Archive pour le Tag 'virus'

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Le virus de la spéculation contamine la Finance

Le virus de la spéculation contamine la  Finance

 

 

Il y a longtemps que le virus de la spéculation a contaminé la finance avec des rendements financiers tout à fait irresponsables et complètement déconnectés  à la fois de l’économie et des résultats financiers des entreprises. Ainsi les actions en France  par exemple ont pris 25 % en une seule année. En outre comme d’habitude,  la France a accordé de très larges dividendes  bien supérieurs à ce qui pratique en général ailleurs. Bref, il y a longtemps que tous les experts s’attendaient à une sévère correction de la bourse en général et à des problèmes graves système financier. Un système largement alimenté par l’inondation  de liquidités délivrées par les banques centrales. Ce lundi, la descente aux enfers s’est  accélérée avec une chute de près de 8 % à New York. Depuis des semaines, ce site et bien d’autres indiquent que les indices ne peuvent pas monter au ciel et que la correction sera brutale. Pire, elle pourrait même mettre en difficulté le système financier dont les actifs sont souvent hypothéqués par des fragilités d’entreprises portées à bout de bras par des facilités financières.

En clair, certains établissements financiers notamment des banques pourraient connaître de graves difficultés. Certes, le Coronavirus exrece un rôle vis-à-vis de la détérioration des marchés financiers mais ces derniers étaient largement malades avant et chacun s’attendait un facteur exogène qui provoquerait une grande rectification. Pour la seule journée de lundi à New York l’indice Dow Jones a cédé 2.013,76 points à 23.851,02. Le S&P-500, plus large, a perdu 225,81 points, soit 7,60%, à 2.746,56. Le Nasdaq Composite lâche de son côté 7,29% (624,94 points) à 7.950,68 points.

Il faut remonter au 1er décembre 2008, en pleine crise financière, pour retrouver un recul en pourcentage des trois indices vedette de Wall Street aussi marqué sur une seule séance.

L’ampleur de la chute des principaux indices new-yorkais a conduit en tout début de séance à une suspension des transactions pendant un quart d’heure, les autorités de marché activant les “coupe-circuits” mis en place après la crise financière de 2008-2009; la baisse du Dow Jones avait en effet dépassé 2.000 points dans les premières minutes d’échanges et celle du S&P avait dépassé les 7%.

A la clôture, les dégâts sont manifestes.

Ce lundi noir s’écrit certains analystes par la seule décision de l’Arabie saoudite de baisser ses prix de vente et d’augmenter sa production, conséquence de l’échec des discussions entre l’Opep et la Russie la semaine dernière à Vienne pour tenter de soutenir les cours. Certes c’est un facteur négatif mais il y a bien d’autres imputables notamment marchés financiers lui-même

“En un peu plus de deux semaines, le sentiment des investisseurs a basculé de la complaisance à la panique. Ce qui avait débuté par une diminution de l’exposition au risque liée au virus s’est transformé en capitulation généralisée sur de nombreux actifs.” Indique un expert. Ce confirme en effet que les conséquences affectent certains secteurs économiques fragilisés mais aussi le secteur financier lui-même

Les onze grands indices sectoriels du S&P 500 ont tous terminé largement dans le rouge, le plus gros recul affectant les valeurs de l’énergie et de la finance, celles-ci étant particulièrement sensibles à la chute des rendements obligataires.

Sur le Dow Jones, l’action Boeing est la plus affectée, perdant 13,4%: au marasme ambiant est venu s’ajouter le rejet par l’agence fédérale de l’aviation (FAA) d’une proposition de l’avionneur concernant son 737 MAX toujours cloué au sol.

Parmi les valeurs technologiques, Apple perd 7,9%: des statistiques ont montré que la marque avait vendu, coronavirus oblige, moins de 500.000 smartphones en Chine au cours du mois de février.

Retraites: le virus du 49-3, mortel pour Macron

Retraites: le virus du 49-3, mortel pour Macron

 

Un nouveau virus vient sans doute de faire brutalement irruption dans une vie politique déjà très instable à savoir : le 49-3. Curieux évidemment, le pouvoir dispose d’une très large majorité qui lui permet de faire adopter la quasi-totalité des propositions de loi. En général le 49-3 est utilisé lorsqu’il y a des incertitudes quant à cette majorité. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Ce que veut sans doute démontrer le pouvoir,  c’est non seulement qu’il agit mais qu’il réforme très vite.

