Archive pour le Tag 'virtuel'

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Accord de gel de production de pétrole très virtuel

Accord de gel de production de pétrole très virtuel

 

Plusieurs pays se sont mis d’accord pour ne pas vous augmenter la production de pétrole. Autrement dit ne pas vous augmentait la de ne pas nuire au prix. Un accord cependant complètement virtuel puisque seul l’Arabie Saoudite serait incapacité d’augmenter cette de production. En outre et surtout la plupart des pays producteurs étranglés financièrement par le faible niveau des cours du pétrole ne sont pas prêts à réduire leur production. L’accord de gel de production conclu entre certains membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie pourrait s’avérer « vide de sens » étant donné que l’Arabie saoudite est le seul signataire en mesure d’augmenter sa production, a déclaré mercredi un haut responsable de l’AIE. Le cours du Brent a repris plus de 50% depuis un creux de 12 ans, à près de 27 dollars le baril, touché le 20 janvier, porté notamment par l’accord annoncé le 16 février par la Russie, l’Arabie saoudite, le Venezuela et le Qatar portant sur le gel leur production de brut à celle du mois de janvier. Les pays producteurs de pétrole, membres ou non de l’OPEP, se réuniront le 17 avril à Doha, au Qatar, pour discuter de ce plan de gel de la production, visant à soutenir un marché encore caractérisé par une offre excédentaire. « Parmi tous les pays dont nous savons qu’ils vont participer à la réunion, seule l’Arabie saoudite dispose de capacités d’accroissement de sa production », a déclaré Neil Atkinson, chargé de la division industrie pétrolière et marchés de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), organisme qui coordonne les politiques énergétiques des pays de l’OCDE. »Donc un gel de la production pourrait s’avérer vide de sens. C’est davantage un signe destiné à (…) renforcer la confiance au sujet de la stabilité des cours du pétrole. »

(Avec Reuters)

Hollande un virage économique virtuel ?

Hollande un virage économique  virtuel ?

 

Si l’on se fie aux mots prononcés par Hollande, c’est une évolution complète de sa politique. D’abord, il reconnait  l’ampleur des impôts et la nécessité de réduire les dépenses publiques. Il reconnait aussi ses échecs et les difficultés. Par exemple exit le changement et l’inversion du chômage. « Il faudra du temps ». L’Etat doit d’après lui faire mieux avec moins, se repositionner sur les grandes tâches régaliennes, envisager même de réformes des collectivités. Donner aussi la priorité à la réduction des charges des entreprises contre l’emploi. Bref le contraire de ce qu’il adit et fait jusqu’à maintenant. En fait il reprend tout simplement ce que disent les experts et même l’opinion depuis des mois et des années ; Trop d’Etat, trop de fiscalité, trop de contraintes et finalemenet des impôts qui tuent  la compétitivité et l’emploi. Reste à savoir si le virage est réel ou virtuel. Faire des réformes structurelles n’est pas simple quand on ne bénéficie plus de la légitimité populaire (mais seulement de la légitimité institutionnelle), Hollande risque de se heurter à  l’opposition de son propres camp. II n’est pas certain non plus qu’i l perçoive bien la stratégie à mettre en œuvre si l’on s’en tient aux exemples d’économies très marginales évoquées par son gouvernement (Cazeneuve par exemple parlant dimanches des dépenses de santé et citant la chirurgie ambulatoire). Hollande veut gouverner par ordonnance et décrets mais cela se limitera à des questions accessoires tant que le parlement n’en a pas décidé autrement, sur les finances par exemple. Le laxisme de 2012 n’a pas été récompensé ni par de résultats, ni par l’opinion, l’austérité de 2013 (et 2014) non plus alors pourquoi pas finalement se rabattre sur l‘évidence, celle qu’il niait et qu’il avoue «  nous avons sous-estimé la crise ». Il faudra des mois voire des années pour réaliser des reformes structurelles significatives, pas sûr que Hollande les réalisent mais au moins s’il n’y a pas inversion sur le chômage, il y a bien inversion du discours.

Centrafrique : Hollande obtient le soutien virtuel de l’Europe, mais sans soldat et sans argent !

Centrafrique : Hollande obtient le soutien virtuel  de l’Europe, mais sans soldat et sans argent !

Hollande obtient le soutien de l’Europe mais sans argent et sans soldat. Une sorte de soutien virtuel ; Merkel a dit clairement non à Hollande. En fait il est assez légitimement reproché à Hollande d’avoir décidé seul l’opération en Centrafrique et face aux difficultés notamment financières de demander après-coup la solidarité de l’Europe. Une Europe qui donne ainsi une légitimité juridique à son désintérêt pour l’Afrique. Une nouvelle défaite aussi pour Hollande après celle sur la croissance. L’enterrement également du couple franco-allemand comme moteur de l’Europe. La seule patronne, c’est désormais Merckel; et elle le faiat savoir sans ménagement y compris à Hollande.   La  question d’une participation de l’Union aux opérations en Centrafrique, en hommes et en moyens financiers, est renvoyée au conseil des affaires européennes de janvier. François Hollande était arrivé jeudi au conseil européen avec la volonté d’obtenir une implication de ses homologues. La France avait notamment laissé entendre qu’elle comptait sur un financement commun. Ce sujet sera tranché plus tard. « Pour l’instant, il n’y a pas de mission européenne, parce que les délais ne le permettaient pas », a justifié le chef de l’Etat. Une mise en œuvre nécessite un accord des Vingt-huit. L’hypothèse principale porte désormais sur une action humanitaire. François Hollande écarte de fait tout besoin supplémentaire pour mener des actions armées. « Il y aura sans doute une opération civile, et pour partie, sécuritaire », a-t-il estimé, évoquant l’aide aux populations, les soins de santé, et la protection de l’aéroport de Bangui. « Il ne s’agissait pas pour la France d’obtenir tout de suite un soutien financier », a assuré le Président. « Nous ne demandons pas une prise en charge » des 1.600 soldats français, a-t-il insisté, alors que plusieurs pays ont considéré que la démarche de Paris est intéressée. « Quand on lance une telle opération, il est important qu’on puisse se mettre d’accord avant. On ne peut envoyer l’addition après », a lancé le chancelier autrichien, Werner Faymann. François Hollande s’en est donc défendu : « Je le fais pour l’Europe, je ne le fais pas pour la France, je ne le fais pas pour gagner 30, 40 millions d’euros pour soulager je ne sais quelle dépense dans le budget de l’Etat ». Mais Paris n’est plus tout à fait seul. A ce stade, la Pologne promet d’engager un avion pour trois mois avec 50 militaires de l’armée de l’air. La Belgique et l’Estonie étudient une participation. François Hollande a salué le soutien de ces pays ainsi que celui du Royaume-Uni, de l’Espagne, des Pays-Bas et de l’Allemagne. Angela Merkel a toutefois prévenu qu’elle s’opposerait à un financement rétroactif des déploiements français. Pour le reste « on verra », s’est contenté de dire la chancelière.

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