Archive pour le Tag 'Viry-Châtillon'

À nouveau un adolescent a été tabassé à Viry Châtillon.

Société- Viry-Châtillon : un autre adolescent tabassé

À nouveau un adolescent a été tabassé à Viry Châtillon. La victime est parvenue à s’enfuir et à téléphoner à sa mère avant d’être rattrapé puis de nouveau frappé au niveau du parking de la patinoire de Viry-Châtillon. L’arrivée de la mère de la victime, qui est fonctionnaire de police, a mis le groupe en fuite. Inconscient et blessé, le mineur a été transporté à l’hôpital de Longjumeau (Essonne) sans pronostic vital engagé. Il est désormais sorti de l’hôpital.

Selon nos informations, le jeune homme avait reçu des messages menaçants durant la semaine. Cette expédition punitive pourrait être liée à une histoire amoureuse, précise une source proche du dossier.

«Le phénomène des rixes en Essonne est récurrent. C’est l’un des départements les plus touchés. Ce n’est plus des faits divers mais un vrai phénomène de société», déplore Guillaume Roux, secrétaire départemental pour l’Essonne du syndicat de police Un1té (ex Unité SGP). «Les coups de couteau, ça arrive très souvent pour des motifs futiles. On constate une augmentation du niveau de violence sur le terrain, c’est très inquiétant», alerte le policier.

 

Viry-Châtillon : cinq interpellés après la mort de Shamseddine, 15 ans.

Viry-Châtillon : cinq  interpellés après la mort de Shamseddine, 15 ans. 

Shamseddine, un garçon de 15 ans, scolarisé au collège des Sablons à Viry-Châtillon (Essonne), est décédé, ce vendredi en début d’après-midi, des suites de graves blessures provoquées par un sanglant passage à tabac aux abords de son établissement.

D’après une source policière au Figaro, Shamseddine aurait été violenté pendant de longues minutes par trois jeunes encapuchonnés, à coups de poing et de pied, avant d’être laissé pour mort dans cette ruelle de Viry-Châtillon. Sa «boîte crânienne, défoncée», lui laissait, selon cette même source, peu de chance de survie. Le corps de la victime présentait également «plusieurs hématomes et des rougeurs». De son côté, le procureur Grégoire Dulin précise dans son communiqué qu’«une autopsie aura lieu dans les prochaines heures» afin de déterminer la nature des coups portés à l’adolescent et la cause exacte de son décès.

 

Une seconde source policière, elle, confie que ce déferlement de violences pourrait, d’après les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, être lié «à une histoire de filles». Le jeune ne serait pas connu des services de police, ni identifié dans une bande particulière du quartier, détaille-t-elle aussi. «Shamseddine, c’était quelqu’un de sociable, qui avait plein d’amis, pas de soucis. On le connaît depuis tout petit», abondent de leur côté deux adolescents très émus, à la sortie du collège Les Sablons ce vendredi, où une cellule psychologique a été ouverte.

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées 

Viry-Châtillon. Cinq personnes, dont quatre mineurs, ont été interpellées et placées en garde à vue ce vendredi 5 avril, après la mort de Shamseddine.Une affaire évidemment dramatique de règlement de comptes dont on ignore pour l’instant les motifs mais qui révèlent la banalisation de la violence pour n’importe quelle raison et pas seulement le trafic de drogue. La preuve sans doute que le système de sanction est aujourd’hui complètement inadapté concernant les mineurs et qu’il faudra sans doute revenir rapidement aux anciennes maisons de correction sans doute appelé d’un nouveau nom type » institut d’insertion ». Aujourd’hui en effet la tolérance est telle que même les mots ne sont plus utilisés par peur de déplaire à certains . Si la violence se banalise ainsi c’est que toutes les règles de discipline et de respect sont ignorées. On ne peut plus désormais qualifier ces affaires de faits divers car il s’agit en réalité de faits de société qui préfigurent une insécurité généralisée voire le chaos.

Shamseddine, un garçon de 15 ans, scolarisé au collège des Sablons à Viry-Châtillon (Essonne), est décédé, ce vendredi en début d’après-midi, des suites de graves blessures provoquées par un sanglant passage à tabac aux abords de son établissement. Transféré hier à l’hôpital Necker en urgence absolue, il avait été par la suite opéré dans la nuit de jeudi à vendredi. Le parquet d’Évry, qui a communiqué cette information, précise aussi qu’une enquête a été ouverte des «chefs d’assassinat et de violences en réunion aux abords d’un établissement scolaire». éléments recueillis par les enquêteurs, être lié «à une histoire de filles». Le jeune ne serait pas connu des services de police, ni identifié dans une bande particulière du quartier, détaille-t-elle aussi. «Shamseddine, c’était quelqu’un de sociable, qui avait plein d’amis, pas de soucis. On le connaît depuis tout petit», abondent de leur côté deux adolescents très émus, à la sortie du collège Les Sablons ce vendredi, où une cellule psychologique a été ouverte.

