Archive pour le Tag 'votent'

ONU- Ukraine: les États-Unis votent avec la Russie

ONU- Ukraine:  les États-Unis votent avec la Russie

Les États-Unis  se sont alliés lundi 23 février à la Russie lors de votes sans précédent à l’ONU sur le conflit ukrainien, poussant leur idée d’une paix rapide sans condamnation de Moscou, ni défense des frontières de l’Ukraine. Alors que l’administration de Joe Biden avait toujours soutenu Kiev, les votes américains à l’Assemblée générale et au Conseil de sécurité mettent en lumière le changement radical de la politique américaine avec l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche. Washington a salué un «accord historique» par la voix de son ambassadrice à l’Onu.

Par ailleurs, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté lundi avec le soutien de la Russie une résolution américaine demandant une paix rapide en Ukraine mais sans référence à l’intégrité territoriale du pays, malgré les objections des alliés européens de Kiev.

La résolution qui «demande instamment qu’il soit mis fin au conflit dans les plus brefs délais et plaide pour une paix durable» a recueilli 10 voix pour, dont celle de la Russie, et aucune contre. Les quatre pays de l’UE (France, Slovénie, Grèce, Danemark) et le Royaume-Uni se sont abstenus.

Sociologie : Les moins diplômés votent RN

Sociologie : Les moins diplômés votent RN
Les ouvriers votent RN, les cadres NFP et Ensemble. D’ après une étude de BFM, les sondés n’ayant pas le baccalauréat indiquent à 49% avoir placé le bulletin d’un candidat soutenu par le Rassemblement national dans l’urne. Ensemble obtient la deuxième place, à égalité avec le Nouveau Front populaire (17%).
Le Rassemblement national reste en tête chez les sondés ayant comme dernier diplôme le baccalauréat (38%) et un niveau Bac+2 (32%). Dans ces deux catégories, la gauche est deuxième (26 et 28%) et le camp présidentiel distancé (19 et 22%).

Seuls les personnes ayant obtenu un niveau licence (bac +3) ont plus voté pour le Nouveau Front populaire (37%), loin devant le RN et et Ensemble (22%).

 

Les moins diplômés votent Rassemblement national

 Les ouvriers votent RN, les cadres NFP et Ensemble

D’ après une étude de BFM,  les sondés n’ayant pas le baccalauréat indiquent à 49% avoir placé le bulletin d’un candidat soutenu par le Rassemblement national dans l’urne. Ensemble obtient la deuxième place, à égalité avec le Nouveau Front populaire (17%).

Le Rassemblement national reste en tête chez les sondés ayant comme dernier diplôme le baccalauréat (38%) et un niveau Bac+2 (32%). Dans ces deux catégories, la gauche est deuxième (26 et 28%) et le camp présidentiel distancé (19 et 22%).

Seuls les personnes ayant obtenu un niveau licence (bac +3) ont plus voté pour le Nouveau Front populaire (37%), loin devant le RN et et Ensemble (22%).

 

 

Les États-Unis votent enfin le nouveau soutien à l’Ukraine

Les États-Unis votent enfin le nouveau soutien à  l’Ukraine

 

Après des mois de paralysie, le congrès vote enfin le nouveau soutien à l’Ukraine. Des mesures qui représentent 61 milliards de dollars pour l’Ukraine. 
Le Congrès américain a fini par voter la reprise de l’aide militaire à l’Ukraine. Après des mois de blocage, la Chambre des représentants réunie en session extraordinaire samedi a approuvé un budget de 95 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine, à Israël et à Taïwan. Les démocrates et les républicains se sont unis pour voter massivement ces mesures, jusqu’à présent bloquées par une minorité d’élus républicains trumpistes. Des élus ont applaudi le vote de la Chambre et ont brandi des drapeaux ukrainiens bleu et jaune.

Votées en textes séparés, ces mesures représentent 61 milliards de dollars pour l’Ukraine, 26 milliards de dollars pour Israël et l’aide humanitaire aux civils dans les zones de conflit, dont Gaza, et 8 milliards de dollars pour la région Indo-Pacifique, et en particulier Taïwan. L’aide à l’Ukraine a été approuvée par 311 voix contre 112.

