Archive pour le Tag 'Vote'

Page 10 sur 10

Crimée : vote massif pour la Russie

Crimée : vote massif pour la Russie

La Crimée s’est prononcée  dimanche à une écrasante majorité en faveur d’une séparation de l’Ukraine et d’un rattachement à la Russie à l’issue d’un référendum controversé qui a mis les relations Est-Ouest au plus bas depuis la Guerre froide. Après dépouillement de plus de la moitié des bulletins de vote, 95,5% des votants ont dit « oui » à un retour de la Crimée dans le giron russe, soixante ans après la cession de cette région à l’Ukraine par le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev. Ce chiffre a été fourni par le chef de la commission référendaire, Mikhaïl Malichev, deux heures après la fermeture des bureaux de vote. Le taux de participation a été de 83%, a-t-il ajouté, soit un chiffre élevé compte tenu des nombreux appels au boycott du scrutin. Les pays occidentaux et les autorités ukrainiennes à Kiev ont dénoncé ce scrutin organisé à la hâte par le parlement pro-russe de la région après la prise de contrôle de cette péninsule de la mer Noire par les forces russes. La Maison blanche a qualifié le référendum de « contraire » à la constitution ukrainienne. « La communauté internationale ne reconnaîtra pas les résultats d’un scrutin organisé sous la menace (…) d’une intervention militaire russe qui viole le droit international ». Dans la soirée, des milliers de personnes se sont réunies dans une ambiance festive sur la place Lénine de Simféropol, la capitale régionale, en brandissant des drapeaux russes et aux couleurs de la Crimée.

 

OGM : le sénat vote pour

OGM : le sénat vote pour

 Ce lundi, les producteurs favorables à certains maïs transgéniques ont reçu un sérieux coup de main du Sénat. Il a rejeté un texte socialiste prévoyant la culture du maïs transgénique en France. La proposition n’ira pas à l’Assemblé nationale. Contre la proposition de loi du socialiste de l’Aveyron, Alain Fauconnier, l’UMP avait déposé une motion d’irrecevabilité. Cette motion est passée avec les voix de 171 sénateurs de droite, mais aussi du RDSE, à majorité radicaux de gauche tandis que 169 sénateurs ont voté contre.  Comme il s’agit d’une proposition de loi issue du Sénat, le texte ne sera pas transmis aux députés. Si le gouvernement veut qu’un texte de la même teneur soit étudié à l’Assemblée nationale, où il aurait de fortes chances de passer, il faudrait qu’il demande à un député de déposer une proposition similaire.  La proposition de loi rejetée avait notamment pour but de sécuriser juridiquement l’interdiction du maïs MON 810. Il existait un arrêté d’interdiction datant de 2011, mais le Conseil d’Etat l’a annulé en 2013. Cet OGM est produit par l’américain Monsanto et son renouvellement d’autorisation est en cours d’examen par l’Union européenne. Un feu vert européen n’empêche pas cependant à un Etat membre de prévoir une interdiction par le biais d’un moratoire. Des semis de maïs sont prévus en mars et des producteurs affichent leur intention de planter du MON 810. C’est le cas notamment de Claude Ménara, producteur de maïs du Lot et Garonne près de Marmande. Il se dit sûr de son bon droit et convaincu que « ce maïs transgénique n’est pas plus dangereux que la version conventionnelle. » Les partisans de maïs OGM ne désarment donc pas, alors que le gouvernement se trouve lui pris par le temps pour interdire le seul cultivé dans l’Union européenne, le MON 810 de Monsanto. Les premiers semis sont prévus vers le 15 mars. 

 

Le vote blanc officiellement reconnu, mais ça ne changera rien !

Le vote blanc officiellement reconnu, mais ça ne changera rien !

