Foot- Coupe de France : une petite victoire du PSG qui suffit
Le PSG a disposé sans briller de l’équipe du Mans ( Nationale) par deux à zéro.
informations économiques politiques société
Foot- Coupe de France : une petite victoire du PSG qui suffit
Le PSG a disposé sans briller de l’équipe du Mans ( Nationale) par deux à zéro.
Le président croate Zoran Milanovic, un socialiste populiste, a été réélu haut la main dimanche, infligeant un camouflet au parti de droite conservatrice HDZ qui dirige le gouvernement. Zoran Milanovic a recueilli plus de 74% des voix au second tour de l’élection présidentielle, contre un peu moins de 26% à son rival Dragan Primorac, selon des résultats officiels portant sur plus de 90% des bulletins dépouillés.
Le PSG a désormais 10 points d’avance en tête du classement sur l’OM (un match en moins) et Monaco. Les Parisiens restent par ailleurs invaincus en championnat. Pour la ligue des champions c’est une autre paire de manches et le PSG est encore loin d’être qualifié.
Foot PSG: Victoire sans éclat sur Toulouse
Victoire 3-0 du PSG sur Toulouse. Le Paris-SG conserve ses six points d’avance en tête au classement. Un Paris-SG qui n’a guère brillé mais s’est montré efficace, contrairement aux Toulousains, qui restaient sur trois victoires de rang. Le tout dans un stade aux tribunes clairsemées et sans le Collectif Ultras Paris, sanctionné après des chants inappropriés.
Rugby 15: Victoire facile de la France contre le Japon en attendant les Blacks
Les Bleus ont facilement battu le Japon 52-12 ce samedi soir pour leurs retrouvailles avec le Stade de France. Ce sera autrement plus relevé dans une semaine face aux All Blacks.
Une victoire facile, 52 à 12. Un galop d’essai avant, dans une semaine et toujours au Stade de France, de défier les All Blacks. Ce sera une autre paire de manches face à des Néo-Zélandais qui viennent de battre l’Angleterre à Twickenham puis l’Irlande à Dublin.
Foot ligue 1: Victoire sans briller du PSG sur Angers
Après avoir sombré face à Antoine Griezmann et l’Atlético en C1 (1-2), les Parisiens se vengent sur une très modeste équipe d’Angers ( 4-2). . Offensivement, les joueurs de Luis Enrique ont été plus efficaces que lors des dernières sorties. Face à un adversaire, certes, plus faible. Après la trêve internationale, Paris recevra Toulouse le 22 novembre prochain en Ligue 1, quatre jours avant un déplacement périlleux en Allemagne pour y affronter le Bayern Munich. Et il y a un monde entre le Bayern de Munich et Angers !
Rugby : duel au sommet et victoire de la Rochelle sur l’UBB
Le Stade Rochelais a disposé de l’Union Bordeaux Bègles (32-22) ce dimanche soir à domicile, en clôture de la septième journée du Top 14.
Les Rochelais, touchés dans leur orgueil, se devaient de relever la tête face à une grosse cylindrée du championnat. C’est chose faite, et de belle manière. Les Jaune et Noir ont livré une première période très consistante, ponctuée d’un jeu très diversifié et fluide qui a cloué sur place les troupes de l’UBB. Mais les Bordelais ont également pu montrer leur caractère. Largués au score à la mi-temps (25-3), les hommes de Yannick Bru ont fait parler la poudre à la reprise pour revenir à seulement 10 petits points des locaux dans le dernier quart d’heure.