 Les caméras de surveillance exploitées par les enquêteurs devraient permettre de comprendre comment les faits, dont les témoins semblent rares, se sont déroulés. C’est en tout cas ce qu’espère le maire centriste de la commune, Jean-Marie Vilain, qui précise que les images «ont été réquisitionnées par la police». Alors que des adolescents scolarisés au collège des Sablons quittaient l’établissement, pour beaucoup en larmes, ce vendredi, l’édile a également dénoncé une «ultraviolence» devenue «banale». Les agresseurs de Shamseddine «ont essayé de le massacrer», a poursuivi Jean-Marie Vilain, décrivant «des voyous de la pire espèce».
«Les faits dramatiques de Viry-Châtillon hier soir sont encore une preuve que l’ultra violence n’est pas simplement un sentiment d’insécurité mais une réalité», a déploré de son côté, le secrétaire départemental Un1té 91, Guillaume Roux, auprès du Figaro. «Quel que soit le motif, c’est un acte intolérable qui devra être très sévèrement puni.»

Policiers brûlés à Viry-Châtillon : un naufrage judiciaire

Policiers brûlés à Viry-Châtillon : un naufrage judiciaire

 

La justice aurait voulu démontrer l’inefficacité de la nouvelle loi sécurité globale qu’elle ne s’y serait pas prise autrement avec un verdict très complaisant vis-à-vis d’agresseurs de policiers. Il est évident que l’affaire des policiers brûlés à Viry-Châtillon, comme l’affaire de Sarah Halimi constitue des naufrages juridiques dans la mesure où elle traduit la complaisance de la justice à l’égard de fait particulièrement odieux. Ainsi pour la tentative d’assassinat par incendie des policiers à Viry-Châtillon cinq personnes sur 16 personnes seulement ont été condamnés. «Nous venons d’assister à un naufrage judiciaire (…) alors que l’on sait qu’il y avait 16 assaillants, on se retrouve avec cinq condamnations», a dénoncé Me Thibault de Montbrial, avocat de l’une des victimes, «effondrée», selon lui, par ce verdict en appel.».

Après 14 heures de délibération et six semaines d’audience à huis clos, les cinq condamnés ont été reconnus coupables de tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Trois d’entre eux ont été condamnés à 18 ans de prison, un à 8 ans de prison, et le dernier à 6 ans. Ils encouraient la réclusion criminelle à perpétuité. Les huit autres accusés ont été acquittés.

Les 13 jeunes, âgés de 16 à 21 ans au moment des faits, étaient accusés d’avoir fait partie de la vingtaine de personnes encagoulées qui, le 8 octobre 2016, avaient pris d’assaut en pleine journée deux voitures de police stationnées à proximité du quartier de la Grande Borne, une vaste cité d’habitat social considérée comme l’une des plus sensibles d’Île-de-France. En quelques secondes, ils avaient brisé les vitres et jeté des cocktails Molotov dans les habitacles.

Dans une première voiture, un adjoint de sécurité de 28 ans et une gardienne de la paix de 39 ans avaient pris feu. Le pronostic vital de l’adjoint avait été un temps engagé et il avait été plongé dans le coma pendant plusieurs semaines. Sa collègue avait été touchée par des pierres une fois sortie de la voiture transformée en torche, alors qu’elle avait le haut du corps en flammes.

 

Deux agents étaient parvenus à s’extirper de l’autre voiture, alors qu’un cocktail Molotov était tombé sur la banquette arrière. Ils avaient été blessés plus légèrement. Selon l’enquête, les accusés, membres d’une bande de la Grande Borne, avaient planifié quelques jours auparavant de «niquer des keufs».

Policiers : encore une manifestation à Viry-Châtillon

Policiers : encore une manifestation à Viry-Châtillon

 

La grogne chez les policiers  est loin d’être terminée même si les médias en parlent moins du fait en particulier de la campagne électorale pour 2017. Mais la colère est toujours présente. De ce point de vue la base ne semble pas aussi satisfaite que les syndicats de police qui se sont montrées plutôt satisfaits du plan du gouvernement. Ce qui semble surtout en cause pour la base ce sont les conditions concrètes d’exercice de la mission. Les manifestants réclament en particulier de nouveaux moyens, un nouveau statut notamment en matière de légitime défense aussi l’abandon de la politique du chiffre imposé par la hiérarchie. Un mois jour pour jour après l’attaque au cocktail Molotov qui a grièvement blessé deux policiers à Viry-Châtillon (Essonne), quelques centaines de fonctionnaires se sont rassemblés mardi soir sur les lieux pour montrer que leur colère était intacte. D’autres rassemblements étaient prévus au même moment en province, notamment à Bordeaux, avant de nouvelles manifestations mercredi et jeudi. En dépit de l’annonce d’une enveloppe de 250 millions d’euros par le gouvernement, les policiers engagés dans la contestation hors de tout cadre syndical estiment ne pas avoir été entendus et revendiquent une « mobilisation historique ». Ils se sont réunis dans la soirée devant la mairie de Viry-Châtillon « dans le silence et la dignité » en réaffirmant leur refus de toute « tentative de récupération et de division », selon le mot d’ordre des organisateurs. Dénonçant les puissants syndicats de police, ils ont créé une association chargée de porter leurs revendications. Ils ont également désigné pour porte-parole une femme gardien de la paix dans les Yvelines. Elle remplace l’une des voix de la contestation policière, l’ancien du service d’élite du Raid Robert Paturel qui s’est retiré après avoir été accusé – à tort selon lui – d’être proche du Front national.

(Avec Reuters)




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