Archive pour le Tag 'voix'

Le gouverneur la Banque de France, dit la voix de son maître, veut une nouvelle hausse des taux

Le gouverneur la Banque de France, dit la voix de son maître, veut une nouvelle hausse des taux


Avec le gouverneur de la Banque de France, on sait que ses propos vont dans le sens du vent du pouvoir. Le pouvoir de l’Allemagne et de la BCE. Il est clair qu’après le relèvement opéré par la Banque fédérale américaine,la BCE devra évidemment suivre au moins à distance pour ne pas trop porter ombrage à l’euro. Et en même temps pour ne pas plomber la croissance.

Et le gouverneur de la Banque de France de débiter des banalités; La Banque centrale européenne (BCE) est prête «à aller au-delà pour vaincre l’inflation», même si l’objectif «n’est évidemment pas de provoquer une récession», a averti samedi dans un entretien au Journal du Dimanche le gouverneur de la Banque de France.Le seul problème c’est que cette récession va affecter l’Europe en raison de l’inflation mais aussi de la question stratégique de l’énergie

«Nous avons agi vite et fort depuis le printemps, lorsque nous avons vu que l’inflation énergétique importée se diffusait dans le reste de l’économie», a défendu François Villeroy de Galhau, tandis que la hausse des prix en zone euro a atteint 10,1% en novembre sur un an.

«Nos taux d’intérêt ont donc déjà été relevés à quatre reprises successives, passant de -0,5% à 2%. Et nous sommes prêts à aller au-delà pour vaincre l’inflation, même si notre objectif n’est évidemment pas de provoquer une récession», a-t-il expliqué en relevant que «pour qu’une politique monétaire anti-inflationniste produise ses effets» il faut entre 18 mois et deux ans.
La hausse des prix refluera de 4% à la fin de l’année prochaine

François Villeroy de Galhau se trouve ainsi pleinement aligné sur les positions de la présidente de la BCE Christine Lagarde qui a multiplié jeudi les formules pour indiquer que le resserrement monétaire n’était pas terminé: «Nous avons encore du chemin à faire», «nous devons aller plus loin», ou encore «nous sommes dans un long match».

Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

 

 

 

 

Plusieurs médias évoquaient ces derniers jours  l’éventualité de la nomination d’Élisabeth Borne  à Matignon. C’est fait, ce sera elle après le déjà transparent Castex. Une vraie surprise car l’intéressée ne s’est jamais caractérisée par un grand charisme, ni par un grand modernisme. Elle est plutôt l’incarnation de la technocrate aux ordres  qui se contente de répéter fidèlement les propos du patron président.Par ailleurs, une experte de la langue de bois-Exactement d’ailleurs ce que recherchait Macron, un Premier ministre totalement a sa botte qui ne puisse pas lui faire la moindre ombre comme ce fut le cas y compris avec Édouard Philippe. Il choisit  une technocrate sans envergure qui n’a jamais montré la moindre originalité , le moindre dynamisme, le moindre réel engagement social concret. Elle a obtenu son brevet de socialisme dans le feutré des cabinets ministériel. Bref un très  pale copie de Macron.

Ainsi Macron pourra continuer d’intervenir seul et sans intermédiaire, ni d’un parti, ni d’un gouvernement, ni d’un premier ministre. Partout où Élisabeth Borne est passée dans les cabinets ou au transport, au ministère du travail, elle ne laissera pas un grand souvenir d’innovation et de démocratie participative. Elle se dit de gauche mais on se demande de quelle gauche, sans doute de cette ancienne gauche bobo du PS précisément un parti enterré par les  technocrates et autres bobos qui s’étaient appropriés le parti et ont fini par le tuer du fait de leur ignorance, voire parfois leur mépris des réalités sociales et sociétales .

Avec une Première ministre  de gauche comme celle,-là la France n’a guère à craindre des révolutions et même du changement. Sa seule qualité est sa fidélité et son énorme capacité à répéter les mots du président. Aux yeux de Macron des qualités essentielles. Une telle première ministre ne résistera pas longtemps en face d’une conjoncture politique qui va se durcir sitôt que chacun aura oublié- surtout au gouvernement- les promesses électorales et qu’il faudra affronter les difficultés sociales qui se préparent en particulier du fait de l’inflation qui ronge le pouvoir d’achat sans parler des autres problèmes nombreux non résolus, comme la compétitivité, la réindustrialisation, la réforme de l’Etat ou encore la dérives des comptes.