Ukraine : plan de la victoire ou de la défaite
Zelensky fait actuellement la promotion de son plan de victoire mais qui pourrait se révéler un plan de défaite en cas d’accession au pouvoir de Trump prêt à brader l’Ukraine à Poutine
S’il est élu le 5 novembre, l’ex-président républicain voudra régler le conflit ukrainien à sa manière, directement avec Vladimir Poutine. C’est un défi majeur auquel l’Europe n’est pas préparée, alerte Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde »,
Ainsi, Donald Trump et Vladimir Poutine seraient de vieilles connaissances qui se parlent régulièrement au téléphone, jusqu’à sept fois depuis que le premier a quitté la Maison Blanche en 2021, y compris après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022. Révélée par Bob Woodward, le célèbre journaliste américain, dans un livre qui vient de paraître aux Etats-Unis, War (« guerre », Simon & Schuster, 448 pages, non traduit), l’information n’a pas été formellement démentie par l’équipe Trump. Elle ne présage, en tout cas, rien de bon pour l’avenir de l’Ukraine, dont le sort est aujourd’hui largement lié au résultat de l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le 5 novembre.
Le candidat républicain s’est vanté de pouvoir résoudre la crise ukrainienne en l’espace de vingt-quatre heures, s’il était élu. Personne ne croit sérieusement que cela soit possible, mais on sait suffisamment de choses sur sa vision de la Russie pour imaginer les contours de la solution envisagée. Colistier de Trump et candidat à la vice-présidence, J. D. Vance a d’ailleurs avancé un scénario qui impliquerait la neutralité de l’Ukraine – donc l’impossibilité pour Kiev de rejoindre l’alliance occidentale. C’est, rappelons-le, une des exigences de la Russie.
Il faut donc imaginer ce qu’une éventuelle victoire de Donald Trump, le soir du 5 novembre, parfaitement plausible à trois semaines du scrutin, signifierait pour l’Ukraine. Cette fois-ci, contrairement au soir du 3 novembre 2020, il est prêt. Il a un plan pour l’Ukraine. Logiquement, il demandera l’abandon de l’aide militaire américaine à Kiev. Elle ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, mais une telle annonce bouleversera brutalement le paysage stratégique : les Européens ne sont pas en mesure de compenser la perte de l’aide américaine. L’armée ukrainienne aura de plus en plus de mal à résister à l’offensive russe.
Trump pourra alors proposer à Vladimir Poutine d’ouvrir des négociations, dans les termes que l’on devine sans peine, puisque les Ukrainiens se trouveraient en position de faiblesse. Ce serait, en réalité, pour l’Ukraine, les pourparlers de la défaite.
Ukraine : plan de la victoire ou de la défaite
Zelensky Fait actuellement la promotion de son plan de victoire mais qui pourrait se révéler un plan de défaite en cas d’accession au pouvoir de Tran prêt à brader l’Ukraine à Poutine
S’il est élu le 5 novembre, l’ex-président républicain voudra régler le conflit ukrainien à sa manière, directement avec Vladimir Poutine. C’est un défi majeur auquel l’Europe n’est pas préparée, alerte Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde »,
Ainsi, Donald Trump et Vladimir Poutine seraient de vieilles connaissances qui se parlent régulièrement au téléphone, jusqu’à sept fois depuis que le premier a quitté la Maison Blanche en 2021, y compris après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022. Révélée par Bob Woodward, le célèbre journaliste américain, dans un livre qui vient de paraître aux Etats-Unis, War (« guerre », Simon & Schuster, 448 pages, non traduit), l’information n’a pas été formellement démentie par l’équipe Trump. Elle ne présage, en tout cas, rien de bon pour l’avenir de l’Ukraine, dont le sort est aujourd’hui largement lié au résultat de l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le 5 novembre.
Le candidat républicain s’est vanté de pouvoir résoudre la crise ukrainienne en l’espace de vingt-quatre heures, s’il était élu. Personne ne croit sérieusement que cela soit possible, mais on sait suffisamment de choses sur sa vision de la Russie pour imaginer les contours de la solution envisagée. Colistier de Trump et candidat à la vice-présidence, J. D. Vance a d’ailleurs avancé un scénario qui impliquerait la neutralité de l’Ukraine – donc l’impossibilité pour Kiev de rejoindre l’alliance occidentale. C’est, rappelons-le, une des exigences de la Russie.
