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Les cryptomonnaies victimes de la criminalité

Les  cryptomonnaies victimes de la criminalité

 

Les cryptomonnaies, qui ont joué un rôle dans l’essor de la cybercriminalité, sont désormais dans le collimateur des autorités

 Un article de Justin Lahart et Telis Demos (Wall Street Journal)

On s’est longtemps demandé à quoi pouvaient bien servir les cryptomonnaies. La réponse est aujourd’hui évidente : elles offrent un excellent terreau à la criminalité.

Les arnaqueurs de tous poils étaient, eux, arrivés à cette conclusion dès le lancement de la première monnaie numérique privée (le bitcoin) en 2009. Si les autorités réussissent de mieux en mieux à remonter la piste des transactions en bitcoin et (parfois) à saisir les butins, la possibilité de réaliser des paiements digitaux sans intermédiaires financiers a facilité la vente de biens et de services illégaux en ligne et le blanchiment d’argent. Dans un article daté de 2019, les chercheurs Sean Foley, Jonathan Karlsen et Tālis Putniņš estimaient que 46 % des transactions en bitcoin réalisées entre janvier 2009 et avril 2017 concernaient des activités illégales.

Le poids du trading spéculatif a depuis lors nettement augmenté, mais la récente vague d’attaques au ransomware (utilisés par les cybercriminels pour bloquer le réseau informatique de leur victime, à qui ils demandent une rançon, généralement en bitcoin, en l’échange du déblocage des fichiers) a alourdi le casier judiciaire des devises virtuelles. Le mois dernier, une attaque contre Colonial Pipeline a mis à l’arrêt un oléoduc essentiel à l’approvisionnement en carburant de la côte est des Etats-Unis, et une autre a provoqué début juin l’arrêt d’une partie des usines de transformation de viande de JBS dans le pays.

Et ce n’est pas qu’une affaire d’argent. Quand des hôpitaux sont attaqués, ce sont aussi des vies qui sont en jeu. Lors d’un récent entretien avec le Wall Street Journal, le directeur du FBI, Christopher Wray, a comparé les problèmes posés par ces attaques au rançongiciel aux défis qu’avaient constitués les attentats du 11 septembre.

Pour les autorités, la difficulté ne réside pas forcément dans l’identification des cybercriminels mais dans le fait que, contrairement à leurs prédécesseurs qui manipulaient valises de billets ou lingots d’or, les petits nouveaux sévissent souvent depuis des pays avec lesquels les Etats-Unis n’ont pas de traités d’extradition. Le FBI a réussi à saisir une partie de la rançon payée en cryptomonnaie par Colonial Pipeline au groupe criminel DarkSide. Mais parce que ses membres résident probablement en Russie, ils ne seront pas inquiétés.

Autre problème : il n’existe pas de solution simple pour empêcher les hackers de mettre la main sur les données, car les systèmes de protection informatique que l’on utilise sont à la fois trop complexes et trop criblés de points faibles.

Pour dissuader les cybercriminels de lancer des attaques au ransomware, la solution réside peut-être dans le fait de les empêcher de recevoir les rançons. C’est là que le parallèle avec le 11 septembre prend tout son sens : adopté en 2001, le Patriot Act est venu durcir un certain nombre de dispositions du Bank Secrecy Act de 1970. Objectif : perturber le financement des réseaux terroristes.

Autre option possible, quoiqu’un peu radicale : interdire les paiements et le négoce en cryptomonnaie, ce que les autorités chinoises ont d’ailleurs cherché à faire. Mais compte tenu des enjeux financiers (désormais non négligeables, puisque les cryptomonnaies pèsent 1 600 milliards de dollars, selon coinmarketcap.com), il semble peu probable que Washington s’engage sur cette voie, du moins pas dans un premier temps.

Il existe en revanche des mesures que les autorités américaines pourraient prendre pour limiter l’intérêt des cryptomonnaies pour les transactions commerciales ou, a minima, en augmenter le coût.

Tout comme il est relativement difficile de passer inaperçu quand on transporte un million de dollars dans une valise, l’idée pourrait par exemple être de compliquer l’utilisation ou le transfert de cryptomonnaies liées à des vols. L’administration Biden propose ainsi d’imposer les mêmes règles que celles qui s’appliquent aux entreprises qui reçoivent des paiements de plus de 10 000 dollars en numéraire, à savoir les déclarer à l’IRS, l’administration fiscale américaine.