Biocarburants et huile de palme: les députés votent contre l’utilisation des résidus

Biocarburants et huile de palme: les députés votent contre l’utilisation des résidus

L’Assemblée nationale s’est un peu révoltée pour refuser que l’huile  des résidus  de palme puisse être considérée comme des bio carburants. Pas étonnant,  le développement de l’ huile de palme constitue une véritable opération de destruction des forêts et des écosystèmes. Contre l’avis du gouvernement, les députés ont donc voté vendredi soir pour exclure les résidus d’huile de palme et les produits à base d’huile de soja des biocarburants bénéficiant d’incitations fiscales. Il ne s’agit toutefois que d’un vote en première lecture lors du projet de loi de finances 2021, qui doit encore être examiné par le Sénat et faire l’objet d’une navette parlementaire.

Le recours à l’huile de palme importée est dénoncé par les ONG environnementales car sa culture extensive alimente la déforestation. Concernant les résidus, le rapporteur du budget, Laurent Saint-Martin (LREM), a souligné qu’il n’y avait pas «d’action supplémentaire de déforestation. De toute façon, la production d’huile de palme alimentaire est la même. Que ce soit utilisé pour du biocarburant ne devrait pas nous poser problème». Une affirmation totalement irresponsable de la part du très mondain Laurent Saint-Martin qui évidemment n’y connaît rien.

. L’amendement voté propose aussi d’exclure les produits à base d’huile de soja de la liste des biocarburants. «Il va falloir accompagner la filière et expliquer comment ça va se passer» ! a mis en garde Laurent Saint-Martin (LREM).

Brexit : les députés britanniques votent contre tout !

Brexit : les députés britanniques votent contre tout !

La situation politique au Royaume-Uni devient complètement inextricable. En effet, les députés britanniques ont pris l’habitude de voter une chose et son contraire. Ainsi ils se sont opposés à un Brexit mou en rejetant l’accord de transition passée entre Theresa May et l’union économique. Mais ils se sont  opposés tout autant à un Brexit dur c’est-à-dire sans accord de transition. Cette fois ils ont voté contre leurs propres propositions, contre les huit options destinées à trouver une solution alternative à l’accord de retrait de l’Union européenne négocié par la Première ministre Theresa May et déjà rejeté à deux reprises par le Parlement. Parmi ces scénarios, qu’ils ont eux-mêmes proposés, figuraient une sortie sans accord, une union douanière avec l’Union européenne ou encore une renonciation au Brexit dans le cas où aucun accord n’était approuvé par les députés. Autant dire que la situation est complètement bloquée et qu’on voit mal les Britanniques en capacité de décider d’une orientation qui serait susceptible de recueillir l’adhésion de l’union européenne. À bout d’arguments la première ministre Theresa May a même mis son départ dans la balance en indiquant qu’elle quitterait ses fonctions si le principe d’un accord pour quitter l’union européenne était adopté par le Parlement. D’abord une proposition qui n’est pas certaine de trouver une majorité Royaume-Uni ensuite une orientation qui pourrait recevoir un refus de l’union européenne agacée de ces tergiversations et de ses contradictions permanentes. Aujourd’hui personne n’est en capacité au Royaume-Uni de dégager une ligne majoritaire et cohérente pour trouver une issue au Brexit. Même la première ministre paraît sans solution. Du coup sa démission paraît de plus en plus vraisemblable. Au-delà de nouvelles élections pourraient être décidées. Une situation qui contraindrait l’union européenne a accepté un report beaucoup plus long de la date d’application du Brexit mais qui nécessairement compliquerait la tâche européenne compte tenu de la proximité des élections. Mais le paradoxe c’est que la chambre des communes pourrait bien revenir sur sa décision de refuser l’accord de transition en échange du départ de Theresa May. Ce qui démontrerait à l’évidence que la question des oppositions n’est pas liée à un problème de fond mais un problème de pouvoir entre les différentes tendances des conservateurs