Il faut donc imaginer ce qu’une éventuelle victoire de Donald Trump, le soir du 5 novembre, parfaitement plausible à trois semaines du scrutin, signifierait pour l’Ukraine. Cette fois-ci, contrairement au soir du 3 novembre 2020, il est prêt. Il a un plan pour l’Ukraine. Logiquement, il demandera l’abandon de l’aide militaire américaine à Kiev. Elle ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, mais une telle annonce bouleversera brutalement le paysage stratégique : les Européens ne sont pas en mesure de compenser la perte de l’aide américaine. L’armée ukrainienne aura de plus en plus de mal à résister à l’offensive russe.
Trump pourra alors proposer à Vladimir Poutine d’ouvrir des négociations, dans les termes que l’on devine sans peine, puisque les Ukrainiens se trouveraient en position de faiblesse. Ce serait, en réalité, pour l’Ukraine, les pourparlers de la défaite.
Foot–Europe : victoire de Lyon sur Glasgow 4-1
L’OL s’est largement et logiquement imposé sur la pelouse des Rangers (1-4), jeudi, lors de la deuxième journée de Ligue Europa.
Aux côtés d’Alexandre Lacazette, Rayan Cherki et Malick Fofana auront mis le feu dans la défense des Rangers. Le premier cité a délivré deux passes décisives et le second fut le premier et dernier buteur de la rencontre. Un vent nouveau est en train de souffler sur le club lyonnais, qui a vu ses deux jeunes pépites être décisifs à plusieurs reprises ces dernières semaines. Une bouffée d’air frais pour l’équipe de Pierre Sage, qui a enfin lancé sa saison et qui enchaîne une troisième victoire consécutive toutes compétitions confondues.
Foot–ligue des champions–victoire historique de Lille sur le Real
L’entraîneur de Lille était aux anges après cette victoire historique un–zéro sur le Real Madrid. Une victoire totalement méritée de Lille qui aura dominé son match sauf pendant les 25 dernières minutes.
« On a dit très tôt à nos joueurs qu’on avait tout à gagner sur ce match, ce qui est rare car c’est l’inverse en championnat. Il fallait aborder ce match avec calme et sérénité. Il ne fallait pas être spectateurs et faire le strict minimum et se contenter de défendre. Notre très bon début de match nous a donné confiance et marquer juste avant la mi-temps est le meilleur moment. Après, on a été solide, avec 25 minutes très difficiles. C’est normal face à une telle équipe. Chapeau à mes joueurs. »
Foot Europe C 4: Une victoire fragile de Lens
Lens a gagné le match aller face au Panathinaikos (2-1). Malgré leur domination, les Grecs ne sont pas parvenus à faire leur retard avant le retour dans une semaine, dans une ambiance électrique au Stade olympique d’Athènes. Pas sûr que la victoire de la première manche soit suffisante.
Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition
Alors que l’autorité électorale a ratifié la victoire frauduleuse de Nicolas Maduro, plusieurs pays reconnaissent la victoire de son opposant . Les Etats-Unis, le Pérou, l’Argentine et l’Uruguay dénoncent des fraudes massives du président socialiste réélu.
Plusieurs pays ont accusé le président socialiste au pouvoir depuis 2013 de fraudes massives, et affirmé que son opposant avait remporté la victoire. « Sur la base de preuves accablantes, il est clair pour l’Uruguay qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu la majorité des voix lors des élections présidentielles au Venezuela », a par exemple écrit le ministre des Affaires étrangères uruguayen, Omar Paganini, sur le réseau social X.
Des milliers de personnes ont été interpellées lors de manifestations spontanées qui ont éclaté dans le pays dans les deux jours qui ont suivi le scrutin, faisant au moins 11 morts civils, selon les organisations de défense des droits humains.