Archive pour le Tag 'veulent'

Trump et Musk veulent tripatouiller le calcul de la croissance économique

Trump et Musk veulent tripatouiller le calcul de la croissance économique


Comme en Chine, Trump s’apprête à tripatouiller les chiffres de la croissance.Anticipant que la guerre commerciale et les coupes à la tronçonneuse des services fédéraux pourraient avoir des effets immédiats très négatifs sur la croissance, l’administration Trump envisage de modifier la façon de la calculer.

« Vous savez qu’historiquement les gouvernements ont joué avec le PIB (produit intérieur brut, NDLR) », a expliqué ce week-end Howard Lutnick, le secrétaire au Commerce, sur la chaîne Fox News. « Ils comptent les dépenses gouvernementales comme une part du PIB. Je vais donc séparer ces deux parties et rendre cela transparent ».

En clair, il s’agirait désormais de mettre en avant le « PIB marchand », autrement dit la production de richesses effectuée par les entreprises dont les biens s’échangent au prix du marché. On ne tiendrait plus compte des services publics, lesquels n’ont, par définition, pas de prix de marché, tout en ayant bien sûr un coût, principalement les traitements des fonctionnaires pour dire les choses crûment.

Du bidouillage politique sans doute pour dissimuler une croissance qui structurellement devrait être largement affectée notamment par le désordre généralisé des taxes douanières.

Ukraine: Les États-Unis veulent un accord commercial profitable

Ukraine: Les États-Unis veulent un accord commercial profitable

 

Des ressources ukrainiennes en échange de la paix c’est le deal proposé par les États-Unis. Le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent, en visite à Kiev, a affirmé mercredi que les États-Unis voulaient obtenir un «accord de coopération économique» en échange de leur soutien à l’Ukraine, crucial pour faire face à l’invasion russe. «Nous aimerions conclure un accord de coopération économique. Et en échange de cet accord, les États-Unis continueront à fournir un soutien matériel à l’Ukraine, à la population», a déclaré Scott Bessent lors d’une rencontre avec le président Volodymyr Zelensky.

Le chef d’État ukrainien a de son côté dit espérer finaliser des accords économiques avec les États-Unis à l’occasion de la Conférence sur la sécurité de Munich prévue pour la fin de la semaine. «Pour ma part, je ferai tout pour m’assurer que notre équipe de responsables gouvernementaux travaille dans les deux prochains jours à pouvoir finaliser certains accords à Munich,» a déclaré Volodymyr Zelensky pendant une conférence de presse avec Scott Bessent.

Les petits patrons veulent un premier ministre à profil social

 Ce lundi, Michel Picon, président de l’Union des entreprises de proximité (U2P), lui, a plaidé pour une nomination à Matignon d’un « patron social ». Au micro de RMC ce lundi, il a explicitement proposé Jean-Dominique Senard, président de Renault, comme une figure capable de rassembler, alors qu’en ce moment c’est, selon lui, « le festival de Cannes des nominations, tous les matins il y a un nouveau ».

Selon Michel Picon, les politiques « s’écharpent » trop souvent au détriment des réels intérêts du pays. Pour sortir de cette impasse, il prône un retour aux fondamentaux du dialogue social, incarné par des figures du monde syndical ou entrepreneurial. Jean-Dominique Senard, souvent qualifié de « patron social », est, à ses yeux, le candidat idéal. Ce dernier, qui a fait ses preuves chez Michelin, Total et aujourd’hui Renault, est reconnu pour sa capacité à trouver des compromis dans des environnements difficiles.

Michel Picon a également mentionné Sophie Thiéry, présidente de la Commission Travail Emploi du Cese, comme autre personnalité capable de jouer un rôle clé dans la politique actuelle. Elle pourrait, selon lui, apporter un regard neuf, notamment sur les questions de qualité de vie au travail. Cette dernière, également directrice RSE chez Aésio mutuelle, a déjà travaillé Jean-Dominique Senard lors de leur pilotage commun du rapport « Re-considérer le travail » remis en avril 2023 dans le cadre des Assises du travail du Conseil National de la Refondation, qui proposait notamment de renforcer les moyens de la médecine du travail.

 

Iran -Israël : les États-Unis ne veulent pas d’escalade

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Les États-Unis ont été très clairs , ils refusent absolument de soutenir une éventuelle escalade dans l’affrontement entre l’Iran et Israël. Les États-Unis se sont  montrés des alliés fidèles et efficaces suite à l’attaque de l’Iran mais ne veulent surtout pas engager un processus qui serait susceptible de mettre le feu dans tout le Moyen-Orient. Du coup Israël devra adopter une stratégie très ciblée et proportionnée  pour satisfaire les contraintes de son principal allié et en même temps répondre à l’attaque directe de l’Iran.

