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Benzema : 82% des Français ne veulent plus le voir en équipe de France

Benzema :  82% des Français ne veulent plus le  voir en équipe de France  

Selon un sondage exclusif réalisé par l’institut Elabe, sur un échantillon de 924 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, 82 % de nos concitoyens ne veulent plus voir l’attaquant du Real Madrid en équipe de France. L’étude a été menée sur internet les 1er et 2 décembre. Avant les explications de Benzema, diffusées mercredi soir au 20h de TF1, sur sa mise en examen dans l’affaire de la sextape de Mathieu Valbuena. Les personnes interrogées avaient quatre choix pour répondre à la question : « Selon vous, Karim Benzema peut-il encore être sélectionné en équipe de France de football ? ». La moitié d’entre-elles (50%) a répondu « Non, pas du tout ». 35% ont répondu « Non, pas vraiment ». Ce qui porte à 82% le pourcentage de Français hostiles au retour du natif de Lyon chez les Bleus. Parmi les personnes favorables à son come-back, 14% ont répondu « Oui, plutôt » et seulement 4% ont répondu « Oui, tout à fait ». Ce qui porte à 18% le pourcentage de gens qui souhaitent voir Benzema retrouver la sélection.  Karim Benzema est un enfant de Lyon. Il y a grandi et débuté sa carrière professionnelle. Mais sa région natale ne le soutient pas forcément pour autant. Pour les besoins de notre sondage, le territoire français a été découpé en quatre parties (Nord-est, Nord-ouest, Sud-ouest, Sud-est). Et la région Rhône-Alpes a donc été placée dans la zone Sud-est. Une zone où 82% des sondés ne veulent plus voir Benzema en équipe de France. A l’image de la moyenne nationale.

 

Attentats : 84% des Français veulent davantage de contrôles.

Attentats : 84% des Français veulent  davantage de contrôles.

Les attentats ont opéré  un basculement idéologique vers le sécuritaire ;  98 % des Français évaluent comme élevée la menace terroriste, selon le sondage IFOP pour Le Figaro et RTL. Des résultats qui vont contraindre le gouvernement de passer de la posture martiale à la prise d’action qui ne se cantonne pas au symbolique ou à l’accessoire. D’une certaine manière le gouvernement est pris au piège, en tout cas ses décisions seront très attendues.  Jamais depuis 1992, les menaces n’avaient atteint un tel niveau. A titre de comparaison, la menace avait été jugée élevée par 93 % des Français après Charlie Hebdo. Une différence qui peut s’expliquer par le type de victimes et le mode opératoire des terroristes. En s’en prenant à des anonymes, la France entière s’est sentie encore plus impliquée par les attentats. De la même manière, il n’existe pas de différence entre les zones rurales et zones urbaines. «C’est bien toute la France qui est ébranlée», reconnaît Jérôme Fourquet, directeur du pôle opinion de l’IFOP. La gauche, qui s’est toujours montré inflexible sur la défense des libertés individuelles, a largement basculé vers une dimension plus sécuritaire. De ce point de vue, ces attentats marquent sans doute un virage idéologique. Ainsi, 84 % des personnes interrogées se disent prêtes à accepter davantage de contrôles et une certaine limitation de leurs libertés pour mieux garantir la sécurité. Même à gauche, 65 % du Front de gauche et 87 % du PS souscrivent à cette idée. Corollaire des paroles martiales de François Hollande et Manuel Valls sur la France qui est désormais entrée en guerre, 59 % des Français approuvent ces déclarations et les conséquences que cela implique. Cette adhésion a une très forte conséquence sur les toutes les mesures envisagées par le gouvernement. «Désormais, les Français adhèrent non seulement à la rhétorique de la guerre, Valls avait déjà parlé de guerre en janvier dernier, mais également aux décisions entraînant une restriction des libertés publiques», affirme Jérôme Fourquet. Le fichier S, qui regroupe les personnes suspectées d’activités contraire à la sécurité du pays, constitue un point important de l’enquête et sans doute de la phase constitutionnelle et législative qui s’ouvre. Or, les Français sont largement favorables (74 %) à l’emprisonnement des personnes qui figurent sur ce fichier S. Une proposition qui retient l’adhésion de presque tous les Français, quelle que soit leur préférence partisane. Ils sont 47 % au FG, 64 % au PS, 87 % chez LR et 94 % au FN. L’électorat de gauche, traditionnellement très rétif à toutes atteintes aux libertés publiques, a cette fois-ci basculé.  Conséquence directe des attentats, 85 % approuvent l’intervention militaire en Syrie, alors même que les terroristes ont justifié leurs actes par les précédentes actions militaires françaises dans ce pays. Autre conséquence de l’attentat, les Français sont à 62 % contre l’accueil des migrants quand ils étaient 47 % à le souhaitent il y a seulement un mois.