Un président énarque qui choisit encore une   techno qui n’a jamais été élue; Une haute fonctionnaire ; Une responsable sans réelle conviction politique.  Comme transgression on fait mieux !Et pour première preuve lors de la transmission de pouvoir à Matignon une intervention d’un vide absolu conforme à la posture habituelle de l’intéressée. De toute évidence, il y a vraiment erreur de casting.

Retraites :La pénibilité intégrée ? (Élisabeth Borne, dite la voix de son maître)

Retraites :La pénibilité intégrée ? (Élisabeth Borne, dite la voix de son maître)

 

 

Il est clair que Macron a commencé à lâcher du mou sur les retraites et il y a fort à parier qu’il va continuer aussi bien avant le deuxième tour pour récupérer des voix qu’après compte tenu de l’opposition sociale prévisible.

Reste cependant de nombreux flous en particulier sur la prise en compte de la pénibilité. Élisabeth Borne, en véritable voix de son maître, reprend à son compte ce flou en parlant de l’usure professionnelle par exemple pour les professeurs ! Elle aurait sans doute pu prendre un autre exemple comme les couvreurs à moins qu’il ne s’agisse d’un clin d’œil au monde de l’enseignement plutôt positionné à gauche.

Invitée sur BFMTV ce lundi, Élisabeth Borne, ministre du Travail et soutien du candidat de La République en marche (LaREM), est venue défendre la réforme des retraites portée par Emmanuel Macron. C’est l’une des propositions phares du président-candidat mais aussi l’une des plus clivantes. Dans son programme figure en effet le recul progressif de l’âge légal de départ à la retraite à 65 ans, contre 62 ans aujourd’hui. «Je suis prêt à discuter», a tout de même voulu nuancer Emmanuel Macron la semaine dernière. Une mesure controversée pour laquelle il s’est dit ouvert à un référendum.

 

 

L’actuelle ministre du Travail a apporté certaines nouvelles précisions ce lundi matin, en assurant que «l’usure professionnelle physique mais aussi psychologique», sera prise en compte. «Évidemment, on tient compte de la situation de ceux qui ont commencé à travailler tôt, les carrières longues qui bénéficieront toujours d’un départ anticipé, de ceux qui ont eu des métiers pénibles. Et il faut une concertation avec les organisations patronales et syndicales pour regarder les métiers dans lesquels il peut y avoir de l’usure professionnelle physique mais aussi psychologique. Par exemple quand vous êtes professeur, il faut tenir compte de ça», a déclaré Élisabeth Borne.

«Il faut permettre aussi à ceux qui le souhaitent de pouvoir changer de métier… Il faut aménager les fins de carrière. Tout cela doit faire l’objet de concertations», a-t-elle encore ajouté.

Un point sur lequel devraient vivement échanger ce mercredi les deux candidats lors du débat de l’entre-deux-tours. En effet, Marine Le Pen a déclaré il y a quelques jours que «la retraite à 65 ans, pour certains métiers, c’est inhumain.» La candidate du Rassemblement National (RN) s’engage à maintenir l’âge légal à 62 ans maximum, mais souhaite créer un régime plus favorable pour ceux qui sont entrés très jeunes dans la vie active.

Prospective- Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

Prospective- Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

 

 

 

Plusieurs médias évoquent l’éventualité de la nomination d’Élisabeth Borne  à Matignon. Une vraie surprise car l’intéressée ne s’est jamais caractérisée par un grand charisme ni par un grand modernisme. Elle est plutôt l’incarnation de la technocrate aux ordres  qui se contente de répéter fidèlement les propos du patron président.-Exactement d’ailleurs ce que recherchent Macron, un premier ministre totalement transparent qui ne puisse pas lui faire la moindre ombre comme ce fut le cas y compris avec Édouard Philippe. De plus en plus centraliste en même temps qu’ étatiste Macron n’est libérale que pour servir la soupe aux multinationales.

Pour le reste, il veut intervenir seul et sans intermédiaire, ni d’un parti, ni d’un gouvernement ni d’un premier ministre. Partout où Élisabeth Bornes est passée dans les cabinets ou au transport, au ministère du travail, elle ne laissera pas un grand souvenir de dynamisme et d’innovation. Elle se dit de gauche mais on se demande de quelle gauche sans doute de cette ancienne gauche bobo du PS précisément un parti enterré par les  technocrates et autres bobos qui s’étaient appropriés le parti.