Bureau politique-Les Républicains : 30 membres sur 130 votent l’ épuration

Bureau politique-Les Républicains : 30 membres  sur 130 votent l’  épuration

Épuration de type stalinien chez les Républicains avec le deux seulement une trentaine de membres présents sur 126 (la plupart étant évidemment absents). Le chiffre même du nombre de votants met en lumière la crise que connaît le parti les Républicains. Un petit tiers seulement des membres du bureau politique était présent. Les deux autres tiers ont fait valoir des absences pour motifs diplomatiques ou plus exactement politiques puisque la plupart étaient contre  les exclusions. Certes on peut éventuellement comprendre que certains Républicains membres du gouvernement ne puissent plus appartenir au parti en cause par contre la mise à l’écart des constructifs est davantage discutables. Lourdement battus lors de la consultation présidentielle, les Républicains dont l’ambition est de rassembler commencent donc par éliminer. Visiblement le petit cercle de radicaux qui s’est prononcé pour l’épuration n’a pas compris grand-chose du big-bang politique provoqué par Macron. Première observation Macon a largement puisé dans les propositions de la droite pour établir son programme, pire il a même choisi un Républicain comme premier ministre. Tout cela montré le caractère complètement vain de pseudos oppositions entre la gauche sociale démocrate et la droite libérale. C’est même la première fois que la droite choisit un responsable comme Vauquiez  aussi anti européen et aussi proche des thèses du Front National. Certes Wauquiez sera élu par les plus radicaux des Républicains mais il sera encore davantage en contradiction avec ses électeurs qui dans une très grande majorité souhaitent une attitude plus constructive de leur parti. Wauquiez en s’appuyant les extrêmes risques de devenir le Hamon de droite, c’est-à-dire de se couper de l’essentiel de l’électorat des Républicains qui traditionnellement depuis l’UMP avaient vocation à rassembler gaullistes, européens, libéraux et humanistes. Il est clair qu’avec ce le bureau politique augure mal de l’avenir des Républicains qui se ratatinent sur les questions identitaires, nationalistes, antieuropéennes et antilibérales. Été en désaccord Le parti Les Républicains (LR) a don  « réussi » à trancher.  Mardi 31 octobre, le bureau politique du mouvement a donc voté l’exclusion des membres du gouvernement issus de ses rangs – Gérald Darmanin (ministre des comptes publics) et Sébastien Lecornu (secrétaire d’Etat pour la transition écologique et solidaire) –, ainsi que des figures de proue du groupe dissident Les Constructifs à l’Assemblée nationale, Thierry Solère et Franck Riester. Le premier ministre, Edouard Philippe, qui ne s’est pas rendu aux convocations de son parti, n’a pas été formellement exclu pour des raisons juridiques ; mais le bureau politique a acté son départ. Comme souvent ces dernières semaines, aucune des figures de la droite modérée, tels Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Dominique Bussereau ou Jean-Pierre Raffarin, n’a pris la peine de se déplacer.  D’un point de vue politique, ces exclusions pourraient accélérer la création d’une nouvelle formation politique à laquelle Les Constructifs réfléchissent depuis cet été. A moins qu’ils ne rejoignent La République en marche, à l’instar du ministre de l’économie, Bruno Le Maire.

Nucléaire : Les Suisses votent la fin

Nucléaire : Les Suisses votent la fin

 

Les électeurs ont décidé à 58,2% de tourner progressivement le dos au nucléaire et favoriser à sa place les énergies renouvelables. La révision de la loi revoit de fond en comble l’approvisionnement énergétique de la Suisse, qui achète à l’étranger 75 % de l’énergie dont elle a besoin  Le paquet de mesures soumis au vote ce dimanche, dont la mise en œuvre est prévue par étapes jusqu’en 2035, vise à suivre la tendance européenne. Entre 2004 et 2014, la part des énergies renouvelables dans la consommation finale d’énergie (électricité, chaleur et transports) a augmenté de 8,5 % à 16 % dans l’UE. En conjuguant incitations financières à l’isolation des bâtiments et promotion des énergies hydraulique, solaire, éolienne, géothermique et de biomasse, tout en bridant les émissions des véhicules neufs, Berne table sur une réduction de la consommation d’énergie des ménages et des entreprises de 43 % par rapport à 2000. «On peut diminuer notre consommation d’énergie sans perte de confort», soutient la ministre en charge de l’Énergie et présidente de la Confédération, Doris Leuthard.  Face à la chute vertigineuse des prix de l’électricité sur le marché européen et au soutien public des énergies renouvelables en Allemagne, en France et en Italie, l’énergie hydraulique, pourtant la moins chère à produire lorsque les barrages sont amortis, est devenue trop coûteuse en Suisse. Au point que certains groupes envisagent de vendre une partie de leur portefeuille hydroélectrique ; un parjure au pays de l’or bleu des montagnes. La «Stratégie énergétique 2050» prévoit certes une aide transitoire aux grandes centrales hydroélectriques, de 180 millions, ce qui a permis de faire basculer bien des récalcitrants dans le camp du oui.

 

Les Catalans votent pour une indépendance …virtuelle

Les Catalans votent pour une indépendance …virtuelle

 

 

C’est pour une indépendance bien virtuelle qu’ont votée les catalans. En effet le résultat ne pourra nullement influer sur la situation juridique de la riche province espagnole. Il s’agit davantage de renforcer le crédit des formations politiques locales aussi le rapport de force avec Madrid. Le vote « symbolique » sur l’indépendance de la Catalogne est un « succès total »  a déclaré dimanche soir le président du gouvernement autonome catalan. Les autorités régionales ont annoncé une participation de plus de 2 millions de votants, soit près de 40% de l’électorat. C’est presque autant que la participation aux législatives de 2012. Quelque 80,7% des participants ont voté pour l’indépendance, selon des résultats provisoires. « Un succès total » : c’est l’expression enthousiaste et triomphante employée par Artur Mas, le leader nationaliste au pouvoir à Barcelone, qui était à l’origine de cette consultation inédite, officieuse, sans effet juridique et organisée par des bénévoles. Artur Mas a en effet de quoi être satisfait ; au sortir des législatives de décembre 2012, il avait lié son sort personnel à l’organisation d’un référendum d’autodétermination. Or, le score du « oui » à cette consultation, menée outre les interdictions de Madrid et du Tribunal constitutionnel, dépasse toutes ses espérances : 80,7%, selon des résultats encore provisoires. Cela représente plus d’un million et demi de voix, sur 5,4 millions de votants. À noter aussi que l’indépendance de la Catalogne n’est pas la première préoccupation des électeurs ce n’est que le la quatrième préoccupation derrière le chômage le mécontentement politique et la situation économique. Au mieux cela permettra peut-être de discuter d’un régime fiscal plus favorable à la Catalogne. Les principaux partis nationaux cherchent tous à engranger des voix dans la deuxième province la plus peuplée du pays et se disent prêts à discuter de réformes pour offrir à la Catalogne un régime fiscal plus favorable et augmenter les dépenses d’infrastructures en faveur de la région. Le résultat des élections générales de décembre pourrait également se traduire par une révision constitutionnelle reconnaissant à la Catalogne le statut de nation au sein du royaume espagnol. Ces discours tempérés montrent qu’en dépit des déclarations des responsables politiques, les électeurs catalans pensent que l’aspiration indépendantiste est davantage un instrument destiné à obtenir davantage de concessions de la part du pouvoir central qu’un objectif à atteindre à tout prix. Pour les séparatistes, la Catalogne, qui pèse 1/5e du PIB espagnol et attire des millions de touristes chaque année, serait plus compétitive si elle devenait indépendante. Ses recettes fiscales, dont une partie est redistribuée par Madrid vers des régions plus pauvres par le pouvoir central, augmenteraient de 12 milliards d’euros en cas de sécession, disent les indépendantistes. Mais selon l’ancien ministre des Affaires étrangères José Manuel Garcia-Margallo, près de 700.000 emplois seraient détruits en cas d’indépendance et le taux de chômage s’envolerait pour atteindre 37%.




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