 Un objectif douteux quand il s’agit dune  réforme dont l’effet n’aura totalement  d’impact que d’ici 20 ou 30 ans. En réalité, le pouvoir est lancé dans une course poursuite réformiste pour montrer sa volonté de transformation du pays et reconquérir un terrain perdu non seulement à gauche depuis longtemps mais aussi à droite où l’on s’intéresse notamment à propos de l’étatisation du système et du manque d’affichage clair des objectifs.  

Macron a utilisé le contexte des préoccupations sur le Corona virus soudainement et subrepticement pour sortir virus du 49-3. L’idée est simple voire simpliste, à savoir les Français sont tellement préoccupés par les risques relatifs au virus chinois qu’ils vont avaler sans trop de difficultés la procédure brutale du 49-3 qui met fin à tous les amendements du Parlement.

En même temps, ce n’est pas un cadeau pour les organisations réformistes qui comptaient sur le Parlement pour introduire des amendements dans le sens de leurs  préoccupations notamment relatives à la pénibilité. De ce point de vue, le gouvernement se tire un peu une balle dans le pied car il est possible que des syndicats réformistes rejoignent maintenant le camp des syndicats gauchistes en tout cas qu’ils manifestent leur opposition aux nouveaux textes imposés par le gouvernement.

 On sait que Macon est fortement préoccupé par sa baisse de popularité et qu’il veut absolument se débarrasser des sparadraps comme la réforme des retraites qui  handicape sa remontée politique. Son objectif désormais est de parler de problèmes sociétaux et en particulier de l’environnement. Pour cela ,  il faut que la question des retraites soit réglée. Pas sûr cependant qu’  une majorité de Français avale cette couleuvre de l’agenda politique de Macron.

Santé Tomates: Un nouveau virus

Santé Tomates:  Un nouveau virus

 

Un  virus, le tomato brown rugose fruit virus (ToBREV) touche actuellement des pays proches de la France et grands producteurs de tomates comme l’Espagne ou l’Italie, mais aussi les Pays-Bas, la Grèce ou le Royaume-Uni.

 

S’il ne présente aucun danger pour la santé humaine, le virus ToBRFV inquiète les producteurs pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il affecte les tomates et les poivrons de manière très visible : des mosaïques apparaissent sur les feuilles, qui rétrécissent, des tâches jaunes peuvent apparaître sur les fruits. le  ToBRFV se transmet d’un plant à l’autre extrêmement facilement. Il suffit en effet d’un contact, direct ou indirect, pour que la maladie se propage. Le virus peut également subsister pendant des mois dans les sols, les vêtements ou les outils sans perdre son pouvoir infectieux. «Le virus peut infecter jusqu’à 100% des plantes sur un site de production, ce qui le rend redoutable pour les cultures à haute densité comme les cultures sous serres», prévient ainsi l’Anses.

 

 

Virus tomate: destruction de plants infectés

Virus tomate: destruction de plants infectés

 

 

 

Deux serres du Finistère avaient été touchées en France, qui appartiennent à la même exploitation d’un producteur adhérent à la coopérative Savéol, celle-ci va détruire les plants de tomates incriminés (virus ToBRFV)  après avoir été isolés.

« C’est un producteur de notre coopérative. C’est tombé chez nous, ça aurait pu tomber ailleurs », a souligné Pierre-Yves Jestin, président de Savéol, au Salon de l’agriculture de Paris. Les plants incriminés proviennent du Royaume-uni et sont issus de semences produites aux Pays-Bas.

Trois autres exploitations, dont on ignore à quelle coopérative elles sont affiliées, ont reçu le même type de plants et font actuellement l’objet de prélèvements dans le cadre de l’enquête de traçabilité, a précisé le ministère de l’agriculture qui suit de près le dossier depuis son apparition.
Selon l’Anses, le tomato-virus peut infecter jusqu’à 100% des plantes sur un site de production, ce qui le rend redoutable pour les cultures à haute densité de plantation comme les cultures sous serre. En revanche, il n’a pas d’impact sur l’homme.

