Archive pour le Tag 'week-end'

Sondage COVID-19: 67% DES FRANÇAIS FAVORABLES À DES CONFINEMENTS LOCAUX LE WEEK-END

Sondage COVID-19: 67% DES FRANÇAIS FAVORABLES À DES CONFINEMENTS LOCAUX LE WEEK-END

 

.Selon le sondage hebdomadaire « Opinion en direct » réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV, 67% des Français, soit 2 sur 3, sont favorables à l’instauration d’un confinement le week-end dans « les zones les plus touchées par l’épidémie ». Dans le détail, 36% des personnes interrogées s’y disent « assez favorables », 31% « très favorables ». A contrario, 32% sont « opposés », 20% « assez opposés » et 12% « très opposés ».

Mais face à la dégradation des indicateurs sanitaires, on relève toutefois une forte hausse du nombre de pronostics de reconfinement dans les semaines à venir: 60% des Français pensent qu’il y aura un troisième confinement national dans les prochaines semaines, une hausse de 12 points par rapport à la semaine dernière.

A contrario, un autre chiffre est en légère baisse: 62% (-4 points), soit 6 Français sur 10, estiment que la crise sanitaire a pour l’heure été mal gérée. sensiblement identique.

La cote de popularité du président de la République s’améliore légèrement par rapport à octobre dernier. Le chef de l’État voit son dynamisme salué à 67% (+4 points), sa sympathie progresse de 7 points et s’établit à 49%. Il est toutefois toujours perçu comme « autoritaire » par 67% des personnes interrogées (+5 points) et par 64% comme étant « arrogant ».

Coronavirus France : 35 morts ce week-end, moins d’hospitalisés

Coronavirus France : 35 morts ce week-end, moins d’hospitalisés

 

35 morts de plus depuis vendredi en France, ce qui porte le bilan à 29.813 décès à l’échelle nationale, a annoncé lundi la Direction générale de la santé (DGS).

Ce bilan quotidien ne concerne que les décès dans les hôpitaux. Les chiffres concernant les Ehpad et autres établissements médicosociaux seront actualisés mardi.

Au total, 8.688 personnes sont actuellement hospitalisées en raison du COVID-19, ce qui fait 198 de moins que vendredi. En ce qui concerne les patients en réanimation, ils sont 619 lundi alors qu’il y en avait 634 vendredi.

Le total de cas groupés de contaminations (“clusters”) est de 293 depuis le 9 mai, deux jours avant le début du déconfinement, dont sept nouveaux et 167 clôturés depuis, précise la DGS.

Le nombre de personnes contaminées en France depuis le début de l’épidémie atteint désormais 164.260, soit 1.324 de plus que vendredi, selon Santé publique France.

2017 match Valls-Macron : net avantage dès ce week-end à Macron

2017 match Valls-Macron : net avantage dès ce week-end à Macron

 

 

Le grand meeting aujourd’hui de Macron à Paris devrait confirmer un net avantage de Macron sur Valls dans la course à la présidentielle. Le meeting de Macron devrait réunir au moins le double de participation par rapport à la de « Belle alliance » socialiste.  Emmanuel Macron doit développer notamment son programme économique. On note une différence de taille dans la démarche sur ce terrain. Valls, lui,  propose une forme d’assistanat. Pour les jeunes salariés privés d’emploi, il proposer de fusionner les minima sociaux dans un « revenu décent » attribué sous condition de ressources à partir de 18 ans. Macron, lui veut relancer la croissance en augmentant le  pouvoir d’achat salarié et diminuer ainsi le chômage. Pour cela il veut supprimer  des cotisations salariées concernant chômage et sécu pour alléger les charges de travail et augmenter les salaires. Les anciens financements seraient alors assurés par la CSG à l’assiette beaucoup plus large qui concerne tous  les revenus.  « J’enlève un peu plus de 3,1 points de cotisations (…) et de l’autre côté j’augmente la CSG de 1,7 point en préservant les retraites les plus modestes, 40% des retraités ne seront pas touchés (…) et je préserve les chômeurs de cet effort », a-t-il précisé sur Public Sénat. Emmanuel Macron dit vouloir généraliser « ce qui a été commencé dans la loi travail » en permettant de négocier des accords d’entreprise et de branche dans « tous les domaines » et pas seulement en matière de temps de travail. A propos de la norme de 35 heures de travail hebdomadaires, il dit vouloir garder une « référence légale ». « Mais je laisse la possibilité à des accords de branche ou d’entreprise d’y déroger », ajoute-t-il. Manuel Valls a pour sa part déclaré croire « plus que jamais » à la négociation dans l’entreprise et juré qu’il ne mettrait pas en cause la durée légale du travail, tabou de la gauche. Pour résumer macro, privilégie l’amélioration de la compétitivité et des salaires en hausse  tandis que macro envisage de créer un revenu de substitution dans le cadre d’une réforme des minima sociaux. Sur le plan politique,  Manuel Valls inscrit sa démarche dans le cadre  de la primaire socialiste. Démarche que refuse Macron qui considère aujourd’hui que le nombre  d’adhérents de son mouvement  en marche est supérieur adhérents socialiste (plus de 100 000 contre 60 000). L’avantage de Macron est assez net sur Valls aussi bien en termes de popularité que de perspectives de score en 2017. Les sondages actuels font apparaître un score de l’ordre de 10% pour Valls et de 15% pour Macron pour 2017 mais en tout état de cause aujourd’hui aucun des deux n’est en situation de se qualifier pour le deuxième tour des présidentielles.  Valls a lancé un appel à Emmanuel Macron pour qu’il se soumette à ce processus de sélection du candidat de la gauche de gouvernement. En vain. Cette primaire « n’a pas le bon périmètre, elle n’a pas le bon calendrier, elle n’a pas les bonnes modalités », a répété vendredi matin sur Public Sénat l’ex-ministre de l’Economie, qui a renvoyé les dirigeants socialistes à leurs responsabilités. « Qu’ils ne me mettent pas sur le dos leurs divisions, voire leurs échecs », a-t-il déclaré. Certes le mât le match n’est pas terminé entre les deux candidats mais pour l’instant macro domine. En cause le fait notamment Valls est contraint de gauchiser  son discours pour obtenir une majorité lors  des primaires du parti socialiste tandis que Macron peut occuper le terrain du  centre- gauche et du centre droit déserté respectivement par Fillon et Valls.