Les pouvoirs publics pourraient aussi renforcer les obligations de surveillance. Des mesures sont d’ores et déjà à l’étude. Evoquant des « impératifs de sécurité nationale », le département américain du Trésor a proposé l’an passé de restreindre encore les transferts vers les portefeuilles dits « non hébergés », c’est-à-dire non liés à une banque ou un intermédiaire financier soumis à réglementation. Le Groupe d’action financière (GAFI), un organisme intergouvernemental de lutte contre le blanchiment d’argent, a récemment dévoilé de nouvelles recommandations étendant les exigences de sécurité à une liste bien plus large d’entités liées aux cryptomonnaies.

Ces mesures pourraient réduire l’anonymat et la décentralisation d’un pan entier des transactions en cryptomonnaies, une perspective qui est loin de satisfaire tout le monde. Le durcissement de la réglementation pourrait aussi rendre les transactions légales plus onéreuses donc rendre les cryptomonnaies moins intéressantes.

Mais le principal risque, c’est que les efforts institutionnels échouent à enrayer les activités nocives qui s’appuient sur les cryptomonnaies.

Les crimes pourraient alors devenir plus odieux encore et le durcissement des restrictions, plus acceptable du point de vue politique.

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Marion Issard)

SCIENCES PO GRENOBLE: encore de profs supposés Islamophobes victimes de terreur

SCIENCES PO GRENOBLE: encore de profs supposés Islamophobes  victimes de terreur

 

insidieusement l’islamo gauchisme pourtant non reconnu officiellement par la science pénètre l’université. En fait, une terreur qui s’installe à l’égard de ceux  qui ne se plient pas au discours radical et verbeux de certains sociologues. Discours d’ailleurs pseudo scientifique qui s’enivre de concepts fumeux SUR FOND DE SEMANTIQUE SOPHISTE. Ainsi deux enseignants de l’institut d’études politiques IEP de Grenoble sont accusés d’ Islamophobie et de dénonciation publique..

Les deux enseignants sont encore visés par des accusations d’islamophobie à l’Institut d’études politiques IEP de Grenoble font l’objet de mesures de protection susceptibles d’être renforcées, a déclaré ce lundi le ministre de l’Intérieur en déplacement à Gannat dans l’Allier.

Si cette évaluation « démontre qu’il y a un danger particulier », les deux enseignants « seront – évidemment il faudrait qu’ils l’acceptent – protégés par la police personnellement », a-t-il affirmé. « En attendant cette évaluation, des mesures sont prises pour les protéger » car « chacun dans ce pays doit pouvoir être protégé par la République lorsqu’il est mis en accusation », selon lui.

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Une enquête pour « injure publique » et « dégradation » a été ouverte par le parquet de Grenoble après un collage d’affiches jeudi à l’entrée de l’IEP sur lesquelles on pouvait lire: « Des fascistes dans nos amphis. L’islamophobie tue », avec les noms de ces deux professeurs.

L’islamo gauchisme se répand et se radicalise d’autant plus qu’il ne concerne qu’une partie de plus en plus réduite d’une petite élite activiste. Exactement le même phénomène que lors des luttes sociales avec la radicalisation qui croit d’autant plus que la mobilisation diminue. Même chose pour la société française qui a tendance à se droitiser car  trop déçue de la gauche tandis que des minorités agissantes s’enferment dans les discours de plus en plus extrémistes d’extrême-gauche.

Conséquence Brexit : les crustacés britanniques victimes

Conséquence Brexit : les crustacés britanniques victimes

es crustacés britanniques sont les premières victimes des contraintes douanières administratives et des contrôles. Ainsi des volumes très importants de crustacés n’ont pu être exportés comme d’habitude vers l’union européenne. Les retards du à ces opérations douanières ont d’ailleurs conduit les acheteurs à refuser les crustacés britanniques.

Des camions avec des slogans tels que «carnage du Brexit» et «gouvernement incompétent détruisant l’industrie des fruits de mer» stationnaient à quelques mètres du bureau de Johnson’s 10 Downing Street, dans le centre de Londres. La police demandait des détails aux chauffeurs de camion.

«Nous sommes convaincus que le système pourrait potentiellement s’effondrer», a déclaré Gary Hodgson, directeur de Venture Seafoods, qui exporte des crabes et des homards vivants et transformés vers l’UE.

« Le Premier ministre Boris Johnson doit être honnête avec nous, avec lui-même et avec le public britannique au sujet des problèmes de l’industrie », a-t-il déclaré à Reuters. Un opérateur, a-t-il dit, avait besoin de 400 pages de documents d’exportation la semaine dernière pour entrer en Europe.

David Rosie, de DR Collin & Son, qui emploie 200 personnes, envoyait un ou deux camions par nuit en France transportant du crabe, du homard et de la langoustine vivants d’une valeur d’environ 150 000 livres (203 000 dollars). Il a dit qu’il n’avait pas exporté une seule boîte cette année.