 

Élections régionales PACA : Les dissidents ne veulent pas figurer sur la liste officielle du FN

Élections régionales  PACA : Les dissidents ne veulent pas figurer sur la liste officielle du FN

Malgré leur dévotion pour Jean-Marie Le Pen, les frondeurs du FN rejettent en bloc le parti de Marine Le Pen. Le geste d’apaisement du « Menhir » ne devrait pas éviter les listes dissidentes aux élections régionales en décembre prochain.  »C’est une ultime tentative de conciliation de la part de M. Le Pen », confie Lydia Schenardi, à RTL.fr à la sortie du déjeuner. Pour la conseillère régionale du Front national en PACA, Jean-Marie Le Pen a consenti à ce dernier effort pour se « dédouaner de toute responsabilité » dans le conflit qui déchire le Front dans le Sud-est. Pour cette élue historique du FN dans les Alpes-Maritimes, l’annonce et le déjeuner du vendredi 16 octobre ne sont que de « l’habillage » car Jean-Marie Le Pen savait que cette main tendue était désespéré. « Il n’y a pas de conciliation possible », assène celle qui fait partie du premier cercle du cofondateur du FN depuis près de trente ans. Écœurée par la nouvelle ligne du Front nationale de Marine Le Pen et Florian Philippot, elle souhaite désormais faire campagne auprès de Jacques Bompard : « Nous n’attendons pas l’aumône de Madame Le Pen [Marion Maréchal] après avoir été traités d’aigris et de logiciels périmés. » Dans les Alpes-Maritimes, bastion des légitimistes du FN, le candidat investi par Marion Maréchal-Le Pen cristallise le conflit. « Il est hors de question que je rallie les listes d’Olivier Bettati alors qu’il a appelé à voter Modem ou PS pour contrer le FN par le passé », s’insurge Jean-Jacques Guitard, conseiller municipal à Beausoleil (Alpes-Maritimes).  L’ancien adjoint de Christian Estrosi incarne les rancœurs des militants historiques : « Nous ne voulons pas de quelqu’un d’étranger au FN pour mener les listes dans le département », martèle Lydia Schenardi.  Les frondeurs de l’extrême droite sont désormais prêts à en découdre avec un FN qu’ils ne reconnaissent plus. « Aujourd’hui, c’est devenu un parti fourre-tout, aseptisé, qui cherche à gagner des voix au détriment du combat national », attaque Jean-Jacques Guitard. Si cet élu local explique qu’il « comprend et respecte » la décision de Jean-Marie Le Pen, la rupture est consommée : « Je suis très déçu mais la fracture est désormais trop grande. » Même au second tour des élections régionales, il ne soutiendra pas les listes officielles du Front national. . Les listes départementales du Front national doivent toutes être validées par la Commission nationale d’investiture, au siège du FN, et « là c’est Marine qui a le dernier mot« , reconnaît un membre de l’équipe de campagne. Pour certains des frondeurs, la présidente du Front national aurait fait avorter toutes les tentatives de conciliation de façon très calculée. Marine Le Pen ne souhaiterait pas voir triompher sa nièce en PACA alors qu’elle n’est pas sûre de remporter les élections en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.

