Archive pour le Tag 'voulue'

Débordements « Gilets jaunes »: une violence voulue ?

Débordements « Gilets jaunes »: une violence voulue ?

 

On peut légitimement s’interroger pour savoir qui profite  de cette violence et si cette dernière n’est pas finalement souhaitée voir encouragée. Ce qu’il faut observer c’est  que  l’hystérisation  est savamment entretenues entre le gouvernement  et certains gilets jaunes. Comme ces violences sont largement médiatisées, elles permettent au gouvernement de discréditer la totalité du mouvement des gilets jaunes. Castaner  et d’autres ne se privent pas d’entretenir ce climat d’affrontement n’hésitant  pas même à traiter d’assassins non seulement les fauteurs de troubles mais tous les participants au défilé. « Ils viennent pour tuer » ont-ils déclaré de manière complètement irresponsable. Ce qui est en cause aussi c’est  la politiques de maintien de l’ordre avec cette recherche permanente du contact avec les manifestants qui répliquent et réciproquement. Justement une politique qu’on se refuse à appliquer dans des pays voisins comme en Grande-Bretagne ou en Allemagne. S’ajoute à cela l’utilisation de moyens comme les flashballs  et les grenades de désencerclement qui sont des armes de guerre et non des outils pour gérer les manifestations. Castaner  lui-même a reconnu qu’il convenait de changer de méthode. Il serait temps. Dans cette affaire le ministre de l’intérieur a montré une grande incompétence, une grande irresponsabilité. Par exemple quand il identifie à l’avance des casseurs en indiquant jusqu’au nombre précis sans pour autant prendre les mêmes moyens adéquates pour les isoler du reste des manifestants. Visiblement l’ancien joueur de poker qui opérait dans le milieu dans sa jeunesse n’a pas sa place pour gérer un poste qui demande un grand sens de l’intérêt général et de l’équilibre des moyens à employer. Il paraît évident que ces dérapages violents servent la cause du gouvernement qui en profite par amalgame pour considérer tous les gilets jaunes comme des voyous. Mais on ne peut ignorer non plus la responsabilité des leaders des gilets jaunes qui eux aussi tombent dans le piège de la provocation et de l’hystérisation. N’importe quelle organisation responsable d’une manifestation doit en effet aussi en n’assumer les conséquences. Or le refus de toute organisation, de toute coordination laisse les manifestants sans encadrement. Ce qui permet tous les débordements au plus fous et aux casseurs professionnels. De ce point de vue, aucune manifestation ne devrait être tolérée tant que les organisateurs ne sont pas en capacité de l’encadrer. Ou alors se situe dans un environnement insurrectionnel. Le problème c’est que si un nombre encore important de Français soutiennent les gilets jaunes par contre ils condamnent nettement les débordements voir les déclarations irresponsables de certains gilets jaunes comme par exemple le remplacement de Macron par un militaire !

« Gilets jaunes »: une violence voulue ?

« Gilets jaunes »: une violence voulue ?

 

On peut légitimement s’interroger pour savoir qui profite  de cette violence et si cette dernière n’est pas finalement souhaitée voir encouragée. Ce qu’il faut observer ces que  l’hystérisation  est savamment entretenues entre le gouvernement  et certains gilets jaunes. Comme ces violences sont largement médiatisées, elles permettent au gouvernement de discréditer la totalité du mouvement des gilets jaunes. Castaner  et d’autres ne se privent pas d’entretenir ce climat d’affrontement n’hésitant  pas même à traiter d’assassins non seulement les fauteurs de troubles mais tous les participants au défilé. « Ils viennent pour tuer » ont-ils déclaré de manière complètement irresponsable. Ce qui est en cause aussi c’est  la politiques de maintien de l’ordre avec cette recherche permanente du contact avec les manifestants qui répliquent et réciproquement. Justement une politique qu’on se refuse à appliquer dans des pays voisins comme en Grande-Bretagne ou en Allemagne. S’ajoute à cela l’utilisation de moyens comme les flashballs  et les grenades de désencerclement qui sont des armes de guerre et non des outils pour gérer les manifestations. Castaner  lui-même a reconnu qu’il convenait de changer de méthode. Il serait temps. Dans cette affaire le ministre de l’intérieur a montré une grande incompétence, une grande irresponsabilité. Par exemple quand il identifie à l’avance des casseurs en indiquant jusqu’au nombre précis sans pour autant prendre les mêmes moyens adéquates pour les isoler du reste des manifestants. Visiblement l’ancien joueur de poker qui opérait dans le milieu dans sa jeunesse n’a pas sa place pour gérer un poste qui demande un grand sens de l’intérêt général et de l’équilibre des moyens à employer. Il paraît évident que ces dérapages violents servent la cause du gouvernement qui en profite par amalgame pour considérer tous les gilets jaunes comme des voyous. Mais on ne peut ignorer non plus la responsabilité des leaders des gilets jaunes qui eux aussi tombent dans le piège de la provocation et de l’hystérisation. N’importe quelle organisation responsable d’une manifestation doit en effet aussi en n’assumer les conséquences. Or le refus de toute organisation, de toute coordination laisse les manifestants sans encadrement. Ce qui permet tous les débordements au plus fous et aux casseurs professionnels. De ce point de vue, aucune manifestation ne devrait être tolérée tant que les organisateurs ne sont pas en capacité de l’encadrer. Ou alors se situe dans un environnement insurrectionnel. Le problème c’est que si un nombre encore important de Français soutiennent les gilets jaunes par contre ils condamnent nettement les débordements voir les déclarations irresponsables de certains gilets jaunes comme par exemple le remplacement de Macron par un militaire !