Virus de la tomate: en France désormais

Virus de la tomate: en France désormais 

Le ministère de l’Agriculture a fait part ce dimanche 16 février d’une «très forte suspicion» de virus ToBRFV sur des tomates en serre dans une exploitation du Finistère, qui pourrait entraîner «des conséquences économiques majeures pour la filière».

«Les services de la DRAAF (direction régionale de l’alimentation) Bretagne ont réalisé une inspection le 11 février suite à un autocontrôle (analyses pour recherche du virus) réalisé après identification, sur des tomates, de lésions compatibles avec cette maladie», a indiqué le ministère dans un communiqué.

Les résultats officiels devraient être communiqués lundi par le laboratoire national de référence. En attendant, l’exploitation a été placée sous séquestre complet avec, notamment, le confinement des deux serres de l’exploitation et l’interdiction d’accès.

La destruction de l’ensemble des plants de tomates des serres contaminées sera réalisée «dès la confirmation officielle du foyer», précise le ministère.

Début février, l’Anses avait mis en garde contre «le tomato brown rugose fruit virus» (ToBRFV), un nouveau virus «particulièrement dangereux pour les plantes qui y sont sensibles». Il peut se transmettre par les semences, les plants et les fruits infectés et survit longtemps à l’air libre.

Santé: Un nouveau virus sur les tomates

Santé: Un nouveau virus sur les tomates

Un  virus, le tomato brown rugose fruit virus (ToBREV) touche actuellement des pays proches de la France et grands producteurs de tomates comme l’Espagne ou l’Italie, mais aussi les Pays-Bas, la Grèce ou le Royaume-Uni.

 

S’il ne présente aucun danger pour la santé humaine, le virus ToBRFV inquiète les producteurs pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il affecte les tomates et les poivrons de manière très visible : des mosaïques apparaissent sur les feuilles, qui rétrécissent, des tâches jaunes peuvent apparaître sur les fruits. le  ToBRFV se transmet d’un plant à l’autre extrêmement facilement. Il suffit en effet d’un contact, direct ou indirect, pour que la maladie se propage. Le virus peut également subsister pendant des mois dans les sols, les vêtements ou les outils sans perdre son pouvoir infectieux. «Le virus peut infecter jusqu’à 100% des plantes sur un site de production, ce qui le rend redoutable pour les cultures à haute densité comme les cultures sous serres», prévient ainsi l’Anses.

Croissance France : un impact de 0,1 % du PIB par le Virus covid-19

Croissance France : un impact de 0,1 % du PIB par le Virus  covid-19

 

Il est évidemment beaucoup trop tôt pour mesurer l’impact que peut avoir le virus chinois- appelé maintenant covid-19- sur l’économie. Pourtant la plupart des responsables et autres institutionnels essayent de rassurer à  commencer  par des déclarations très contradictoires de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La vérité c’est qu’on ne sait pas grand-chose de ce virus, le nombre de personnes infectées et le nombre de décès. Officiellement la Chine déclare autour de 60 000 personnes infectées et 1500 décès. La vérité d’après une publication scientifique britannique, c’est que ce chiffre pourrait être multiplié par 10.

Certes les progrès sont faits en matière de recherche pour traiter les personnes infectées . Mais la mise au point d’un vaccin demandera des semaines voire des mois. Du coup ,il paraît bien difficile de tenter d’évaluer les conséquences économiques de ce qui s’appelle maintenant une pandémie. Le ministre de l’économie Bruno Lemaire se veut pourtant  rassurant : L’épidémie de covid-19 pourrait avoir un impact de -0,1 point de croissance sur l’économie française cette année, voire plus si l’épidémie se poursuit et prend encore de l’ampleur, a estimé jeudi le ministre français de l’Economie et des Finances.

“Ce virus aura évidemment un impact réel sur l’économie mondiale et sur l’économie française”, a déclaré Bruno Le Maire sur BFM TV-RMC. “Si on estime que le pic est atteint ou près d’être atteint, notre évaluation c’est que l’impact sur la croissance chinoise sera de l’ordre d’un point sur l’année”.