 

Après le Club Med, les Chinois veulent racheter FRAM

Après le Club Med, les Chinois veulent racheter FRAM

 

Sale temps pour les grands voyagistes français puisque après la vente du Club Med chinois c’est maintenant Fram qui est en vente, l’un des plus grands voyagistes français en difficultés financières déjà depuis plusieurs années et qui pourrait être bradé au chinois.: Fram a reçu une offre ferme de rachat par le conglomérat HNA, associé pour l’occasion à un partenaire minoritaire, Selectour Afat.  Une cinquantaine d’agences en France, 560 salariés : Fram est l’un des plus gros voyagistes français… En difficulté financière aujourd’hui, il souhaitait ouvrir son capital. Le Chinois HNA, associé à un partenaire minoritaire, à hauteur de 10%, Selectour Afat, a déposé une offre de rachat « ferme » et « in bonis », c’est-à-dire sans passer par une procédure collective. Le montant n’est pas officiellement connu, mais on parle de quelque 40 millions d’euros. HNA est l’actionnaire de la compagnie aérienne Aigle Azur, et de la chaîne hôtelière NH Hoteles. Il est en train de racheter Globalia, premier groupe touristique espagnol, propriétaire de la compagnie aérienne Air Europa. Une autre offre de reprise a été déposée, rappelle Fram dans son communiqué, par le Français Karavel-Promovacances, mais celui-ci ne veut reprendre Fram qu’après son dépôt de bilan. Le capital de Fram est détenu à 80% par les deux branches de la famille fondatrice – Marie-Christine Chaubet (fille du patron historique Philippe Polderman) et sa fille en détiennent environ 40%, tout comme Georges Colson, ancien président du directoire et demi-frère de Mme Chaubet. Air France détient pour sa part près de 9%, le reste étant réparti entre des actionnaires individuels. Et ils ne sont pas d’accord…

Foot business FIFA: Coca et McDo veulent la démission immédiate de Blatter

Foot business FIFA: Coca et McDo veulent la démission immédiate de Blatter

Curieux mais ce sont peut-être deux sponsors  qui vont peut-être imposer le nettoyage des écuries de la FIFA. Pourquoi des sponsors ?  tout simplement parce que ces généreux donateurs versent en moyenne 300 à 400  millions de dollars à l’honorable association intitulée FIFA, dirigée par le tout aussi honorable Blatter. Bref le fric va faire le ménage dans le fric. Il faut dire que derrière la dégradation de l’image de la FIFA c’est aussi l’image des sponsors qui se trouvent entachés. Le problème de fond ce que la FIFA qui brasse des millions et même des milliards autour d’une association de type loi 1901 française mais suisse. Le type d’association dont l’assise juridique est suffisante pour gérer une société de pétanque mais pas pour gérer le football et brasser des milliards. Remarquons par parenthèses que la plupart des fédérations sportives internationales sont aussi gérées dans le cadre d’associations au fondement juridique sulfureux et dans le siège est presque toujours en Suisse ou alors à Monaco. De quoi ainsi éviter toutes contraintes de contrôle financier et toutes contraintes démocratiques. D’une certaine manière c’est toute l’organisation sportive internationale qu’on doit  remettre à plat étant entendu le football , lui, brasse des milliards et les milliards et que le scandale est immense.  Deux des plus gros sponsors de la Fédération internationale de football, empêtrée dans un scandale de corruption, réclament donc la démission « immédiate » du président Sepp Blatter « pour le bien du jeu » et « pour qu’une procédure de réforme crédible puisse sérieusement commencer ». Pas question de partir tout de suite, a répondu le patron de l’instance mondiale du foot.  Sepp Blatter a d’ores et déjà annoncé qu’il quitterait son poste, mais pas avant le 26 février prochain, date du congrès électif de la FIFA. C’est bien trop tard, pour Coca-Cola et Mc Donald’s, deux des plus gros sponsors de la Fédération qui montent au créneau ce vendredi soir.   Le communiqué de Coca est cinglant :  « Chaque jour qui passe, l’image et la réputation de la FIFA se ternissent un peu plus. » Même tonalité du côté de McDo : « Les événements des dernières semaines ont continué à abaisser la réputation de la Fifa et la confiance du public dans son leadership. »  Les autorités suisses et américaines ont annoncé en mai l’ouverture d’enquêtes à l’encontre de dirigeants de la FIFA soupçonnés de corruption, notamment dans le cadre de l’attribution des Coupes du monde de 2018 et 2022 en Russie et au Qatar. Vendredi dernier, le ministère public suisse (MPC) a annoncé l’ouverture d’une procédure pénale à l’encontre de Sepp Blatter, qu’il soupçonne de « gestion déloyale et, subsidiairement, d’abus de confiance ». C’en est trop pour Coca : « Pour le bien du jeu, la compagnie Coca-Cola demande au président de la Fifa Joseph Blatter de démissionner immédiatement afin qu’une procédure de réforme crédible et viable puisse sérieusement commencer. »  La réponse des avocats de Blatter ne s’est pas fait attendre vendredi soir : c’est niet. Le président restera jusqu’au bout, écrivent-ils dans un communiqué : « Si Coca-Cola est un sponsor apprécié de la FIFA, M. Blatter est, malgré tout son respect, en désaccord avec sa position (…) Il ne démissionnera pas. »

