Archive pour le Tag 'Volkswagen'

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Volkswagen : poursuites judiciaires en France

Volkswagen : poursuites judiciaires en France

Une  enquête et les tests menés en France sur les véhicules diesel commercialisés par Volkswagen ont confirmé une fraude sur les tests d’émissions de polluants, a annoncé lundi la secrétaire d’Etat chargée du Commerce et de la Consommation. L’enjeu est d’importance car certains experts considèrent que le coût de la manipulation de Volkswagen pourrait atteindre 50 milliards pour l’ensemble des véhicules truqués dans le monde.  Compte tenu de l’écroulement de la valeur de l’action du constructeur allemand, VW a évidemment intérêt à minimiser au maximum la tricherie. On objectera à juste titre que Volkswagen n’est pas le seul constructeur à afficher des consommations de carburant et donc des émissions polluantes très en dessous de la vérité. En effet la plupart des contrôles sont effectués en laboratoire et non en situation réelle. Dans la pratique les consommations de carburant peuvent être supérieures de 30 à 60 % par rapport aux valeurs annoncées. Pour Volkswagen il s’agit d’échapper au naufrage financier. La sous-évaluation des émissions d’oxyde d’azote de ses moteurs concerne 11 millions de véhicules dans le monde. « Un petit nombre seulement de déclinaisons des modèles de véhicules neufs auront un chiffre catalogue (de CO2) légèrement ajusté », explique VW dans un communiqué. « Avec une production annuelle de l’ordre de 36.000 véhicules, ces déclinaisons de modèles correspondent seulement à 0,5% environ du volume de la marque Volkswagen », précise le constructeur dans un communiqué. Aucune preuve d’une manipulation volontaire de la consommation et des émissions de CO2 par le constructeur n’a été établie, ajoute le groupe allemand. Des affirmations qui ont pourtant été contredites par les autorités américaines et qui font aujourd’hui l’objet d’audits dans de nombreux pays en Asie par exemple est aussi en France.

Volkswagen : plainte de l’Etat du New Jersey .

Volkswagen : plainte de L’Etat du New Jersey

La problématique se complique pour Volkswagen attaqué partout aux États-Unis pour avoir truqué un logiciel permettant de réduire artificiellement la pollution de certains véhicules. Cette fois c’est le New Jersey qui a déposé vendredi une plainte contre Volkswagen et ses marques de luxe pour émissions excessives de certains de modèles, devenant ainsi le troisième Etat américain, après le Texas et la Virginie occidentale, à poursuivre le constructeur automobile allemand en justice. Des plaintes qui pourraient se multiplier dans d’autres états de sorte qu’il est impossible de prévoir les conséquences financières. Des conséquences financières résultant d’amendes mais aussi peut-être d’une interdiction de vendre moins pendant une période des véhicules diesels aux États-Unis ;  la facture pourrait atteindre 50 milliards d’après certains experts voire davantage. En outre des  plaintes du même type pourraient être déposées dans certains pays asiatiques. Volkswagen a admis l’année dernière avoir installé des logiciels permettant de fausser les émissions sur près de 600.000 véhicules diesel vendus aux Etats-Unis depuis 2009. Dans le monde entier, le scandale des émissions porte sur 11 millions de voitures. Le groupe risque de se voir interdire des vendre des voitures diesel aux Etats-Unis en 2016 et discute actuellement avec la Californie et l’Environmental Protection Agency (EPA), l’autorité fédérale américaine de protection de l’environnement, d’un plan de réparation des véhicules concernés. Le département de la Justice américain a lancé sa propre plainte début janvier, réclamant une amende pouvant aller jusqu’à un maximum théorique de 46 milliards de dollars (41 milliards d’euros).

Volkswagen : une amende de 20 milliards aux États-Unis ?

Volkswagen : une amende de 20 milliards aux États-Unis ?

Cette affaire de trucage des logiciels destinés à sous-évaluer la pollution des véhicules pourrait coûter très cher à Volkswagen. Certains experts estiment en effet que le montant total des amendes pourrait tourner autour de 50 milliards si l’on intègre les condamnations qui pourraient intervenir d’abord aux États-Unis, ensuite en Asie, en Europe et dans d’autres zones géographiques la somme serait  de nature à déstabiliser financièrement la marque voire à mettre en cause son existence dans la forme actuelle. Les Etats-Unis en premier ont annoncé lundi 4 janvier avoir intenté une action judiciaire contre Volkswagen et ses filiales haut de gamme Porsche et Audi pour « violations » des lois américaines anti-pollution qui pourraient lui coûter au moins 20 milliards de dollars.  »La plainte d’aujourd’hui est une première étape pour traduire en justice Volkswagen pour avoir échoué à révéler un logiciel truqueur au moment où il cherchait à faire certifier ses véhicules diesel auprès de l’EPA », explique Barbara McQuade, procureur fédéral du Michigan dans un communiqué. « Les Etats-Unis vont recourir à tous les remèdes appropriés contre Volkswagen pour obtenir réparation des violations présumées de nos lois sur la qualité de l’air », assure pour sa part John Cruden, un des ministres adjoints de la Justice. Le ministère de la Justice et l’agence américaine de l’Environnement (EPA) accusent le groupe automobile d’avoir équipé 600.000 véhicules diesel d’un logiciel leur ayant permis de polluer « excessivement » sans se faire prendre, « trompant (ainsi) les consommateurs et affectant leur santé », selon la plainte. La plainte a été déposée devant un tribunal du Michigan (nord) et sera ensuite transférée en Californie où sont assemblés les recours en nom collectif de particuliers contre le géant allemand. Volkswagen, qui a recruté un avocat de renom américain pour l’aider à gérer cette crise sans précédent, a déjà mis de côté 6 milliards d’euros en prévision d’éventuels amendes et accords.

 

Toyota N°1 mondial, devant Volkswagen

Toyota N°1 mondial, devant Volkswagen

L’affaire des tricheries concernant les émissions polluantes aura forcément des conséquences négatives à court et moyen terme sur le plan financier. Mais cela a déjà des incidences commerciales non négligeables sur le volume des ventes puisque Toyota repasse en tête des constructeurs mondiaux avec sans doute plus de 10 millions de véhicules qui sont seront  vendus en 2015. Un résultat d’autant plus significatif que le marché mondial a plutôt tendance à se tasser en ce moment  Toyota Motor a vendu plus de voitures que Volkswagen pour le cinquième mois consécutif en novembre et se trouve ainsi en bonne voie pour rester le premier constructeur mondial sur l’ensemble de 2015, son concurrent allemand souffrant du scandale des tests anti-pollution truqués. Toyota a annoncé vendredi que ses ventes avaient atteint 9,21 millions de véhicules sur les 11 premiers mois de l’année, un chiffre supérieur à celui de 9,10 millions enregistré par Volkswagen sur la même période. Point Toyota a constamment dépassé Volkswagen en ventes cumulées depuis le mois de juillet. Au début du mois, le groupe allemand a fait état d’une baisse de 2,2% des ventes de la marque VW en novembre par rapport au même mois de l’an dernier. Sur janvier-novembre, les ventes mondiales de Toyota ont baissé de 1,0% par rapport à 2014, alors que celles de Volkswagen accusaient un recul de 1,7%.

CO2 : la nouvelle arnaque de Volkswagen

CO2 : la nouvelle arnaque de Volkswagen

 

Conscient du coup exorbitant de la tricherie concernant les émissions polluantes, Volkswagen a trouvé une nouvelle arnaque pour en minimiser la portée. 800 000 véhicules au moins devaient être concernés par la tricherie permise par les logiciels bricolés. Mais miraculeusement après expertise interne Volkswagen annonce que seulement 36 000 véhicules sont affectés par les dépassements d’émissions polluantes. Il s’agit évidemment d’une expertise non indépendante très discutable. L’enjeu est d’importance car certains experts considèrent que le coût de la manipulation de Volkswagen pourrait atteindre 50 milliards. Compte tenu de l’écroulement de la valeur de l’action du constructeur allemand, VW a évidemment intérêt à minimiser au maximum la tricherie. On objectera à juste titre que Volkswagen n’est pas le seul constructeur à afficher des consommations de carburant et donc des émissions polluantes très en dessous de la vérité. En effet la plupart des contrôles sont effectués en laboratoire et non en situation réelle. Dans la pratique les consommations de carburant peuvent être supérieures de 30 à 60 % par rapport aux valeurs annoncées. Pour Volkswagen il s’agit d’échapper au naufrage financier. Volkswagen a donc affirmé mercredi que la sous-évaluation de la consommation de carburant et des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ne concernait que 36.000 de ses véhicules environ et non pas 800.000, comme le constructeur l’avait annoncé dans un premier temps. Cette précision concerne le second volet, révélé le mois dernier, du scandale provoqué par l’admission par Volkswagen d’une sous-évaluation des émissions d’oxyde d’azote de ses moteurs diesel, un problème distinct qui concerne 11 millions de véhicules dans le monde. « Un petit nombre seulement de déclinaisons des modèles de véhicules neufs auront un chiffre catalogue (de CO2) légèrement ajusté », explique VW dans un communiqué. « Avec une production annuelle de l’ordre de 36.000 véhicules, ces déclinaisons de modèles correspondent seulement à 0,5% environ du volume de la marque Volkswagen », précise le constructeur dans un communiqué. Aucune preuve d’une manipulation volontaire de la consommation et des émissions de CO2 par le constructeur n’a été établie, ajoute le groupe allemand. Des affirmations qui ont pourtant été contredites par les autorités américaines et qui font aujourd’hui l’objet d’audits dans de nombreux pays en Asie par exemple est aussi en France.

Un prêt relais de 20 milliards d’euros pour Volkswagen

Un  prêt relais de 20 milliards d’euros pour Volkswagen

 

Pour faire face aux conséquences financières de la tricherie concernant les émissions polluantes Volkswagen a trouvé un accord avec ses banques sur les modalités d’un prêt relais de 20 milliards les conséquences sont encore difficiles à évaluer mais elle pourrait aller jusqu’à 50 milliards d’euros d’après certains experts. Treize banques ont chacune proposé de prêter soit 1,5 milliard soit 2,5 milliards d’euros, représentant un total de 29 milliards d’euros, ont précisé deux des sources à Reuters. L’un de ces deux sources a déclaré que VW déciderait vendredi des encours pour chacun des établissements. Selon une autre personne, cela se fera dans les jours qui viennent. VW avait déclaré le 23 novembre que les mesures destinées à mettre en conformité en Europe quelque 8,5 millions de véhicules équipés d’un logiciel illégal de contrôle des émissions étaient techniquement et financièrement gérables. Des analystes évaluent à plus de 40 milliards d’euros la facture du scandale des tests d’émissions truqués pour Volkswagen, entre amendes, procès et réparations techniques. Depuis que le scandale a éclaté le 18 septembre dernier, l’action Volkswagen a perdu près d’un tiers de sa valeur tandis que le taux de rendement de ses obligations s’est envolé. Selon les sources, VW espère que les rendements de ses obligations reviendront à leur niveau d’avant le scandale d’ici au printemps, ce qui lui permettra de retrouver sa source de financement habituelle et de rembourser le prêt relais.

Volkswagen : contrôles positifs à la pollution en France

Volkswagen : contrôles positifs à la pollution en France

 

 

De manière un peu hypocrite Ségolène avait annoncé des contrôles en France sur des véhicules Volkswagen  mais du coup pour éviter les discriminations on a contrôlé plusieurs marques.  Résultat :  positif à la pollution, les émissions dépassent et de loin les normes. Le dépassement des normes était attendu,  entre une fois et demi et 10 fois les normes. Et pas seulement Volkswagen. D’où l’extrême discrétion de Ségolène sur les marques en cause ;  Les premiers tests ont parlé et confirment bien la “tricherie” à laquelle s’est adonné Volkswagen (aussi les autres) concernant les contrôles antipollution de ses véhicules a indiqué vendredi 6 novembre Ségolène Royal. Ségolène qui oublie d’indiquer le nom des  constructeurs qui certes n’ont certes pas installé de logiciels truqueurs mais dont  les émissions dépassent largement les normes. La France avait lancé le 1er octobre une série de tests qui portent  sur une centaine de véhicules à moteur diesel pour détecter d’éventuelles fraudes à la pollution. Le scandale Volkswagen qui avait éclaté à la mi-septembre concerne un million de véhicules en France. Une première sélection de dix véhicules “de toutes marques” a ainsi été testée et révèle « un dépassement de 5 fois la valeur limite de la réglementation en oxydes d’azote” a précisé ce vendredi la ministre de l’Ecologie au micro de France Info.  »Sur les autres (véhicules testés) ce n’est pas le cas, c’est (un dépassement d’) un et demi à deux, c’est-à-dire l’écart que l’on connaît entre le contrôle sur banc et le contrôle en conduite réelle », a ajouté la ministre sans préciser quels étaient les constructeurs de ces autres modèles. « D’ici la fin du mois, nous aurons donc en grandeur nature un test qui sera homologué et qui pourra permettre le test sur la centaine de voitures » représentatives des modèles commercialisés en France, a assuré la ministre. Volkswagen est soupçonné d’avoir équipé des véhicules vendus dans le monde entier d’un logiciel permettant de tromper les contrôles antipollution. Le scandale a déjà provoqué plusieurs conséquences : la démission du patron du groupe, Martin Winterkorn, l’obligation pour le constructeur allemand de verser des milliards de pénalités et dédommagements et d’organiser un gigantesque rappel.