Niger: attaque terroriste et victimes

Niger: attaque terroriste et victimes

Des attaques de terroristes ont eu lieu dans la région très dangereuse de Tillabéri, dans l’ouest du Niger, ont indiqué à l’AFP des autorités locales et des habitants, le jour de la proclamation des résultats de la présidentielle.

 

Tchomo-Bangou», un village du département de Ouallam, frontalier du Mali, a été victime des islamistes.

 

«Les assaillants sont venus encercler le village et ils ont tué jusqu’à cinquante personnes. Des blessés ont été évacués à l’hôpital de Ouallam», d’après un journaliste local.

L’attaque de Tchomo-Bangou intervient alors que les résultats du premier tour de l’élection présidentielle du 27 décembre sont tombés, donnant largement en tête (39,33%) le candidat du parti au pouvoir Mohamed Bazoum, ancien ministre de l’Intérieur qui a promis de renforcer la lutte contre les groupes jihadistes. Depuis plusieurs années, le Niger est en proie à des attaques jihadistes dans ses parties Ouest et Sud-Est, qui ont fait des centaines de morts, de même que le Mali et le Burkina Faso voisin.

Attentat djihadiste au Nigéria : 110 victimes

Attentat djihadiste au Nigéria : 110 victimes

«Le 28 novembre, en début d’après-midi, des hommes armés sont arrivés à moto et ont mené une attaque brutale sur des hommes et des femmes qui travaillaient dans des champs à Koshobe», a déclaré dimanche le coordinateur humanitaire de l’ONU au Nigeria, Edward Kallon. «Au moins 110 civils ont été froidement tués, et de nombreux autres blessés dans cette attaque», a-t-il ajouté.

Le communiqué de l’ONU ne mentionne pas le groupe djihadiste Boko Haram, qui multiplie les attaques dans cette région depuis plus de dix ans et contrôle une partie du territoire.

L’attaque s’est produite dans une rizière située à moins de dix kilomètres de Maiduguri, la capitale de l’Etat du Borno, épicentre de l’insurrection islamiste. Le mois dernier, 22 agriculteurs avaient déjà été tués dans leurs champs, non loin de cette ville.

Figurent notamment parmi les victimes des dizaines d’ouvriers agricoles originaires de l’État de Sokoto, à environ 1.000 km à l’ouest, qui s’étaient rendus dans l’Etat de Borno pour trouver du travail dans les rizières.

L’attaque est survenue le jour des élections des représentants et conseillers régionaux des 27 circonscriptions de l’Etat du Borno, un scrutin repoussé depuis 2008 pour des raisons de sécurité.

Les attaques attribuées à Boko Haram et à une faction dissidente, le groupe Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap), ciblent de plus en plus fréquemment des bûcherons, agriculteurs et pêcheurs.

Coronavirus : les pauvres davantage victimes

Coronavirus : les pauvres davantage victimes

D’après une très vaste enquête menée  par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), menée sur plus de 130.000 personnes  les pauvres notamment urbains sont les principales victimes du Coronavirus.

 

Les personnes habitant une commune très densément peuplée (au moins 1.500 habitants par km2 avec un minimum de 50.000 habitants) ont ainsi été deux fois plus nombreuses à avoir été positives.

Les personnes vivant dans les logements surpeuplés ou avec des conditions de vie difficiles sont nettement plus contaminées. D’après les données de l’enquête, les personnes habitant un logement de moins de 18 m2 par personne (pour celles qui partagent un logement) sont 2,5 fois plus nombreuses à avoir été positives.

Les habitants de Seine-Saint-Denis, département très densément peuplé et où les conditions de logement sont souvent difficiles, ont ainsi été particulièrement touchés.

Le Covid-19 a été contracté par 14% des employés non qualifiés, 16% des ouvriers qualifiés et 17% des ouvriers non qualifiés. A l’inverse, seulement 5% des cadres et professions intellectuelles supérieures l’ont eu.

Un fonds d’indemnisation des victimes du coronavirus !

Un fonds d’indemnisation des victimes du coronavirus !

Deux députés PS, Christian Hutin et Régis Juanico ont déposé, mercredi, une proposition de loi visant à créer un fonds d’indemnisation des victimes du coronavirus pour que «la Nation n’oublie personne, ni les soldats de la République, ni la première tranchée». Pour les deux députés, les précédentes annonces du gouvernement ne sont pas suffisantes. En avril, le ministre de la Santé avait, en effet, indiqué que le coronavirus serait reconnu de façon «automatique» comme maladie professionnelle mais seulement pour le personnel soignant. «Quid des autres professions ?» s’interroge Christian Hutin.