Smart : les salariés veulent le retour aux 39 heures

Smart : les salariés veulent  le retour aux 39 heures

Un vote qui risque de bouleverser la donne sociale. En majorité les travailleurs de Smart préfèrent privilégier l’emploi au détriment de la réduction du temps de travail. Une orientation que refuse la plupart des syndicats qui d’une certaine manière sont désavoués. Ce vote risque de faire réfléchir sérieusement les syndicats dans d’autres entreprises qui risquent de s’engager dans la même voie que Smart pour améliorer la compétitivité et sauver l’emploi. Ce vote met  en tout cas en évidence le décalage qu’il peut y avoir entre des syndicats aux conceptions un peu dogmatiques et des salariés surtout préoccupés par l’emploi et le pouvoir d’achat. Certains pourront objecter que l’emploi n’est jamais totalement  garanti pendant  car tout dépendra de l’environnement économique et notamment du carnet de commandes. Mais ce qui est certain c’est que les menaces sur l’emploi seront nettement plus importantes si l’entreprise n’améliore pas des maintenant  compétitivité Les 800 salariés ont ainsi désavoué lors de ce vote indicatif trois des quatre syndicats de l’usine, qui sont opposés à cette proposition de la direction. La participation s’est élevée à plus de 93%, a dit Philippe Streyer. « Sur les 93%, 56% se sont prononcés en faveur du pacte 2020″, a-t-il ajouté. « La direction de Smart France se félicite de ces résultats. » Ce vote n’a toutefois qu’une valeur indicative, seuls les syndicats étant susceptibles de signer un accord, sous réserve que les signataires représentent au moins 30% des salariés aux élections professionnelles. La filiale du groupe allemand Daimler propose aux salariés une augmentation de 12% de la durée du travail, qui passerait de 35 à 39 heures hebdomadaires jusqu’en 2020, en échange d’une augmentation du salaire de base de 6%, soit 120 euros brut par mois, et d’une prime de 1.000 euros versée en deux fois. La direction s’engage, en contrepartie, à ne procéder à aucune suppression d’emploi durant la durée de l’accord. Un éventuel accord chez Smart concernerait inévitablement les 800 salariés des équipementiers installés sur le site. Trois syndicats sur quatre, la CGT, la CFDT et la CFTC se sont exprimés contre la proposition de la direction. Seule la CFE-CGC, le syndicat de l’encadrement, se disait prête à un sacrifice au nom de la pérennité des emplois et le personnel qui n’est pas attaché à la production a d’ailleurs voté vendredi à 74% en faveur de l’accord, contre 39% à peine pour les salariés qui sont sur les chaînes de montage. Selon la CFTC, les syndicats réfractaires à un accord ne devraient faire connaître leur position que la semaine prochaine.  Alors que Smart a lancé fin 2014 la troisième version de son véhicule urbain, conçue en partenariat avec Renault, l’entreprise invoque la nécessité d’améliorer la compétitivité pour garantir l’obtention d’un nouveau projet après 2020. Les syndicats dénoncent un « chantage à l’emploi », la direction laissant entendre, selon eux, que la production de la Smart deux places pourrait, dans le futur, partir vers l’usine Renault de Novo Mesto, en Slovénie, qui assemble la version quatre places.

