Archive pour le Tag 'volontaires'

Neutraliser les cartes vitales pour les non vaccinés volontaires

Neutraliser les cartes vitales pour les non vaccinés volontaires  

 

 

Pour l’instant , les pouvoirs publics tournent autour du pot à propos de l’obligation vaccinale. Ainsi on a transformé discrètement le pass sanitaire en passe vaccinal mais sans indiquer de manière claire que la vaccination deviendrait obligatoire.

 

Du coup, chacun sollicite l’argumentaire liberticide chez les opposants à la vaccination. Il est souvent difficile en outre de faire la distinction entre les opposants à la vaccination et les opposants au passe.

 

On voit difficilement quelle pourrait être l’atteinte aux libertés fondamentales que d’imposer la vaccination sachant que cette dernière s’impose déjà pour  une dizaine d’entre elles aux enfants mais aussi aux adultes en particulier quand ils veulent voyager à l’étranger.

 

La liberté dont certains se revendiquent se réduit concrètement au droit à pouvoir contaminer les autres. Ne pas se faire vacciner, c’est évidemment encourager  encore davantage la transmission du virus et en même temps les risques de mortalité.

 

En France heureusement grâce à la couverture sociale, les soins médicaux sont largement gratuits mais cette gratuité ne doit pas occulter la réalité d’un cout. Ainsi en moyenne, chaque passage d’un contaminé en établissement hospitalier coûte en moyenne 1500 € par jour . Des milliards supplémentaires vont donc être dépensés du fait de la responsabilité directe des non vaccinés. Il serait donc logique que les intéressés participent à ce financement. La meilleure façon est la plus drastique serait de neutraliser leur carte vitale tant qu’il refuse la vaccination.

 

Une idée qui évidemment ne sera pas reprise dans une période électorale où chacun choisit surtout des stratégies molles de communication pour ne pas contrarier les électeurs. Mais une problématique qui reviendra pour le cas où la pandémie ferait apparaître des chiffres de contamination (et les conséquences dramatiques qui l’accompagnent)  qui se chiffreraient en centaines de milliers pendant encore des  jours, des semaines voire des mois.

Aéroports de Paris : 1.150 départs volontaires visés

Aéroports de Paris : 1.150 départs volontaires visés

Un accord de rupture conventionnelle collective soutenu par tous les organisations syndicales prévoit le départ  1150 salariés. ADP, comme l’ensemble du secteur aérien, subit les retombées économiques de la crise sanitaire liée à l’épidémie de COVID-19 qui a contribué à réduire considérablement le trafic aérien.

“Dans ce contexte, le Groupe ADP doit s’adapter pour passer d’un modèle d’accompagnement de la croissance à un modèle de gestion d’une situation dans laquelle les activités et les investissements seront réduits”, explique ADP.

« L’intégrisme, produit d’aveuglements volontaires »( Raphaël Glucksmann )

« L’intégrisme, produit d’aveuglements volontaires »( Raphaël Glucksmann )

 

Où avons-nous failli ? s’interroge l’eurodéputé philosophe du groupe social-démocrate Raphaël Glucksmann,  dans une tribune au « Monde » relevant l’échec des deux gauches, celle qui place l’antiracisme au-dessus de tout minimisant l’intégrisme et celle qui le dénonce mais élude les ségrégations structurelles.

 

Tribune.

 

 Il est dans la vie des nations des moments de bascule, des nuits noires que les bougies aux fenêtres ou les hashtags compatissants n’éclairent plus. La décapitation de Samuel Paty nous plonge dans l’une de ces nuits. Le lynchage dont il fut la victime sur les réseaux sociaux et les complicités dont bénéficia son bourreau nous effraient. Sa solitude face à la haine qui préparait le crime nous fait honte. La carence de nos institutions nous fait peur. Nos manifestations post-mortem ne procurent plus ni remède, ni catharsis.

Lorsque le surgissement du mal radical ébranle nos architectures mentales et fracture nos habitats intellectuels, seuls subsistent l’exigence de vérité et l’impératif de sincérité, la parrêsia – ou le « franc-parler » – que les Athéniens placèrent au fondement de leur démocratie et que Foucault explora dans ses derniers cours au Collège de France. La parrêsia, c’est le risque pris de la vérité, le discours qui met en péril le locuteur, l’auditeur et le lien qui les unit. Une manière d’être et de dire qu’une classe politique rentière et pavlovienne pratique peu. Et qui aujourd’hui est inévitable.

La douloureuse vérité, donc, est que nous avons failli. Individuellement et collectivement failli. A nos principes comme à nos devoirs. La vérité est que l’intégrisme islamiste a bénéficié d’une myriade d’aveuglements volontaires et de silences gênés. La vérité est que des progressistes chevronnés ont trop souvent partagé la tribune avec d’insupportables bigots, trop longtemps toléré les intolérants. Pourquoi ? Par mauvaise conscience sociale et historique. Par crainte de n’être plus que des bourgeois parlant à des bourgeois. Par impuissance face aux relégations et aux discriminations. Par mémoire des crimes coloniaux. Par confort aussi. Et lâcheté, sans doute.

Gauche borgne

La vérité, si l’on va au bout et si l’on est prêt à se fâcher avec tout le monde, y compris avec soi, est que la gauche est divisée, mais qu’elle a en partage le fait d’être borgne. Toutes et tous borgnes, camarades ! Juste pas du même œil.

