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Droits douaniers américains. Ils vont assommer l’économie mondiale

Droits douaniers américains. Ils vont assommer l’économie mondiale

Trump vient sans doute de lancer un processus qui risque de tuer la croissance mondiale avec une hausse généralisée des taxes douanières. Des droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits importés mais qui peuvent aller jusqu’à 49 % pour certains pays.

La conséquence immédiate est évidemment la réaction des bourses mondiales qui risquent de plonger durablement non seulement en raison du renchérissement du coût des échanges mais tout autant des incertitudes que cela créent chez les acteurs économiques. Tout n’est pas en effet totalement joué car nombre de pays vont réagir et Trump peut encore évoluer. Il restera aussi à persuader le parlement américain car les oppositions à cette politique de matraquage douanier rencontrent de plus en plus d’adeptes mêmes chez les républicains.

Le président républicain a annoncé que les biens en provenance de Chine seraient désormais assortis de droits de douane fixés à 34%, contre 20% pour ceux en provenance des pays de l’Union européenne. Les taux ont été fixés à 24% pour le Japon, 26% pour l’Inde, 31% pour la Suisse ou encore 46% pour le Vietman. « Depuis des décennies, notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis », a asséné Donald Trump, vantant un « âge d’or » à venir pour l’économie américaine.

Droits de douane américains :ils vont assommer économie mondiale

Droits de douane américains :ils vont assommer économie mondiale

Trump vient sans doute de lancer un processus qui risque de tuer la croissance mondiale avec une hausse généralisée des taxes douanières. Des droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits importés mais qui peuvent aller jusqu’à 49 % pour certains pays.

La conséquence immédiate est évidemment la réaction des bourses mondiales qui risquent de plonger durablement non seulement en raison du renchérissement du coût des échanges mais tout autant des incertitudes que cela créent chez les acteurs économiques. Tout n’est pas en effet totalement joué car nombre de pays vont réagir et Trump peut encore évoluer. Il restera aussi à persuader le parlement américain car les oppositions à cette politique de matraquage douanier rencontrent de plus en plus d’adeptes mêmes chez les républicains.

Le président républicain a annoncé que les biens en provenance de Chine seraient désormais assortis de droits de douane fixés à 34%, contre 20% pour ceux en provenance des pays de l’Union européenne. Les taux ont été fixés à 24% pour le Japon, 26% pour l’Inde, 31% pour la Suisse ou encore 46% pour le Vietman. « Depuis des décennies, notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis », a asséné Donald Trump, vantant un « âge d’or » à venir pour l’économie américaine.

Ces droits de douane seront imposés à partir des 5 et 9 avril, a annoncé la Maison Blanche dans la foulée : le 5 avril pour les droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits entrant aux Etats-Unis, et le 9 avril pour les droits de douane majorés visant des géants comme la Chine et l’Union européenne.

Les surtaxes présentées par Donald Trump sont calculées de manière à refléter les droits de douane que les pays imposent aux produits américains, mais aussi les barrières dites non tarifaires mises par ces pays à l’entrée de produits américains. Par exemple : des réglementations sanitaires et des normes environnementales, ou encore la TVA.

Les dirigeants étrangers espèrent donc qu’une fois passé les annonces « chocs », les négociations pourront commencer avec l’ancien promoteur immobilier, qui se présente comme un spécialiste du « deal ». Et pour cause, si le républicain a déjà augmenté les droits de douane sur des produits venant de Chine, de même que tout l’acier et l’aluminium entrant aux Etats-Unis, il a aussi déjà fait marche arrière .

Les droits de douane de Trump qui vont assommer économie mondiale

Les droits de douane de Trump qui vont assommer économie mondiale

Trump vient sans doute de lancer un processus qui risque de tuer la croissance mondiale avec une hausse généralisée des taxes douanières. Des droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits importés mais qui peuvent aller jusqu’à 49 % pour certains pays.

La conséquence immédiate est évidemment la réaction des bourses mondiales qui risquent de plonger durablement non seulement en raison du renchérissement du coût des échanges mais tout autant des incertitudes que cela créent chez les acteurs économiques. Tout n’est pas en effet totalement joué car nombre de pays vont réagir et Trump peut encore évoluer. Il restera aussi à persuader le parlement américain car les oppositions à cette politique de matraquage douanier rencontrent de plus en plus d’adeptes mêmes chez les républicains.