Vers une désertification voulue du territoire

Vers une désertification voulue  du territoire

 

 

D’après France stratégie, organisme de prospective placée auprès du Premier ministre la désertification du territoire doit encore s’amplifier. Pour cette institution de technocrates,  il convient de concentrer l’activité économique autour d’une quinzaine de zones urbaines. Or ces zones concentrent déjà de leur de 50 % de l’activité économique française,  une orientation qui évidemment va tout à fait à l’encontre des préoccupations environnementales et de la qualité de vie. En outre une sorte de paradoxe au moment où le numérique notamment rend possible une plus grande décentralisation. C’est évidemment le mythe de la croissance endogène qui consiste à tasser le plus possible les populations afin de les contraindre à augmenter leur demande marchande. Un contresens écologique mais aussi économique car les investissements en zone  très urbanisée sont beaucoup plus coûteux en raison du coût du foncier mais aussi de leur insertion dans des environnements complexes. Victime de cette politique concentrationnaire les villes moyennes, les petites villes et évidemment les zones rurales dont certaines sont appelées à devenir des territoires d’Indiens. À noter aussi l’évolution sémantique en matière d’aménagement géographique puisqu’on parle maintenant « de territoires intermédiaires » ; en clair des territoires secondaires. Ces toutes la contradictions entre une politique économique qui recherche la croissance à n’importe quelle condition et une politique d’aménagement recherchant un équilibre entre le développement économique, la qualité de vie et la protection de l’environnement. Les 15 aires urbaines de plus de 500.000 habitants concentrent 40% de la population, 55% de la masse salariale, plus de 50% de l’activité économique, deux tiers des étudiants. (Crédits : Camille Stromboni)Les ressorts de la croissance font défaut à beaucoup de villes moyennes et de territoires ruraux et les écarts en matière d’égalité des chances et d’accès aux services ne se résorbent plus, selon un rapport de France Stratégie. Paradoxalement France stratégie, organisme gouvernemental, placé auprès du Premier ministre, plaide cependant pour un renforcement de l’investissement public dans ces métropoles ou sur leur pourtour au nom de l’efficacité économique.

(Avec Reuters)

Hollande : une stratégie voulue pour virer Trierweiler

Hollande :  une stratégie voulue pour virer Trierweiler

 

Contrairement aux apparences Hollande n’a pas été surpris en flagrant délit, en fait il s’est volontairement mis en scène pour virer Trierweilller ; Nombre de spécialistes des medias people connaissait l’idylle du président avec Gayet et  ses rencontres rue du Cirque à Paris. Forcément compte tenu de la présence affichée de Hollande et de celle des forces de sécurité ; d’autant que la rue était parfois bloquée toute la nuit par la police. Hollande savait évidemment que la presse diffuserait un jour ou l’autre l’information. Ce qu’il espérait et a même provoqué. Cela pour mettre plus vite fin à sa relation avec Trierweilller. La manière dont il a congédié son ex compagne ; à la fois brutale et sans aucune dignité témoigne du fait que sa décsion de rompre était irrévocable et qu’elle était surtout prise depuis longtemps ; En clair Hollande a mis en scène sa rupture pour ne pas avoir à la gérer de manière privée. Une attitude significative du personnage.

EADS : une indépendance voulue par l’Allemagne

EADS : une indépendance voulue par l’Allemagne

Inutile de le cacher, le refus d’Anne Lauvergeon par EADS  proposée comme présidente  est une défaite pour la France. Une défaite qui faiat suit au réaménagement du pacte d’actionnaires au profit de l’Allemagne.  - EADS a coupé mardi encore un peu plus le cordon qui le liait dans le passé aux Etats en proposant de nommer à son conseil d’administration l’ancien PDG de Thales, Denis Ranque, qui deviendra ainsi le premier président indépendant du groupe européen d’aéronautique et d’espace. Le comité de nomination d’EADS va proposer à la prochaine assemblée générale de porter Denis Ranque, 61 à la présidence (non exécutive) du conseil d’administration du groupe à l’issue d’une assemblée générale qui devrait être convoquée fin mars début avril, a-t-on appris de deux sources proches du dossier.  Denis Ranque a appris cette décision alors qu’il bouclait une traversée de l’Atlantique en bateau, près de quatre ans après avoir été poussé à démissionner de la présidence de Thales. « C’est un capitaine d’industrie très respecté avec une grande expérience du secteur et des différentes activités d’un groupe comme EADS », a déclaré l’une de ces sources. Denis Ranque est l’un des 12 candidats au futur conseil d’administration d’EADS. Une fois élu le nouveau conseil désignera son président lors de sa première réunion. Cette nomination peut être considérée comme une victoire pour le président exécutif du groupe, Tom Enders, qui a dû manoeuvrer habilement afin de défendre l’indépendance tout juste conquise d’EADS face aux velléités du gouvernement français de placer Anne Lauvergeon, l’ancienne présidente d’Areva, à la tête du conseil. L’histoire du groupe, créé en 2000, a été jalonné de conflits entre les actionnaires français et allemands. La composition du conseil était en effet un test important pour le groupe, après l’adoption en décembre d’un nouveau pacte d’actionnaires qui doit réduire l’influence des Etats.  

 




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