Archive pour le Tag 'virus'

Page 6 sur 6

Le virus Zika bientôt en France en France ?

Le virus Zika  bientôt en France en France ?

Pas une certitude mais une possibilité selon un rapport rendu public lundi par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) et alors que l’organisation mondiale de la santé vient de déclarer un état d’urgence mondiale vis-à-vis du virus musica. Dans son rapport rédigé à la demande des autorités sanitaires, le HSCP reconnaît que «les conditions pour une transmission autochtone du virus zika sont réunies dans les départements (métropolitains) où le moustique vecteur est présent», c’est-à-dire dans les départements déjà colonisés par le moustique tigre (voir carte). Le risque de transmission du virus dans les départements métropolitains concernés est considéré comme «réel» par le HCSP, notamment en cas de circulation du virus dans les départements français d’Amérique (DFA, Guadeloupe, Martinique et Guyane) où le risque de transmission autochtone du virus est jugé «élevé». Pour les auteurs du rapport, le virus zika pourrait se propager de la même manière que le chikungunya, avec des vacanciers partis dans des zones où sévit le virus et qui l’importent à leur retour en France métropolitaine. La propagation se fait ensuite par le moustique tigre.  Pour réduire le risque, le HCSP recommande de prendre des mesures de lutte antivectorielle, du type de celles prises pour lutter contre le chikungunya aux Antilles. Parmi celles-ci figure l’isolement des cas suspects ou confirmés pendant la période fébrile sous moustiquaire ou dans un local avec fenêtres fermées, pour éviter la contamination de nouveaux moustiques. L’épidémie de 2013-2014 en Polynésie française avait touché environ 32.000 personnes, selon des estimations citées par le HCSP. Parmi les personnes infectées, 72 avaient présenté des complications neurologiques graves dont 42 syndromes de Guillain-Barré, un syndrome qui peut se traduire par une paralysie des membres et de la face. Dans les cas les plus graves, ce sont les muscles de la déglutition et de la respiration qui sont atteints.

Le virus du moustique zika en France

Le virus du moustique zika en France  

Conséquence de la mondialisation notamment de la circulation des biens été des personnes dans e monde entier, un nouveau virus pourraiat atteindre la France. D’autant que la mobilité en été favorise les migrations.  En effet Les conditions sont réunies pour une arrivée en France métropolitaine d’un nouveau virus, le zika, proche de ceux de la dengue et du chikungunya. C’est ce que craint  le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) dans un rapport rendu public lundi.  Transmis par des moustiques du genre Aedes (dont le moustique Aedes albopictus plus connu sous le nom de moustique tigre) qui propagent également la dengue et le chikungunya, le virus zika peut entraîner de la fièvre, des douleurs musculaires et des éruptions cutanées, voire des complications neurologiques. Aucun traitement ni aucun vaccin n’existe à ce jour contre cette infection mal connue et qui peut également passer inaperçue. Le virus tire son nom d’une forêt en Ouganda où il a été identifié pour la première fois en 1947. Il a été à l’origine d’une première épidémie dans les îles Yap en Micronésie en 2007, avant de se propager en 2013-2014 en Polynésie française, puis au Brésil depuis le début de cette année. Dans son rapport rédigé à la demande des autorités sanitaires, le HSCP reconnaît que «les conditions pour une transmission autochtone du virus zika sont réunies dans les départements (métropolitains) où le moustique vecteur est présent», c’est-à-dire dans les départements déjà colonisés par le moustique tigre. Vingt départements, pour la plupart situés dans le sud-est et le sud-ouest de la France, à l’exception du Rhône, de l’Isère et de la Saône-et-Loire, sont en alerte rouge. Pour les auteurs du rapport, le virus zika pourrait se propager de la même manière que le chikungunya, avec des vacanciers partis dans des zones où sévit le virus et qui l’importent à leur retour en France métropolitaine. La propagation se fait ensuite par le moustique tigre. Le risque de transmission du virus dans les 20 départements métropolitains est considéré comme «réel» par le HCSP, notamment en cas de circulation du virus dans les départements français d’Amérique (DFA, Guadeloupe, Martinique et Guyane) où le risque de transmission autochtone du virus est jugé «élevé». Paris est en zone de vigilance orange. 

Un virus « Hollande » chez les CRS ?

Un Virus « Hollande » chez les CRS ?

