audience sur le réseau X, le nouveau propriétaire, le milliardaire un peu fou Elon Musk, n’hésite pas à jouer sur toutes les provocations pour attirer les gogos. Y compris les antisémites, ce qui génère effectivement un énorme volume de connexions au réseau. Exemple de cette politique marketing abject: le milliardaire a répondu à une publication affirmant que les personnes juives encourageaient la «haine contre les Blancs», en affirmant : «Tu as dit l’exacte vérité».

La Maison-Blanche a accusé vendredi Elon Musk d’avoir fait une «promotion abjecte de la haine antisémite et raciste» .

Pour la Maison-Blanche, la publication ne fait que répéter une théorie du complot populaire parmi les nationalistes blancs, selon laquelle les juifs ont un plan secret pour favoriser l’immigration clandestine dans les pays occidentaux afin d’y saper la majorité blanche.

Cette théorie du complot avait notamment été reprise par l’auteur de l’attentat dans une synagogue de Pittsburgh en 2018, qui avait fait 11 morts. «Il est inacceptable de répéter le mensonge odieux à l’origine de l’acte d’antisémitisme le plus mortel de l’histoire des États-Unis», a déclaré dans un communiqué Andrew Bates, un porte-parole de la Maison-Blanche, en référence à cet attentat.

Après sa première réponse, Elon Musk avait poursuivi en affirmant que l’Anti-Defamation League (ADL), une association de lutte contre l’antisémitisme, «attaque injustement une majorité de l’Occident, malgré le fait que la majorité de l’Occident soutienne les personnes juives et Israël».

L’ADL est l’une des ONG qui dénoncent une hausse notable de la désinformation et des insultes homophobes et racistes sur X, depuis que les règles de modération y ont changé avec l’arrivée d’Elon Musk. Le propriétaire de Tesla ou encore SpaceX s’en était déjà pris à l’ADL début septembre en affirmant que le groupe était «responsable de la plus grande partie de la perte de revenus» de X.




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