Le président républicain a annoncé que les biens en provenance de Chine seraient désormais assortis de droits de douane fixés à 34%, contre 20% pour ceux en provenance des pays de l’Union européenne. Les taux ont été fixés à 24% pour le Japon, 26% pour l’Inde, 31% pour la Suisse ou encore 46% pour le Vietman. « Depuis des décennies, notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis », a asséné Donald Trump, vantant un « âge d’or » à venir pour l’économie américaine.

Ces droits de douane seront imposés à partir des 5 et 9 avril, a annoncé la Maison Blanche dans la foulée : le 5 avril pour les droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits entrant aux Etats-Unis, et le 9 avril pour les droits de douane majorés visant des géants comme la Chine et l’Union européenne.

Les surtaxes présentées par Donald Trump sont calculées de manière à refléter les droits de douane que les pays imposent aux produits américains, mais aussi les barrières dites non tarifaires mises par ces pays à l’entrée de produits américains. Par exemple : des réglementations sanitaires et des normes environnementales, ou encore la TVA.

Les dirigeants étrangers espèrent donc qu’une fois passé les annonces « chocs », les négociations pourront commencer avec l’ancien promoteur immobilier, qui se présente comme un spécialiste du « deal ». Et pour cause, si le républicain a déjà augmenté les droits de douane sur des produits venant de Chine, de même que tout l’acier et l’aluminium entrant aux Etats-Unis, il a aussi déjà fait marche arrière .

Trump décide de droits de douane qui vont assommer l’ économie mondiale

Trump décide de droits de douane qui vont assommer économie mondiale

Trump vient sans doute de lancer un processus qui risque de tuer la croissance mondiale avec une hausse généralisée des taxes douanières. Des droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits importés mais qui peuvent aller jusqu’à 49 % pour certains pays.

La conséquence immédiate est évidemment la réaction des bourses mondiales qui risquent de plonger durablement non seulement en raison du renchérissement du coût des échanges mais tout autant des incertitudes que cela créent chez les acteurs économiques. Tout n’est pas en effet totalement joué car nombre de pays vont réagir et Trump peut encore évoluer. Il restera aussi à persuader le parlement américain car les oppositions à cette politique de matraquage douanier rencontrent de plus en plus d’adeptes mêmes chez les républicains.

Le président républicain a annoncé que les biens en provenance de Chine seraient désormais assortis de droits de douane fixés à 34%, contre 20% pour ceux en provenance des pays de l’Union européenne. Les taux ont été fixés à 24% pour le Japon, 26% pour l’Inde, 31% pour la Suisse ou encore 46% pour le Vietman. « Depuis des décennies, notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté par des nations proches et lointaines, des alliés comme des ennemis », a asséné Donald Trump, vantant un « âge d’or » à venir pour l’économie américaine.

Ces droits de douane seront imposés à partir des 5 et 9 avril, a annoncé la Maison Blanche dans la foulée : le 5 avril pour les droits de douane d’au moins 10% sur tous les produits entrant aux Etats-Unis, et le 9 avril pour les droits de douane majorés visant des géants comme la Chine et l’Union européenne.

Les surtaxes présentées par Donald Trump sont calculées de manière à refléter les droits de douane que les pays imposent aux produits américains, mais aussi les barrières dites non tarifaires mises par ces pays à l’entrée de produits américains. Par exemple : des réglementations sanitaires et des normes environnementales, ou encore la TVA.

Les dirigeants étrangers espèrent donc qu’une fois passé les annonces « chocs », les négociations pourront commencer avec l’ancien promoteur immobilier, qui se présente comme un spécialiste du « deal ». Et pour cause, si le républicain a déjà augmenté les droits de douane sur des produits venant de Chine, de même que tout l’acier et l’aluminium entrant aux Etats-Unis, il a aussi déjà fait marche arrière .