 

Hollande est sans doute porteur d’un virus et c’est vraisemblablement pour s’en protéger que 44 CRS sur 74 s’étaient faits porter pâle le jour le la visite du chef de l’Etat le 30 avril. Un virus par ailleurs très répandu chez les fonctionnaires surtout depuis la suppression du jour de carence  Le directeur général de la police nationale était à Saint-Brieuc mardi pour dire son mécontentement après la journée du 30 avril, marquée par une visite présidentielle à Brest. 44 CRS sur 74 s’étaient fait porter pâle. Une façon de revendiquer un peu de repos et une hausse des indemnités. Marc Falcone, le grand patron, leur a sèchement fait savoir que « ça ne se fait pas« .  L’organisation du déplacement de François Hollande à Brest fin avril s’était heurtée au tableau des services de la CRS 13 de Saint-Brieuc. Seulement 30 policiers sur 74 étaient valides et bons pour le service. Les autres s’étaient fait porter pâle. A plusieurs reprises des syndicats policiers se sont fait l’écho des effets du renforcement de Vigipirate sur les compagnies de CRS, aujourd’hui « épuisées ». Depuis début janvier, les CRS sont obligés d’être partout, en permanence, prêts à partir aussi pour des missions éloignées, mais sans compensation. Le syndicat Alliance rappelle que l’indemnité journalière de 30 euros par jour n’a pas été revalorisée depuis treize ans. Faute de pouvoir revendiquer par le moyen de la grève, les CRS multiplient ce genre de mobilisation. L’épidémie de congés maladie a été remarquée dans une dizaine de compagnies à travers la France, ces dernières semaines. Pour le moment,  le gouvernement propose deux euros de plus par jour pour leur prime d’éloignement, alors que la hausse exigée se monte à 17 euros.

 

Virus Ebola : un vaccin mais pas avant 2015 ?

Virus Ebola : un vaccin mais pas avant 2015 ?

Pas de traitement pour lutter contre ce virus mortel sauf s’il est détecté très tôt ; Un vaccin est actuellement à l’étude mais il risque d’intervenir après l’épidémie actuelle  et pas avant 2015. Jean-Marie Okwo Bélé,  directeur du département des vaccins et immunisation de l’OMS, a en effet déclaré qu’un vaccin pourrait être trouvé dès l’année prochaine. « Le vaccin le plus avancé a déjà été testé sur des animaux avec des résultats excellents », explique-t-il. Il confie que l’OMS « cible le mois de septembre pour commencer les essais cliniques, d’abord aux Etats-Unis et puis dans un pays africains ». « On peut mettre en place des processus d’urgence pour disposer d’un vaccin au courant de l’année 2015″ (Jean-Marie Okwo Bélé, le directeur du département des vaccins de l’OMS) Il va falloir déterminer « si le vaccin n’a pas d’effets nocifs et que la réponse immunitaire est excellente », poursuit-il, « pour ensuite déterminer les dosages ». Concernant le calendrier, il est optimiste : « Si on commence les essais cliniques au mois de septembre, on peut avoir des résultats vers la fin de l’année ». Les chercheurs pourront passer à une autre phase et comme il s’agit d’une urgence, « on peut mettre en place des processus pour disposer d’un vaccin au courant de l’année 2015″.  Il n’existe pour l’instant aucun traitement efficace, ni aucun vaccin contre le virus Ebola. L’épidémie de fièvre hémorragique a déjà fait plus de 1.000 morts en Afrique de l’Ouest.

 

Virus Ebola : craintes mondiales

Virus Ebola : craintes mondiales

 

 

En dépit des paroles rassurantes des autorités, difficile de prévoir l’évolution du virus, d’abord en Afrique ensuite au plan mondial. Il faudra sans doute attendre la fin de le période des congés (et des migrations) pour se faire une idée. La Sierra Leone, elle,  a engagé l’armée dans la lutte contre Ebola, qui a fait près de 900 morts dans le pays, en Guinée et au Liberia, une épidémie dont les risques de propagation mondiale ont conduit British Airways à suspendre ses vols vers Monrovia et Freetown. Selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la Santé, au total 887 morts ont été décomptés sur 1.603 cas d’Ebola (confirmés, suspects ou probables) : 358 en Guinée, 255 au Liberia, 273 en Sierra Leone et un au Nigeria. Il s’agit de loin de la plus grave épidémie d’Ebola depuis la découverte du virus, il y a 38 ans. Deux Américains – un médecin et une missionnaire – ayant contracté le virus au Liberia, où ils luttaient contre l’épidémie au sein d’une ONG humanitaire, ont été rapatriés par avion sanitaire et admis dans des hôpitaux spécialement équipés à Atlanta, en Géorgie. Tous deux ont été traités avec un anticorps expérimental jamais testé auparavant sur des humains, qui semble, selon les médecins traitants cités par la chaîne américaine CNN, avoir eu un effet « miraculeux » en atténuant rapidement les symptômes.  De son côté, le ministère espagnol de la Défense a annoncé qu’il allait envoyer un avion militaire au Liberia pour rapatrier et traiter un missionnaire espagnol âgé de 75 ans ayant contracté le virus. Un homme était soigné mardi dans un hôpital de New York pour des symptômes semblables à ceux d’Ebola, mais le centre hospitalier estimait faible le risque qu’il s’agisse d’Ebola. L’Arabie saoudite a également mardi signalé un cas similaire: un de ses ressortissants de retour de Sierra Leone a été hospitalisé à Jeddah – et placé en quarantaine – pour des symptômes identiques. Le virus Ebola se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d’animaux infectés. La fièvre qu’il provoque se manifeste notamment par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Son taux de mortalité varie de 25 à 90%. Au Liberia, le prix des produits d’hygiène, essentiels à la lutte contre Ebola a explosé, de même que celui du poisson, qui pallie l’interdiction de la viande de brousse (singe, chauve-souris, etc.), incriminée dans la propagation.