Même s’il a rappelé le soutien « inébranlable » des Etats-Unis à Israël, le président américain veut à tout prix éviter un embrasement de la région quelques mois de la présidentielle américaine. Pour justifier cette position Washington explique que l’attaque iranienne n’a pas fait de victimes ni de gros dégâts.

Pour autant, pour certains analystes, une riposte d’Israël contre la République islamique, est quasi-inévitable. Chacun y va de son argument.

« Traditionnellement, Israël a zéro tolérance si son sol national est frappé par un autre Etat », souligne Stéphane Audrand, consultant en sécurité, qui estime que Benjamin Netanyahou « ne peut pas ne pas réagir ».

 

Avec un Premier ministre israélien jugé imprévisible, qui joue sa survie politique à la tête d’une coalition de droite et d’extrême droite, il y a un « peu ce risque d’emballement sur le nucléaire ».
Pour d’autres experts, l’Iran a fait en sorte de ne pas provoquer de gros dégâts. Sur France Info, l’universitaire Bertrand Badie, un spécialiste des relations internationales, a fait état d’une « retenue évidente du côté de l’Iran », qui n’a « pas de volonté d’escalade », car il « sait qu’Israël a des moyens militaires et diplomatiques dont (il) ne dispose pas ». « L’attaque telle qu’on l’a vue se dérouler cette nuit était d’un type dont l’Iran savait très bien qu’Israël avait tous les moyens de la parer ».

A noter, les mêmes chancelleries, Washington en tête, ont serré les rangs depuis samedi face à l’Iran, assurant Israël de leur soutien, tandis que plusieurs pays – Etats-Unis, Jordanie, Grande-Bretagne, France- ont appuyé militairement la défense israélienne, selon l’armée. Si bien qu’« Israël ne peut pas riposter sans consulter les Américains », juge Sima Shine. Avant de riposter, « il ne s’agit pas seulement de consulter, mais d’obtenir l’approbation de Washington », assure Tamir Hayman. « Le temps est de notre côté, nous pouvons penser, planifier et agir intelligemment », écrit-il sur X, estimant que « le succès défensif » obtenu ce week-end permet de ne pas se précipiter.

 

Endettement : les Français ne veulent pas payer la facture !

Endettement : les Français ne veulent pas payer la facture !

Selon l’ enquête Ipsos-« La Tribune Dimanche », les Français (93 %) estiment que la réduction des déficits doit figurer parmi les priorités ou les sujets importants du gouvernement mais préféreraient que l’on baisse des dépenses publiques au lieu d’augmenter les impôts. 

Les Français deviennent sensibles à l’endettement public ce qui est relativement nouveau car toutes les enquêtes démontrent que la formation économique et financière des Français est la plus déficiente de l’union européenne. Une prise de conscience salutaire mais qui n’est pas éclairante sur les moyens de résorber cette crise tellement chaque secteur éventuellement concerné par des économies est protégé par des vitrines qui cachent le reste corporatiste. En clair il y a des secteurs beaucoup trop tendus mais derrière il y a aussi des masses de dépenses inutiles.

La problématique n’est pas évidente car on ne trouve guère d’unanimité pour supprimer des dépenses de l’État. Les gouvernements successifs sont jugés responsables de l’endettement du pays. Mais les attentes auxquelles ils répondent (protection sociale, services publics…) sont relativisées ainsi que la capacité économique et sociale du pays à les financer. « Les Français se défaussent sur les politiques », observe Brice Teinturier, directeur général d’Ipsos. Quel parti politique gérerait mieux les caisses publiques que le gouvernement actuel ? Aucun ne convainc profondément l’opinion. Certes, une personne sur trois cite le RN, qui arrive largement devant les autres. Mais cette proportion reflète surtout l’audience actuelle du parti lepéniste et le rejet radical des autres formations par ses sympathisants.

Endettement public : les Français ne veulent pas payer la facture !

Endettement public :  les Français ne veulent pas payer la facture !

Selon l’ enquête Ipsos-« La Tribune Dimanche », les Français (93 %) estiment que la réduction des déficits doit figurer parmi les priorités ou les sujets importants du gouvernement mais préféreraient que l’on baisse des dépenses publiques au lieu d’augmenter les impôts.