Etats-Unis: flou et droits de douane vont affaiblir la croissance

Etats-Unis: flou et droits de douane vont affaiblir la croissance 
 Aux Etats-Unis  l’agence de notation Fitch s’attend à voir l’économie américaine ralentir. cette dernière devrait «décélérer en 2025, sous l’effet d’une hausse des droits de douane, d’un ralentissement des investissements et une accélération des dépenses publiques».

«Les droits de douane plus élevés, les réformes de l’Etat fédéral, les baisses d’impôts et les limitations de l’immigration sont des éléments essentiels qui pourraient avoir des ramifications significatives, et dont l’effet dépendra de la mise en place, de l’ampleur et du calendrier» des décisions politiques du gouvernement américain. Fitch s’inquiète en particulier du «protectionnisme commercial» qui pourrait être, estime l’agence, «la décision potentiellement avec le plus gros impact pour l’instant sur l’économie américaine»«Une hausse marquée des droits de douane américains entraînerait une hausse des prix à la consommation, des coûts de production, représentant un risque significatif de recul de la croissance qui est portée par les dépenses des consommations», a insisté Fitch.

Les États-Unis vont boycotter la réunion du G20 !

Les États-Unis vont boycotter la réunion du G20 !

 

 Nouvelle preuve que les États-Unis se désengagent de tout multilatéralisme, le secrétaire américain des affaires étrangères n’ira pas à la réunion du j’ai 20u en février en Afrique du Sud. La réunion du G20 au niveau des ministres des Affaires étrangères prévue les 20 et 21 février sera boycottée par les États-Unis. «Mon travail consiste à promouvoir les intérêts nationaux de l’Amérique, et non à gaspiller l’argent des contribuables ou à encourager l’antiaméricanisme», a-t-il écrit, déplorant notamment le fait que ce groupe de pays défend le «changement climatique» et les programmes «de diversité et d’inclusion».

Le président américain Donald Trump a aussi accusé l’Afrique du Sud de confiscation de terres après la promulgation d’une loi d’expropriation par son homologue Cyril Ramaphosa. La question foncière est un sujet clivant en Afrique du Sud. La majorité des terres sont détenues par la minorité blanche du pays, héritage d’une politique d’expropriation de la population noire pendant l’apartheid.

 

Immobilier : les frais de notaire vont encore augmenter

Immobilier : les frais de notaire vont encore augmenter

Alors que le secteur immobilier est en pleine crise, Michel Barnier a décidé de faire un cadeau financier aux départements qui se disent exsangues financièrement. La dégringolade des ventes a causé des dégâts dans leurs comptes: le manque à gagner dépasse les trois milliards d’euros ces trois dernières années. Et à environ deux milliards ces 12 derniers mois, selon les prévisions de l’association Départements de France .

Une nouvelle taxe concernerait  les droits de mutation, plus connus à tort sous l’appellation «frais de notaire». Ils sont généralement payés par les acheteurs lors d’une vente immobilière. Ces frais pèsent entre 7% et 8% du prix d’un logement ancien (entre 2 et 3% pour l’achat d’un logement neuf), soit environ 19.000 euros pour un bien à 250.000 euros. Les départements réclament, à cor et à cri, que leur part, fixée à 4,5% maximum, augmente pour améliorer leur situation financière.

Michel Barnier vient d’exaucer le vœu des départements, lors des assises de l’association Départements de France. Le premier ministre a certes annoncé une hausse de «seulement» 0,5 point des droits de mutation, et non pas d’un point comme le souhaitaient les départements. Mais cette augmentation sera valable durant trois ans. Elle équivaut à 1250 euros pour un ménage qui achète un logement à 250.000 euros. «

Catastrophe météo : des épisodes qui vont se renouveler

Catastrophe météo : des épisodes qui vont se renouveler

 

Le pronostic est évident les catastrophes météos sous l’effet notamment du réchauffement climatique vont se répéter partout dans le monde y compris en France. Ainsi certaines régions ont enregistré des précipitations sur une journée qui représentait celle d’une année entière. D’une certaine manière la France connaît une sorte de tropicalisation  de son climat. 