Scoop 15 août : encore des voitures ce week-end sur les routes !!

Scoop 15 août : encore des voitures ce week-end sur les routes !!

La plupart des journalistes étant toujours en vacances tous les grands médias annoncent un événement extraordinaire : des voitures sur les routes ce week-end avec en plus  le chassé-croisé de ce qui part en vacances et de ce qui en reviennent. Sans doute le même article repris chaque année à la même période avec force photos qui permettent de masquer la faiblesse du contenu informatif. Force est de constater que les grands médias pendant pratiquement deux mois ce contentent  de reprendre les dépêches d’agence, du gouvernement ou des institutions. La France présente de ce point de vue une caractéristique particulière puisque l’économie est mise  entre parenthèses pendant deux mois et en particulier durant le mois d’août. Le gouvernement de ce point de vue se met au diapason de cet usage typiquement français et tous les ministres seront en vacances en même temps pendant 15 jours. Un curieux comportement grégaire  qui nous caractérise en dépit de la tendance individualiste qui se développe par ailleurs. Cette information est évidemment fondamentale. Des automobiles sur les routes, voilà un événement qui mérite effectivement d’occuper là une de tous les médias : grands journaux, télé, radio et même grands site Internet. Selon les prévisions de Madame Soleil « on peut s’attendre à quelques bouchons sur ces routes fréquentées par les automobilistes, des bouchons  qui normalement devraient se résorber vers le mois de septembre ». (Article rédigé avec la collaboration de l’AFP, de Reuters, de, BFM, du Parisien, du Monde, de Libé et de l’observatoire national des pratiques sociétales contemporaines)

Scoop : des voitures ce week-end sur les routes

Scoop : des voitures ce week-end sur les routes

La plupart des journalistes étant toujours en vacances tous les grands médias annoncent un événement extraordinaire : des voitures sur les routes ce week-end avec le chassé-croisé de ce qui part en vacances et de ce qui en reviennent. Sans doute le même article repris chaque année à la même période avec force photos qui permettent de masquer la faiblesse du contenu informatif. Force est de constater que les grands médias pendant pratiquement deux mois ce contentent  de reprendre les dépêches d’agence, du gouvernement ou des institutions. La France présente de ce point de vue une caractéristique particulière puisque l’économie est mise  entre parenthèses pendant deux mois et en particulier durant le mois d’août. Le gouvernement de ce point de vue se met au diapason de cet usage typiquement français et tous les ministres seront en vacances en même temps pendant 15 jours. Un curieux comportement grégaire  qui nous caractérise en dépit de la tendance individualiste qui se développe par ailleurs. Cette information est évidemment fondamentale. Des automobiles sur les routes, voilà un événement qui mérite effectivement d’occuper là une de tous les médias : grands journaux, télé, radio et même grands site Internet. Selon les prévisions de Madame Soleil « on peut s’attendre à quelques bouchons sur ces routes fréquentées par les automobilistes, des bouchons  qui normalement devraient se résorber vers le mois de septembre ». (Article rédigé avec la collaboration de l’AFP, de Reuters, de, BFM, du Parisien, du Monde, de Libé et de l’observatoire national des pratiques contemporaines sociétales)

Besancenot : « Pour week-end de révolte de la gauche »

Besancenot :   »Pour week-end de révolte de la gauche »

« La proposition qu’on fait, c’est qu’il y ait un week-end de révolte de gauche contre le gouvernement, contre l’austérité », a expliqué, ce mercredi 29 janvier, le responsable trotskiste sur France Info. « Pas de semaine qui passe sans que le gouvernement ne nous invente une nouvelle formule qui nous désespère ». La « proposition unitaire » du NPA n’avançait pas, mais il y « a une première réunion ce soir et visiblement il y a peut-être une possibilité pour que ça se concrétise », a expliqué l’ex-candidat à l’Elysée. « Courant février, mars, peu importe la date », a-t-il ajouté, « avec Jean-Luc Mélenchon, avec Pierre Laurent, avec Lutte ouvrière… ». C’est le gouvernement qui signe finalement son arrêt de mort.Lionel Besancenot « C’est un appel à toutes les équipes militantes syndicales qui sont peut-être sans parti mais qui, au quotidien, résistent concrètement à la politique du gouvernement ». « Le pavé jusqu’à présent était occupé par le droite et l’extrême droite », a-t-il analysé, d’où sa proposition. « Sur la sécurité sociale, ce n’est pas une mince affaire », a souligné le responsable d’extrême gauche, en évoquant la suppression des cotisations familiales proposée aux entreprises par le président François Hollande. « La sécu est financée à 60% par les cotisations sociales et là, c’est le gouvernement qui signe finalement son arrêt de mort », a-t-il estimé.




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