Le vote blanc est reconnu mais ça ne changera rien aux résultats, la démocratie avance… au pas d’escargot.  Trente textes parlementaires déposés en vingt ans : c’est peu dire que la reconnaissance du vote blanc est un serpent de mer politique. Et pourtant… Cette fois semble la bonne : les sénateurs ont voté cet après-midi le même texte que celui adopté, en deuxième lecture, par les députés. La proposition de loi est donc définitivement adoptée. Le rapporteur du texte au Sénat, François Zocchetto (UDI), parle d’une « avancée dans la transparence de la vie démocratique, et qui répond aux attentes de nombreux Français depuis de nombreuses années ». Et de poursuivre : « Cette absence de reconnaissance de la voix de l’électeur qui se déplace pour accomplir son devoir civique était choquante en démocratie. Car voter blanc n’est pas nul. » Que dit-elle, cette loi ? A partir du 1er avril 2014, les bulletins nuls seront décomptés séparément des bulletins blancs. Mais les « blancs » ne seront pas pour autant comptabilisés dans les suffrages exprimés… ce qui enlève une grande portée au texte. Le 1er avril, ça marche donc pour les européennes, mais pas pour les municipales. Et ce n’est pas tout : le vote blanc ne sera reconnu ni aux élections présidentielles ni aux référendums locaux, parce qu’il faudrait une loi organique. Une loi qu’appelle de ses voeux François Zocchetto, avant la prochaine présidentielle.

Sondage- Municipales : 35% d’abstention et un vote sanction

Sondage- Municipales : 35% d’abstention et un vote sanction

Deux éléments majeurs pour les municipales d’abord l’abstention, très forte dans l’électorat de gauche et aussi le vote sanction à l’égard du gouvernement.   Un Français sur quatre veut sanctionner François Hollande et Jean-Marc Ayrault. Selon un sondage Ifop/JDD, 35% des Français seraient tentés par l’abstention. Dans le détail, le résultat est encore plus inquiétant. Ce sont les jeunes et les classes populaires – plutôt acquises à la gauche – qui sont les moins mobilisés. 41% des sympathisants de gauche penchent aussi pour l’abstention, contre seulement 29% à droite et même 22% pour le Front national.Autre enseignement de ce sondage : le spectre d’un vote sanction. Un Français sur quatre déclare vouloir aller voter pour sanctionner la politique du gouvernement. Certes, 64% d’entre eux disent se déterminer principalement en fonction de considérations locales. Mais globalement, le contexte national devrait peser sur ce premier rendez-vous électoral de cette année. Il y a six ans, presqu’à la même époque, seuls 16% des Français déclaraient vouloir sanctionner la politique de Nicolas Sarkozy. Deux mois et demi plus tard, la droite perdait 29 villes de plus de 30.000 habitants.

 

Vote pour plafonner les salaires des patrons…en Suisse !

Vote pour plafonner les salaires des patrons…en Suisse !

. Après avoir approuvé, en mars, l’initiative Minder, qui met fin aux parachutes dorés et donne davantage de pouvoir aux actionnaires pour fixer les salaires des dirigeants, les électeurs helvétiques sont à nouveaux appelés aux urnes. Cette fois, ils doivent se prononcer sur l’initiative « 1:12″, qui propose qu’un patron ne puisse gagner plus de douze fois ce que le salarié le moins bien payé de l’entreprise touche sur la même période. Cette initiative a été portée par le mouvement des Jeunes Socialistes. Mais, contrairement à l’initiative Minder, qui avait recueilli plus de 67% de suffrages favorables, le scrutin du 24 novembre s’annonce serré. Selon un sondage cité par la RTS le 13 novembre, l’initiative recueillait 54% d’opinions « plutôt ou très négatives », avec toutefois un niveau assez élevé d’indécis. De fait, l’initiative pâtit du clivage gauche-droite. Le Parti Socialiste et les Verts la soutiennent tandis que le PLR (Parti libéral radical) et l’UDC (Union démocratique du centre) la rejettent. Et, sans surprise, le patronat s’y oppose. Dans une lettre envoyée à ses collaborateurs, dont Le Temps s’est procuré une copie, le géant helvétique de l’agroalimentaire Nestlé considère que cette initiative restreindrait « massivement la liberté contractuelle et la compétitivité d’entreprises comme Nestlé ». Le SonntagsBlickcite également Nick Hayek, patron de Swatch Group, qui évoque « une initiative dogmatique avec des exigences trop rigides ».