C’est là toute la difficulté d’un tel dispositif : qui sont les victimes du coronavirus ? «Il peut y avoir des victimes directes, les malades et les ayants droit, c’est-à-dire les proches d’une personne décédée qui demandent une indemnisation au nom de cette personne. Mais aussi des victimes indirectes qui veulent obtenir réparation au motif qu’elles n’ont pas pu accompagner leur proche, lui offrir une sépulture digne, par exemple. Mais on peut également imaginer que des personnes demandent une indemnisation car elles estiment avoir été privées de soin après le report de leur intervention médicale comme les hôpitaux étaient surchargés et donc qu’elles ont enduré des souffrances qui auraient pu cesser grâce à cette intervention”, détaille Bénédicte Papin, avocate spécialisée en droit de la santé et en réparation du dommage corporel.

Or, si pour certains cas la causalité est évidente, pour d’autres, elle semble plus difficile à prouver. Tous les malades du covid n’ont pas été testés et ne peuvent donc pas apporter cette preuve attestant l’origine de leurs maux. De même pour les morts : «dans le cas d’une personne très âgée, comment prouver qu’elle est décédée du coronavirus ?», s’interroge l’avocate.

C’est là tout l’intérêt de la création d’un fonds d’indemnisation, conclut Michel Parigot : «Pour que les gens puissent faire valoir leur droit à l’indemnisation de façon simple et rapide sans avoir à passer par des procédures judiciaires, car cette indemnisation répond à un besoin urgent». Indemniser toutes les victimes, mais surtout tous les préjudices personnels, comme ceux esthétiques et physiques, mais aussi économiques dont relèvent par exemple les pertes financières lorsqu’une victime ne peut plus travailler ou la perte d’un revenu dans un foyer après un décès.

Indemniser vite, mais combien ? Pour Me Papin, le pendant du fonds est qu’il indemnise de manière uniformisée sans prendre en compte la spécificité de chaque cas. «Il va s’appuyer sur un barème et un référentiel de façon à ce que tout le monde soit indemnisé pareil. Or, si on a passé trois semaines en réanimation ou trois mois, on n’aura pas les mêmes séquelles. C’est un moyen de maîtriser le coût de l’indemnisation au détriment de la réparation intégrale du préjudice», regrette-t-elle.

Un coût qui s’élèverait selon la proposition de loi à maximum 500 millions d’euros versés au fonds afin d’accorder une réparation à «entre 50 et 60.000 victimes et ayants droit».

Coronavirus France : recul des victimes

Coronavirus France : recul des victimes

 

 

369 nouveaux décès dus au COVID-19, pour un total de 22.614 depuis le 1er mars, a annoncé samedi la Direction générale de la santé.

Ce bilan quotidien est le plus faible depuis le début de la semaine, au cours de laquelle il avait jusqu’à présent constamment dépassé les 500 morts, à l’exception de vendredi (389 morts).

Le nombre de décès se répartit entre 14.050 décès enregistrés dans les hôpitaux et 8.564 décès recensés dans les établissements sociaux et médico-sociaux, dont les Ehpad, a précisé la DGS dans un communiqué.

Le nombre de personnes hospitalisées en France pour une infection COVID-19 a baissé en une journée de 436, et s’élève au total à 28.222, dont 4.755 patients en réanimation.

Cent vingt-quatre nouveaux patients atteints de COVID-19 ont été placés en réanimation au cours des dernières 24 heures mais le solde entre les entrées et les sorties reste négatif (-145), a encore précisé la DGS.

Quatre régions (Ile-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes, Grand Est et Hauts-de-France) concentrent près de trois quarts des patients.

Dans son communiqué, la DGS observe également une hausse du nombre de patients en réanimation hors COVID-19, qui pourrait résulter de l’interruption du suivi et du traitement des patients atteints de maladies chroniques ou de pathologies aiguës graves.

Au total, le nombre total de patients en réanimation en France s’élève à 7.525, toutes causes confondues, ce qui est supérieur de 50% aux capacités initiales de réanimation en France, qui était d’environ 5.000 lits avant le début de l’épidémie.

Coronavirus Italie: tassement du nombre de victimes

Coronavirus Italie: tassement du nombre de victimes

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482 morts de plus samedi en Italie, soit la plus faible augmentation depuis le 12 avril, tandis que le nombre de nouveau cas, à 3.491, est resté stable d’un jour sur l’autre.Vendredi, le nombre de décès avait augmenté de 575 – contre +525 jeudi – tandis que le total de nouveau cas avait crû de 3.493.

Les hausses quotidiennes de décès et de cas sont dans la lignée de la tendance à la stabilisation observée depuis 13 jours.Ce “plateau” dans l’évolution quotidienne de l’épidémie se situe à un niveau nettement inférieur aux pics atteints fin mars mais la décrue ne semble pas aussi rapide que certains l’espéraient dans un pays dont la population est confinée depuis six semaines.

Le nombre de décès depuis le début de l’épidémie en Italie est désormais de 23.227, le deuxième total le plus élevé dans le monde derrière les Etats-Unis, où le nombre de décès a passé la barre des 37.000.

Le nombre de cas confirmés de contamination est désormais de 175.925 en Italie. Seuls les Etats-Unis et l’Espagne en comptent officiellement davantage.

Coronavirus : les tests massifs en Islande limitent les victimes

Coronavirus : les tests massifs en Islande limitent les victimes  

Alors que macro encore affirmée lors de sa dernière intervention télévisée que les tests massifs n’auraient aucun sens, l’Islande démontre au contraire que le dépistage limite le nombre de victimes d’après France Info. Au total, 10% de la population a été testée, ce qui fait de l’île la championne du monde du dépistage par habitants, de loin. Elle a ainsi testé dix fois plus que la Corée du Sud (10 tests pour 1 000 habitants, selon le site Our World in Data), un autre pays montré en exemple en la matière.

. Ce dépistage massif a manifestement aidé à freiner la circulation du virus, en permettant de repérer des personnes infectées et contagieuses, mais qui n’avaient pas de symptômes ou qui pensaient avoir un rhume bénin ou une grippe.

Chaque personne dont le test était positif devait s’isoler chez elle jusqu’à 10 jours après la fin de la fièvre ou jusqu’à un test négatif, et toutes les personnes qui avaient été en contact avec elles devaient se placer en quarantaine pendant deux semaines. Si elles n’avaient pas été testées, les personnes atteintes par le virus sans le savoir ne se seraient sans doute pas isolées et auraient contaminé d’autres habitants.

L’Islande a détecté actuellement 1 720 cas sur 364 000 habitants, ce qui est proportionnellement élevé par rapport à d’autres pays qui ne testent que les patients hospitalisés. Pourtant, le pays ne compte que huit morts, ce qui, rapporté à la population, est dix fois moins important qu’en France. On peut donc conclure que plus on teste la population, moins il y a de morts.

Ces tests livrent quatre informations intéressantes. D’abord, une proportion élevée de personnes ayant eu un résultat positif, soit 43%, n’avaient pas de symptômes (ou pas encore). Une nouvelle preuve que les porteurs asymptomatiques et présymptomatiques sont nombreux. D’où la nécessité de tester massivement la population afin que ces derniers se confinent au maximum pour éviter de contaminer le reste de la population.

Ensuite, les analyses montrent que dans un premier temps, ce sont probablement les Islandais revenant d’Italie et d’Autriche qui ont ramené le virus chez eux. Puis il semble que ce soit, en partie, des voyageurs revenant du Royaume-Uni, avant que ce pays-là ne soit déclaré zone à risque… Ce qui suggère que le coronavirus circulait assez tôt chez les Britanniques.

L’étude met également en évidence que les femmes sont moins susceptibles d’être positives au Covid-19 que les hommes, que ce soit au sein des personnes symptomatiques (11 % contre 16,7 % pour les personnes de sexe masculin) ou dans le groupe de dépistage non ciblé (0,6 % contre 0,9 %).

Elle montre enfin que, parmi les personnes testées présentant des symptômes, les enfants de moins de 10 ans ont deux fois moins de tests positifs que les personnes plus âgées : 6,7% contre 13,7%. La différence est encore plus forte chez les individus sans symptômes ou avec des symptômes bénins : dans ce groupe, aucun enfant de moins de 10 ans n’a été testé positif (sur 800 testés) contre 0,8% des 10 ans et plus.

Les chaînes de magasins victimes, dernier exemple C&A

Les chaînes de magasins victimes, dernier exemple C&A

Nombre de chaînes de magasins subissent la concurrence féroce de plates-formes comme Amazon et autres. Déjà plusieurs chaînes engagées des plans de réduction d’effectifs voir de suppression totale de magasins. Les trois principaux marchés de l’e-commerce en Europe sont le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France. En 2016, les ventes dans ces trois pays combinées ont atteint une valeur de 175 milliards de dollars, soit 75% des revenus générés par l’e-commerce dans les 11 pays européens couverts par cette étude.

En Europe, les ventes en ligne ont représenté 232,6 milliards d’euros en 2016 et devraient atteindre 265,7 milliards d’euros en 2017 (+14,2%) et  302,4 milliards en 2018.

Ces dernières années ont été très profitables pour les commerçants en ligne, en Europe. Entre 2015 et 2017 on constate en effet une croissance de 32% des revenus générés en ligne.

Le mobile s’est imposé au cours des dernières années comme un canal à part entière pour chercher des informations mais aussi, de plus en plus, pour l’achat de produits.

Depuis 2013, les ventes sur mobile ont enregistré une hausse de 527%, contre seulement 25% de croissance pour les ventes sur ordinateur.

Aujourd’hui, il y a plus de mobiles que de personne, on compte en moyenne 125 abonnements mobiles en Europe pour 100 personnes. 64% des Européens sont équipés d’un smartphone. Résultat de cette évolution, beaucoup de chaînes traditionnelles de magasins voient leur activité se réduire. Ainsi chez  C&A France, un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) annoncé en fin de semaine par la direction de l’enseigne. « La direction de l’enseigne annonce 14 fermetures de magasins et engage un PSE pour les quelque 120 salariés concernés », a affirmé la fédération commerce de FO dans un communiqué. Selon le syndicat, les magasins de Caen, Clermont-Ferrand et de Saint-Etienne font partie des succursales concernées.

La chaîne néerlandaise a déjà fermé des magasins ces dernières années. Elle en compte 150 en France, selon les données publiées sur son site internet, et 1.575 magasins en Europe. Le secteur de l’habillement est soumis depuis plusieurs mois à rude épreuve et connaît de nombreux plans sociaux et réductions d’effectifs: Pimkie, Vivarte (La Halle, Naf-Naf), Happychic …

Les gilets jaunes victimes de leurs leaders

Les gilets jaunes victimes de leurs leaders

 

 

 

 

Le mouvement des gilets jaunes dérape surtout en raison des postures très contradictoires de leurs leaders. Par exemple la liste RIC aux européennes  a sérieusement du plomb dans l’aile depuis la défection de plusieurs de ses candidats et en particulier de sa tête de liste,  Ingrid le Vavasseur. Cette dernière a même été chassée de la manifestation de dimanche dernier par des autres gilets jaunes qui la soupçonnent de récupération politique au bénéfice de Macron. D’autres au contraire ont pris des postures de caractère révolutionnaire en glissant des revendications initiales à caractère social à des objectifs politiques qui servent d’autres intérêts que ceux d’Ingrid le Vavasseur Le soutien aux manifs des gilets jaunes devient minoritaire dans l’opinion publique et bascule en raison des dérives de certains leaders : Dérives extrémistes, dérives politiques et dérives personnelles sans parler des violences qui ternissent le mouvement. Certes une majorité soutient encore les gilets jaunes mais la même majorité condamne les manifestations.  Deux principaux leaders radicaux des gilets jaunes en particulier sont en train de tuer le mouvement : Maxime Nicolle et Eric Drouet  (sans parler de Christophe Chalençon qui parle de prise de pouvoir par des paramilitaires !). Heureusement d’autres leaders plus réalistes considèrent les dérives politiques comme irresponsables.  Finalement, certains leaders autoproclamés  n’ont pu résister au parfum médiatique très éphémère qui peut donner l’impression à un individu d’atteindre la notoriété éternelle et de prétendre au rôle de leader majeur dans la société. Malheureusement, ils sont tombés dans le piège du système qu’ils dénoncent eux-mêmes, celui de la personnalisation, de la médiatisation et du star-system. Ils ont d’abord largement dénaturé la nature et l’objet du mouvement fondé sur une revendication de justice sociale et de justice fiscale. Cela pour y substituer des revendications plus politiques notamment l’illusoire référendum d’initiative citoyenne qui se substituerait au fonctionnement démocratique actuel. Certes un fonctionnement très critiquable mais qui appelle des transformations autrement plus élaborées que le seul recours à un référendum. Ces deux leaders autoproclamés ont certes des soutiens nombreux mais ce sont essentiellement les plus radicaux. Plus la mobilisation s’affaiblit et plus le mouvement se radicalise, ce  qui du coup découragent les plus modérés. Tout cela se termine en général par des actions  qui ne reposent plus que sur les plus extrémistes. Un phénomène bien connu dans le mouvement social : plus l’action devient minoritaire et plus on propose des formes d’action dure et cela jusqu’à l’extinction des forces. Bref le contraire d’une gestion responsable d’une action collective. En plus du caractère extrémiste et d’une  idéologie sulfureuse anarcho légèrement de droite des deux leaders évoqués,  il faut noter  leur grande insuffisance en matière de connaissances économiques voire sociétales. Leur expression est particulièrement confuse et contradictoire. Bref, le costume de leader politique est un peu grand pour eux. Aujourd’hui l’opinion publique n’approuve plus les manifestations répétées chaque week-end non seulement en raison des violences mais aussi du manque total de perspective de ce mouvement conduit de manière totalement anarchique et irresponsable. Finalement la plupart des gilets jaunes avaient bien raison de se méfier de tous les leaders autoproclamés et de leur dérive. Le mouvement des gilets jaunes méritait mieux.

 

Assurance chômage : les négociations victimes de la loi travail

Assurance chômage : les négociations victimes de la loi travail

 

Il est vraisemblable que les négociations qui s’ouvrent lundi concernant la réforme de l’assurance chômage risquent de s’enliser tant que la situation concernant la loi travail  n’aura pas été définitivement clarifiée. Du coup les partenaires sociaux , syndicats patronaux et syndicats de salariés risquent de radicaliser leur position pour éviter d’aboutir sur une réforme qui vise à s’attaquer au problème du déficit récurrent de l’Unedic (3,6 milliards de déficits en 2016 et près de 30 milliards d’ici la fin de l’année en déficit cumulé ; ) de toute manière les partenaires étaient déjà en fort désaccord sur la réforme de l’assurance-chômage avant le conflit sur la loi travail , conflit qui va encore amplifier les oppositions sur les mesures à prendre pour assainir la situation financière de l’Unedic. Il y a quelques semaines le gouvernement avait menacé de se substituer aux partenaires sociaux en cas d’échec des négociations. Cependant compte  tenu de la mobilisation sur la loi travail  il est peu vraisemblable que le gouvernement manifeste maintenant des velléités pour gérer en direct ce dossier sensible Le Medef a transmis vendredi aux organisations syndicales un projet d’accord qui ne fait que reprendre des propositions déjà rejetées par les syndicats, notamment en matière de calcul des allocations et de traitement des seniors. « C’est à se demander si le Medef ne cherche pas à faire capoter les négociations », a déclaré samedi à Reuters le négociateur de Force ouvrière (FO) Michel Beaugas, selon qui ce sentiment est partagé par ses homologues des autres syndicats. « Le patronat n’a pas modifié d’un iota ses propositions », souligne-t-il, ce que l’on ne dément pas de source proche de la direction de l’organisation patronale. Les modifications des modalités de calcul et de versement des allocations chômage proposées par le Medef reviennent, selon le négociateur de FO, « à faire 1,5 milliard d’euros d’économies exclusivement sur le dos des demandeurs d’emploi ». Rien en revanche sur la modulation des cotisations patronales en fonction de la nature et de la durée des contrats de travail pour enrayer le recours croissant aux contrats très courts en alternance avec des périodes de chômage indemnisé, un mécanisme demandé sous différentes formes par les syndicats. « Le Medef n’a pas de mandat pour négocier la modulation des contributions et son conseil exécutif ne doit en décider que le 13 juin », souligne Michel Beaugas. Or sans dispositif sanctionnant le recours abusif aux contrats de travail très courts et sans avancée sur la question des seniors, il n’y aura pas d’accord, prédit-il. Le négociateur du Medef, Jean Cerutti, a déclaré lors de la précédente session plénière, le 12 mai, que le contenu du texte porté par la ministre du Travail, Myriam El Khomri, n’incitait pas le patronat à être « plus souple ». Le Medef estime que ce texte, dans la version actuellement examinée par le Parlement, n’aura pas d’impact positif sur l’emploi. Il n’est donc pas enclin à abaisser ses exigences en matière d’économies ou à « envisager des charges supplémentaires sur le travail sous quelque forme que ce soit », a-t-il expliqué. Dans ces conditions, la session de lundi, censé à l’origine être conclusive pour permettre à la nouvelle convention Unedic d’être bouclée avant que celle de 2014 arrive à échéance le 30 juin, ne commencera qu’à 15h00 et devrait être relativement courte, estime-t-on du côté syndical comme du côté patronal. (Avec Reuters)

Abdeslam veut porter plainte contre le procureur, pourquoi pas contre les victimes ?

Abdeslam veut porter plainte contre le procureur, pourquoi pas contre les victimes ?

