Archive pour le Tag 'voudrait'

À défaut du Nobel ,ROBERT MÉNARD voudrait bien être ministre de Macron !

À défaut du Nobel , ROBERT MÉNARD voudrait bien être ministre de Macron ! 

 

Le maire de Béziers n’aura sans doute jamais le prix Nobel  mais  peut-être deviendra-t-il ministre de Macron. En tout cas, c’est ce qu’il semble souhaiter maintenant.Une nouvelle étape dans le parcours très tourmenté de l’intéressé qui est passé par l’extrême gauche, la gauche, la droite et l’extrême droite et qui rêve maintenant d’être ministre néolibéral.De toute manière, les idéologies ne nourrissent guère l’intéressé qui a plutôt choisi régulièrement les provocations, les banalités populistes agrémentées souvent d’humour le plus douteux. Bref, il est clair que Robert Ménard n’aura jamais le prix Nobel. Mais il finira peut-être sa carrière avec un marocain. L’intéressé n’a vraiment pas inventé la poudre mais il pourrait devenir ministre des anciens combattants par exemple.

Invité ce dimanche soir sur LCI, le maire de Béziers soutenu par le Rassemblement national a assuré qu’il pourrait devenir ministre d’Emmanuel Macron si ce dernier, ou sa Première ministre Élisabeth Borne, lui en faisaient la demande. « Je vais vous raconter une anecdote, quand j’ai eu la Légion d’honneur, tout un tas de gens m’ont moqué », commence-t-il.

Le maire de Béziers l’a assuré, « on a tous envie de peser. » « Moi j’étais content d’être maire d’une ville de France, je suis tellement fière que ma femme soir députée de ce pays que j’aime tellement. Je ne ferme jamais une porte à l’avance. »Normal, c’est plutôt le champion des portes ouvertes de la démagogie.. plutôt très à droite.

 

Renault : Carlos Ghosn voudrait bien virer l’Etat

Renault : Carlos Ghosn voudrait bien virer l’Etat

Carlos Ghosn  est sans nul doute  un très grand patron, il a sur faire de Renault, entreprise en difficulté, l’un des premiers constructeurs mondiaux  grâce aussi à l’alliance Nissan Mitsubishi et autres. Il a une qualité et un défaut son opiniâtreté. Il déjà tenté  de virer L’Etat de Renault, il semble vouloir récidiver puisque Nissan voudrait reprendre les 15% que déteint l’Etat dans Renault. Autant dire que l’Etat perdrait tout influence sur le groupe : Sur Renault bien sûr mais aussi sur Nissan et sur l’Alliance en général ? Dans le montage juridique actuelle Carlos Ghosn  a réussi, ce  ne n’est donc pas un obstacle au développement. L’intention de Carlos Ghosn  est de faire d’Alliance un groupe autonome qui pourrait par ailleurs tomber dans les mains de capitaux internationaux et qu’il pourraiat ainsi diriger en toute liberté. Carlos Ghosn  est très entêté, il n’a semble t-il toujours pas digérer la contrainte de l’Etat sur ses rémunérations et sur le contrôle de SA société. Compte tenu de l’enjeu, l’Alliance sera bientôt le constructeur mondial numéro un, il est peu vraisemblable que L’Etat lâche ses parts. Pour justifier son point de vue.  Carlos Ghosn explique que  Renault et Nissan ont engagé des discussions sur un renforcement de leur alliance qui pourrait déboucher sur le rachat par le constructeur japonais de l’essentiel de la part de 15% détenue par l’Etat français dans le capital de Renault.  Les deux groupes discutent avec des représentants de l’Etat des propositions du PDG de l’alliance Renault-Nissan, Carlos Ghosn, qui se traduiraient par une perte d’influence de Paris sur Renault et par le fait que le constructeur automobile français renonce à contrôler Nissan, selon trois sources proches du dossier. Ce projet se heurte toutefois encore à des obstacles importants – en raison notamment de son extrême sensibilité politique en France – et n’a pas obtenu à ce stade l’approbation du gouvernement et du chef de l’Etat Emmanuel Macron, ont-elles ajouté. Une source au ministère de l’Economie et des Finances a de son côté indiqué : “On dément totalement que l’Etat français soit prêt à revendre ses parts à Nissan.”