 

Sondage Municipales : vote sanction pour 26%

Sondage Municipales : vote sanction pour 26%

Si le sondage est confirmé, nombre de municipalités pourraient basculer ; en effet  à six mois des élections municipales, le spectre d’un vote-sanction plane sur François Hollande et son gouvernement. Les résultats de l’enquête Ifop pour le Jdd sonnent déjà comme un avertissement pour l’exécutif. Si 61% des Français se prononceront les 23 et 30 mars prochains principalement en fonction des enjeux locaux, 26% annoncent qu’ils iront voter pour sanctionner la politique du chef de l’Etat. Seuls 10% iront voter pour le soutenir. Un Français sur quatre qui envisagent un vote-sanction à six mois du scrutin, c’est dix points de plus qu’en janvier 2008. La suite est connue. Nicolas Sarkozy et sa majorité subirent à l’époque une déculottée en perdant une trentaine de villes de plus de 30.000 habitants. Six ans plus tard, la situation politique est différente et rien ne dit que l’UMP réussira son pari de « vague bleue ». La progression du Front national constatée dans plusieurs sondages indiquent que les listes des représentants de Marine Le Pen auront sans doute  les moyens de se maintenir au second tour et de provoquer des triangulaires dans de nombreuses villes. En attendant, un autre indice risque de plonger l’exécutif et les candidats socialistes aux municipales dans le doute. Quand on demande aux Français quels sont les thèmes qui vont motiver leur vote, ils répondent dans l’ordre la fiscalité, la sécurité et l’emploi. Trois des sujets de la rentrée politique du gouvernement en proie notamment au « ras-le-bol fiscal ». Les préoccupations locales arrivent beaucoup plus loin.

Hollande : le vote des étrangers pour faire monter le front national

Hollande : le vote des étrangers pour faire monter le front national

Maintenant le vote des étrangers pour amuser la galerie après le mariage pour tous. De quoi faire la Une pendant des semaines et des mois ; En fait Hollande reprend la vieille tactique de Mittérand, faire montre le Front ntaional pour compenserles pertes du PS. Une manoeuvre da’apprenti sorcier car cette proposition n’a aucune cahnce de recueilleir uen majorité au parlemenet. Voter pour les élections municipales (même après 2014), il y a sûrement urgence pour les immigrés qui ‘s’en moquent complètement et veulent  surtout des titres de séjour, du travail, un logement ; encore une fois à coté de la plaque Hollande et les socialistes qui ne doivent pas compter beaucoup d’immigrés dans leur famille ou parmi leurs amis. De quoi en tout cas satisfaire les bobos qui ignorent tout de l’immigration. François Hollande a annoncé jeudi qu’un texte pour accorder le droit de vote des étrangers aux élections locales serait présenté au Parlement après les élections municipales. « Je ne veux pas donner l’impression que nous chercherions avant les municipales à utiliser cette question du droit de vote des étrangers pour entretenir je ne sais quel malentendu », a déclaré le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse. « Donc, ce texte ne sera pas présenté avant les élections municipales », de 2014, a-t-il ajouté. « Après les élections municipales, comme cela il n’y aura plus d’enjeu, il sera soumis au Parlement et le Parlement en fera l’adoption s’il le souhaite », a-t-il ensuite promis, s’engageant pour la première fois aussi clairement depuis son élection. Cette réforme passe par une révision de la Constitution, qui ne peut être adoptée que par 3/5es des parlementaires ou par référendum. « Je n’ai pas soumis ce texte parce que je sais d’avance que l’opposition n’en veut pas », a redit François Hollande, alors qu’il manque une trentaine de voix pour une adoption au Congrès. Quant au référendum, le président avait exclu cette option lors de sa précédente conférence de presse, en novembre.

 

Plan restructuration PSA : voté par les syndicats

Plan restructuration PSA : voté par les syndicats

La restructuration de PSA Peugeot Citroën a été approuvée lundi à une très large majorité par les syndicats du constructeur automobile, a déclaré à Reuters un représentant de la CFTC. Confirmant leur vote favorable de mars, les organisations syndicales réunies en comité central d’entreprise ont donné leur aval, par 18 voix sur 20, aux mesures d’accompagnement concernant les salariés des usines d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et de Rennes (Ille-et-Vilaine). Cinq syndicats ont voté pour, la CGT a voté contre, a précisé Franck Don. Neuf mois après son annonce, PSA peut désormais enclencher le plan social qui prévoit la fermeture du site d’Aulnay en 2014 et une forte réduction d’effectif à Rennes, la justice ayant rejeté vendredi deux recours des syndicats contre le plan. Dans un communiqué, le groupe a annoncé que des comités d’établissement allaient être organisés « dans les jours qui viennent sur l’ensemble des sites concernés » et que les mobilités internes ou externes pourraient commencer à l’issue de ces comités. Une majorité d’organisations syndicales a également voté le plan de départs volontaires qui concerne cette fois les effectifs de structure (R&D, services commerciaux et administratifs) sur l’ensemble des sites français du groupe. Selon la CFTC, il a été approuvé par 15 voix, la CGT ayant voté contre tandis que la CFDT s’est abstenue. Au total, PSA entend supprimer 8.000 emplois en 2013 et 2014 en France, dont environ 3.000 à Aulnay, 1.400 à Rennes et 3.600 à travers les structures du groupe, afin d’endiguer ses pertes financières et ajuster ses capacités de production à un marché européen en berne.