Gaza : les radicaux veulent saboter le dialogue

Gaza : les radicaux veulent saboter le dialogue

 

En faiat le dialogue continue  (pas directement mais par Etats interposé) entre le Hamas et Israël ; cependant certains radicaux du Hamas et surtout les djihadistes ne souhaitent pas qu’on parvienne à un accord pour la paix car ils vivent de cette guerre (avec le financement des généreux donateurs arabes et les financements européens). Le Hamas et Israël semblaient prêts, vendredi, à en découdre à nouveau. Au coup de gong, dès 8 heures du matin, au moment précis de l’expiration d’un cessez-le-feu de trois jours, tout a recommencé. Des dizaines de roquettes se sont abattues sur le sud d’Israël. Peu après, l’aviation israélienne a repris ses raids dans la bande de Gaza. Des deux côtés, les menaces ont fusé. Mais, point important, les dizaines de milliers de militaires israéliens déployés le long de la frontière n’ont pas remis pied dans la bande de Gaza, qu’ils avaient évacuée au début de la semaine. Le Hamas a démenti être responsable de ces tirs, preuve qu’il souhaite que le dialogue se poursuive. Mais de son coté  Benyamin Nétanyahou a déclaré qu’Israël ne négociait pas sous les bombes.  Mis  Les protagonistes se sont abstenus d’aller trop loin, comme s’il s’agissait avant tout d’un round pour tester l’adversaire. Les violences de part et d’autre paraissent en fait être devenues une partie intégrante des négociations menées au Caire, qui restent jusqu’à présent dans une impasse totale. Le Hamas s’est d’ailleurs dit prêt à poursuivre les discussions, qui pourraient reprendre rapidement, selon des diplomates égyptiens plutôt optimistes sur les chances d’une prochaine accalmie.  Pour les populations, tout va dépendre des discussions menées sous l’égide de l’Égypte. Jusqu’à présent, les représentants du Hamas ont présenté une longue liste d’exigences, sans rien obtenir de concret. Mais pour eux, un retour du Caire les mains vides reviendrait à un suicide politique. Les habitants de Gaza ne manqueraient de demander des comptes aux islamistes pour avoir déclenché des affrontements avec Israël, qui ont ravagé la bande de Gaza et coûté la vie à quelque 1900 Palestiniens, dont une majorité de civils. Pour le Hamas, la levée du blocus qui asphyxie depuis des années cette bande de terre surpeuplée et miséreuse constitue plus que jamais la priorité des priorités. Le mouvement islamiste veut obtenir la possibilité de construire un port à Gaza, ce qui permettrait de desserrer l’étau du blocus terrestre et maritime imposé par Israël et l’Égypte et, surtout, de ne plus dépendre du bon vouloir de ces deux voisins hostiles. Du côté israélien, il n’est pas question de permettre une telle ouverture au monde. Avec un port, le Hamas pourrait en effet importer librement des armes, des munitions et du matériel de construction pour des tunnels servant à l’infiltration de commandos islamistes en territoire israélien.

 

Veolia: les syndicats veulent virer le PDG

Veolia: les syndicats veulent virer le PDG

 