D’autres institutions financières évaluaient la baisse de croissance mondiale qu’à 0 ,5 % en gros 2.5% au lieu de 3%. On voit bien que le ministre de l’économie français minimise l’impact quand il déclare :

“Ce qui voudrait dire 0,2 point de croissance en moins au niveau mondial et 0,1 point de croissance en moins pour la France, c’est notre évaluation (…) ça n’est pas rien”, a-t-il ajouté. “Si jamais ça dure, ça persiste, voire que l’épidémie prend encore de l’ampleur, bien entendu que l’impact sera plus important”.

En clair ,on ne connaît strictement rien de l’ampleur possible de la pandémie et de ce fait les évaluations des conséquences économiques paraissent relever de la méthode Coué. Rien d’étonnant à cela; pour 2020 avant la déclaration du virus chinois, les perspectives économiques pronostiquaient seulement une croissance de 1 % du PIB en France . Un scénario qui pourrait être bousculé et qui justifie sans doute que le ministre de l’économie tente de rassurer.

Virus chinois : danger mondial (OMS)

Virus chinois : danger mondial (OMS)

 

 

 

Il est clair que depuis le début de cette affaire, l’OMS se caractérise par une certaine mollesse dans ses prises de position. L’organisation mondiale de la santé a d’abord tenté de minimiser l’impact de cette maladie affirmant même que la situation était contrôle.

Progressivement, compte tenu du nombre croissant de personnes infectées et du nombre de décès, l’OMS a bien été contrainte de prendre la mesure de ce qui constitue en fait une véritable pandémie qui menace le monde entier. Certes pour l’instant,  le virus affecte surtout la population chinoise mais ce qui inquiète, c’est sa vitesse de transmission. C’est donc un peu résignée- pour ne pas déplaire à la Chine– que l’OMS déclare enfin que le virus chinois rebaptisé Covid-19 constituent le danger numéro un au plan mondial.

 

“Avec 99% des cas recensés en Chine, cela reste essentiellement une urgence pour ce pays mais qui représente une très grave menace pour le reste du monde”, a-t-il souligné.

“Nous espérons que l’un des résultats de cette réunion sera une feuille de route sur laquelle chercheurs et donateurs pourront s’aligner”, a-t-il ajouté, précisant qu’un vaccin pourrait être découvert d’ici 18 mois.

Pour Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’impact de cette épidémie, partie d’un marché de la ville de Wuhan en décembre, pourrait être encore plus important que celui provoqué par un attentat terroriste.

“Un virus peut provoquer plus de bouleversements politiques, économiques et sociaux que n’importe quelle attaque terroriste”, a-t-il souligné, appelant le monde à “se réveiller” et à “considérer ce virus ennemi comme l’ennemi public numéro un.”

Au total, l’OMS a activé un réseau de 15 laboratoires de référence et identifié 168 autres laboratoires dans le monde disposant de la technologie nécessaire pour dépister le Covid-19, en accentuant ses efforts sur les pays en développement.

Il y a une semaine, seuls deux laboratoires en Afrique étaient en mesure de détecter le nouveau virus, mais dimanche, l’OMS prévoyait que chaque pays africain soit capable de diagnostiquer la pneumonie virale.

Le bilan de l’épidémie de coronavirus en Chine a franchi le cap des 1.000 morts et des analystes redoutent que l’impact des perturbations liées à la maladie sur l’économie chinoise soit grandement sous-estimé.

Lundi, le directeur général de l’OMS s’était inquiété de l’augmentation de cas de contamination hors de Chine. “Cela pourrait être l’étincelle qui devient un gros incendie”, avait-il déclaré à des journalistes à Genève.

“Pour l’instant c’est juste une étincelle et notre objectif reste de la circonscrire”, avait-il ajouté. “Nous devons vraiment unir nos forces pour combattre ce virus avant que la situation n’échappe à tout contrôle.”