Vote de la Taxe poids lourds

Vote de la Taxe poids lourds

 

Théoriquement supportée par le client du transporteur, cette taxe va affecter une compétitivité déjà très affectée du pavillon français (pratiquement absent sur le plan international) et accélérer les défaillances d’entreprises. .En effet Le Parlement a définitivement adopté dans la nuit de mercredi à jeudi, par un vote de l’Assemblée nationale, le projet de loi mettant en place une écotaxe poids-lourds. Le texte a été voté par 59 voix pour, 14 contre et trois abstentions. Le PS, les écologistes et les radicaux de gauche l’ont soutenu, l’UMP et le Front de gauche se sont prononcés contre tandis que les centristes se sont abstenus. Les députés ont ainsi approuvé, après les sénateurs le 18 avril, le compromis trouvé entre l’Assemblée et le Sénat en Commission mixte paritaire (CMP) sur ce texte qui met en musique une taxe pour les poids-lourds décidée sous l’ancienne majorité, en 2009, lors du Grenelle de l’environnement. L’écotaxe doit entrer en vigueur le 1er octobre. Elle doit s’appliquer à tous les véhicules de transport de plus de 3,5 tonnes, circulant sur le réseau national non payant, selon des barèmes kilométriques. Elle est due par le client du transporteur. Parmi d’autres mesures, le texte prévoit aussi l’application du droit social français aux navires étrangers. Le texte finalement voté n’a pas touché à l’exonération concédée pour le transport de lait, mesure prise sous l’impulsion des députés bretons.

 

Coup d’Etat de Parisot au Medef : vote le 28 mars

Coup d’Etat de Parisot au Medef : vote le 28 mars

Les 45 membres du conseil exécutif du Medef se prononceront le jeudi 28 mars sur une possible réforme des statuts de l’organisation qui permettrait à Laurence Parisot, la présidente sortante, de se représenter pour un troisième mandat alors que les règles en vigueur ne le lui permettent pas. Georges Drouin, le président du comité statutaire que Laurence Parisot a mandaté début janvier pour étudier une réforme des statuts (en lui proposant, à l’époque, de rallonger de deux ans le deuxième mandat d’un président en exercice mais sans avouer que la modification pourrait s’appliquer à elle), présentera lundi aux membres du conseil exécutif le résultat de ses deux mois et demi de réflexion. «Personne ne sait ce qu’il va nous présenter, mis à part Laurence sans doute», indique un des 45 futurs votants. Un délai de dix jours après cette présentation a été prévu par la présidente sortante après que plusieurs représentants de fédérations professionnelles et de territoires aient indiqué qu’ils ne prendraient pas part à un vote immédiat, afin de leur laisser le temps de consulter leur organisation sur le choix à faire. Bien que le règlement intérieur ne le prévoit pas, un vote à bulletin secret a été demandé par plusieurs membres du conseil exécutif. D’autres ont encore demandé que le scrutin puisse se faire à distance mais de manière sécurisée. «On ne voudrait pas que les résultats soient trafiqués, prévient un futur votant. On a déjà été suffisamment comparé à l’UMP.» Selon un décompte partiel effectué par l’AFP, une réforme des statuts permettant à Laurence Parisot de se représenter en juillet ne passerait pas actuellement le stade du conseil exécutif.