 

Nouveau virus SRAS : un cas en France

Nouveau virus SRAS : un cas en France

Un premier cas d’infection respiratoire aiguë par le nouveau virus proche du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) a été confirmé en France sur une personne ayant séjourné dans la péninsule arabique, dix ans après la pandémie de SRAS qui avait suscité la panique dans le monde.  « Un cas d’infection respiratoire aiguë liée au nouveau coronavirus (NCoV) vient d’être signalé à l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) par le Centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur qui a procédé aux analyses virologiques », a annoncé mercredi le ministère de la Santé.  « C’est le premier et seul cas confirmé en France à ce jour », a ajouté le ministère, en précisant qu’il concernait « une personne de retour d’un séjour aux Emirats arabes unis » et qu’ »une enquête épidémiologique approfondie » avait été lancée.  L’homme, âgé de 65 ans, qui était hospitalisé en réanimation à Douai (Nord), devait être transféré mercredi en fin de journée à Lille, également dans un service de réanimation, a déclaré le Dr Patrick Goldstein, chef du service du Samu référent de la zone de défense Nord des urgences  Mais son transfert a finalement été reporté, car le patient devait subir une intervention au bloc opératoire à Douai. Les médecins devaient lui installer une membrane alvéolo-capillaire artificielle pour suppléer ses fonctions pulmonaires et faciliter l’oxygénation des tissus et des organes, a-t-on appris mercredi soir auprès de M. Goldstein et de l’agence régionale de santé (ARS) Nord/Pas-de-Calais.  Le malade avait été hospitalisé le 23 avril à Valenciennes (Nord), puis transféré à Douai le 29 avril. Il avait séjourné à Dubaï (Emirats arabes unis) du 9 au 17 avril. Avant son hospitalisation, il était suivi à l’hôpital de Valenciennes pour une maladie chronique.  Selon l’ARS de Lille, aucun cas n’a été détecté dans son entourage.  Les coronavirus sont une vaste famille de virus susceptibles de provoquer un large éventail de maladies chez l’homme, qui vont du rhume banal jusqu’au SRAS.  Le nouveau coronavirus –NCoV dans le jargon médical– a été détecté pour la première fois à la mi-2012. Il s’agit d’une souche particulière qui n’avait encore jamais été identifiée chez l’homme, ni chez l’animal.  Les malades présentent les symptômes d’une infection respiratoire aiguë et grave avec fièvre, toux, essoufflement et difficultés respiratoires.  Un numéro vert, le 0800 13 00 00, « sera ouvert cet après-midi pour que les Français trouvent des réponses à leurs questions », a indiqué la ministre de la Santé Marisol Touraine.  « Ma ligne de conduite est claire: surveillance, transparence, information », a-t-elle ajouté.  « Il s’agit d’un cas importé, unique, qui nécessite des mesures de précaution préconisées par les autorités internationales », a-t-elle poursuivi, précisant cependant que « l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a donné aucune restriction de déplacements ».  Avant l’annonce de ce malade en France, des cas d’infection avaient été détectés en Arabie saoudite, en Jordanie, au Royaume-Uni et en Allemagne.  Au total, 30 cas confirmés dans le monde ont été notifiés à l’OMS depuis septembre 2012 et 18 personnes sont décédées. Dans le détail, 22 cas dont 13 décès ont été identifiés en Arabie saoudite, deux cas (tous deux décédés) en Jordanie, quatre dont deux décès au Royaume-Uni, et deux cas dont un décès en Allemagne, a précisé le docteur Françoise Weber, directrice de l’Institut de veille sanitaire.  Selon le ministère, la plupart des personnes atteintes « ont séjourné, avant la survenue de symptômes, dans un des pays de la péninsule arabique ou dans les pays limitrophes ».  Actuellement, l’OMS ne dispose pas d’assez d’informations pour parvenir à des conclusions sur le mode et la source de transmission du coronavirus.  Le Dr Weber a souligné qu’à ce stade « la transmission inter-humaine était rare, avec seulement deux cas à ce jour ».  Mais l’OMS a encouragé les Etats à poursuivre leur surveillance. Elle avait indiqué travailler avec des experts internationaux et des pays où des cas ont été enregistrés pour étudier des recommandations de vigilance.  En France, un dispositif de surveillance a été mis en place dès décembre 2012 par l’InVS.  Le Haut Conseil de la Santé a aussi émis en mars dernier un avis sur la prise en charge des patients suspectés d’infections dues au nouveau coronavirus. Il recommande notamment « l’hospitalisation et suivi de tout patient confirmé ou classé possible », « l’information des contacts des cas confirmés » et des « mesures d’isolement des cas possibles et confirmés ».  « Ce qui va se passer maintenant, c’est la recherche de cas contact » (chez des personnes ayant été en contact avec le malade), précise-t-on au ministère de la Santé.  En 2003, une pandémie de pneumonie atypique baptisée SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère), partie de Chine, avait causé la mort de plus de 800 personnes. Elle avait déclenché une alerte sanitaire à l’échelle mondiale et entraîné des annulations de vols, des fermetures d’écoles et une explosion des ventes de masques chirurgicaux.  Le nouveau virus est cependant différent du SRAS, notamment parce qu’il provoque une insuffisance rénale rapide. L’OMS précise qu’il est « génétiquement assez différent du virus du SRAS ».