Les épisodes d’inondations qui ont frappé la moitié sud du pays « vont être appelés à se répéter », a prévenu vendredi 18 octobre la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, lors d’un déplacement à Chavanay (Loire). « C’est donc un épisode inédit par son ampleur et qui est sans doute une expression du dérèglement climatique », a-t-elle ajouté. Les « 600 mm qui sont tombés à certains endroits, c’est l’équivalent des précipitations de toute une année sur Paris », a-t-elle rapporté.

Cinq départements en vigilance. Le Puy-de-Dôme a été placé en vigilance orange pour crues, annonce Météo-France vendredi dans son bulletin publié à 16 heures. C’est la rivière Allier qui connaît une « augmentation des niveaux », détaille Vigicrues. Quatre autres départements sont toujours en vigilance orange crues : les Bouches-du-Rhône, le Gard, les Landes et les Pyrénées-Atlantiques. La Loire est en revanche redescendue en alerte jaune.

« On n’a pas connu de tel épisode cévenol depuis 40 ans », assure Michel Barnier. Le Premier ministre s’est rendu vendredi matin au centre opérationnel de gestion interministérielle des crises avec le ministre de l’Intérieur. « Nous actionnerons, avec Bruno Retailleau, le processus de catastrophe naturelle, pour que l’indemnisation puisse être mise en œuvre pour les personnes touchées », a-t-il déclaré. Les sapeurs-pompiers et l’ensemble des services de secours ont effectué environ 2 300 interventions qui ont permis de « sauver des vies ».

La vigilance rouge a été levée. Le Rhône, la Loire, la Haute-Loire et la Lozère ne sont plus concernés par la vigilance rouge, a annoncé Météo-France dans son bulletin publié à 6 heures. « L’épisode cévenol est terminé, a ajouté le site de prévisions météorologiques, quelques averses sont encore possibles, mais sans commune mesure avec l’épisode pluvieux des deux derniers jours. »

 

Budget Sécurité sociale 2025 : Salariés, retraités et patrons vont payer

  Budget Sécurité sociale 2025 : Salariés, retraités et patrons vont payer

La mesure sans doute la plus spectaculaire concerne sans doute le report d’indexation des retraités sur l’inflation. Un report de six mois…. pour l’instant. Il faudra en effet attendre l’évaluation de cette politique financière par les institutions notamment par les agences de notation pour y voir plus clair concernant l’avenir. Par ailleurs l’indemnisation des arrêts maladie sera réduite et il y aura moins d’allégement des cotisations patronales sur les salaires bas.

Pour économiser 3,6 milliards d’euros, le gouvernement va reporter de six mois, au 1er juillet, la revalorisation des retraites, indexée sur l’inflation, qui intervient habituellement en janvier.

Parmi les économies à réaliser, le gouvernement souhaite que l’assurance-maladie rembourse moins les consultations médicales, et les complémentaires santé le fassent davantage. Globalement, la part de l’Assurance maladie descendrait à 60% contre 70% actuellement, mais les modalités restent à définir selon les types de consultations. Le gouvernement attend en tout cas un milliard d’euros de cette mesure.

Pour diminuer de 600 millions d’euros les dépenses liées aux arrêts maladie, l’exécutif entend baisser le plafond de remboursement. L’assurance-maladie versera toujours, à partir du quatrième jour d’arrêt, une indemnité équivalente à 50% du salaire journalier, mais dans la limite d’un plafond de 1,4 Smic, contre 1,8 auparavant. Le reste à charge est souvent compensé par les entreprises, mais une partie des Français devront mettre la main à la poche. La date d’entrée en vigueur n’est pas connue.

Le PLFSS 2025 prévoit de remonter les cotisations patronales entre 1 et 1,3 smic de deux points de pourcentage en 2025, puis de deux points supplémentaires en 2026. Ces cotisations baisseront en revanche pour les salaires compris entre 1,3 et 1,8 smic et remonteront au-delà. Cette réforme doit rapporter 4 milliards d’euros à la Sécurité sociale.

Le texte prévoit d’engager de nouvelles négociations avec les représentants des radiologues et des laboratoires d’analyses médicales pour faire baisser les tarifs de l’imagerie médicale et des analyses biologiques. .

Par ailleurs, pour prescrire certaines analyses de biologie médicale, d’imagerie médicale ou bons de transport sanitaire de patients, dont la liste sera définie par décret, le prescripteur devra remplir un formulaire permettant à l’Assurance maladie d’en évaluer la « pertinence ». Le projet de loi modifie aussi les modalités de négociations conventionnelles entre les taxis conventionnés et l’Assurance maladie, de manière à pouvoir mieux réguler les hausses de tarifs.

David Lisnard salue ceux qui ne vont pas à la soupe et dénonce le théâtre politique

 David Lisnard salue ceux qui ne vont pas à la soupe et dénonce le théâtre politique 

 David Lisnard salue ceux qui ne vont pas à la soupe et dénonce le théâtre politique .  Invité du JT de 20h de France 2, le président de l’association des Maires de France et maire LR de Cannes, considère que la crise politique qui secoue la France doit servir à une transformation du modèle actuel.

L’accord annoncé par Eric Ciotti de s’allier au RN secoue sévèrement le parti dont le député des Alpes-Maritimes est le président. Et si de nombreux membres, élus ou non, sont montés au créneau assez vite pour dénoncer cette alliance, d’autres apportent leur soutien au patron des Républicains. Proche d’Eric Ciotti, David Lisnard a choisi de placer le débat un cran au-dessus. Invité de France 2 et de son JT de 20h, le maire LR de Cannes a d’abord assuré avoir eu vent de ce qui était une rumeur, avant sa confirmation officielle mais assurant tout aussi immédiatement que « pour sortir de cette polarisation, la seule solution est d’être constant ».

Un David Lisnard qui a opté pour l’option prospective. « Cette décision lui est personnelle. L’enjeu n’est pas là : l’enjeu ce sont les difficultés quotidiennes, les écoles qui se dégradent… », pointe le président de l’association des Maires de France, pour qui « la solution n’est clairement pas la Macronie ». Ni une « extrême gauche qui prend le pas sur la gauche ».

Et de considérer que la crise actuelle doit être le terreau d’un renouveau, d’un nouveau modèle. Le patron de Nouvelle Energie, le parti qu’il déploie au niveau national depuis 2021, défend la vision d’un Etat recentré sur ses missions essentielles, vilipendant le trop de bureaucratie, appelant à une maîtrise des déficits publics et de la dette, des arguments qu’il répète inlassablement. « Cette crise est une étape de plus dans la situation chaotique que vit notre pays. Elle doit être une première étape vers un renouveau, il faut rendre l’Etat au service des gens, des vraies causes ». D’estimer aussi que « nous sommes dans une crise de l’exécution publique ». Que Les Républicains doivent se transformer, « je le souhaite ardemment ». Saluant ceux « qui ne vont pas à la soupe ». Un message sibyllin mais clair.

 

Agriculture : des prix planchers qui vont encourager les importations

Agriculture :  des  prix planchers qui vont encourager les importations 

 

Si augmenter le revenu des agriculteurs est indispensable, il convient alors de soutenir le changement d’habitudes alimentaires des plus précaires, touchés par l’inflation, affirment, dans une tribune au « Monde », les économistes Philippe Delacote et Fabrice Etilé.

 

Résoudre la question de la juste rémunération des agriculteurs est une condition sine qua non à une sortie de la crise dont souffre le secteur agricole. En effet, de nombreux exploitants sont pris en étau entre des coûts de production en hausse, des normes environnementales nécessaires, mais de plus en plus contraignantes, une vulnérabilité accrue aux aléas environnementaux et une pression à la baisse sur les prix des denrées agricoles.

Pour faire face à ce dilemme, et malgré l’opposition de la majorité présidentielle, une proposition de loi portée par le groupe écologiste a été votée en première lecture à l’Assemblée nationale, le 5 avril, qui instaure la mise en place de prix planchers pour les agriculteurs, l’objectif étant de lutter ainsi contre le pouvoir de marché de la grande distribution et de l’agro-industrie. Cette mesure suscite un intense débat ; on évoque notamment ses effets pervers supposés sur la compétitivité internationale ou une éventuelle prime à l’intensification qu’elle pourrait impliquer.