Avec une première ministre  de gauche comme celle-là la France n’a guère à craindre des révolutions et même du changement. Sa seule qualité sa fidélité et son énorme capacité à répéter les mots du président. Aux yeux de Macron des qualités essentielles. Une telle première ministre ne résistera pas longtemps en face d’une conjoncture politique qui va se durcir sitôt que chacun aura oublié- surtout au gouvernement- les promesses électorales et qu’il faudra affronter les difficultés sociales qui se préparent en particulier du faite de l’inflation qui ronge le pouvoir d’achat sans parler des autres problèmes nombreux non résolus.

Politique- Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

Politique- Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

 

 

 

Plusieurs médias évoquent l’éventualité de la nomination d’Élisabeth Borne  à Matignon. Une vraie surprise car l’intéressée ne s’est jamais caractérisée par un grand charisme ni par un grand modernisme. Elle est plutôt l’incarnation de la technocrate aux ordres  qui se contente de répéter fidèlement les propos du patron président.-Exactement d’ailleurs ce que recherchent Macron, un premier ministre totalement transparent qui ne puisse pas lui faire la moindre ombre comme ce fut le cas y compris avec Édouard Philippe. De plus en plus centraliste en même temps qu’ étatiste Macron n’est libéraleque pour servir la soupe aux multinationales.

Pour le reste, il veut intervenir seul et sans intermédiaire, ni d’un parti, ni d’un gouvernement ni d’un premier ministre. Partout où Élisabeth Bornes  est passée dans les cabinets ou au transport, au ministère du travail, elle ne laissera pas un grand souvenir de dynamisme et d’innovation. Elle se dit de gauche mais on se demande de quelle gauche sans doute de cette ancienne gauche bobo du PS précisément un parti enterré par les  technocrates et autres bobos qui s’étaient appropriés le parti.

Avec une première ministre  de gauche comme celle-là la France n’a guère à craindre des révolutions et même du changement. Sa seule qualité sa fidélité et son énorme capacité à répéter les mots du président. Aux yeux de Macron des qualités essentielles. Une telle première ministre ne résistera pas longtemps en face d’une conjoncture politique qui va se durcir sitôt que chacun aura oublié- surtout au gouvernement- les promesses électorales et qu’il faudra affronter les difficultés sociales qui se préparent en particulier du faite de l’inflation qui ronge le pouvoir d’achat sans parler des autres problèmes nombreux non résolus.

Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

Élisabeth Borne à Matignon: l’insignifiante voix de son maître

 

 

 

Plusieurs médias évoquent l’éventualité de la nomination d’Élisabeth Borne  à Matignon. Une vraie surprise car l’intéressée ne s’est jamais caractérisée par un grand charisme ni par un grand modernisme. Elle est plutôt l’incarnation de la technocrate aux ordres  qui se contente de répéter fidèlement les propos du patron président.-Exactement d’ailleurs ce que recherchent Macron, un premier ministre totalement transparent qui ne puisse pas lui faire la moindre ombre comme ce fut le cas y compris avec Édouard Philippe. De plus en plus centraliste en même temps qu’ étatiste Macron n’est libéraleque pour servir la soupe aux multinationales.

Pour le reste, il veut intervenir seul et sans intermédiaire, ni d’un parti, ni d’un gouvernement ni d’un premier ministre. Partout où Élisabeth Bornes  est passée dans les cabinets ou au transport, au ministère du travail, elle ne laissera pas un grand souvenir de dynamisme et d’innovation. Elle se dit de gauche mais on se demande de quelle gauche sans doute de cette ancienne gauche bobo du PS précisément un parti enterré par les  technocrates et autres bobos qui s’étaient appropriés le parti.

Avec une première ministre  de gauche comme celle-là la France n’a guère à craindre des révolutions et même du changement. Sa seule qualité sa fidélité et son énorme capacité à répéter les mots du président. Aux yeux de Macron des qualités essentielles. Une telle première ministre ne résistera pas longtemps en face d’une conjoncture politique qui va se durcir sitôt que chacun aura oublié- surtout au gouvernement- les promesses électorales et qu’il faudra affronter les difficultés sociales qui se préparent en particulier du faite de l’inflation qui ronge le pouvoir d’achat sans parler des autres problèmes nombreux non résolus.