Les Français deviennent sensibles à l’endettement public ce qui est relativement nouveau car toutes les enquêtes démontrent que la formation économique et financière des Français est la plus déficiente de l’union européenne. Une prise de conscience salutaire mais qui n’est pas éclairante sur les moyens de résorber cette crise tellement chaque secteur éventuellement concerné par des économies est protégépar des vitrines qui cachent le reste corporatiste. En clair il y a des secteurs beaucoup trop tendus mais derrière il y a aussi des masses de dépenses inutiles.

La problématique n’est pas évidente car on ne trouve guère d’unanimité pour supprimer des dépenses de l’État. Les gouvernements successifs sont jugés responsables de l’endettement du pays. Mais les attentes auxquelles ils répondent (protection sociale, services publics…) sont relativisées ainsi que la capacité économique et sociale du pays à les financer. « Les Français se défaussent sur les politiques », observe Brice Teinturier, directeur général d’Ipsos. Quel parti politique gérerait mieux les caisses publiques que le gouvernement actuel ? Aucun ne convainc profondément l’opinion. Certes, une personne sur trois cite le RN, qui arrive largement devant les autres. Mais cette proportion reflète surtout l’audience actuelle du parti lepéniste et le rejet radical des autres formations par ses sympathisants.

Dette publique : les Français ne veulent pas payer la facture !

Dette publique : les Français ne veulent pas payer la facture !

Selon l’ enquête Ipsos-« La Tribune Dimanche », les Français (93 %) estiment que la réduction des déficits doit figurer parmi les priorités ou les sujets importants du gouvernement mais préféreraient que l’on baisse des dépenses publiques au lieu d’augmenter les impôts. 

Les Français deviennent sensibles à l’endettement public ce qui est relativement nouveau car toutes les enquêtes démontrent que la formation économique et financière des Français est la plus déficiente de l’union européenne. Une prise de conscience salutaire mais qui n’est pas éclairante sur les moyens de résorber cette crise tellement chaque secteur éventuellement concerné par des économies est protégépar des vitrines qui cachent le reste corporatiste. En clair il y a des secteurs beaucoup trop tendus mais derrière il y a aussi des masses de dépenses inutiles.

La problématique n’est pas évidente car on ne trouve guère d’unanimité pour supprimer des dépenses de l’État. Les gouvernements successifs sont jugés responsables de l’endettement du pays. Mais les attentes auxquelles ils répondent (protection sociale, services publics…) sont relativisées ainsi que la capacité économique et sociale du pays à les financer. « Les Français se défaussent sur les politiques », observe Brice Teinturier, directeur général d’Ipsos. Quel parti politique gérerait mieux les caisses publiques que le gouvernement actuel ? Aucun ne convainc profondément l’opinion. Certes, une personne sur trois cite le RN, qui arrive largement devant les autres. Mais cette proportion reflète surtout l’audience actuelle du parti lepéniste et le rejet radical des autres formations par ses sympathisants.

Sondage Endettement : les Français ne veulent pas payer la facture !

Sondage Endettement : les Français ne veulent pas payer la facture !

Selon l’ enquête Ipsos-« La Tribune Dimanche », les Français (93 %) estiment que la réduction des déficits doit figurer parmi les priorités ou les sujets importants du gouvernement mais préféreraient que l’on baisse des dépenses publiques au lieu d’augmenter les impôts. 

La problématique n’est pas évidente car on ne trouve guère d’unanimité pour supprimer des dépenses de l’État. Les gouvernements successifs sont jugés responsables de l’endettement du pays. Mais les attentes auxquelles ils répondent (protection sociale, services publics…) sont relativisées ainsi que la capacité économique et sociale du pays à les financer. « Les Français se défaussent sur les politiques », observe Brice Teinturier, directeur général d’Ipsos. Quel parti politique gérerait mieux les caisses publiques que le gouvernement actuel ? Aucun ne convainc profondément l’opinion. Certes, une personne sur trois cite le RN, qui arrive largement devant les autres. Mais cette proportion reflète surtout l’audience actuelle du parti lepéniste et le rejet radical des autres formations par ses sympathisants.

Immigration: Les Français veulent un changement de gouvernement

Immigration: Les Français veulent un changement de gouvernement

Globalement peu de français soutiennent le projet de texte qui a été rejeté par l’Assemblée nationale. Pire, maintenant ils souhaitent un changement de gouvernement et notamment de première ministre. D’après un sondage Odoxa-Backbone Consulting , Une majorité des Français estiment que le gouvernement a subi un grave échec; un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Les syndicats veulent l’indexation sur les prix et conditionner les aides aux entreprises

Les syndicats veulent l’indexation sur les prix et conditionner les aides aux entreprises

Marylise Léon CFDT , souhaite qu’on «sanctionne» les entreprises «qui ne jouent pas le jeu» sur les hausses de salaires. Par exemple en leur supprimant «des exonérations de cotisations». Sophie Binet, CGT, remet en avant la proposition de la CGT de «conditionner les 200 milliards d’euros d’aides publiques dont bénéficient chaque année les entreprises». De même que celle «d’indexer les salaires sur les prix ».