D’après, Sven Mary avocat de Salah Abdeslam, le terroriste va sans doute porter plainte contre le procureur le Procureur de la République française. On sait que l’avocat d’Abdeslam est un redoutable procédurier ; pour autant ; il touche là  à la fois le ridicule et à  l’innommable. Pourquoi aussi ne pas porter plainte également contre les victimes ? Cette plainte contre la justice française est une insulte à la mémoire des victimes et salit la profession même de défenseur. Certes en dépit des crimes commis le terroriste a bien entendu le droit d’être défendu  mais il y a des limites à l’indécence procédurière. Cela d’autant plus que le procureur français n’a révélé aucun scoop. En réalité il s’agit pour cet avocat de gagner du temps et de retarder le plus possible le transfert du terroriste en France. Sans doute y a-t-il aussi chez cet avocat quelque préoccupation existentielle. Une manière pour lui d’occuper la scène médiatique pendant plusieurs semaines. Bien entendu  l’avocat est dans son droit lorsqu’il sollicite de manière aussi outrancière la procédure mais au-delà du droit on peut difficilement tolérer que soit ainsi piétinés la décence et le respect dûs aux victimes. Pour cet avocat exhibitionniste le procureur français aurait violé le secret de l’instruction en divulguant samedi le projet de son client de se faire exploser au Stade de France le 13 novembre dernier. Une information en outre qui n’est pas un scoop. L’avocat de Salah Abdeslam a donc  déclaré dimanche à la radio-télévision belge RTBF qu’il porterait plainte contre le procureur de Paris, François Molins, qu’il accuse d’avoir violé le secret de l’instruction en divulguant samedi le projet de son client de se faire exploser le 13 novembre dernier. S’exprimant au surlendemain de la capture Salah Abdeslam, Sven Mary a déclaré: « La lecture d’une partie de sa conférence de presse est une violation. C’est une faute et je ne peux pas la laisser passer ». François Molins a lu samedi lors d’une conférence de presse une déclaration recueillie par les enquêteurs belges dans laquelle Salah Abdeslam déclarait qu’il avait initialement projeté de se faire exploser au Stade de France et qu’il avait fait « machine arrière ». « Ces premières déclarations qu’il faut prendre avec précaution laissent en suspens toute une série s’interrogations sur lesquelles Salah Abdeslam devra s’expliquer, en particulier quant à sa présence dans le 18e arrondissement le 13 novembre au soir dès 22h », a ajouté le procureur. Salah Abdeslam, arrêté avec des complices présumés vendredi à Molenbeek dans l’agglomération de Bruxelles par les forces de sécurité belges à l’issue d’une traque de quatre mois, a été incarcéré samedi soir dans une prison à Bruges. Blessé par balle à la jambe lors de son interpellation, il avait été transféré en début de matinée de l’hôpital au siège de la police fédérale belge pour y être entendu par la police et un juge d’instruction. Curieusement le terroriste a déjà beaucoup parlé évoquant notamment d’hypothèses de nouveaux attentats. Une manière pour lui et surtout pour son avocat d’essayer de le faire inculper et donc demeurer en Belgique

L’hommage aux victimes du terrorisme : un concours de bougies » (Ménard)

L’hommage aux victimes du terrorisme : un concours de bougies » (Ménard)

Encore une déclaration odieuse de l’exhibitionniste maire de Béziers, Robert Ménard. Un personnage toujours prêt à tout faire pour exister médiatiquement. Si c’était nécessaire il montrerait sans doute son cul pour passer à la télé. Cette fois il compare l’hommage aux victimes des attentats à un concours de bougies. On attend là le sommet de la bêtise, de l’immonde et de l’abomination. Ménard n’hésite pas à cracher sur la famille des victimes, leurs amis et tous ceux  qui manifestent  leur compassion en déposant des bougies près des lieux d’attentats place de la république. Le maire de Béziers, Robert Ménard, s’était auparavant exprimé à la tribune toulonnaise, sur la même thématique. « Je veux retrouver notre France, celle de Louis XIV, de Napoléon, et celle, si le ministère de l’Intérieur me l’autorise, de Charles Martel (souverain des Francs qui a affronté les armées musulmanes lors de la bataille de Poitiers en 732, ndlr), a-t-il lancé. Un rappel à l’histoire qui démontre combien l’intéressé est inculte car les époques qu’il évoque n’ont rien de comparables.  «  »Nous sommes rongés de l’intérieur (et) on voudrait que l’on n’ait pas envie de vomir », a ajouté l’ancien journaliste, en se moquant de ceux qui « se contentent d’aller résister en buvant un café à la terrasse d’un bistrot ou en faisant des concours de bougies ». Et de poursuivre: « Aucune de ces réactions collectives n’a été ou n’est à la hauteur, (…) imaginons les Français de 1916 se promenant avec un papier ‘je suis Verdun’ ». Par extension on pourrait aussi proposer à tous les abrutis d’être signalé par une pancarte « je suis Ménard ».

 

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