L’événement est rare car les syndicats sont plutôt légitimistes mais là ils veulent virer le patron de Véolia qui a sans doute tort de gaver ses actionnaires mais sans doute raison de s’adapter au marché. En effet, la crise aidant, Véolia va subir la contraction des budgets de collectivités avec lesquelles il travaille notamment en transport, eau et proprété.   »Il est insupportable d’assister sans rien faire au démantèlement du groupe. Pour nous, la stratégie n’est toujours pas claire et, en cela, la stratégie d’Antoine Frérot, c’est surtout de donner des dividendes aux actionnaires sans vision sur l’avenir de Veolia », a déclaré à l’AFP Hervé Deroubaix, délégué central CFDT.  Les syndicats, actuellement réunis en comité de groupe, reprochent également à M. Frérot « de ne pas avoir daigné venir siéger lors du comité de groupe France » pour expliquer la stratégie du « Nouveau Veolia ». Une invitation parvenue mercredi et donc trop tard, a rétorqué jeudi une source au sein du groupe.   »Les intentions du groupe leur ont été présentés à plusieurs reprises au cours des comités de groupe France et européens depuis 2011″ et Antoine Frérot a assisté à deux reprises cette année aux comités de groupe, a souligné cette source.  Les quatre branches de Veolia (Eau, Propreté, Energie et Transport) subissent, selon l’intersyndicale, « des restrictions quotidiennes et restructurations qui ne tiennent pas compte des services publics que nous assurons ».  Et « il n’y a que des cessions annoncées, qui ne se terminent jamais tout à fait… Transport et SNCM, Dalkia, SADE et pourquoi pas l’Eau et la Propreté France ? », dénonce l’intersyndicale dans un communiqué commun.  Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a souligné sur BFM Business qu’il est « très rare que la CFDT appelle à la démission d’un patron d’entreprise ».   »On rend des comptes aux actionnaires et pas aux représentants des salariés. Eh bien, au bout d’un moment, il y en a assez et il est normal que les représentants des salariés posent un acte fort », a ajouté M. Berger disant « assumer » la position de la CFDT de Veolia.  Pour les quatre principales organisations syndicales, « le dialogue social est tronqué ». « Le fossé n’a jamais été aussi profond entre les dirigeants et les salariés et les organisations syndicales sont déterminées à mobiliser les salariés et envisagent toute forme d’action », conclut le communiqué.  Veolia est engagé depuis plus de deux ans dans un vaste plan de restructuration et de désendettement, via des cessions et des recentrages sur environ 35 pays, contre plus du double auparavant.  L’ex-Générale des Eaux a confirmé début décembre un plan de suppression de 1.600 postes dans sa branche eau en France d’ici 2014, dont 700 par un plan de départs volontaires (ainsi que 500 départs naturels en 2013 et 400 en 2014). A cela s’ajoute 500 « reclassements », ce qui fait dénoncer aux syndicats un plan visant près de 2.100 emplois sur 15.000. Le plan est à l’ordre du jour d’un nouveau comité central d’entreprise le 20 décembre.  Dans un communiqué publié jeudi soir, le groupe a défendu la nécessité de son plan pour Veolia Eau France qui « doit se transformer pour assurer son avenir », dans un contexte difficile marqué par des négociations à la baisse des tarifs et des pertes de contrats municipaux.   »Pour s’adapter à la réalité de son marché et afin de continuer à se développer, à investir et à innover, Veolia Eau France doit aujourd’hui nécessairement transformer ses modèles, tant économiques que contractuels, et faire évoluer son organisation et ses métiers »,  Le groupe s’apprête également à mettre en vente sa filiale de travaux SADE, qui emploie près de 9.000 personnes, dont les deux tiers en France, selon une lettre envoyée aux employés.  Veolia Environnement compte plus de 300.000 salariés dans le monde, dont un peu plus de 100.000 en France.

Sondage déficit: les réformes que veulent les français

Sondage déficit: les réformes que veulent les français  

 

Les Français veulent bien faire des économies mais pas forcément les mêmes que celles choisies par le gouvernement Selon une enquête Ifop/JDD,. Viennent en tête : la réduction du nombre de députés, la fusion des  départements et régions et la réduction des dépenses militaires et celles des aides aux chômeurs.  La mesure serait plus symbolique que rentable. Mais la réduction du nombre de députés est plébiscitée par les Français interrogés par l’Ifop pour le Journal du dimanche. En matière d’économies, ils sont également massivement (62%) pour une fusion des départements et régions. Une mesure qui figurait dans les propositions de la commission présidée par Lionel Jospin mais qui ont depuis été oubliées. En ce qui concerne les dépenses de l’Etat, les Français placent en tête des économies à faire : l’armée (33%), les aides versées aux chômeurs (24%), l’environnement (20%). Pas question en revanche de toucher aux dépenses pour leur sécurité, les hôpitaux ou les universités. Mais globalement, les Français jugent insatisfaisant (64%) le plan d’économies de 15 milliards du gouvernement car il risque, selon eux, de détériorer les services publics et freiner la reprise économique. Preuve que la rigueur gouvernementale imposée au nom de la politique de redressement économique du Président passe de moins en moins bien. De quoi compliquer davantage l’équation politique et budgétaire de François Hollande. 