Marylise Léon (CFDT) et Sophie Binet (CGT) affirment vouloir poursuivre leur stratégie d’unité syndicale.

Il y aura un avant et un après-réforme des retraites. C’est en tout cas le souhait de l’intersyndicale qui, après avoir montré un front uni durant toute la séquence de mobilisation entre janvier et juin, veut poursuivre dans cette voie. «Nous ne voulons pas revenir au train-train syndical d’avant», a confié la secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon dans un entretien croisé avec son homologue de la CGT Sophie Binet, accordé ce dimanche pour le premier numéro de La Tribune Dimanche .

«La question des retraites n’est pas soldée, mais la mobilisation a changé la donne», estime la patronne du premier syndicat français. «Entre nous, les non-dits ont été levés. On assume davantage nos différences», ajoute la successeure de Laurent Berger, tout à sa volonté d’afficher un visage d’unité. Interrogée par La Tribune Dimanche aux côtés de son homologue, Sophie Binet se montre sur la même longueur d’onde, soulignant les avantages de cette stratégie. «Ça modifie les négociations avec le patronat et avec le gouvernement. Ils ne peuvent plus choisir leurs interlocuteurs comme ça les arrange, puisqu’on fait front commun. On monte ensemble sur des sujets, même si bien sûr il y a des désaccords et des différences dans la démarche», explique l’ancienne conseillère principale d’éducation (CPE).

Cette unité syndicale est en tout cas symbolisée par la journée de grèves et de manifestations du 13 octobre, organisée par l’intersyndicale sous le mot d’ordre «Contre l’austérité, pour les salaires et l’égalité femmes-hommes». Pour Sophie Binet, cette mobilisation, qui pourrait toucher les transports, la santé ou encore l’éducation, «permettra d’obtenir des avancées avant le 16 octobre et la conférence sociale» promise par Emmanuel Macron.

Sondage Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Sondage Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques Rappelons que la fiscalité tourne autour de 60 % du prix et représente environ 40 milliards au moins de recettes pour l’État.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes (mesure à nouveau annoncée par Macron dimanche 25 septembre). Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes (mesure à nouveau annoncée par Macron dimanche 25 septembre). Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Brexit: Un échec pour les Britanniques qui veulent renégocier

Brexit: Un échec pour les Britanniques qui veulent renégocier


Sept ans après, les Britanniques considèrent que le Brexit est un échec pour le Royaume-Uni et souhaitent désormais une renégociation avec l’union européenne mais sans demander sa réintégration. En tout cas ce que souhaite le Labor qui se trouve largement en tête dans les sondages. Pas certain cependant que l’union européenne est réellement envie de se relancer dans des discussions byzantines et interminables avec le Royaume-Uni.

Le parti travailliste britannique cherchera donc à négocier un «meilleur accord» de libre-échange post Brexit entre le Royaume-Uni et l’Union européenne s’il arrive au pouvoir lors des prochaines élections législatives, a indiqué son chef Keir Starmer dimanche dans un entretien au Financial Times .

«Presque tout le monde reconnaît que l’accord que (l’ex-Premier ministre Boris) Johnson a conclu n’est pas un bon accord. Il est bien trop restreint», a déclaré Keir Starmer, qui avait voté pour rester dans l’UE en 2016, ajoutant qu’«à l’approche de 2025, nous tenterons d’obtenir un bien meilleur accord pour le Royaume-Uni».

L’accord de commerce et de coopération régissant les relations, notamment économiques, post-Brexit entre Bruxelles et Londres est entré en vigueur en 2021, avec une clause de revoyure en 2025. Son application ne s’est pas faite sans heurts, et la sortie de l’UE pèse et va continuer de peser sur l’économie britannique selon des évaluations d’économistes.

Sept ans après le référendum de 2016, 61% des Britanniques estiment que le Brexit est un échec, selon un sondage YouGov réalisé cet été, à rebours du gouvernement conservateur qui vante régulièrement la liberté retrouvée du pays et les bienfaits de la sortie de l’UE.

Sondage Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Sondage Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes. Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes. Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

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