 

Le pire évidemment serait que ce virus atteigne des pays en développement dans le système sanitaire serait complètement incapable de contrôler la diffusion du virus.

santé-Un nouveau virus sur les tomates

Un nouveau virus sur les tomates

Un  virus, le tomato brown rugose fruit virus (ToBREV) touche actuellement des pays proches de la France et grands producteurs de tomates comme l’Espagne ou l’Italie, mais aussi les Pays-Bas, la Grèce ou le Royaume-Uni.

S’il ne présente aucun danger pour la santé humaine, le virus ToBRFV inquiète les producteurs pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il affecte les tomates et les poivrons de manière très visible : des mosaïques apparaissent sur les feuilles, qui rétrécissent, des tâches jaunes peuvent apparaître sur les fruits. le  ToBRFV se transmet d’un plant à l’autre extrêmement facilement. Il suffit en effet d’un contact, direct ou indirect, pour que la maladie se propage. Le virus peut également subsister pendant des mois dans les sols, les vêtements ou les outils sans perdre son pouvoir infectieux. «Le virus peut infecter jusqu’à 100% des plantes sur un site de production, ce qui le rend redoutable pour les cultures à haute densité comme les cultures sous serres», prévient ainsi l’Anses.

Virus chinois: pas de traitement avant des semaines et des mois

Virus chinois: pas de traitement avant des semaines et des mois

Officiellement environ 25 000 cas de personnes affectées et autour de 500 décès. En  fait, peut-être 10 fois plus compte tenu de toutes les incertitudes relatives aux statistiques chinoises. Dans l’immédiat, il n’existe pas de traitement efficace. En effet la mise au point d’un éventuel vaccin mettra des semaines et plus sûrement des mois avant d’être validé. Il faut distinguer le vaccin qui a un rôle préventif du traitement proprement dit.

Plusieurs traitements, actuellement utilisés dans d’autres pathologies virales, sont en cours d’évaluation notamment aux Etats Unis en  utilisant une classe de médicaments ayant servi contre Ebola. De multiples pistes sont à l’étude contre le nouveau coronavirus apparu en Chine, dont trois sont à un niveau avancé : un médicament anti-VIH (Kaletra) ; une combinaison utilisée contre le coronavirus Mers (antiviral et immunothérapie) ; et un antiviral de l’Américain Gilead testé dans le passé contre Ebola. De recherches avancées sont engagées aussi en Chine et ailleurs.

Mais  n’existe pour l’heure aucun traitement efficace connu contre le nouveau coronavirus 2019-nCoV responsable d’une flambée épidémique en Chine continentale, contrairement à certaines informations parues dans les médias, a déclaré mercredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Des centaines d’experts se réuniront mardi et mercredi prochains pour fixer des priorités de recherche et développement, a ajouté l’organisation. Une équipe internationale dirigée par l’OMS se rendra très prochainement en Chine, a également précisé le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.

La chaîne britannique Sky News a de son côté annoncé que des chercheurs avaient fait “une avancée significative” dans le développement d’un vaccin. Interrogé au sujet de ces informations de presse, un porte-parole de l’OMS a déclaré qu’il n’existait “aucune thérapie efficace contre ce (coronavirus) 2019-nCoV”.

Au-delà de la Chine continentale, où près de 500 morts et plus de 24.000 cas ont été recensés, 191 cas de contaminations par le “coronavirus de Wuhan”, dont le surnom évoque la capitale de la province chinoise du Hubei où il est apparu en décembre, ont été recensés dans une vingtaine de pays, ainsi que dans les régions administratives spéciales de Hong Kong et Macao. Un seul décès est survenu en dehors de Chine, aux Philippines.

Un nouveau virus sur les tomates,

Un nouveau virus sur les tomates,

Un  virus, le tomato brown rugose fruit virus (ToBREV) touche actuellement des pays proches de la France et grands producteurs de tomates comme l’Espagne ou l’Italie, mais aussi les Pays-Bas, la Grèce ou le Royaume-Uni.