Une gauche qui place l’antiracisme au-dessus de tout a sous-estimé, minoré, voilé le danger intégriste. A accepté de traiter les Français musulmans différemment des autres, ce qui, en soi, est une forme de racisme compassionnel. En tolérant chez des imams ce qu’elle ne supporterait pas chez des curés. En refusant de défendre une jeune fille comme Mila, menacée de mort pour blasphème. En laissant entendre que Charlie Hebdo était raciste, tirant un trait d’égalité entre les caricaturistes laïcards et les éditorialistes de Valeurs actuelles. En ne disant rien quand les Juifs quittèrent le 93. En laissant sans réponse les alertes des professeurs face aux insultes des enfants ou aux récriminations des parents. En dissolvant l’idéologique dans le social.

Opel : PSA annule son plan de départs volontaires

Opel : PSA annule  son plan de départs volontaires

 

Officiellement le plan de départ (près de 4000 postes) est suspendu mais il pouraiat bien être complètement annulé En cause la fuite des techniciens et ouvriers qualifiés vers d’autres marques qui elles ont un sérieux besoin de cette main d’œuvre. Plusieurs cadres sont déjà partis ces derniers mois après la finalisation l’été dernier du rachat d’Opel par PSA. Certains ingénieurs de premier plan ont rejoint d’autres constructeurs comme BMW ou des équipementiers comme Continental. Dans le cadre d’un plan de redressement de la marque, PSA veut supprimer 3.700 postes chez Opel en Allemagne d’ici 2020 via notamment des départs volontaires et des retraites anticipées. Les représentants du personnel, emmenés par le patron du conseil d’entreprise Wolfgang Schäfer-Klug, ont cependant exhorté le groupe français à interrompre les départs volontaires qui, à leurs yeux, menacent l’expertise de la marque dans des domaines essentiels. Cette situation illustre la difficulté à laquelle est confronté PSA, qui doit réaliser d’importantes économies pour permettre à Opel de renouer avec la rentabilité après 20 années de pertes sans perdre le savoir-faire sur lequel il compte pour redresser la marque.

Fonctionnaires-départs volontaires, 70% des Français pour

Fonctionnaires-départs volontaires, 70% des Français pour

 

Les Français approuvent le départ volontaire  des agents publics à 70 % des Français, selon un sondage OpinionWay-Comdata group pour « Les Echos ». Fait intéressant, le niveau de soutien est similaire chez les fonctionnaires. De chiffres en contradiction totale avec l’avis de la plupart des syndicats qui s’arqueboutent sur le statut, les effectifs avec un amalgame avec le concept de service public et les entreprises chargées de l’exécuter. D’uen certaine manière, les syndicats ont raison cependant  sur un point d’ordre méthodologique : Pourquoi en effet traiter d’abord du personnel et les conditions de leur gestion alors qu’on n’a pas défini les champs de l’intervention régalienne. Or ce sont ces champs d’intérêt général qui doivent  être précisés de manière prioritaire afin d’éviter ce qui caractérise la France : un étatisme débordant dans tous les champs de la société. Ce n’est qu’une fois précisées les vraies missions d’intérêt général qu’on peut se poser la question des moyens et non l’inverse. En effet dans certains cas, l’État n’a pas intervenir il n’y a donc pas besoin de moyens humains. Dans d’autres cas,  une activité peut justifier la tutelle publique mais sans nécessairement justifier le recours à des organismes publics et donc à des fonctionnaires (cas du transport urbain en général). Enfin certains champs d’intérêt général peuvent légitimer voir exiger l’intervention publique mais il faut distinguer les métiers qui peuvent justifier du statut de fonctionnaire et ceux  qui peuvent justifier d’un statut privé (exemple on peut admettre que les infirmières dans un hôpital public soit fonctionnaires mais pourquoi les menuisiers, les cantinières voir certains personnels administratifs). Edouard Philippe a donc annoncé une série de réformes en matière de fonction publique. Les mesures annoncées sont issues des chantiers interministériels sur la rénovation du cadre des ressources humaines,  sur la simplification et la qualité des services et sur la transformation numérique, pour lesquels les ministères ont remis des propositions en décembre. Elles étaient déjà globalement connues. Ainsi sur le volet ressources humaines, le Premier ministre veut « adapter le statut de la fonction publique, l’assouplir pour qu’il redevienne un cadre efficace pour l’action publique ». Quatre axes de travail sont ouverts. D’une part le dialogue social doit être rénové, en diminuant le nombre d’instances de concertation, et en les recentrant sur les questions les plus importantes, sur le modèle de ce qui a été fait avec les ordonnances « Travail »  – voilà qui ne devrait pas rassurer les syndicats.  Le volet de la rémunération va aussi être travaillé, « nous ne sommes pas contre l’automaticité de la rémunération, mais on peut la compléter par des mesures plus incitatives », a résumé le Premier ministre, qui a aussi évoqué la possibilité de mécanismes d’intéressement collectif. A voir comment le dispositif s’articulerait avec le mécanisme du RIFSEEP (régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel)  Le troisième chantier vise à  réorienter les métiers des agents vers les politiques prioritaires du gouvernement, et à  accompagner leur évolution liée  aux nouvelles technologies. « Nous voulons accompagner les transformations, les reconversions, les mobilités dans la fonction publique, les départs vers le secteur privé », a résumé Edouard Philippe, qui a rappelé que 1,5  milliards ont été budgétés à  cet effet. Gérald Darmanin, le ministre de l’Action des comptes publics, a même évoqué la possibilité d’un plan de départs volontaires pour les agents. Enfin, le gouvernement veut faciliter le recours au contrat  pour les missions qui ne sont pas spécifiques au service public. Sur le second chantier interministériel consacré à la simplification et à la qualité de service, toutes les administrations en relation avec le public devront d’ici 2020 publier des indicateurs de résultats et de qualité de service. Encore une décision à l’envers car avant de définir des indicateurs encore aurait-il fallu préciser la nature du service. Finalement on fait comme dans la police et la gendarmerie en matière de délinquance : on mesure le nombre  de procès-verbaux pour définir leur  efficacité !




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