Après le mariage homo, le vote des étrangers pour cacher la misère économique et sociale

Après le mariage homo, le vote des étrangers pour cacher la misère économique et sociale

 

Il est clairqu’Ayrault tente une opération de diversion en ressuscitant l’idée du vote des étrangers. En fait il risque de ne jamais parvenir à réunir une majorité des 3/5e » au Parlement, condition indispensable pour pouvoir valider cette mesure qui serait présentée dans le projet de loi de réforme constitutionnelle, probablement examiné avant l’été. Il s’agira de la dernière chance pour que ce texte entre en vigueur avant les élections municipales de 2014, comme François Hollande s’y était engagé. Il n’y aura pas non plus de referendum ; trop dangereux car les français ont la fâcheuse habitude d’utiliser cette procédure pour exprimer leur mécontentement sur d’autres sujets.  De toute manière l’objectif c’est d’occuper le terrain avec des questions de sociétés pour masquer le triste bilan économique et social. Pour les étrangers, le vote aux municipales n’est pas la priorité, leurs problèmes c’est le logement, l’emploi et les papiers. La promesse du candidat socialiste durant la campagne présidentielle s’est depuis heurtée aux rapports de force au sein du pouvoir législatif. Assemblée nationale et Sénat réunis, l’ensemble de la gauche (PS, EELV, radicaux et communistes) dispose de 521 sièges. Pour obtenir les 555 voix nécessaires, il lui faudrait donc convaincre au moins 34 élus, si personne ne fait défection dans ses propres rangs. L’autre solution pour faire passer ce texte aurait été d’organiser un référendum, mais cette solution a été écartée par le président de la République. Mardi, après la décision du chef de gouvernement d’ouvrir les discussions, l’opposition n’a pas tardé à évoquer un leurre. « Au moment où, chaque jour qui passe,  il y a un plan social nouveau qui arrive sur la table du gouvernement, on en est à organiser des manœuvres de diversion avec le droit de vote des étrangers », a dénoncé Christian Jacob, le président du groupe UMP à l’Assemblée. Sa formation avait d’ailleurs lancé une pétition contre cette réforme. Même réponse pour le vice-président de l’UDI, Yves Jégo. « C’est une question de timing, d’état de la société. Je pense qu’il y a des moments pour faire certaines réformes et cette mesure doit s’appliquer en période de croissance », précise le député de Seine-et-Marne, pour qui le gouvernement « jette de l’huile sur le feu », après le débat sur le mariage pour tous. Pourtant, le centriste n’a « pas changé » d’avis sur ce sujet et reste favorable à ce droit de vote. Mais s’il pense toujours que cette loi « devra arriver », ce proche de Jean-Louis Borloo prévient que son parti ne donnera pas une seule voix à la majorité. « La position du groupe UDI est unanime », répétait en effet mardi dans un communiqué son porte-parole, Jean-Christophe Lagarde. « Pour eux, ce ne sera jamais le bon moment », regrette Razzy Hammadi, qui assure ne pas « croire » que tous les élus suivront la ligne de leur formation. « Si les socialistes veulent cette loi, c’est uniquement pour modifier en profondeur le corps électoral en leur faveur », pense de son côté Benoist Apparu. Qui conclut : « Evidemment qu’ils ne vont pas réussir à trouver une trentaine de voix, c’est pour ça que ce n’est que de la diversion. »

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

Etats Unis :plafond de la dette voté

Etats Unis :plafond de la dette voté

 

La Chambre des représentants américaine a avalisé mercredi un texte républicain permettant au gouvernement fédéral de continuer à emprunter jusqu’à la mi-mai, un vote qui devrait permettre une mise en oeuvre rapide d’une loi qui a déjà reçu le feu vert du Sénat et de la Maison blanche. La loi a obtenu 285 voix pour d’une Chambre contrôlée par les républicains et 144 voix contre, 33 républicains et 111 démocrates n’ayant pas pris part au vote. Le dispositif adopté par la Chambre permet d’éviter, pour le moment, la répétition du psychodrame de 2011 autour du plafond de la dette, épisode qui avait conduit à la perte du « triple A » des Etats-Unis. Les républicains semblent donc avoir remisé leurs menaces d’utiliser le plafond de la dette comme un moyen d’obtenir des baisses de dépenses supplémentaires de Barack Obama.John Boehner, chef de file des républicains à la Chambre, a cependant dit que son camp utiliserait la prochaine opportunité possible -des coupes budgétaires automatiques programmées pour mars- pour exiger des « réformes » au président américain.

