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Politique-Multiples crises en France : Il faudra au moins une vingtaine d’années pour redresser le pays

Politique-Multiples crises en France : Il faudra au moins une vingtaine d’années pour redresser le pays

La France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité. La dégradation est catastrophique et un redressement forcément structurel exigerait sans doute une période d’au moins une vingtaine d’années. 

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Crises en France: une bonne vingtaine d’années pour redresser le pays

Crises en France: une bonne vingtaine d’années pour redresser le pays

 

La France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité. La dégradation est catastrophique et un redressement forcément structurel exigerait sans doute une période d’au moins une vingtaine d’années. 

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeu

France : une bonne vingtaine d’années pour redresser le pays

France : une bonne vingtaine d’années pour redresser le pays

 

La France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité. La dégradation est catastrophique et un redressement forcément structurel exigerait sans doute une période d’au moins une vingtaine d’années. 

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Politique -Il faudra une bonne vingtaine d’années pour redresser la France

Politique -Il faudra une bonne vingtaine d’années  pour redresser la France

La France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité. La dégradation est catastrophique et un redressement forcément structurel exigerait sans doute une période d’au moins une vingtaine d’années

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Société-Une bonne vingtaine d’années pour redresser la France

Société-Une bonne vingtaine d’années  pour redresser la France

La France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité. La dégradation est catastrophique et un redressement forcément structurel exigerait sans doute une période d’au moins une vingtaine d’années

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Société- Une vingtaine d’années pour redresser la France

Société- Une vingtaine d’années  pour redresser la France

La France encore récemment une des plus grandes puissances mondiales ne cesse de s’enfoncer sur tous les plans : économique, social, sociétal et même sur le plan de la sécurité. La dégradation est catastrophique et un redressement forcément structurel exigerait sans doute une période d’au moins une vingtaine d’années

La France est passée du statut de grande puissance à celui de très moyenne voire de pays instable. Tous les indicateurs sont au rouge. Il y a d’abord la situation économique et financière. Faute de compétitivité depuis longtemps et de manque de productivité globale ( trop faible taux d’emploi en France rapporté à l’ensemble des actifs potentiels) mais aussi du fait de la mise en place précipitée des 35 heures. Deux éléments qui ont plombé la compétitivité et en particulier celle de l’industrie délocalisée à l’extérieur.

En dépit du taux exceptionnel de prélèvements obligatoires( impôts globaux), la France cumule paradoxalement deux faiblesses ,d’une part un déficit chronique , une dette abyssale ( 50 000 € par habitant soient 3200 milliards) , d’autre part un taux de prélèvement obligatoire de près de 50 %. Une fiscalité qui tue aussi la compétitivité.

Et curieusement , ce n’est qu’il y a que quelques jours ou quelques semaines que les instituts, organismes et autres institutions découvrent l’ampleur d’une catastrophe qui a commencé il y a 40 ans environ. En cause, le mammouth de l’État (et des collectivités locales) devenu complètement incontrôlable ou la logique de dépenses se déroule en dépit de tous les discours de gestion plus saine. Et là aussi paradoxalement la qualité des services publics a plutôt tendance à se dégrader( sécurité, santé ou encore éducation par exemple).

Le sentiment général est que ce pays n’est plus géré depuis longtemps ce dont convient même le président de la république qui essaye maintenant de sermonner les hauts fonctionnaires; Évidemment deux fois trop nombreux ( un directeur, deux adjoints, des sous-directeurs et des chefs de bureau en pagaille, sans parler les troupes de base qui augmentent chaque année; de 50 000 encore en 2023 et 70 000 en 2024 ! ) Et pas forcément bon endroit.

Mais au-delà des aspects quantitatifs il y a surtout le sentiment que le concept d’autorité est complètement bafoué partout dans l’espace public, services publics et autres. Dans l’école, dans la rue et même dans la sphère privée( quand la plupart des plaintes sont enterrées). Exemple significatif: la France qui est en train de devenir une plaque tournante internationale de la drogue. Toutes les villes mêmes les plus petites sont affectées par ce cancer qui s’accompagne en plus de règlements de comptes, de violences et de morts.

Le dernier aspect concerne celui du sentiment d’insécurité vis-à-vis d’un islamisme rampant qui met en cause la laïcité. L’extrémisme religieux veut progressivement prendre le pas sur ce qui fait la spécificité de la France : ses valeurs républicaines, sa liberté et sa démocratie. Bref, un discours politique qui a 1000 ans de retard mais qui s’ancre dans des populations velléitaires et incultes. Bref, Dieu pour remplacer la science, le progrès et la démocratie comme en Afghanistan, en Iran et autre pays d’obédience musulmane extrémiste.

La France a un sérieux besoin de recentrage social et économique mais aussi sociétal sinon le pays s’orientera vers l’appauvrissement, la violence et le chaos.

Et les discours actuels du monde politique ne sont pas à la hauteur des enjeux.

Électricité nucléaire:il faudrait une vingtaine d’EPR nouveaux et non pas six

Électricité nucléaire : il faudrait une vingtaine d’EPR nouveaux et non pas six

 

 

Compte tenu d’une part de l’évolution de la demande, d’autre part de la durée de vie initialement prévue pour le parc nucléair actuel , ce nest pas  six EPR nouveau qu’il faudrait construire mais une vingtaine d’après le président de la commission de régulation de l’énergie . Une évidence à moins comme c’est aussi probable parallèlement de prolonger de 20 30 ans la durée de vie de nombre de réacteurs actuels.

De toute manière actuellement, ce parc actuel est insuffisant pour satisfaire la demande compte tenu des opérations d’entretien plusieurs réacteurs ; des opérations retardées du fait  de la crise sanitaire.

 

Interrogé sur Cnews, dimanche soir, le président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) a souligné le rôle important du nucléaire dans les années à venir. Appelant à mener une réflexion «sur la disponibilité de l’électricité», Jean-François Carenco a estimé que l’Hexagone avait un «vrai sujet de disponibilité de l’électricité, si l’hiver dure fortement, longtemps».

 

Pour «augmenter la part d’électricité [dans la production d'énergie], il faut à la fois du nucléaire […] et du renouvelable, et des économies», a déclaré le représentant de la CRE. Alors que les plans d’Emmanuel Macron pour le nucléaire doivent être précisés, Jean-François Carenco a estimé que la construction de six nouveaux EPR (European Pressurized Reactor) était «insuffisante» : «c’est un démarrage, il en faudrait trois fois plus», a-t-il précisé. «Il faut […] arriver à 50% de nucléaire en 2040, 25% en 2060, c’est l’idée de la CRE», a ajouté le haut fonctionnaire.

Nucléaire : il faudrait une vingtaine d’EPR nouveaux et non pas six

Nucléaire : il faudrait une vingtaine d’EPR nouveaux et non pas six

 

 

Compte tenu d’une part de l’évolution de la demande, d’autre part de la durée de vie initialement prévue pour le parc nucléair actuel , ce nest pas  six EPR nouveau qu’il faudrait construire mais une vingtaine d’après le président de la commission de régulation de l’énergie . Une évidence à moins comme c’est aussi probable parallèlement de prolonger de 20 30 ans la durée de vie de nombre de réacteurs actuels.

De toute manière actuellement, ce parc actuel est insuffisant pour satisfaire la demande compte tenu des opérations d’entretien plusieurs réacteurs ; des opérations retardées du fait  de la crise sanitaire.

 

Interrogé sur Cnews, dimanche soir, le président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE) a souligné le rôle important du nucléaire dans les années à venir. Appelant à mener une réflexion «sur la disponibilité de l’électricité», Jean-François Carenco a estimé que l’Hexagone avait un «vrai sujet de disponibilité de l’électricité, si l’hiver dure fortement, longtemps».

 

Pour «augmenter la part d’électricité [dans la production d'énergie], il faut à la fois du nucléaire […] et du renouvelable, et des économies», a déclaré le représentant de la CRE. Alors que les plans d’Emmanuel Macron pour le nucléaire doivent être précisés, Jean-François Carenco a estimé que la construction de six nouveaux EPR (European Pressurized Reactor) était «insuffisante» : «c’est un démarrage, il en faudrait trois fois plus», a-t-il précisé. «Il faut […] arriver à 50% de nucléaire en 2040, 25% en 2060, c’est l’idée de la CRE», a ajouté le haut fonctionnaire.

EDF : un besoin de financement de 200 milliards d’ici une vingtaine d’années

EDF : un besoin de financement de 200 milliards d’ici une vingtaine d’années

 

EDF est malade de l’endettement, une maladie qui pourrait encore s’aggraver avec les  décisions de l’État de développer les énergies renouvelables (15 milliards en 5 ans, 25 milliards pour le solaire d’ici 2035), d’imposer le projet de construction de deux réacteurs nucléaires EPR au Royaume-Uni, à Hinkley Point, (investissement de 23 milliards d’euros partagé à deux tiers/un tiers entre EDF et le chinois CGN, déjà alliés pour la construction de deux réacteurs en Chine). Face à la crise financière dramatique d’EDF n’a donc pas d’autre solution que le prolongement des centrales actuelles.   Du côté d’EDF, on  s’apprête à lancer un grand carénage. Cette opération devrait représenter un coût de 50 milliards d’euros sur dix ans selon EDF. La Cour des Comptes tablerait plutôt sur un coût de 100 milliards d’euros sur 15 ans. De toute manière la situation financière d’EDF est dramatique.   L’entreprise est sans doute au bord de la rupture financière en tout cas à moyen et long terme du coup ;  il faudra sans doute envisager pour les prochaines années une augmentation de l’ordre de 50 % du prix de l’électricité. D’une manière générale,  le coût de l’électricité d’origine nucléaire a été complètement sous-estimé en France comme dans le monde. Discrètement mais sûrement le patron d’EDF ouvre le débat pour un changement des modalités de financement des centrales nucléaires. Il faut dire que la situation financière d’EDF est intenable. Il faut d’abord apurer une énorme dette de 40 milliards, ensuite trouver 50 milliards (100 milliards pour la Cour des comptes)  pour les travaux permettant de prolonger la durée de vie du parc nucléaire actuel. Financer aussi au moins en partie les 25 à 50 milliards du site d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure en Moselle ; un site d’enfouissement qui va permettre de participer au démantèlement du parc nucléaire actuel. Un démantèlement dont le coût est fixé autour de 15 milliards et qui pourrait être plus proche de 100 milliards. Enfin il faudra faire face à un besoin de financement de 200 milliards à terme pour le renouvellement du parc nucléaire (vers 2040). . En clair EDF ne pourra  affronter  seule  ces défis même avec une augmentation régulière du prix de l’électricité  (il est prévu une augmentation moyenne de 2,5 % par an  pendant plusieurs années) ou par des seules suppressions d’effectifs.

 

Départementales 2015 : à peine une vingtaine de départements pour la gauche

Départementales 2015 : à peine une  vingtaine de départements pour la gauche

Ce sera le grand séisme, la gauche qui détient la majorité dans 60 départements pourraient n’en détenir qu’à peine 20 aux prochaines élections d’après une  information de RTL. Sur 101 départements en tout, entre 30 et 40 seraient susceptibles de basculer à droite en mars, à l’issue des élections départementales. Le FN  serait en mesure d’ obtenir la majorité dans qulques départements mais le grand gagnant sera l’UMP du fait du report des voix de la gauche. L’inverse n’étant pas vrai puisque 50% environ des voix de l’UMP en cas de qualification de la gauche au second tour se reporteront sur le FN. Le calcul est simple,  au premier tour le FN obtiendra à peu près 30%des voix, l’UMP 27.e t le PS autour de 20%. Le problème c’est qu’au second tout les duels concerneront surtout l’UMP et le FN. Or le « reflexe républicain » va jouer en faveur de l’UMP car autour de 15%seulement des voix de la gauche se reporteront sur le candidat du FN. Ces pronostics sont à relativiser car il est probable que les abstentions attiendront pas loin de 60% au premier tour, du coup la démobilisation risque de concerner surtout les électeurs potentiels de la gauche. Et les résultats pourraient être encore plus catastrophiques pour la gauche  en cas d’abstention record.




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