La BCE voudrait sauver les banques italiennes

La BCE voudrait sauver les banques italiennes

Bien que le gouverneur de la Banque de France affirme le contraire le risque de crise bancaire systémique est loin d’être écarté en Europe. Pour preuve,  la situation particulièrement grave du secteur bancaire en Italie. Une crise qui pourrait menacer l’ensemble du système européen. En effet on sait que ce sont d’abord des petites banques faisant faillite qui ont entraîné la crise de 2008. Ce qui est en train de se produire en Italie où les créances douteuses représenteraient environ 200 milliards. Notons qu’en France la  Société générale a suscité des inquiétudes après avoir perdu 35% à la Bourse de Paris. Mais la situation italienne est beaucoup plus inquiétante. La Banque centrale européenne (BCE) est en discussion avec le gouvernement italien sur l’achat éventuel de portefeuilles de créances douteuses dans le cadre de son programme d’achats d’actifs et sur l’acceptation de ces titres comme garantie des banques dans ses opérations de refinancement, a déclaré le Trésor italien. Une telle démarche pourrait donner un élan important à la mise en oeuvre de l’accord conclu récemment entre Rome et la Commission européenne pour tenter de libérer les banques italiennes d’une partie de leurs 200 milliards d’euros de créances douteuses, afin de leur permettre d’augmenter leurs prêts aux entreprises et aux ménages.  Elle risquerait néanmoins d’alimenter, dans d’autres pays de la zone euro, le débat sur les risques que prendrait la BCE en achetant des titres adossés à des actifs (asset-backed securities, ABS) intégrant des prêts en situation d’arriérés.

Primaire à droite : Sarkozy voudrait cadenasser la consultation

Primaire à droite : Sarkozy voudrait cadenasser la consultation

Sarkozy remet sérieusement en doute les conditions d’organisation de la primaire à droite. Il remet en cause le nombre de bureaux de vote qui permettraient au maximum d’électeurs de choisir le candidat. Il est clair que plus il y aura de bureaux de vote et plus les chances de Sarkozy risquent d’être menacées. Du coup Sarkozy conteste le nombre de bureaux de vote considérant qu’il est impossible d’organiser une telle consultation. Pourtant le projet de 10 000 bureaux de vote a bien été adopté par le bureau politique du parti les républicains. L’ancien Premier ministre Edouard Balladur, qui fut le mentor de Nicolas Sarkozy, s’est inquiété d’un scénario à la socialiste, avec un parti fragmenté par les ambitions. « Je me suis rallié à la primaire parce que je considérais qu’il n’y a pas d’autre solution mais je suis quelque peu inquiet quant au climat qui règne », a-t-il dit lundi sur RTL. Les doutes soulevés cette semaine par Nicolas Sarkozy sur l’organisation de la primaire de novembre 2016 ont un peu plus crispé des états-majors déjà à cran. Selon Le Parisien et Libération, le président des Républicains a remis en cause lundi les modalités de la consultation lors d’une réunion à huis clos avec les secrétaires départementaux du parti, jugeant que le projet de 10.000 bureaux de vote – un nombre proposé par Alain Juppé et validé en avril dernier par le bureau politique – n’était pas « réaliste ». L’ancien chef de l’Etat a remis le sujet sur la table mardi matin, lors de la réunion du groupe Les Républicains au Sénat. « Oui ça a été évoqué. Lors de la réunion des secrétaires départementaux, plusieurs d’entre eux ont levé le doigt pour dire que 10.000 bureaux de vote, à raison de 8 assesseurs par bureau, ça nous fait 80.000 personnes », a rapporté sur Public Sénat le sénateur Pierre Charon, proche de Nicolas Sarkozy. L’un des soutiens du maire de Bordeaux, le député-maire du Havre Edouard Philippe, s’est étonné mardi sur Radio Classique et LCI de ces soudaines questions d’organisation. « Rappelons-nous en 2011 le Parti socialiste, qui n’était pas le grand parti moderne qu’entend créer Nicolas Sarkozy, a créé une primaire dans laquelle il y avait 8.500 bureaux de vote. (…) Je n’arrive pas à croire que notre vocation serait de faire moins bien en termes d’organisation », a-t-il ironisé. Selon la dernière enquête en date sur la primaire, réalisée du 1er au 23 septembre par l’institut Elabe, 4,5 millions d’électeurs se disent sûrs d’aller voter.




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