S’il ne présente aucun danger pour la santé humaine, le virus ToBRFV inquiète les producteurs pour plusieurs raisons. Tout d’abord, il affecte les tomates et les poivrons de manière très visible : des mosaïques apparaissent sur les feuilles, qui rétrécissent, des tâches jaunes peuvent apparaître sur les fruits. le  ToBRFV se transmet d’un plant à l’autre extrêmement facilement. Il suffit en effet d’un contact, direct ou indirect, pour que la maladie se propage. Le virus peut également subsister pendant des mois dans les sols, les vêtements ou les outils sans perdre son pouvoir infectieux. «Le virus peut infecter jusqu’à 100% des plantes sur un site de production, ce qui le rend redoutable pour les cultures à haute densité comme les cultures sous serres», prévient ainsi l’Anses.

Virus chinois: quels vrais chiffres ?

Virus chinois: quels vrais chiffres ?

 

 

Pour des motifs diplomatiques tout autant qu’économiques,  nombre d’experts  tentent de relativiser le flou des statistiques chinoises sur le développement du virus. Comme souvent affirmé dans ce site, les statistiques chinoises ont ceci de particulier qu’elles prennent un caractère très politique, en clair qu’elles sont régulièrement suivies par le pouvoir et éventuellement bidouillées par exemple concernant la mesure de la croissance. Si l’on s’en tient aux déclarations officielles chinoises, il y aurait environ 17 000 personnes infectées. Le problème,  c’est que dans le même temps la Chine reconnaît que le virus se développe au rythme de 2000 personnes infectées par jour. Or les premiers cas ont été comptabilisés à partir du 20 janvier. D’après les indications chinoises, on devrait donc être parvenu de 30 000 personnes infectées au lieu de 17 000.

Le 31 janvier, la revue britannique The Lancet, l’une des références en matière médicale, a publié une étude fondée sur un modèle mathématique d’après lequel 75.815 individus auraient été infectés à Wuhan – la principale province chinoise touchée par l’épidémie – au 25 janvier 2020. Officiellement, ce jour-là, le nombre de personnes diagnostiquées était de… 685. Soit un rapport de plus de 1 à 100. Il est possible qu’en faite sur l’ensemble de la Chine le nombre de personnes infectées soit plus proche de 200 000 que de 17 000. En outre, il faut surtout noter le taux d’expansion du virus. En Chine en dépit de tous les efforts consentis et qui sont importants,  le virus est loin d’être contenu contrairement à des régions extérieures qui semblent avoir pris des mesures assez draconiennes pour éviter la mobilité des personnes en général. .

Virus chinois: l’irresponsabilité de l’OMS !

Virus chinois: l’irresponsabilité de l’OMS !

Il est clair que ce qui s’oppose aujourd’hui une véritable prévention à l’égard du virus chinois  c’est la préoccupation du business. L’OMS estime   qu’il n’y a pas encore lieu de déclarer l’état d’urgence vis-à-vis de l’épidémie. Une épidémie qui déjà avait officiellement d’après les autorités chinoises une trentaine de morts et près d’un millier de malades. Des chiffres évidemment totalement fantaisistes comme la plupart de ceux qui émanent du régime communiste. Il y aurait en effet des milliers de victimes d’ores et déjà et le virus ne cesserait de ce développer ailleurs qu’à Wuhan, épicentre de l’épidémie.

Cet épisode est typique du rôle stratégique du business dans la régulation économique bien sûr mais d’une façon plus générale dans la régulation d’autres sujets y compris sociétaux. Voir à cet égard comment certains responsables français défendent par exemple la technologie chinoise 5G qui met pourtant en cause la souveraineté des Etats et les libertés. Il en va de même en matière de santé. Les liens économiques avec la Chine sont devenus tellement importants qu’ils dépassent toute considération sanitaire ou sociétale; pas question  de s’opposer à la mobilité notamment des personnes en provenance ou à destination de Chine. Du coup,  on va attendre qu’il y ait des milliers de morts dans le monde entier avant de considérer la situation en état d’urgence. Pour l’instant les mesures prises notamment par les Chinois sont dérisoires il s’agit de mesurer la température des candidats au voyage aérien. Or l’incubation du virus demande huit à 15 jours. Autant dire que la mesure de température est assez illusoire en tout cas ne repère pas la totalité de ceux  qui peuvent être atteints. Preuve des cas ont déjà révélé au Japon et aux États-Unis.

La ville de Wuhan, foyer dans le centre de la Chine de l’épidémie de coronavirus, est en train de bâtir promptement un nouvel hôpital disposant d’un millier de lits pour traiter les patients du virus, a rapporté vendredi la presse officielle chinoise. Le nouveau centre hospitalier, dont les autorités veulent pouvoir disposer en début de semaine prochaine, est en construction près d’un complexe de villégiature initialement destiné aux travailleurs locaux, dans des jardins situés près d’un lac en périphérie de Wuhan, selon le Changjiang Daily. Les bâtiments en préfabriqué disposeront d’un millier de lits, a ajouté le journal. Plus d’une trentaine de pelleteuses et une dizaine de bulldozers sont arrivés jeudi soir sur le site, a-t-il précisé.

Wuhan a été placée à l’isolement. Cette démarche s’inspire de celle engagée en 2003 par les autorités chinoises, lorsqu’une épidémie du Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère) s’était déclarée à Pékin – épidémie qui avait fait 774 morts dans le monde après s’être propagée à près d’une trentaine de pays. A l’époque, un hôpital avait été bâti dans le nord de la capitale en à peine une semaine, par plusieurs milliers d’ouvriers. Près de 700 patients y avaient été soignés.

L’épidémie de coronavirus qui s’est déclarée le mois dernier à Wuhan, ville du centre de la Chine, a fait 25 morts dans le pays selon le dernier bilan effectué jeudi soir, rapporte vendredi la presse officielle chinoise, qui fait par ailleurs état désormais de 830 cas confirmés. Des chiffres qui peuvent évidemment être multipliés par 10.

Les autorités chinoises ont placé jeudi une deuxième ville, après Wuhan, en quasi-quarantaine, confinant au total près de 20 millions de personnes pour tenter d’endiguer la propagation de la maladie.

Un deuxième cas a été confirmé au Japon. Dans un communiqué publié vendredi, le ministère japonais de la Santé indique qu’il s’agit d’un homme âgé d’une quarantaine d’années qui réside à Wuhan et est arrivé dimanche au Japon.

Par ailleurs, la BBC a rapporté jeudi que cinq personnes étaient examinées en Ecosse pour déterminer si elles avaient contracté le coronavirus. Il s’agirait, le cas échéant, des premiers patients connus en Europe.

Virus chinois : risque d’épidémie mondiale

Virus chinois : risque d’épidémie mondiale

 

Quatre personnes sont décédées à Wuhan, ville du centre de la Chine, des suites d’une pneumonie provoquée par un coronavirus d’un type jusque-là inconnu, ont annoncé les autorités sanitaires locales. Près de 300 personnes ont été contaminées par ce virus, décelé à Wuhan dans un premier temps avant de se propager à d’autres régions, y compris au-delà des frontières chinoises, et qui peut se transmettre entre humains selon Pékin. Ces informations font craindre un phénomène comparable à l’épidémie de SRAS de 2003, qui avait fait près de 800 morts, d’autant que plusieurs centaines de millions de Chinois s’apprêtent à voyager à l’occasion du nouvel an lunaire.

Officiellement Pékin déclare que 300 personnes seraient contaminées par le coronavirus de type jusque-là inconnu qui a été décelé dans la ville de Wuhan avant de se propager à d’autres régions, y compris au-delà des frontières chinoises, contraignant les autorités sanitaires à renforcer leur vigilance pour juguler le risque d’épidémie. En fait, rien que dans la ville de Wuhan, il y en aurait 10 fois plus. Et l’épidémie aurait tendance à se développer en Chine et ailleurs. On comprend la sous-estimation des autorités chinoises sans doute pour ne pas affoler sa propre population mais aussi pour ne pas limiter la mobilité aussi si bien des Chinois que des étrangers qui pourrait affecter un peu plus le net tassement économique enregistré. Cette maladie est grave car le virus peut entraîner la mort et se développer par transmission humaine.

Le nombre de cas a triplé par rapport à dimanche.

