Archive pour le Tag 'voile'

Iran : 74 coups de fouet pour non port du voile !

Iran : 74 coups de fouet pour non port du voile !

C’est la peine infligée à une Iranienne pour non-port du voile musulman, a annoncé l’Autorité judiciaire du pays, samedi 6 janvier. Roya Heshamti a également été condamnée à payer une amende. « La condamnée a encouragé la permissivité (en sortant) de manière ignoble dans des endroits très fréquentés de Téhéran », a déclaré l’organe de presse de la justice, Mizan Online.

L’avocat de la condamnée, Maziar Tatati, a déclaré au journal réformiste Shargh que sa cliente avait été arrêtée en avril « pour avoir publié une photo sans porter le voile sur les réseaux sociaux ». Depuis la Révolution islamique de 1979, le port du voile est obligatoire en Iran pour toutes les femmes, même étrangères, qui doivent dissimuler leurs cheveux dans les lieux publics.

Ces derniers mois, de plus en plus de femmes sont apparues sans voile dans les lieux publics, notamment après le mouvement de contestation déclenché par la mort en détention en septembre 2022 de Mahsa Amini, arrêtée pour infraction au strict code vestimentaire.

Voile intégral interdit…. en Egypte

Voile intégral interdit…. en Egypte

C’est le monde à l’envers, alors qu’en France l’interdiction de porter l’abaya suscite la protestation des insoumis et des écolos, en Égypte on interdit le grand Niqab qui couvre l’ensemble du corps. De quoi peut-être nourrir l’opposition aussi de l’extrême gauche française actuellement dans le plus grand potage idéologique. À partir du 30 septembre, plus question en Egypte de voir en classe ces grands niqab – noirs – qui couvrent l’ensemble du corps et ne laissent paraître que les yeux.

Comme en France , Islamistes et défenseurs des droits humains , il y a violation des libertés individuelles, une ingérence dans la vie privée.

Le gouvernement Égyptien veut lutter contre la banalisation de ce voile intégral, qui certes reste très minoritaire dans les établissements scolaires égyptiens, mais qui témoigne d’une radicalisation rampante de la société, imputable selon lui à l’influence des mouvements intégristes et plus particulièrement aux Frères musulmans.

Le président Abdel Fattah al-Sissi, tout aussi croyant et pratiquant qu’il soit, mène – depuis qu’il a pris le pouvoir par un coup d’État il y dix ans – une lutte féroce contre cette confrérie d’idéologie salafiste pour l’empêcher de revenir au pouvoir. Classée organisation terroriste elle est désormais interdite, ses membres ont été assassinés… ou emprisonnés par milliers.

Société-Interdiction du voile intégral….. en Égypte

Société-Interdiction du voile intégral….. en Égypte

C’est le monde à l’envers, alors qu’en France l’interdiction de porter l’abaya suscite la protestation des insoumis et des écolos, en Égypte on interdit le grand Niqab qui couvre l’ensemble du corps. De quoi peut-être nourrir l’opposition aussi de l’extrême gauche française actuellement dans le plus grand potage idéologique. À partir du 30 septembre, plus question de voir en classe ces grands niqab – noirs – qui couvrent l’ensemble du corps et ne laissent paraître que les yeux.

Comme en France , Islamistes et défenseurs des droits humains , il y a violation des libertés individuelles, une ingérence dans la vie privée.

Le gouvernement Égyptien eut lutter contre la banalisation de ce voile intégral, qui certes reste très minoritaire dans les établissements scolaires égyptiens, mais qui témoigne d’une radicalisation rampante de la société, imputable selon lui à l’influence des mouvements intégristes et plus particulièrement aux Frères musulmans.

Le président Abdel Fattah al-Sissi, tout aussi croyant et pratiquant qu’il soit, mène – depuis qu’il a pris le pouvoir par un coup d’État il y dix ans – une lutte féroce contre cette confrérie d’idéologie salafiste pour l’empêcher de revenir au pouvoir. Classée organisation terroriste elle est désormais interdite, ses membres ont été assassinés… ou emprisonnés par milliers.

Interdiction du voile intégral….. en Égypte

Interdiction du voile intégral….. en Égypte

C’est le monde à l’envers, alors qu’en France l’interdiction de porter l’abaya suscite la protestation des insoumis et des écolos, en Égypte on interdit le grand Niqab qui couvre l’ensemble du corps. De quoi peut-être nourrir l’opposition aussi de l’extrême gauche française actuellement dans le plus grand potage idéologique. À partir du 30 septembre, plus question de voir en classe ces grands niqab – noirs – qui couvrent l’ensemble du corps et ne laissent paraître que les yeux.

Comme en France , Islamistes et défenseurs des droits humains , il y a violation des libertés individuelles, une ingérence dans la vie privée.

Le gouvernement Égyptien eut lutter contre la banalisation de ce voile intégral, qui certes reste très minoritaire dans les établissements scolaires égyptiens, mais qui témoigne d’une radicalisation rampante de la société, imputable selon lui à l’influence des mouvements intégristes et plus particulièrement aux Frères musulmans.

Le président Abdel Fattah al-Sissi, tout aussi croyant et pratiquant qu’il soit, mène – depuis qu’il a pris le pouvoir par un coup d’État il y dix ans – une lutte féroce contre cette confrérie d’idéologie salafiste pour l’empêcher de revenir au pouvoir. Classée organisation terroriste elle est désormais interdite, ses membres ont été assassinés… ou emprisonnés par milliers.

Voile islamique : 60 % contre dans l’espace public

Voile islamique : 60 % contre dans l’espace public

D’après un sondage CSA pour CNEWS dévoilé ce mercredi 9 novembre, près de 61 % des Français se disent favorables à l’interdiction du port du voile dans l’espace public. En début de semaine, le député Les Républicains Aurélien Pradié, candidat à la présidence de son parti, avait indiqué qu’une « guerre idéologique et politique » se menait, « y compris par le vêtement ». Selon lui, le foulard islamique ne permet pas aux femmes de « s’émanciper ». Il avait partagé sa « conviction profonde », selon laquelle « aucune femme ne choisit délibérément et seule de porter le voile », en se disant donc prêt à l’interdire « peut-être même dans l’espace public ». Les Français semblent donc adhérer à cette prise de position.

Cependant, un clivage apparaît entre les classes d’âge sur ce sujet. En effet, les plus jeunes sont majoritairement opposés à l’idée (56 % des 18-24 ans, 51 % des 25-34 ans), tandis qu’à partir de 35 ans, les avis lui sont favorables (dont 71 % chez les plus de 50 ans). Chez les femmes, 59 % sont pour l’interdiction du voile dans l’espace public. Le score grimpe à 64 % chez les hommes.
Pour rappel, la loi française n’interdit aucun port de signe religieux dans l’espace public, hormis dans les écoles, collèges et lycées (publics seulement). En revanche, depuis 2010, toute tenue destinée à dissimuler son visage est proscrite dans ce même espace. Le niqab ou la burqa sont ainsi concernés, mais pas le foulard islamique placé sur les cheveux.

Politique- Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode »

Politique- Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode » !!!

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment des islamo-gauchistes comme Sandrine Rousseau considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Contrairement à ce qu’affirment des écolos islamo-gauchistes, la question du voile est un enjeu fondamentalement politique.

Société Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode »

Société Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode » !!!

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment des islamo-gauchistes considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Contrairement à ce qu’affirment des écolos islamo-gauchistes, la question du voile est un enjeu fondamentalement politique.

Les femmes iraniennes sont avant tout descendues dans la rue pour protester contre le port obligatoire du hijab indique Azadeh Kian, professeure franco-iranienne de sociologie. « Le port du voile est rendu obligatoire dès le début de la révolution, en février 1979 en réalité, puis il est inscrit dans les lois à partir de 1980. Donc ça a toujours existé, les femmes sont obligées de porter le voile même les femmes étrangères qui visitent l’Iran. Les femmes iraniennes ont toujours montré leur désaccord avec le port obligatoire du voile en le portant mal, en laissant quelques mèches de cheveux dépasser. Et à partir des années 1990, ces patrouilles ont toujours tenté d’imposer le diktat du régime. »

Et le pouvoir iranien a fait du voile obligatoire l’un des fondements idéologiques du régime. « Et donc si les femmes refusent de le porter ou le portent mal, poursuit Azadeh Kian, pour le régime il s’agit de ne pas respecter des préceptes mais aussi de ne pas respecter l’idéologie islamiste du régime, donc c’est la raison pour laquelle c’est considéré comme le rejet des fondements même du régime islamique. »

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les islamo-gauchistes !

Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les islamo-gauchistes ?


Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment des islamo-gauchistes considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Contrairement à ce qu’affirment des écolos islamo-gauchistes, la question du voile est un enjeu fondamentalement politique.

Les femmes iraniennes sont avant tout descendues dans la rue pour protester contre le port obligatoire du hijab indique Azadeh Kian, professeure franco-iranienne de sociologie. « Le port du voile est rendu obligatoire dès le début de la révolution, en février 1979 en réalité, puis il est inscrit dans les lois à partir de 1980. Donc ça a toujours existé, les femmes sont obligées de porter le voile même les femmes étrangères qui visitent l’Iran. Les femmes iraniennes ont toujours montré leur désaccord avec le port obligatoire du voile en le portant mal, en laissant quelques mèches de cheveux dépasser. Et à partir des années 1990, ces patrouilles ont toujours tenté d’imposer le diktat du régime. »

Et le pouvoir iranien a fait du voile obligatoire l’un des fondements idéologiques du régime. « Et donc si les femmes refusent de le porter ou le portent mal, poursuit Azadeh Kian, pour le régime il s’agit de ne pas respecter des préceptes mais aussi de ne pas respecter l’idéologie islamiste du régime, donc c’est la raison pour laquelle c’est considéré comme le rejet des fondements même du régime islamique. »

Société- Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les gauchistes ?

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour lesgauchistes ?

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment les écolo dingos considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Le voile, outil de ségrégation (Fatiha Boudjahlat)

Le voile, outil de ségrégation (Fatiha Boudjahlat)

Par Fatiha Boudjahlat

 

À leur que Emmanuel Macron a félicité une femme se présentant comme «voilée» et «féministe»., Fatiha Boudjahlat critique dans le Figaro l’association de ces deux termes dans la bouche du président candidat.

Fatiha Agag-Boudjahlat est l’auteur de plusieurs ouvrages remarqués. Elle a notamment publié Combattre le voilement (éditions du Cerf), 2019.


La femme voilée qui a interrogé le président Macron n’était pas sur sa route par hasard ou pour lui parler écologie. Les équipes de Macron ne l’ont pas évité parce qu’il devait donner des gages à l’électorat mélenchoniste. Et pour la première fois en France, et jamais je ne pourrai le pardonner, a fortiori à un candidat de gauche, il y a eu un vote communautaire et communautariste, musulman. Alors Macron, comme Mélenchon, se tourna en direction de la Mecque pour obtenir ces voix…

 

L’échange est surréaliste, la femme voilée lui demande à lui s’il est féministe, elle avait bien appris ses gammes pour enchaîner avec la liberté des femmes de se vêtir comme elles le veulent. Il l’a coupé, une bonne chose, pour lui demander, chose stupide, si elle portait volontairement ce hijab ou s’il lui avait été imposé. Qui oserait faire un tel aveu devant les caméras…

Les écolos contre les bateaux … à voile

Les écolos contre les bateaux … à voile

 

 

Une nouvelle bavure des écolos bobos et gauchos  avec cet d’un élu d’Europe Ecologie les Verts à Vincennes qui a refusé une subvention  destinée au «Yacht Club Vincennois». Sa justification ? «Nous ne subventionnons pas de sport qui émettent des polluants. Le Yacht Club, ce sont des bateaux.» «À voile…», lui a rétorqué Charlotte Libert-Albanel, la maire UDI (centre-droit) de la ville. Le Yacht Club de Vincennes est effectivement un club de bateaux à voile, comme le précise son site. «On est à peu près sur le même niveau de polémique que les aviateurs !», tance la maire.

L’intéressé écolo a reconnu sa bévue en prétextant qu’il préparait des examens universitaires et qui n’avait pas eu le temps d’approfondir les dossiers municipaux. En entendant le mot yacht, il a tout de suite imaginer qu’il s’agissait de bateaux à moteurs,  de plus possédés par de riches capitalistes. En faite il s’agit de simples bateaux à voile et en plus très modestes. Forcément à Vincennes!

 

Plusieurs responsable LREM partisans de jeter un voile sur l’Islamo-gauchisme

Plusieurs responsable LREM partisans de jeter un voile sur l’Islamo-gauchisme 

 

 

Plusieurs ministres et responsables de la république en marche proposent tout simplement de jeter un voile plus ou moins pudique sur la question de l’Islamo gauchisme dans une tribune au Monde. Ils justifient leur position par le refus d’une nouvelle opposition gauche droite qui serait de nature à obscurcir le débat. Un bel exemple du en même temps puisque d’autres dans la majorité défendent une position contraire. Ou les limites du en même temps, auberge espagnole ramasse tout en prévision de 2022.

 

Les responsables de la république en marche qui veulent endormir le débat estiment que prises de position sur l’islamo-gauchisme font  resurgir ce clivage gauche-droite, ne permettant ainsi «aucun débat» et faisant émerger uniquement des positions «pour» ou «contre» des notions comme l’«intersectionnalité», le «post-colonialisme» ou encore le «privilège blanc». Pour les auteurs de cette tribune, c’est donc le moment de rappeler la démarche promue par le chef de l’État. À savoir une «approche par les faits» qui évite tout risque de «substituer à nouveau un débat stérile à une réalité qui nécessite pourtant largement d’unir nos forces, tant elle est compliquée à gérer.» Une belle bouillie rhétorique ou la fuite devant les problèmes!

 

 

 

Une chanteuse de the Voice retire son voile

Une chanteuse de the Voice retire son voile

La chanteuse Mennel, ancienne participante du télécrochet de TF1, The Voice, revient après une expérience de vie et maritale aux USA. Mais elle ne porte plus ni ses turbans si colorés des plateaux télés, ni les hijabs austères et orthodoxes qu’elle affichait sur les réseaux sociaux. Son exemple illustre la stratégie islamiste et permet de démonter tous les arguments utilisés par les indigénistes, islamistes et autres néo-féministes pour défendre le voilement.

Mennel avait échoué à The Voice. Les militants du voile avaient présenté cet échec comme une illustration de l’islamophobie française.

 

Sortie scolaire : le Sénat contre le port du voile

Sortie scolaire : le Sénat contre le port du voile

 

 

C’est sans doute par conviction, autant que par calcul politique que le Sénat à majorité à droite a voté mardi une proposition de loi des Républicains (LR) sur l’interdiction des signes religieux lors des sorties scolaires,. Il est clair que désormais la question du voile est politiquement instrumentalisée pour mettre en difficulté un gouvernement qui patauge un peu sur les questions de laïcité . On se souvient qu’interroger sur la question, le chef de l’État avait déclaré avec une certaine légèreté : « le voile ce n’est pas mon affaire ». Au-delà de la question vestimentaire, au-delà même de la question religieuse, le voile aujourd’hui apparaît aux yeux de certains comme le symbole d’un certain communautarisme contraire aux valeurs de la république. Pour se défendre de toute intention anti musulmane, les détracteurs du voile disent vouloir interdire tout signe religieux ostensible qu’il soit musulman, catholique, juif ou autre. La question est complexe dans la mesure où le voile peut être porté de différentes manières et pour différentes raisons. Il apparaît ,en tout cas qu’on ne peut échapper  à un débat sur cette question très controversée. De toute manière, la position Sénat a peu de chances d’être votée à l’assemblée nationale

La mesure, votée par 163 voix contre 114, ne pourra entrer en vigueur que si l’Assemblée nationale s’en saisit et l’approuve, ce qui a peu chance d’arriver dans la mesure où la chambre basse est dominée par La République en marche (LaRem), qui y est hostile. Prévu depuis plusieurs jours, ce débat survient au lendemain de l’attaque d’une mosquée de Bayonne (Pyrénées-Atlantique) par un homme qui a ouvert le feu, blessant deux septuagénaires avant d’être interpellé. Un acte dénoncé par toute la classe politique.

Dans ce contexte tendu, la sénatrice socialiste Samia Ghali a invité la droite à renoncer à l’examen du texte intitulé “Service public de l’éducation et neutralité religieuse”, au nom de “l’apaisement des esprits ». Une idée rejetée par Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, pour qui “le débat doit se passer en toute sérénité au Parlement, sinon il aura lieu dans la rue avec le risque de violences que cela comporte.”

Devant les sénateurs, le ministre de l’Education nationale a jugé “contre-productif” un rejet des parents portant des signes religieux comme le voile islamique lors des sorties scolaires, qui enverrait selon lui un “message brouillé aux familles”.

“Nous devons envoyer aux enfants le message que les parents sont les bienvenus et que c’est ensemble, parents et école, que nous assurons leur éducation”, a considéré Jean-Michel Blanquer.

Mais pour Jacqueline Eustache-Brinio, auteure de la proposition de loi, les accompagnateurs, qu’ils soient ou non parents d’élèves, sont “bel et bien les collaborateurs bénévoles du service public assimilés au personnel d’éducation et par conséquent astreints au respect de la neutralité de ce service public.”

Une idée rejetée par la gauche, qui a dénoncé, comme le sénateur communiste Pierre Laurent, une volonté de “mettre de l’huile sur le feu” sur un sujet délicat.

On peut discuter du voile (Souâd Ayada)

On peut discuter du voile (Souâd Ayada) 

Ce qui n’est pas interdit doit néanmoins pouvoir être discuté, estime la présidente du Conseil supérieur des programmes, dans une tribune au « Monde » ( extraits).

« En France, tout est politique. La question du voile en est une excellente illustration : depuis trente ans, elle occupe de manière récurrente l’espace public et suscite des débats passionnés où les interlocuteurs ne dialoguent pas mais s’affrontent comme les tenants de camps adverses, où les opinions se crispent en un conflit dont la seule issue, hélas, est de s’intensifier. Nous avons atteint ces derniers jours un pic d’intensification du conflit qui nous fait perdre de vue la forme singulière qu’ont prise la question et la teneur des propos. Rappelons les faits et les mots.

Une affiche rend visible une réalité : les mères voilées peuvent accompagner les élèves lors des sorties scolaires. Cela suscite immédiatement deux débats qui, bien que distincts en droit, se voient de fait étroitement liés, l’un sur la laïcité, l’autre sur l’islam en France. La loi n’interdit pas à des femmes voilées de participer à des activités ayant un caractère scolaire, pourvu qu’elles se tiennent hors de l’espace scolaire entendu comme un espace physique. Une telle proposition ne peut masquer une certaine confusion ni étouffer les interrogations : peut-on accepter sans examen que les sorties scolaires se soustraient absolument à ce qui régit le cadre scolaire ? Celui-ci se réduit-il à un espace physique que nous pourrions délimiter strictement ? Tout ce que la loi n’interdit pas est-il permis sans limite et inaccessible à la discussion ? Ne pas entendre ces questions, c’est refouler l’embarras profond qu’a suscité l’affiche, c’est refuser de délibérer sur ce que l’on entend par « espace scolaire », c’est réduire la laïcité à la production de lois, et risquer de manquer sa signification.

Un des traits de notre époque, et qui témoigne de son extrême brutalité, est d’avoir congédié cet ordre du discours où, détaché de ce que prescrivent la norme et le droit, de ce qu’autorise ou interdit la loi, l’on envisage ce qui est préférable et ce qui est souhaitable, où l’on formule des propositions qui, habitées par des valeurs et des principes, relèvent de l’examen des mœurs sans pour autant se confondre avec un discours moralisateur. Nos contemporains répugnent, en effet, à cet usage de la parole qui discute et délibère sur ce qui serait le meilleur pour notre société, dans une perspective qui met en jeu la politique, mais en un sens qui ne soit pas le clivage entre des amis et des ennemis. »

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