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

 

 

 

UMP : Copé d’accord pour un vote en septembre 2013

UMP : Copé d’accord pour un vote en septembre 2013

 

Le feuilleton UMP devrait se terminer avec un accord Fillon-Copé pour de nouvelles élections en septembre 2013.Jean-François Copé, président proclamé mais contesté de l’UMP, est prêt, « dans un souci d’apaisement », à ce qu’une nouvelle élection à la présidence du parti soit organisée « en septembre 2013″, a annoncé dimanche à l’AFP un de ses proches. « Dans un souci d’apaisement, Jean-François Copé est d’accord pour organiser une nouvelle élection en septembre 2013. C’est une date à mi-chemin entre mars 2013, comme le voulait initialement François Fillon, et mars 2014, comme l’avait proposé M. Copé », a-t-on ajouté. L’accord global auquel est prêt M. Copé, souligne ce proche, doit aussi inclure l’abandon du « référendum » des parlementaires, programmé mardi, et la dissolution du groupe dissident R-UMP.

UMP : 40.000 adhérents pour un nouveau vote

UMP : 40.000 adhérents  pour un nouveau vote 

La députée « non-alignée » Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré mercredi à Roubaix avoir recueilli 40.000 signatures de militants depuis le lancement il y a dix jours de sa pétition demandant un nouveau vote à l’UMP. « 40.000 noms en dix jours, je n’aurais jamais pensé en avoir autant. Cela dit quelque chose sur l’état d’exaspération de l’UMP et des militants », a affirmé l’ancienne ministre de l’Ecologie lors d’une rencontre avec les étudiants de l’Edhec. « Quand on est dans un mouvement politique, qu’on en est dirigeant ou qu’on aspire à l’être, on ne peut pas être insensible à la voix des militants », a-t-elle ajouté. La députée-maire de Longjumeau (Essonne) avait lancé sa pétition « jeveuxrevoter.fr » le 26 novembre.

 

Vote des étrangers : l’urgence du moment ?

Vote des étrangers : l’urgence du moment ?

Les bobos du PS font du vote des étrangers l’urgence du moment. A croire qu’ils n’ont sans doute pas dans leur entourage et leur famille l’écho de ce que souhaitent ces étrangers : des titres de séjour, du travail et un logement (accompagnez un jour un immigré au service des immigrés de la préfecture, un régal administratif !). Voter pour le maire de Romorantin ou celui du 13 ème arrondissemenet de Paris, quelle urgence ! Alors que le droit de vote des étrangers aux élections locales semble repousser aux calendes grecques, les socialistes entendent cependant  mettre la pression sur l’exécutif. Après « l’appel des 75″, du nom des 75 députés socialistes qui avaient exhorté, le 17 septembre, François Hollande et le gouvernement Ayrault à accélérer la cadence, une pétition nationale est aujourd’hui lancée par Jean-Christophe Cambadélis. « Il faut cesser de reculer, de tergiverser, de biaiser ! », écrit le secrétaire national et ancien candidat au poste de premier secrétaire du PS, en, guise d’introduction, rappelant que le droit de vote des étrangers fait partie des promesses du candidat Hollande et qu’il a été élu « en étant clair » sur ce sujet. « Nous soussignés, demandons que la parole du peuple soit respectée (…) « Le droit de vote est un point d’appui pour l’intégration laïque », peut-on lire dans la pétition mise en ligne, mardi, sur le site Internet du député de Paris. « Nous n’abandonnerons pas ! Nous voulons le vote des étrangers », conclut le texte. Jean-Christophe Cambadélis n’est pas le premier à rappeler au gouvernement ses engagements, alors que la mise en place de ce droit de vote pour les municipales de 2014 semble plus que jamais compromise. Invitée de Radio Classique, il y a une semaine, la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, avait reconnu à demi-mots, que la réforme ne serait pas présentée au Parlement en 2013, contrairement à ce qu’avait affirmé Jean-Marc Ayrault. Au Congrès du PS à Toulouse, le week-end dernier, plusieurs ténors socialistes ont mis la pression sur l’exécutif. Plus ou moins frontalement. Ainsi, Benoît Hamon a-t-il pris soin de rappeler que l’engagement de François Hollande en faveur du droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales n’était « pas ouvert à la négociation ». A la tribune, Martine Aubry et Elisabeth Guigou ont rappelé leur attachement à cette réforme, souhaitant qu’elle soit applicable en vue des municipales de 2014.

 

 

1...678910



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol