Archive pour le Tag 'Violences'

Violences : un déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Violences : un déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Le pouvoir, les médias et les élites se réfugient souvent dans le déni de réalité pour masquer l’impuissance de l’État et l’ampleur du phénomène. Ainsi le plus souvent, on tente de transformer en faits divers des attentats mortels qui pourtant traduisent un phénomène plus général de violence, d’insécurité voire de racisme. Bref on refuse de voir la réalité de cette violence et du risque de décomposition de la société. Les Français qui vivent au quotidien l’insécurité en tout cas l’observent de près sont beaucoup plus pertinents concernant la nature et l’ampleur du phénomène. Ce n’est pas par hasard s’ils estiment notamment à hauteur de 91 % que le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française et que 87 % considèrent que la justice est trop laxiste.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des très symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Crimes et Violences : mettre fin au déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Crimes et Violences : mettre fin au déni de réalité qui masque l’impuissance de l’Etat

Le pouvoir, les médias et les élites se réfugient souvent dans le déni de réalité pour masquer l’impuissance de l’État et l’ampleur du phénomène. Ainsi le plus souvent, on tente de transformer en faits divers des attentats mortels qui pourtant traduisent un phénomène plus général de violence, d’insécurité voire de racisme. Bref on refuse de voir la réalité de cette violence et du risque de décomposition de la société. Les Français qui vivent au quotidien l’insécurité en tout cas l’observent de près sont beaucoup plus pertinents concernant la nature et l’ampleur du phénomène. Ce n’est pas par hasard s’ils estiment notamment à hauteur de 91 % que le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française et que 87 % considèrent que la justice est trop laxiste.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des très symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Violences: Un supporter gravement blessé au couteau lors du match Nantes-Nice

Violences: Un supporter gravement blessé au couteau lors du match Nantes-Nice

Encore une attaque folle entre supporters d’un match de football. Un coup de couteau très grave a été porté par un supporter niçois à un partisan de l’équipe nantaise. Ces faits de violence dans le football ne sont pas nouveaux mais ce qui les caractérise maintenant , c’est la la sauvagerie rejoignant celle commise pour d’autres motifs notamment par les islamistse radicalisés.

Ces différentes affaires traduisent en tout cas la nette montée d’un climat d’affrontement et de sauvagerie dans le pays. Il sera de plus en plus difficile aux pouvoirs publics comme à chaque fois d’isoler une affaire pour la traiter comme un simple fait divers.

La violence se fait bien partie du quotidien et dans un sondage 90 % des Français la redoutent surtout pour l’avenir. Les réponses des pouvoirs publics ne sont pas du tout à la hauteur des enjeux et traduisent la mollesse et l’inefficacité de l’État pourtant garant des valeurs républicaines et sociétales.

La justice en particulier est en cause. Elle se prévaut trop souvent une pseudo indépendance pour manifester une grande bienveillance vis-à-vis des voyous et autres criminels.

Le débat sur la montée de la violence en France sous toutes ses formes devient urgent pour en analyser les facteurs explicatifs et surtout réformer la justice.

Selon plusieurs sources policières à BFMTV, les faits se sont déroulés vers 20 heures, une altercation a éclaté entre des VTC transportant des supporters niçois et des supporters nantais. Deux chauffeurs VTC sont, selon les premiers éléments, impliqués dans l’altercation. Un coup de couteau est porté à un supporter nantais, gravement blessé. Un massage cardiaque a été prodigué sur la victime.

« Le FC Nantes a appris qu’un supporter nantais a été grièvement blessé avant la rencontre face à l’OGC Nice. Le club tient à apporter son soutien à la famille ainsi qu’aux proches de la victime », indique de son côté le FCN sur le réseau social X.

Société et Violences : la Justice trop laxiste pour 87 % des Français

Société et Violences : la Justice trop laxiste pour 87 % des Français

Un sérieux avertissement pour les pouvoirs publics, à savoir le jugement très négatif que portent les Français sur la justice dont les jugements sont complètement déconnectés des faits de société relatifs notamment à la violence.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des tres symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Violences et Société: Un nouvel antisémitisme ?

Violences et Société: Un nouvel antisémitisme ?

Depuis les attaques du Hamas sur des civils israéliens le 7 octobre et les représailles massives d’Israël à Gaza, des événements graves et une hausse de l’antisémitisme en France ont conduit à des prises de position politique ou médiatique, tandis que de nombreux débats émaillent les discussions pour savoir ce qui est antisémite ou non. Parmi les artistes engagés sur ce sujet, l’illustrateur Joann Sfar a publié une série de posts Instagram afin d’exprimer son ressenti. La chercheuse Solveig Hennebert s’est appuyée sur certains de ses dessins afin d’expliciter un certain nombre d’éléments constitutifs de l’antisémitisme. Si certains faits ont surgi en lien avec le contexte, ils doivent aussi être analysés dans l’histoire longue de l’antisémitisme, sans prétention à l’exhaustivité.

Par Solveig Hennebert
Doctorante, Université Lumière Lyon 2 dans The Conversation

Les dernières semaines ont vu une hausse des actes antisémites en France : 1 518 ont été recensés entre le 7 octobre et le 15 novembre. Depuis le début des années 2000, les chiffres oscillent entre 400 et 1 000 par an habituellement, mais il est courant d’observer des pics de propos ou violence antisémites selon les actualités nationales ou internationales. Face à ces actes antisémites, les personnes juives ou – assimilées – ont souvent exprimé un sentiment d’abandon lors de cérémonies commémoratives ou encore dans les entretiens que j’ai réalisés au cours de mon enquête de terrain de thèse.

J’utilise à dessein la formulation « personnes juives ou assimilées » que j’ai forgée dans le cadre de mes recherches. Cela permet d’inclure les personnes qui se définissent comme juives par religion, par culture, par rapport à leur histoire familiale ; tout autant que celles qui ne se considèrent pas comme juives, mais subissent l’antisémitisme malgré tout, du fait de représentations discriminantes liées au nom de famille, à l’apparence physique, etc.

L’antisémitisme renvoie à la haine contre les personnes juives envisagées comme appartenant à une « race ». Cette conceptualisation remonte entre autres au XVe siècle avec les premiers statuts de pureté de sang dans la péninsule ibérique. Avant (sans que cela ait totalement disparu), les persécutions étaient plutôt liées à de la l’antijudaïsme, c’est-à-dire que les personnes étaient visées en tant que membres d’une religion et non d’une supposée race.

Le recensement des crimes et délits est source de nombreuses interrogations méthodologiques, mais les chiffres restent malgré tout des indicateurs à prendre en compte. Les données sont collectées de la même manière à toutes les périodes, et indiquent donc quoi qu’il en soit une hausse drastique.

Des événements nationaux ou internationaux sont parfois identifiés comme le déclencheur d’une « nouvelle » vague d’attaques antisémites, et souvent associés au conflit israélo-palestinien. Cependant, des recherches scientifiques ont montré que les perceptions antisémites sont également en hausse lors d’événements centrés sur la France, comme ce fut le cas en 1999, au moment des débats sur l’indemnisation des spoliations subies par les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il convient de garder en tête que si analytiquement le contexte peut avoir du sens, il faut prendre en compte ce qu’il y a de structurel dans l’antisémitisme tel qu’il s’exprime en France.

La présence du Rassemblement national et plus largement de l’extrême droite au rassemblement contre l’antisémitisme du 12 novembre a causé de nombreux débats, certains allant même jusqu’à parler de « recomposition du champ politique ». À l’inverse, des organisations se sont mobilisées pour rappeler les liens du RN avec les idéologies antisémites.

L’antisémitisme tel qu’il s’est exprimé ces dernières semaines s’inscrit dans une histoire longue avec des références au nazisme, un ancrage à l’extrême droite, et repose sur des mythes et des préjugés séculaires. En effet, de nombreux préjugés antisémites sont hérités de la l’antijudaïsme chrétien :

« les Juifs ont de l’argent »

« les Juifs contrôlent le monde »

« les Juifs contrôlent les médias »

« les Juifs sont des tueurs d’enfants »…

L’ensemble de ces mythes qui sont formulés ainsi ou réappropriés selon des tournures différentes sont à comprendre dans une généalogie historique.

Un nouvel antisémitisme ?

Ces dernières années nous assistons à des discours sur ce qui est présenté comme « un nouvel antisémitisme ». Celui-ci serait le fait des populations musulmanes – ou assimilées – et aurait des spécificités liées à l’islam.

Cependant, des enquêtes scientifiques montrent que ce sont toujours en partie les mêmes mythes issus de l’Europe chrétienne qui sont mobilisés dans les discours antisémites.

Les stéréotypes principaux sont ceux qui renvoient à l’argent et au pouvoir notamment. Par ailleurs, le rejet des Juifs va souvent de pair avec des visions négatives d’autres minorités.

Ainsi l’expression « nouvel antisémitisme », ne semble pas appropriée puisque ce sont les mêmes préjugés qui reviennent. Même si des évolutions sont perceptibles, il est nécessaire encore une fois de penser les préjugés dans une histoire longue.

La question du silence de certains vis-à-vis des événements n’a pas manqué de soulever aussi celle de l’antisémitisme à gauche. Le sujet ne cesse d’être discuté depuis le 7 octobre, même si ce débat est présent depuis de nombreuses années. Les différentes personnalités politiques de gauche accusées se défendent de tous préjugés à l’encontre des Juifs. Un argument souvent mobilisé est de renvoyer à la tradition antisémite de l’extrême droite. S’il est vrai que les électeurs du Rassemblement national ont des préjugés antisémites particulièrement élévés, ceux des électeurs de La France Insoumise sont également supérieurs à la moyenne, rapporte Nonna Mayer dans Le Monde. Ce sont par ailleurs notamment les mythes séculaires du rapport des Juifs à l’argent et au pouvoir qui persistent, y compris à l’extrême gauche…

Ensauvagement et violences: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Ensauvagement et violences: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.

Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».

Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.

Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.

De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.

L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.

Violences : la Justice trop laxiste pour 87 % des Français

Violences : la Justice trop laxiste pour 87 % des Français

Un sérieux avertissement pour les pouvoirs publics, à savoir le jugement très négatif que portent les Français sur la justice dont les jugements sont complètement déconnectés des faits de société relatifs notamment à la violence.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des tres symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Crimes et Violences : la justice trop laxiste pour 87 % des Français

Crimes et Violences : la justice trop laxiste pour 87 % des Français

Un sérieux avertissement pour les pouvoirs publics, à savoir le jugement très négatif que portent les Français sur la justice dont les jugements sont complètement déconnectés des faits de société relatifs notamment à la violence.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des tres symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Violences : la justice trop laxiste pour 87 % des Français

Violences : la justice trop laxiste pour 87 % des Français

Un sérieux avertissement pour les pouvoirs publics, à savoir le jugement très négatif que portent les Français sur la justice dont les jugements sont complètement déconnectés des faits de société relatifs notamment à la violence.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société d’après un sondage d’Elabe pour BFM.

Rien d’étonnant à cela; Il faut parfois des mois et des mois pour rendre un jugement et en attendant les présumés coupables sont pour beaucoup en liberté et reprennent leurs activités délinquantes.

Par ailleurs au moment du jugement, on se satisfait trop souvent de peines symboliques comme du sursis.

Certes les prisons ne sont sans doute pas l’outil le plus s’adapté pour réduire l’agressivité des délinquants violents; n’empêche à la place, on ne peut lui substituer des peines avec sursis et des tres symboliques sanctions avec travaux d’intérêt général.

Il y a certains délits qui méritent purement et simplement la prison dans les conditions actuelles. Mais pour beaucoup notamment chez les jeunes, il convient évidemment d’imaginer des établissements spécialisés visant à permettre les bases de la culture française, les valeurs de la société, les connaissances fondamentales, la valeur travail et la discipline.

Sondage violences et affrontements : 90 % des Français inquiets pour l’avenir

Sondage violences et affrontements : 90 % des Français inquiets pour l’avenir

91% des Français se disent inquiets à l’idée qu’il y ait plus de violences et d’affrontements entre groupes sociaux à l’avenir dans notre pays, selon une nouvelle enquête Elabe « L’Opinion en direct » pour BFMTV.

Toujours selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estime que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ». Des expressions employées cette semaine par le porte-parole du gouvernement Olivier Véran ou le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin après la mort du jeune Thomas.

Pour 91% des Français interrogés, le recul de l’autorité est un problème majeur dans la société française. Ils sont aussi très nombreux (87%) à considérer que la justice est trop laxiste et une majorité de Français (58%) à estimer que la violence se répand dans toute la société.

3 Français sur 4 (78%) jugent même que la situation en France en matière de sécurité des personnes et des biens se dégrade depuis quelques années, une opinion en progression constante depuis août 2020.

Les agressions sur les personnes (68%) devant les trafics de drogue (53%), les agressions sexuelles (49%) et les incivilités (41%) sont les principaux sujets sur lesquels le gouvernement devrait agir en priorité. En outre, 56% des personnes interrogées demandent à ce que les personnes effectuent réellement les peines auxquelles elles ont été condamnées et 54% plaident pour un durcissement du Code pénal.

Pour 2 Français sur 3, les violences de l’ultradroite ne sont pas marginales
Après un week-end marqué par des rassemblements et des violences de l’ultradroite dans la Drôme, ils sont 2 Français sur 3 (66%) à estimer que ces actes ne sont pas marginaux mais traduisent un phénomène général de la montée de ces groupes dans notre pays.

En parallèle, 66% des personnes interrogées considèrent que ce qui divise les Français aujourd’hui est plus fort que ce qui les rassemble, contre 33% qui sont d’un avis contraire, des chiffres stables depuis octobre 2021.

Violences à Sainte Soline–demande de prison avec sursis

Violences à Sainte Soline–demande de prison avec sursis


On peut effectivement contester la pertinence écologique des bassines envisagées à Sainte Soline. Mais les protestations ont occasionné des violences rarement atteintes qui sont intolérables. Des mois et des mois après les événements , l’affaire revient donc devant les tribunaux où ont été requis des peines de prison avec sursis.

Huit mois après les violents heurts entre militants environnementaux et forces de l’ordre, six à douze mois de prison avec sursis ont été requis, mardi 28 novembre, à l’encontre de neuf prévenus, soupçonnés d’avoir organisé des manifestations interdites contre les « bassines » à Sainte-Soline (Deux-Sèvres). Le tribunal correctionnel de Niort a mis sa décision en délibéré au 17 janvier.

À noter le curieux argumentaire très politique et ambiguë du procureur Julien Wattebled qui a demandé au tribunal de « trouver un équilibre entre la liberté d’expression et le maintien de la cohésion sociale », tout en décrivant un département où « la peur règne depuis trop longtemps ». « Notre rôle est de dire stop, car on a depuis cet été des annonces de surenchères qui vous disent que ce sera encore plus fort », a-t-il lancé, alors qu’une prochaine mobilisation anti- »bassines » est annoncée en juillet prochain dans le Poitou, juste avant les Jeux olympiques de Paris.

Violences-Encore un homme atteint chez lui par un tir de trafiquants de drogue

Violences-Encore un homme atteint chez lui par un tir de trafiquants de drogue

Dans la nuit de samedi à dimanche, à Dijon, un homme est mort chez lui, touché par un tir visant son immeuble. À l’occasion d’une conférence de presse, le procureur de la République de Dijon Olivier Caracotch est revenu en détails sur les circonstances de ce drame survenu sur un point de deal du quartier Stalingrad, un lieu de trafic « référencé mais pas extrêmement actif » selon lui.

Le procureur a par ailleurs expliqué avoir vu un nombre de balles tirées « relativement impressionnant ». « Il y a beaucoup d’impacts sur la façade, ce qui montre soit la détermination des personnes passées à l’acte, soit leur inconscience totale », a-t-il détaillé.
La victime, un homme de 55 ans, résidait au premier étage de l’immeuble visé et a été touchée par une balle perdue, selon le procureur. « Il paraît relativement acquis que c’est le point de deal qui était visé et que donc ces faits sont en lien avec le trafic de drogue », affirme encore Olivier Caracotch.

Alors que différents témoignages sont en train d’être recueillis, il a été établi qu’ »au moins deux personnes » sont responsables des coups de feu, « mais peut-être plus ». À ce stade, il n’y a qu’une seule victime identifiée à déplorer.

« Il est inacceptable qu’une personne non concernée par ces tirs ait été tuée, a souligné François Rebsamen, le maire de Dijon. Des points de deal, il y en a partout en France. C’est un problème national qui gangrène notre pays, j’attends des mesures concrètes soient annoncées. »
La Direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) a été saisie, selon le procureur. La CRS 8, l’unité de CRS spécialisée dans le maintien de l’ordre, va être envoyée à Dijon, a ajouté le ministère de l’Intérieur.

Société- Violences : Macron renvoie la balle aux maires

Société- Violences : Macron renvoie la balle aux maires

Il y a quelque chose de surréaliste dans le positionnement de Macron par rapport à la gestion de l’intérêt général. Le président a en effet été interpellé par les maires à propos des violences que subissent aussi les responsables locaux. Pour toute réponse, Macron demande aux maires de s’intéresser à cette violence leur renvoyant ainsi la balle.

D’une certaine manière le président apparaît sur nombre de questions comme paralysé et se constentant d’une posture d’observateur et de commentateur «Nous avons à affronter, de plus en plus, des épisodes de violence contre vous, élus de la République», a-t-il déploré, en appelant à «ne jamais s’habituer» face aux «violences qui se réinstallent, à ce que j’ai pu qualifier de décivilisation».

Et de tenir des propos démagogues de bistrot vis-à-vis des maires: «Vous avez des compatriotes qui pensent que vous êtes responsables de tout. C’est notre communauté de destin: moi, c’est pareil!», a-t-il ironisé, appelant à «désembrouiller les choses».

Le président a aussi promis «la clarté sur les moyens financiers» et renvoie aussi les perspectives à la responsabilité d’un groupe de travails de refonte de la DGF confiée au comité des finances locales, tout en assurant n’avoir «pas baissé les dotations» depuis qu’il est au pouvoir.
Le problème c’est qu’il a confié des taches nouvelles aux collectivités locales mais sans les moyens correspondants.

Emmanuel Macron a également lancé «un appel collectif à la simplification» face à la «culture jacobine». Il a notamment critiqué les effets de la nouvelle carte territoriale dessinée par François Hollande, en fustigeant «des grandes régions qui ont reconcentré au niveau des capitales de région beaucoup de la décision, et qui l’ont éloignée». Il a vanté la «déconcentration», c’est-à-dire la présence des services de l’État plus près du terrain, et fait une nouvelle fois l’éloge du «couple maire-préfet» qui, à ses yeux, a si bien fonctionné pendant le Covid.

Par rapport à la violence, le président a dit son souhait de rouvrir le sujet de «la responsabilité pénale des décideurs locaux» – une phrase également applaudie – sans donner beaucoup de précisions. Il a promis une loi pour un «vrai statut de l’élu» qui «doit être finalisé l’année prochaine».

Le problème c’est que la violence dépasse malheureusement les mères et concerne d’une façon générale tous ceux qui sont porteurs d’une mission d’intérêt public comme la police, les pompiers, les infirmiers, les médecins, les conducteurs de bus par exemple.

Les violences aux élus: Croissance de 15%

Les violences aux élus: Croissance de 15%


La plupart des personnes chargées de service public sont de plus en plus victimes de violences qui n’ont strictement rien à voir le plus souvent avec leurs fonctions en particulier dans les quartiers difficiles. Les maires, eux, sont souvent les premières cibles car ils sont détenteurs de la gestion de l’intérêt général qui contrarie certains intérêts particuliers et ou des abrutis. Il est clair que juridiquement on manque d’outils juridiques et de répression contre les auteurs de toute violence concernant les personnes chargées de missions de service public (pompier, police, médecin, infirmièr, conducteur de bus et autre maire).

Les atteintes aux élus ont augmenté de 15% entre 2022 et 2023, selon les chiffres obtenus dimanche 19 novembre par franceinfo auprès du cabinet de la ministre déléguée, Dominique Faure, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité, qui dépend du ministère de l’Intérieur.

2 387 atteintes aux élus ont été comptabilisées au 12 novembre 2023. C’est plus que sur toute l’année 2022 (2 265 atteintes). D’après les projections, les atteintes aux élus vont même grimper pour atteindre 2 600 d’ici la fin de l’année. Le terme « atteintes » comprend notamment les injures, les messages menaçants, les violences physiques ou encore les dégradations de permanences.

Dans le détail, ces atteintes concernent des maires (six cas sur 10). Il s’agit principalement de menaces, d’injures ou d’outrages (70% des cas).

Ces atteintes, en hausse, s’expliquent de plusieurs manières. Toujours selon le ministère, il y a d’un côté la « libération de la parole », à l’image de ce qui avait été fait sur le sujet des violences intrafamiliales. Depuis plusieurs mois, la ministre et les forces de l’ordre appellent en effet les élus à porter plainte, quelle que soit la gravité de l’acte. D’un autre côté, plusieurs événements nationaux ont été vecteurs de violences cette année : retraites, violences urbaines, etc.

Société- Violences des quartiers : un micro plan

Société- Violences des quartiers : un micro plan

Le gouvernement aura attendu bien longtemps avant d’analyser la révolte des quartiers et de proposer de nouvelles orientations. Pire, Macron qui avait promis lui-même de le faire a complètement oublié l’exercice ! Du coup, on a repassé le bébé à la pauvre Élisabeth Bornes qui est surtout chargée de l’intendance et des tâches secondaires ou considérées comme telles.

Parmi les mesures, le gouvernement propose aussi d’aggraver les contraventions pour les mineurs bravant le couvre-feu. Plutôt que de «délictualiser» cette infraction, il a été choisi de la laisser dans le champ contraventionnel, mais en montant en gamme. Désormais, il sera infligé une amende de catégorie 4, au maximum 750 euros, pour tous ceux qui enfreindront l’interdit.

Pour les parents, il est prévu d’infliger une peine forme travaux d’intérêt général qui se seront soustraits à leurs obligations légales. Par ailleurs, dans le cas où ils n’auraient pas respecté les mesures éducatives imposées à leurs enfants par la justice, ils seront soumis à des stages de citoyenneté, une alternative aux poursuites. De quoi éviter la sanction pécuniaire bien souvent impossible à honorer pour les familles les plus démunies.

À noter la sociologie particulière des émeutiers composés à 70 % de mineurs de moins de 15 ans et qui mériterait évidemment une analyse et des orientations autrement plus étoffées.

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