Emissions polluantes : Volkswagen veut payer ! Une rigolade !

Emissions polluantes : Volkswagen veut payer ! Une rigolade !

 

Visiblement Volkswagen ne sait plus comment se sortir du bourbier dans lequel le constructeur s‘est lui-même précipité ; Du coup on essaye tout en matière de communicatio : la transparence, le démenti, la compassion, la repentance et même maintenant le remboursement. Mais de quoi ? Si les constructeurs devaient rembourser toutes les conséquences liées au réchauffement climatique par exemple, ils pourraient fermer immédiatement leurs portes. L’annonce de Volkswagen est une fumisterie- Concernant les cots directs la facture pourrait déjà se monter entre 20 et 50 milliards (indemnisation clients et Etats) mais il y a les couts sociaux au sens large, les coûts environnementaux. Difficilement calculables mais qui contraignent certains résidents à fuir leur pays ou à mourir plus jeunes. Volkswagen s’est engagé à payer les coûts additionnels que pourraient entraîner pour les automobilistes européens le fait que les émissions de dioxyde de carbone (CO2) de leurs véhicules sont supérieures à celles affichées par le constructeur. En réalité le constructeur allemand se moque du monde.  Dans une lettre adressée aux ministres des Finances de l’Union européenne que Reuters a pu consulter, le président du directoire du groupe allemand, Matthias Müller, demande aux Etats membres d’adresser la facture au constructeur plutôt qu’aux automobilistes en cas de taxes additionnelles liées à la consommation d’essence et aux émissions de CO2 de véhicules Volkswagen. Le premier constructeur européen a reconnu cette semaine qu’il avait sous-estimé les émissions de CO2 de certains modèles vendus en Europe, et donc leur consommation de carburant. L’erreur est susceptible de concerner jusqu’à 800.000 véhicules. Bref pour l’instant ce sont près de 12 millions de véhicules qui sont en cause dans le monde !

Volkswagen a aussi triché en Europe

Volkswagen a aussi triché en Europe

Nouvelle découverte de tricherie de Volkswagen grâce à son logiciel qui permet de dépasser très largement la pollution autorisée, cette fois sur les gros modèles vendus en Europe où la marque vend dix fois plus qu’aux Etats-Unis. Une affaire qui pourrait déstabiliser un peu plus le constructeur dont la valeur boursière a déjà perdu plus de 30% de sa valeur. Les autorités américaines ont indiqué lundi qu’environ 10.000 voitures du groupe, y compris des modèles Audi et Porsche, étaient équipés d’un dispositif de contrôle des émissions polluantes appelé « Auxiliary Emissions Control Device » (AECD) et permettant d’émettre jusqu’à neuf fois plus d’oxyde d’azote que le niveau autorisé. L’Agence américaine de l’environnement (EPA) a précisé que ce logiciel était utilisé dans des moteurs 3,0 litres de gros SUV, élargissant ainsi la portée du scandale Volkswagen qui concernait jusque-là des cylindrées plus petites. Volkswagen, qui a démenti que le logiciel AECD altérait les niveaux d’émission de manière illicite, a déclaré jeudi que le même dispositif était installé dans ses voitures en Europe, son principal marché où le groupe réalise environ 40% de ses ventes. En réponse à des questions envoyées par courriel, il n’a pas donné de chiffre pour l’Europe mais n’a pas exclu qu’aux Etats-Unis le total de véhicules concernés dépasse les 10.000. Les accusations de l’EPA ont contraint la filiale nord-américaine de Porsche de suspendre jusqu’à nouvel ordre les ventes du 4×4 Cayenne pour les années-modèles 2014 à 2016, Audi interrompant de son côté les livraisons aux Etats-Unis de ses modèles A6, A7, A8 et Q5. En Europe, Volkswagen doit déjà organiser le rappel de 8,5 millions de voitures diesel moins puissantes après avoir reconnu l’installation d’un logiciel truqueur. Le scandale qui a éclaté en septembre a fait perdre au groupe près d’un tiers – pas loin de 24 milliards d’euros – de sa valeur boursière et commencerait à se ressentir sur les ventes de ses principales marques, d’après les chiffres des immatriculations d’octobre qui commencent à tomber.

Volkswagen : Encore 800.000 véhicules supplémentaires suspects

Volkswagen : Encore  800.000 véhicules supplémentaires suspects

Cette fois,  c’est la confusion la plus totale avec cet aveu de Volkswagen qui a détecté 800 000 véhicules supplémentaires suspects. Pas vraiment de quoi rassurer sur les conséquences possibles notamment financières de la marque qui a déjà perdu plus de 30% de sa capitalisation financière. Volkswagen a dit en effet mardi avoir détecté des « incohérences » dans les émissions de dioxyde de carbone d’environ 800.000 véhicules supplémentaires, nouvel épisode dans le scandale qui ébranle le constructeur automobile allemand depuis le 18 septembre dernier.  Le préjudice économique lié à ces anomalies, qui concernent majoritairement des petits moteurs diesel ainsi qu’un moteur à essence, s’élève, selon les estimations provisoires du groupe, à environ 2 milliards d’euros.  Ce nouveau rebondissement n’est pas lié au fait que Volkswagen aurait pu utiliser des logiciels de manipulation des tests sur les émissions polluantes de ses moteurs diesel équipant des grosses cylindrées Audi ou Porsche, et pas seulement sur des millions de véhicules de milieu de gamme, comme ont dit lundi le soupçonner les autorités américaines.

Volkswagen faux cul : « pas de sanction contre les salariés » !

Volkswagen  faux cul : « pas de sanction contre les salariés » !

 

 

A peine faux cul Volkswagen qui promet de ne pas sanctionner des salariés qui donneraient des informations aux enquêteurs de la tricherie. Mais la direction, elle, est exonérée de cette « largesse ». En réalité la direction veut faire porter le chapeau à quelques cadres (elle en a viré 4 et 5) et faire croire qu’elle ignorait totalement ‘l’installation du logiciel truqueur. La preuve elle a embauché un cabinet d’audit pour connaitre les responsables ! Vraiment de quoi rire sil ne fait pas en pleurer. /Volkswagen va donc proposer d’exonérer de toute sanction les salariés du groupe qui dévoileront aux enquêteurs ce qu’ils savent sur le système de trucage des tests anti-pollution, rapporte le journal allemand Süddeutsche Zeitung. VW a pris cette décision en raison de la pression qu’il subit pour fournir des résultats aux autorités américaines, précise le journal, qui a travaillé avec les radios allemandes NRD et WDR. Le groupe a fait savoir qu’il avait embauché la société de conseil Deloitte et le cabinet d’avocats américain Jones Day pour enquêter sur les circonstances dans lesquelles la société a installé des logiciels sur ses voitures diesel permettant de réduire les émissions de gaz polluants en période de tests. Le groupe va promettre à ses salariés qu’ils pourront conserver leur emploi et qu’ils ne devront pas verser de dommages s’ils apportent des éclaircissements sur le scandale, mais les membres du directoire et les responsables « à hauts salaires » seront exclus du programme, précise le Süddeutsche Zeitung, qui cite des hauts dirigeants du groupe non identifiés. Un porte-parole de Volkswagen a dit que l’enquête avançait rapidement tout en refusant tout autre commentaire. On trouvera bien deux ou trois nouveaux boucs emissaires pour exonérer la direction de toue responsabilité.