Affronter la Chine d’une seule voix (Manfred Weber)

Affronter la Chine d’une seule voix (Manfred Weber)

« Pékin doit comprendre que le respect du droit international et de l’intégrité des frontières ne peut s’appliquer de manière sélective »

À juste titre Manfred Weber prend prétexte de la guerre en Ukraine pour rappeler qu’il faut parler d’une seule voix pour affronter la politique expansionniste et anti libérale de la Chine. Cela d’autant plus que l’adversaire chinois et d’une autre taille que le nain russe.

 

 

Voilà un peu plus d’un mois maintenant que la guerre, dans toute son absurdité et toute son horreur, est de retour en Europe. Tous les jours, ce sont les mêmes images qui nous parviennent : Kiev sous les bombes, Marioupol assiégée, des milliers de civils pris au piège, des immeubles en ruines, et toujours et encore, le flot incessant de réfugiés, femmes et enfants fuyant l’Ukraine par millions, laissant derrière eux toute leur vie, un mari, un père, un frère, un fils – restés au pays pour défendre ce dernier contre l’envahisseur russe.

Ces images font désormais partie de notre quotidien et, si insupportables soient-elles, elles risquent d’en faire partie encore assez longtemps. Malgré la force des sanctions européennes prises à l’encontre du régime de Vladimir Poutine et de ses oligarques, la guerre en Ukraine pourrait bien durer, avec toutes les conséquences et les risques de

Sondage 2022 : Zemmour prend surtout des voix à Le Pen (Dominique Reynié, professeur à Sciences Po )

Sondage 2022 : Zemmour prend surtout des voix à Le Pen (Dominique Reynié, professeur à Sciences Po )

Les chiffres sont sans appel d’après le dernier sondage, Zemmour progresse de 5 % qu’il prend à peu près totalement à Marine Le Pen qui ,elle, perd 5 %.

 

Les écarts se resserrent nettement. Eric Zemmour atteint les 13% en se rapprochant dangereusement de Marine Le Pen, selon Harris Interactive pour Challenges. « Cette enquête est pleine d’intérêt, estime dans l’Opinion le directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, Dominique Reynié. Elle annonce une configuration problématique. On observe que la baisse de Le Pen profite à Zemmour et pas aux Républicains. Il y a un transfert de l’électorat de Le Pen vers Zemmour. »

Pour expliquer cette dynamique, Dominique Reynié ajoute : « Zemmour offre à une droite dure orpheline de chef, un chef. Et du côté du Rassemblement national, il offre le retour du visage d’une extrême droite classique, celle de Jean-Marie Le Pen, que les électeurs historiques n’arrivent pas à oublier. »

Désigné sur le fil face à Sandrine Rousseau lors de la primaire des écologistes, Yannick Jadot, quant à lui, va devoir rassembler. « C’est une victoire assez serrée, au terme d’un débat déraisonnable, confirme Dominique Reynié. Yannick JadoLes chiffres sont sans appel, d’après le dernier sondage Zemmour atteint 15 % des voix, il gagne 5 % qu’il prend à Le Pen qui en perd autant.t s’est laissé enfermer dans la radicalité de Sandrine Rousseau. Il peut servir de point d’arrivée d’électeurs socialistes déçus par la candidature d’Anne Hidalgo mais il aura du mal à tenir un discours cohérent. »

Du côté des Républicains, il faudra attendre le 4 décembre pour connaître le candidat de la droite. Un retard à l’allumage qui pourrait porter préjudice au parti de Christian Jacob : « Il y a une somme d’erreurs importantes commises par Les Républicains, ajoute Dominique Reynié, comme ce processus de désignation interminable ou encore l’exclusion des centristes. La droite se retrouve obligée de regarder passer le train car elle n’a pas de leader, pas même d’accord clair sur la procédure de désignation. Et même ceux entrés dans la compétition ne font pas entendre de propositions nouvelles, puissantes, pour peser sur le débat ! »

Elections Russie : Le parti de Poutine avec 40 % des voix dans une élection sans candidats d’opposition

Elections  Russie : Le parti de Poutine avec 40 % des voix dans une élection sans candidats d’opposition

 

Le parti de Poutine a récolté 43,39% des voix dans une élection où tous les candidats opposés officiellement à Poutine ont été interdits, selon des résultats préliminaires portant sur 21% des bureaux de vote. « 

Le parti du Kremlin devance les communistes du KPRF (22,82%) et semble assuré de conserver une large majorité à la Douma, la chambre basse du Parlement, même si ces résultats préliminaires témoignent d’une baisse par rapport à 2016. Russie Unie avait alors obtenu 54,2% des voix et les communistes 13,3%.