 

Les verts veulent une taxe sur le diesel pour rester au gouvernement

Les verts veulent une taxe sur le diesel pour rester au gouvernement

Une taxe en plus sur le gasoil et on reste ! Curieuse posture des écolos qui se rendent bien compte qu’ils ne servent à pas grand chose au gouvernement et qui veule un taxe symbole à tout prix. Sur le fond l’alignement essence-gasoil est fondé mais il doit être très progressif et peut se faire aussi en diminuant la fiscalité essence. En période crise, pas sûr que les socialistes apprécient la demande des verts, ce serait un matraquage fiscal supplémentaire avec sans doute des retombées désastreuses sur des municipales déjà mal engagées ; Depuis leur entrée au gouvernement, les écologistes n’en finissent pas de débattre sur une éventuelle sortie. Barbara Pompili affirme le dire « pour la première fois », ce vendredi matin sur RTL : « S’il n’y a pas une grande orientation écologique d’ici la fin de l’année, ça sera difficile pour les Verts de rester au gouvernement. » Jean-Marc Ayrault a, pour le moment, deux écologistes dans ses rangs : la ministre du Logement Cécile Duflot et le ministre chargé du Développement Pascal Canfin. Les points de désaccord avec les socialistes ne manquent pas, notamment depuis le limogeage de Delphine Batho, qui critiquait le budget accordé en 2014 à son ministère de l’Ecologie. Le débat porte à présent sur la taxe diesel, qui était également évoquée, mais qui pourrait être abandonnée par les socialistes. Elle est pourtant indispensable pour Barbara Pompili, qui estime que « le diesel tue des gens ». Son absence n’empêchera pas les Verts de voter le budget, à condition que d’autres mesures soient prises sur le logement, les transports en commun, une forme de fiscalité écologique.  « J’ai toujours été de ceux qui disaient qu’il fallait être dans le gouvernement et je le pense toujours », affirme Barbara Pompili. « Mais à un moment, il faut que le gouvernement tienne ses engagements, et pas que pour faire plaisir aux Verts. »

Carburant ; les verts veulent taxer le gasoil

 

Carburant ; les verts veulent taxer le gasoil

 

A l’Assemblée, mercredi après-midi, les responsables écologistes, comme François de Rugy ou Noël Mamère, se sont relayés pour expliquer que le budget n’était «pas votable en l’état». Plus tôt dans la matinée, le ministre de l’Écologie avait mis le feu aux poudres en laissant entendre lors d’une conférence de presse que l’avantage fiscal dont bénéficie le diesel ne serait pas touché. «Il n’y a pas, à ma connaissance, de disposition qui concerne de manière spécifique ce qu’on peut appeler la convergence fiscale du diesel et de l’essence», a-t-il assuré. Un bras d’honneur adressé aux écologistes, qui réclament de longue date la fin progressive de l’avantage fiscal consenti sur le gazole qui conduit, selon eux, à «sur-subventionner» cette forme d’énergie à hauteur de 7 milliards d’euros par an. Le patron des écologistes, Pascal Durand, est lui-même monté au créneau en rappelant que le diesel est «un marqueur» de la participation des Verts au gouvernement. «Il y a 15.000 morts par an par le diesel, a rappelé de son côté le ministre écologiste Pascal Canfin, c’est un cancérigène certain, on ne peut pas ne rien faire sur ce carburant comme on n’a rien fait sur l’amiante». Ambiance au sein du gouvernement. Face au tollé, Philippe Martin est revenu sur ses propos, estimant avoir été mal compris. «Je ne cautionne pas que je ferme la porte à une hausse du diesel ou que l’avantage fiscal sera maintenu, je ne le sais pas et je ne le dis pas», a-t-il déclaré à l’AFP, affirmant que la question de la fiscalité diesel n’avait pas encore fait l’objet d’«un arbitrage particulier». «La question de la convergence diesel essence n’a pas été abordée» lors du Conseil des ministres mercredi matin qui avait précédé sa conférence de presse, a-t-il expliqué. Reste que dans une émission politique enregistrée à la mi-journée, le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, a assuré ce mercredi qu’un alourdissement de la taxation du diesel était «abandonné» par le gouvernement.Le nouveau ministre de l’Écologie n’est pas au bout de ses peines. A peine avait-il confirmé, mercredi matin, l’introduction d’une «composante carbone» dans les taxes pesant sur l’énergie dans la loi de finances 2014, que ce projet de fiscalité verte était déjà critiqué par les écologistes. «On ne sait même pas ce que le budget contient en terme de fiscalité écologique et à quoi va servir l’argent», a dénoncé François de Rugy. Pour les Verts, cette fiscalité doit être couplée avec une baisse de la TVA pour la rénovation et l’isolation thermique des logements.

Patrimoine : les parlementaires PS veulent cacher leurs sous !