Une donnée importante est trop souvent mise de côté dans cette équation : la hausse des inégalités et les difficultés de nombreux ménages à se nourrir correctement. On estime en effet que 20 % des Français éprouvent des difficultés à manger trois fois par jour. La crise inflationniste et les tensions sur les chaînes d’approvisionnement déclenchées par les tensions géopolitiques ont eu un double effet sur le budget alimentaire des ménages : les prix alimentaires ont encore augmenté de 7 %, en 2023, après une hausse de 13 %, en 2022, alors que la hausse des dépenses contraintes, notamment l’énergie, a réduit la part du budget disponible pour l’alimentation.

Cette baisse du revenu disponible se traduit par un ajustement à la baisse de la qualité alimentaire des achats, notamment pour les fruits et légumes, mais également une diminution des achats de viande, et un recours accru au hard-discount. Ce choc de revenu amène les distributeurs, appuyés par les pouvoirs publics, à accroître la pression à la baisse des prix payés aux industriels et aux coopératives, répercutée en dernier ressort sur les agriculteurs.

Dans ce contexte, l’instauration de prix planchers risquerait d’accentuer la vulnérabilité d’un grand nombre de ménages qui seraient contraints de se diriger vers des produits importés à moindre coût et aux normes environnementales moins exigeantes.

IA : les entreprises vont dans le mur ! ( McKinsey )

IA : les entreprises vont dans le mur  ! ( McKinsey )

Le cabinet de conseil constate que les milliers de tests qu’ont lancés les entreprises depuis plus d’un an sur des cas d’usage s’avèrent peu rentables. L’expert IA de McKinsey recommande une nouvelle approche du sujet. Parmi les cas d’usage de l’IA largement testés dans les entreprises, l’optimisation automatique de la gestion des énormes bases de données.( infos des « Echos »)

 

Quinze mois après ChatGPT, l’histoire de l’IA réclame une première encyclique. C’est la conviction de McKinsey, qui voit trop d’entreprises s’embourber dans leur ruée vers l’intelligence artificielle générative. « Moins de 10 % ont vu un effet sur plus de 20 % de leur Ebit », prévient Stéphane Bout, le patron de QuantumBlack.

Voilà pourquoi la filiale logiciel du cabinet de conseil, armée de 1.200 experts des données, annonce aux « Echos » lancer une nouvelle offre d’accompagnement sur l’IA qui tire les leçons d’un an et demi d’expérience à leurs côtés. Avec un mot d’ordre : arrêter les expérimentations à tout bout de champ et se concentrer sur deux ou trois chantiers approfondis.

Activité économique Les restrictions budgétaires vont tasser la croissance

Activité économique  Les restrictions budgétaires vont tasser la croissance

Du fait des perspectives d’économie budgétaire, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) table désormais sur une hausse du PIB de seulement 0,5% pour le millésime en cours, contre 0,8% auparavant.

Une révision à la baisse qui « s’explique principalement par un acquis de croissance pour 2024 plus faible que prévu […] et un nouveau programme d’ajustement budgétaire ».
Pour faire face à la dégradation des comptes publics, Bercy a entériné par décret l’annulation de dix milliards d’euros de crédits en février dernier. Conséquence: la croissance française va être amputée de 0,2% en 2024.
« Quand vous réduisez la dépense publique, cela a des conséquences sur la consommation des ménages et l’activité des entreprises », a expliqué l’économiste Mathieu Plane lors de la conférence de présentation des prévisions économiques de l’OFCE.

« Sur les dix milliards annoncés, on estime que sept milliards peuvent avoir des effets négatifs sur l’économie. »

Et les Jeux olympiques n’apporteront pas un regain d’activité pérenne avec seulement un impact de seulement 0,1%, au troisième trimestre.

En raison de la faible croissance de l’activité, le retournement de la courbe du travail se poursuivra, éloignant l’objectif de plein-emploi d’Emmanuel Macron. 68.000 défaillances d’entreprises sont attendues en 2024, et un total de 100.000 emplois devraient disparaître. Le taux de chômage devrait s’établir à 8,1% fin 2024.