Volkswagen -Autos: l’Europe au courant du truquage

Volkswagen Auto: l’Europe  au courant du truquage

Il ya a longtemps qu’on sait que le truquage est généralisé pour mesurer les émissions polluantes simplement par que la méthodologie est complètement tordue. On mesure en effet les émissions dans des conditions de circulation qui n’existent pas dans la pratique. S’y ajoutent  évidemment le cas Volkswagen qui a en outre utilisé  un logiciel pour limiter artificiellement le volume démissions polluantes. La commission européenne était au courant depuis longtemps et la preuve est apportée avec un échange de lettres entre le commisaire à environnement et ses autres collègues, notamment en 2013. Le commissaire européen à l’Environnement a en effet averti dès 2013 ses collègues que des constructeurs automobiles truquaient des moteurs pour fausser les tests antipollution, bien avant que le scandale Volkswagen n’éclate, affirme dimanche le Financial Times. Le groupe Volkswagen, numéro un mondial de l’automobile, a reconnu en septembre qu’il avait équipé des millions de véhicules de moteurs diesel dotés d’un logiciel permettant de fausser les contrôles officiels de niveau de pollution.  Les dirigeants de l’UE étaient au courant du problème deux ans avant sa révélation et l’ont laissé persister, selon le Financial Times, qui cite un échange de lettres entre responsables de l’UE.

 

Volkswagen : plusieurs logiciels de trucage

Volkswagen : plusieurs logiciels de trucage

 

La direction s’efforce de trouver des bouc-emissaires pour ne pas salir davantage l’image de la marque. Mais on vienet de découvrir qu’il existait plusieurs logiciels équipant les véhicules de sorte que la direction était forcément informée de ce truqua de masse qui a duré 7 ans ! Volkswagen a conçu plusieurs versions du logiciel installé sur des véhicules diesel permettant de truquer les tests anti-pollution, selon trois sources proches du dossier, ce qui pourrait suggérer un système de fraude complexe. Pendant les sept années de manipulation reconnue des tests, VW a modifié son logiciel de fraude pour l’adapter à quatre types de moteurs différents, a-t-on précisé de mêmes sources, dont un directeur chez VW et un responsable de l’administration américaine proche de l’enquête menée auprès du groupe. Les porte-paroles de VW en Europe et aux Etats-Unis ont refusé de commenter cette information selon laquelle plusieurs dispositifs de trucage ont été créés, évoquant les enquêtes en cours du groupe et des autorités des deux côtés de l’Atlantique. A la question de savoir combien de personnes auraient pu avoir connaissance de ce système de fraude, un porte-parole au siège du premier constructeur automobile, à Wolfsburg en Allemagne, a dit: « Nous travaillons intensément pour savoir qui savait et quand mais il est beaucoup trop tôt pour le dire. » Certains experts et analystes du secteur notent que l’existence de plusieurs dispositifs de trucage, si elle est confirmée, laisserait entrevoir la possibilité que plusieurs catégories de salariés aient été impliquées. Les informaticiens auraient eu régulièrement besoin de financement, et aussi de connaître les programmes de construction de moteurs, disent-ils.

Volkswagen : perquisition au siège de Volkswagen en France

Volkswagen : perquisition au siège de Volkswagen en France

Comme en Allemagne des perquisitions auront lieu en France. Des gendarmes ont mené vendredi une perquisition au siège de Volkswagen France dans le cadre de l’enquête préliminaire pour « tromperie aggravée » ouverte début octobre, a-t-on appris dimanche de source judiciaire. « Cette perquisition s’est déroulée vendredi au siège de Volkswagen à Villers-Côtterets (Aisne) et à Roissy (Val-d’Oise). Du matériel informatique a été saisi », a-t-on déclaré à Reuters, confirmant une information du Journal du Dimanche. En Allemagne, un porte-parole de la direction de Volkswagen a confirmé la perquisition, soulignant que le groupe coopérait avec les autorités françaises. La perquisition a été menée par des gendarmes de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). Le parquet de Paris a ouvert début octobre une enquête préliminaire pour tromperie aggravée s’agissant d’une marchandise dangereuse pour la santé de l’homme afin de déterminer si le groupe automobile allemand a manipulé ses émissions polluantes en France, comme il l’a fait aux Etats-Unis.

Volkswagen : baisse des ventes

Volkswagen : baisse des ventes

Volkswagen a fait état vendredi d’une baisse de 1,5% sur un an de ses ventes mondiales en septembre, un mois marqué par les révélations sur la responsabilité du groupe dans la fraude aux tests anti-pollution, mais ce recul été moins marqué que celui de 5,4% enregistré en août.  Les ventes de la marque VW, qui représente à elle seule environ 60% des livraisons du groupe, ont diminué de 4% le mois dernier.  Le détail des chiffres montre entre autres une chute de 26% des ventes en Russie et de 43,7% au Brésil, deux marchés émergents touchés par la récession.  Sur les neuf premiers mois de l’année, la baisse des ventes du groupe ressort également à 1,5%, celles de la marque VW à 4,7%.

 

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