Patrimoine : les parlementaires PS veulent cacher leurs sous !

 

Les parlementaires PS sont en colère, ils veulent bien de la « transparence » du patrimoine mais à condition de ne pas le rendre public ! Jean-Jacques Urvoas et Jean-Pierre Sueur, ont publié mercredi un communiqué commun pour réaffirmer leur volonté d’élaborer «un mécanisme permettant de concilier transparence, contrôle et respect de la vie privée auquel a droit tout individu». C’est dire la méfiance des parlementaires, qui vont tout faire pour encadrer la publication de leurs déclarations de patrimoine, que le gouvernement les incite à faire. Avant même la présentation en Conseil des ministres des projets de loi sur la transparence de la vie publique, qualifié de «tournant pour nos institutions» par François Hollande, une réunion au sommet s’est tenue mercredi, à 8 h 30, au Palais du Luxembourg. Autour de la table, les présidents des deux Assemblées, Claude Bartolone et Jean-Pierre Bel, et les deux présidents des groupes socialistes, Bruno Le Roux et François Rebsamen, tous déterminés à se frayer une voie – législative – pour empêcher la publicité intégrale des déclarations de patrimoine des élus, «qui n’existe nulle part ailleurs en Europe», rappelle Thierry Mandon, le porte-parole du groupe des députés PS. Dans le projet de loi organique présenté mercredi, il est indiqué à l’article premier que «les déclarations déposées par le député (…) sont rendues publiques par la Haute Autorité de la transparence de la vie publique». Quatre paragraphes suivent, pour indiquer les «éléments» qui ne peuvent pas être rendus publics: les adresses personnelles, les noms des conjoints, du partenaire ou du concubin, ceux des autres membres de la famille, les indications autres que le nom du département, les adresses des établissements financiers ou encore les numéros des comptes détenus. Il est précisé qu’«un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article». Thierry Mandon relève que «les modalités de la publication restent assez floues, ce qui laisse une marge pour protéger la vie privée des parlementaires».  Christophe Borgel, député PS de Haute-Garonne, résume l’état d’esprit de ses collègues quand il explique: «Je partage la volonté du gouvernement d’aller vers une République exemplaire. Mais ne mettons pas le petit doigt dans la République du soupçon.» Bernard Roman, député socialiste du Nord, ne cache pas son indignation: «À quoi ça sert? Qu’on me le dise! L’esprit de la République, c’est d’arriver devant les électeurs avec ses idées, pas avec sa particule et son patrimoine. Ça, c’était le suffrage censitaire. C’est fini!» Le président du groupe des radicaux de gauche, Roger-Gérard Schwartzenberg, a diffusé mercredi un communiqué explicite: «Étalage et déballage ne peuvent devenir les deux piliers de la vie publique. Il serait très regrettable d’entrer dans une démocratie du peep show». Le député radical de gauche des Charente-Maritime Olivier Falorni n’est pas en reste: «Va-t-on remonter mon arbre généalogique, et vérifier si mon arrière-grand-père n’était pas un mafieux

 

Sondage : les français veulent un remaniement ministériel

 

Sondage : les français veulent un remaniement ministériel

 

 

Dans le baromètre OpinionWay pour Métro et LCI  (publié ce lundi)  les sondés interrogés sur leur souhait « d’un remaniement gouvernemental dans les semaines qui viennent » répondent à 61% oui tandis que 38% disent non.  En fait, c’est le constat que le gouvernement est impuissant dans nombre de domaines notamment en matière économique et sociale ; un gouvernement  oscillant entre austérité et soutien à l’économie sans véritable direction. A cela s’ajoute évidemment l’incompétence de nombre de ministres choisis pour des raisons politiciennes (Montebourg, Hamon, Cahuzac, Ayrault  etc.) et non en fonction de leurs expériences et de leur formation. Le prochain gouvernement comprendra sans doute des ministres plus expérimentés et moins nombreux. Pas sûr cependant qu’il tienne très longtemps car ce qui est en cause c’est l’absence de doctrine du PS (dénoncée par Collomb le maire PS de Lyon et d’autres) et surtout la sociologie du PS composé essentiellement de fonctionnaires qui ne comprennent strictement rien aux réalités économiques et sociales.

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