Le Kremlin a  écarté tous les concurrents les plus dangereux pour assurer à son parti, Russie unie, la majorité des sièges à la Douma. Les partisans de l’opposant emprisonné Alexeï Navalny ont en réaction appelé à voter pour les candidats les mieux placés pour battre ceux de Russie Unie, bien souvent des communistes.

Pérou: Pedro Castillo : déclaré vainqueur avec 50,12 % des voix

Pérou: Pedro Castillo : déclaré vainqueur avec 50,12 % des voix

L’autorité électorale chargée d’examiner les recours a ainsi confirmé les résultats délivrés il y a plusieurs semaines par l’Organe national du processus électoral (ONPE). À l’issue du dépouillement de 100% des bulletins de vote, l’ONPE avait donné Pedro Castillo, 51 ans, vainqueur avec 50,12% des voix, contre 49,87% des suffrages à sa rivale, Keiko Fujimori, 46 ans. Selon les résultats validés par le JNE, Castillo l’emporte avec 44.263 voix d’avance sur la fille de l’ancien président Alberto Fujimori (1990-2000).

La mission d’observation de l’OEA, les États-Unis et l’Union européenne ont estimé que le scrutin au Pérou avait été libre et transparent. Pedro Castillo prendra ses fonctions le 28 juillet, jour de l’expiration du mandat du président intérimaire Francisco Sagasti.

Politique–Régionales 2021 : les présidents sortants réélus mais avec autour de 10 % à 15% des voix, parfois moins !

 

 

Après le fiasco des municipales, c’est au tour des élections régionales de connaître un taux d’abstention record (autour de 65 %). Autant dire que la plupart des élus  ne sont nullement légitimes. Certes juridiquement ce vote  n’est pas contestable mais démocratiquement et politiquement ces élections n’ont aucun sent et devrait même être annulées.

Du fait de l’extraordinaire niveau d’abstention (environ 66%), la plupart des présidents de région auront été élus pour certains par 10 à 15 % des voix des inscrits ( Parfois 6 % !). À peu près tous les présidents sortants ont été réélus.Il faut encore préciser que 10 % des électeurs potentiels ne sont pas inscrits !Du coup certains présidents de région ont été élus avec 5 % des voix!

La gauche garde ses cinq régions et en acquiert une nouvelle, tandis que la droite passe de huit à sept territoires à son actif en perdant La Réunion. En lice pour un second mandat, c’est la socialiste Carole Delga qui enregistre le score le plus élevé alors qu’elle avait refusé le soutien des insoumis. Réélue avec 58,5% des voix, la sortante écrase largement ses concurrents RN, Jean-Paul Garraud (23,5%) et LR, Aurélien Pradié (18%).

Des résultats qui met en cause la légitimité démocratique.

Régionales 2021 : les présidents sortants réélus mais avec autour de 10 %à 15% des voix !

Régionales 2021 : les présidents sortants réélus mais avec autour de 10 %à 15%  des voix !

 

Du fait de l’extraordinaire niveau d’abstention (environ 66%), la plupart des présidents de région auront été élus pour certains par 10 à 15 % des voix des inscrits. À peu près tous les présidents sortants réélus. La gauche garde ses cinq régions et en acquiert une nouvelle, tandis que la droite passe de huit à sept territoires à son actif en perdant La Réunion. En lice pour un second mandat, c’est la socialiste Carole Delga qui enregistre le score le plus élevé alors qu’elle avait refusé le soutien des insoumis. Réélue avec 58,5% des voix, la sortante écrase largement ses concurrents RN, Jean-Paul Garraud (23,5%) et LR, Aurélien Pradié (18%).

Syrie -élection de Bachar al-Assad : une mascarade avec 95,1% des voix

  • Syrie -élection de Bachar al-Assad : une mascarade avec 95,1% des voix
  • Le président syrien Bachar al-Assad a été réélu pour un mandat de sept ans avec 95,1% des voix, a annoncé jeudi 27 mai le président du Parlement, à la suite d’un scrutin décrié par l’opposition et les pays occidentaux.
  • Les deux autres candidats qui se présentaient face à lui, Abdallah Salloum Abdallah et Mahmoud Mareï, ont obtenu respectivement 1,5% et 3,3% de voix.
  • . Les Occidentaux ont qualifié l’élection de «ni libre ni juste» et l’opposition a dénoncé une «mascarade».

Audrey Pulvar : « les voix destructrices de la droite»

Audrey Pulvar : « les voix destructrices de la droite»

La candidate aux élections régionales en Ile-de-France répond aux commentaires indignés qui, à droite, à l’extrême droite et jusque dans la majorité présidentielle, ont suivi ses propos sur les réunions « non mixtes ». ( le problème c(est que le débat ne concerne pas seulement la droite NDLR)

Tribune. 95 000. C’est le nombre de personnes qui, en cette fin mars, ont perdu la vie, en un an, dans notre pays, victimes du Covid-19. Un terrifiant bilan, hélas provisoire, auquel s’ajoutent le basculement de 1 million de personnes déjà précaires dans la grande pauvreté, les tourments d’une jeunesse sacrifiée, l’angoisse permanente pour des dizaines de milliers de chefs d’entreprises, de petits commerçants et artisans, le casse-tête quotidien de parents, sans recours devant des écoles fermées pour cause de nouveaux cas détectés.

Tandis que monte la troisième vague, soignants, enseignants, personnels qui accueillent des enfants, accompagnants de personnes en grande vulnérabilité, convalescents Covid long se remettant mal ne cessent de nous alerter sur la gravité de la situation et leur propre état d’épuisement physique et mental…


Pourtant, un sujet, un seul, occuperait les esprits depuis 72 heures, si l’on en croit réseaux sociaux, chaînes d’info et comptes propagateurs de haine : les propos que j’aurais tenus, intimant « aux Blancs » le silence, quand il s’agit de parler de racisme. Bigre ! Celles et ceux qui ont pris la peine de m’écouter savent, à condition d’honnêteté, qu’il n’en est rien.

Mais, par un spectaculaire retournement, là où je refusais le principe de réunions totalement fermées – j’ai dit mon opposition aux réunions « interdites à » –, là où j’invitais simplement à écouter, sans l’interrompre, la parole de victimes, qui doivent pouvoir être les premières à s’exprimer, la droite et l’extrême droite, complaisamment relayées, ont fait croire et répété à l’envi que je voulais empêcher la parole.

Jamais je n’ai dit vouloir réduire au silence une partie de la population, pour quelque motif que ce soit, et encore moins pour sa couleur de peau. Jamais je n’ai prononcé ni conçu les mots « les Blancs doivent se taire », phrase pourtant répétée à l’infini par des éditorialistes pressés d’en découdre et des zélotes de la pensée étroite. Une telle phrase ne m’aurait même pas effleuré l’esprit, tant elle est contraire à tout ce que je suis, à tout ce que je porte et tout ce pour quoi je me bats.

Hausse du carburant ( de Rugy, la voix de son maître)

Hausse du carburant ( Rugy, la voix de son maître)

 

 

Avec un ministre langue de bois comme François de Rugy, Macon peut être rassuré, il n’a pas à craindre les écarts de langage type Hulot. François de Rugy, l’archétype de l’oligarque écolo qui a slalomé entre tous les courants pour finalement se rallier à Macron et obtenir ce qu’il souhaitait depuis longtemps un poste ministériel après celui du perchoir à l’Assemblée nationale. Pour De Rugy,  le projet politique se limite à ses perspectives de carrière. Il ne faut pas attendre de lui d’idées originales, encore moins de contestation voire même le moindre charisme. Il répète fidèlement et bêtement la liturgie gouvernementale.  Pas question pour autant de reculer en matière de fiscalité sur le carburant : « soit on agit avec une solution de court-terme en disant qu’on va baisser les taxes. Et si les prix du pétrole augmente encore, qu’est-ce qu’on fait? ». dit naïvement le ministre de l’environnement qui n’a sans doute pas entendu parler du concept de fiscalité flottante qui permet de lisser les hausses comme les baisses. C’est-à-dire de diminuer la fiscalité quand les cours du pétrole sont à un haut niveau, inversement de l’augmenter quand le prix du baril est bas.  de Rugy veut « libérer les Français du tout-pétrole » ; il oublie simplement que ce sont les gouvernements successifs y compris ceux qu’il a soutenus qui ont enfermé les Français dans le pétrole et en particulier dans le gasoil. Avec François Goullet de Rugy s’est le retour de la langue de bois en chaine. En chaîne continue, la voix de son maître. L’archétype de l’oligarque qui n’a jamais travaillé en dehors de la politique et qui avalera toutes les couleuvres que lui présentera Macron quitte même à devancer la demande.

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