Le taux d’inflation devrait s’établir à 2,4% en 2024 contre 4,9% en 2023. Soit un taux proche de l’objectif affiché par la Banque centrale européenne.
« Malgré les effets positifs liés à la baisse des taux », prévue cette année, « la croissance française est attendue à 1,2% », soit un demi-point de moins que la prévision du gouvernement (1,7%) » pour 2025, pénalisée par 20 milliards de coupes supplémentaires annoncées en 2025.

Economie: Les restrictions budgétaires vont tasser la croissance

Economie: Les restrictions  budgétaires vont tasser la croissance
  Du fait des perspectives d’économie budgétaire, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) table désormais sur une hausse du PIB de seulement 0,5% pour le millésime en cours, contre 0,8% auparavant.
Une révision à la baisse qui « s’explique principalement par un acquis de croissance pour 2024 plus faible que prévu […] et un nouveau programme d’ajustement budgétaire ».

Pour faire face à la dégradation des comptes publics, Bercy a entériné par décret l’annulation de dix milliards d’euros de crédits en février dernier. Conséquence: la croissance française va être amputée de 0,2% en 2024.

« Quand vous réduisez la dépense publique, cela a des conséquences sur la consommation des ménages et l’activité des entreprises », a expliqué l’économiste Mathieu Plane lors de la conférence de présentation des prévisions économiques de l’OFCE.

« Sur les dix milliards annoncés, on estime que sept milliards peuvent avoir des effets négatifs sur l’économie. »

Et les Jeux olympiques n’apporteront pas un regain d’activité pérenne avec seulement un impact de seulement 0,1%, au troisième trimestre.

En raison de la faible croissance de l’activité, le retournement de la courbe du travail se poursuivra, éloignant l’objectif de plein-emploi d’Emmanuel Macron. 68.000 défaillances d’entreprises sont attendues en 2024, et un total de 100.000 emplois devraient disparaître. Le taux de chômage devrait s’établir à 8,1% fin 2024.
Le  taux d’inflation devrait s’établir à 2,4% en 2024 contre 4,9% en 2023. Soit un taux proche de l’objectif affiché par la Banque centrale européenne.

« Malgré les effets positifs liés à la baisse des taux », prévue cette année, « la croissance française est attendue à 1,2% », soit un demi-point de moins que la prévision du gouvernement (1,7%) » pour 2025, pénalisée par 20 milliards de coupes supplémentaires annoncées en 2025.

Les économies budgétaires vont tasser la croissance

Les économies budgétaires vont tasser la croissance
  Du fait des perspectives d’économie budgétaire, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) table désormais sur une hausse du PIB de seulement 0,5% pour le millésime en cours, contre 0,8% auparavant.
Une révision à la baisse qui « s’explique principalement par un acquis de croissance pour 2024 plus faible que prévu […] et un nouveau programme d’ajustement budgétaire ».

Pour faire face à la dégradation des comptes publics, Bercy a entériné par décret l’annulation de dix milliards d’euros de crédits en février dernier. Conséquence: la croissance française va être amputée de 0,2% en 2024.

« Quand vous réduisez la dépense publique, cela a des conséquences sur la consommation des ménages et l’activité des entreprises », a expliqué l’économiste Mathieu Plane lors de la conférence de présentation des prévisions économiques de l’OFCE.

« Sur les dix milliards annoncés, on estime que sept milliards peuvent avoir des effets négatifs sur l’économie. »

Et les Jeux olympiques n’apporteront pas un regain d’activité pérenne avec seulement un impact de seulement 0,1%, au troisième trimestre.

En raison de la faible croissance de l’activité, le retournement de la courbe du travail se poursuivra, éloignant l’objectif de plein-emploi d’Emmanuel Macron. 68.000 défaillances d’entreprises sont attendues en 2024, et un total de 100.000 emplois devraient disparaître. Le taux de chômage devrait s’établir à 8,1% fin 2024.
Le  taux d’inflation devrait s’établir à 2,4% en 2024 contre 4,9% en 2023. Soit un taux proche de l’objectif affiché par la Banque centrale européenne.

« Malgré les effets positifs liés à la baisse des taux », prévue cette année, « la croissance française est attendue à 1,2% », soit un demi-point de moins que la prévision du gouvernement (1,7%) » pour 2025, pénalisée par 20 milliards de coupes supplémentaires annoncées en 2025.

 

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