Un cas de contamination a été confirmé en Corée du Sud, a rapporté lundi l’agence de presse Yonhap. Il s’agit d’une ressortissante chinoise âgée de 35 ans qui est arrivée à Incheon en provenance de Wuhan.

Trois cas avaient jusqu’à présent été signalés hors du territoire chinois: deux en Thaïlande et un au Japon. Un autre aurait été signalé aux Etats-Unis. Les patients ont pour point commun de s’être rendus à Wuhan.

Le nombre de cas pourrait être bien supérieur, à en croire le Centre d’analyse des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres, qui évalue à 1.723 le nombre de patients atteints de symptômes pouvant être ceux du nouveau virus dans la seule ville de Wuhan à la date du 12 janvier.

“Cette épidémie est extrêmement inquiétante”, juge le chercheur britannique Jeremy Farrar, spécialiste des maladies infectieuses et directeur du Wellcome Trust, une fondation caritative promouvant la recherche dans le secteur de la santé. “De nombreuses incertitudes demeurent mais il est désormais clair qu’il existe une transmission entre humains.”

L’épidémie est probablement d’origine animale mais une “transmission limitée d’humain à humain” est possible à la suite d’un contact rapproché, selon un message publié lundi sur la page Twitter de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Des centaines de millions de Chinois s’apprêtent à voyager en Chine et à l’étranger à l’occasion du Nouvel An lunaire.

De nombreux pays d’Asie et les Etats-Unis ont pris des mesures de précaution à l’égard des voyageurs en provenance de Wuhan.

Si certains experts estiment que le nouveau virus ne semble pas aussi fatal que le Sras, qui avait fait près de 800 morts, les informations disponibles demeurent parcellaires.

L’agent infectieux provoque de la fièvre et des difficultés respiratoires, des symptômes communs à d’autres maladies, ce qui complique la surveillance des autorités sanitaires.

 

 

Ces informations font craindre un phénomène comparable à l’épidémie de SRAS de 2003, qui avait fait près de 800 morts, d’autant que plusieurs centaines de millions de Chinois s’apprêtent à voyager à l’occasion du nouvel an lunaire.

Virus Zika : premiers cas en Europe

Virus Zika : premiers cas en Europe

 

 

Dans son rapport rendu public lundi le Haut conseil de la santé publique (HSCP) alertait les autorités sur la possibilité de la diffusion du virus Sika. Or  on vient d’apprendre hier que deux personnes infectées par le virus ont été détectées en Irlande.  Les deux personnes, dont les cas ne sont pas liés et qui n’ont pas de risque de grossesse, se portent bien et sont complètement rétablies. Dans son rapport rédigé à la demande des autorités sanitaires, le HSCP reconnaît que «les conditions pour une transmission autochtone du virus zika sont réunies dans les départements (métropolitains) où le moustique vecteur est présent», c’est-à-dire dans les départements déjà colonisés par le moustique tigre Le risque de transmission du virus dans les départements métropolitains concernés est considéré comme «réel» par le HCSP, notamment en cas de circulation du virus dans les départements français d’Amérique (DFA, Guadeloupe, Martinique et Guyane) où le risque de transmission autochtone du virus est jugé «élevé». Pour les auteurs du rapport, le virus zika pourrait se propager de la même manière que le chikungunya, avec des vacanciers partis dans des zones où sévit le virus et qui l’importent à leur retour en France métropolitaine. La propagation se fait ensuite par le moustique tigre.  Pour réduire le risque, le HCSP recommande de prendre des mesures de lutte antivectorielle, du type de celles prises pour lutter contre le chikungunya aux Antilles. Parmi celles-ci figure l’isolement des cas suspects ou confirmés pendant la période fébrile sous moustiquaire ou dans un local avec fenêtres fermées, pour éviter la contamination de nouveaux moustiques. L’épidémie de 2013-2014 en Polynésie française avait touché environ 32.000 personnes, selon des estimations citées par le HCSP. Parmi les personnes infectées, 72 avaient présenté des complications neurologiques graves dont 42 syndromes de Guillain-Barré, un syndrome qui peut se traduire par une paralysie des membres et de la face. Dans les cas les plus graves, ce sont les muscles de la déglutition et de la respiration qui sont atteints.

 

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