 

Après l’insecticide Cruiser, un virus qui tue des millions d’abeilles

Après l’insecticide Cruiser, un virus qui tue des millions d’abeilles

Un virus très contagieux transmis par la mite parasite « Varroa » contribuerait à la propagation et probablement à la mort de millions d’abeilles dans le monde, selon des chercheurs américains et britanniques dont les travaux ont été publiés jeudi aux Etats-Unis. Cette mite qui se nourrit du sang des abeilles au stade larvaire ou adulte, perce leur peau et déforme leurs ailes. Les abeilles jouent un rôle essentiel pour la pollinisation de plusieurs récoltes de fruits et légumes aux Etats-Unis estimés de 15 à 20 milliards de dollars annuellement. Cette dernière recherche, qui paraît dans la revue américaine Science datée du 8 juin, a été menée à Hawaii par des chercheurs de l’Université de Sheffield (GB), de la « Marine Biological Association » et de l’Université de Hawaii. Le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll a annoncé vendredi qu’il interdisait immédiatement sur le sol français l’utilisation de l’insecticide Cruiser OSR, soupçonné d’être néfaste aux abeilles. Pour « les semis de colza qui vont venir, oui, l’autorisation qui avait été donnée est retirée », a-t-il déclaré à la presse, après avoir reçu un rapport de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail). Dans son rapport, l’agence recommande de renforcer la réglementation européenne sur les produits phytosanitaires et elle rappelle que la surmortalité des abeilles n’est pas liée à une cause unique mais à une multitude de facteurs. Le ministre de l’Agriculture va donc un peu plus loin que les recommandations de l’ANSES en décidant « d’interdire aujourd’hui » l’utilisation du Cruiser « pour l’enrobage des semences de colza au niveau français ». « Même si l’on sait que la mortalité des abeilles est liée à des éléments multifactoriels, il y a quand même des liens qui ont été mis en évidence, en particulier sur le retour des abeilles aux ruches, des troubles de comportement liés aux molécules qui sont concernées », a considéré Stéphane Le Foll. L’Anses avait été saisie en mars par le ministère de l’Agriculture après la publication d’un article dans la revue « Science ». Cette étude montrait que les abeilles exposées au thiaméthoxam, l’une des molécules du Cruiser, revenaient moins nombreuses à la ruche que les autres, ce qui fragiliserait les colonies. En France, le thiaméthoxam est autorisé en traitement de semences pour les cultures de maïs (Cruiser 350), de betterave (Cruiser 600 FS), de pois (Cruiser FS) et de colza (Cruiser OSR). Seul le colza a des fleurs dont les abeilles butinent le nectar. Le groupe Syngenta, qui produit le Cruiser, a contesté les conclusions de l’étude dès sa parution dans la revue « Science ». Les abeilles de l’expérimentation ont été exposées à une dose « 30 fois plus élevée qu’en conditions réelles », a dénoncé la firme d’agrofourniture. Selon elle, « pour atteindre la quantité de thiaméthoxam retenue dans l’étude, l’abeille devrait consommer quotidiennement jusqu’à sept fois son propre poids en nectar ». Syngenta affirme sur son site internet que son « Cruiser OSR a déjà été utilisé sur plus de trois millions d’hectares de colza en Europe sans incident »

123456



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol