Archive pour le Tag 'veulent'

Sondage Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Sondage Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques Rappelons que la fiscalité tourne autour de 60 % du prix et représente environ 40 milliards au moins de recettes pour l’État.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes (mesure à nouveau annoncée par Macron dimanche 25 septembre). Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Prix Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes (mesure à nouveau annoncée par Macron dimanche 25 septembre). Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Brexit: Un échec pour les Britanniques qui veulent renégocier

Brexit: Un échec pour les Britanniques qui veulent renégocier


Sept ans après, les Britanniques considèrent que le Brexit est un échec pour le Royaume-Uni et souhaitent désormais une renégociation avec l’union européenne mais sans demander sa réintégration. En tout cas ce que souhaite le Labor qui se trouve largement en tête dans les sondages. Pas certain cependant que l’union européenne est réellement envie de se relancer dans des discussions byzantines et interminables avec le Royaume-Uni.

Le parti travailliste britannique cherchera donc à négocier un «meilleur accord» de libre-échange post Brexit entre le Royaume-Uni et l’Union européenne s’il arrive au pouvoir lors des prochaines élections législatives, a indiqué son chef Keir Starmer dimanche dans un entretien au Financial Times .

«Presque tout le monde reconnaît que l’accord que (l’ex-Premier ministre Boris) Johnson a conclu n’est pas un bon accord. Il est bien trop restreint», a déclaré Keir Starmer, qui avait voté pour rester dans l’UE en 2016, ajoutant qu’«à l’approche de 2025, nous tenterons d’obtenir un bien meilleur accord pour le Royaume-Uni».

L’accord de commerce et de coopération régissant les relations, notamment économiques, post-Brexit entre Bruxelles et Londres est entré en vigueur en 2021, avec une clause de revoyure en 2025. Son application ne s’est pas faite sans heurts, et la sortie de l’UE pèse et va continuer de peser sur l’économie britannique selon des évaluations d’économistes.

Sept ans après le référendum de 2016, 61% des Britanniques estiment que le Brexit est un échec, selon un sondage YouGov réalisé cet été, à rebours du gouvernement conservateur qui vante régulièrement la liberté retrouvée du pays et les bienfaits de la sortie de l’UE.

Sondage Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Sondage Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes. Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Hausse Carburant : les Français veulent une diminution de la fiscalité

Selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 63% des Français estiment nécessaire le retour de la ristourne sur l’essence pour le pouvoir d’achat, même si cela a des conséquences importantes sur les dépenses publiques.

Cette mesure est largement soutenue par les Français qui utilisent quotidiennement la voiture (69%), par les employés et les ouvriers (71%), par les 18-24 ans (72%) et les 25-34 ans (70%), ainsi que par les habitants des communes rurales (70%) et des villes de moins de 20.000 habitants (71%).

Par ailleurs, le retour de la ristourne est aussi soutenu par l’ensemble des principaux électorats, y compris par une majorité d’électeurs d’Emmanuel Macron (53%).

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a récemment demandé au gouvernement de mettre en œuvre une nouvelle ristourne de 15 à 20 centimes sur le prix du litre d’essence pour tous les automobilistes, contrairement à l’indemnité carburant de 100 euros disponible entre janvier et mars pour les foyers modestes. Bruno Le Maire a néanmoins écarté la proposition de l’ex-candidat à l’élection présidentielle, estimant qu’elle ne serait « pas responsable » compte tenu du coût qu’elle représenterait pour les finances publiques. Notons cependant que l’État bénéficie largement via la fiscalité proportionnelle de la hausse des prix du carburant. En clair, plus le prix du carburant augmente et plus les recettes fiscales progressent.( Taux de fiscalité autour de 60 %)

Sondage transport aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

Sondage transport aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

D’après l’institut IFOP pour le Groupe ADP, en partenariat avec La Tribune », les Français ne croient guère à la décarbonation de l’aviation et prévoient le développement de ce mode de transport sur longue distance

87 % des Français pensent que l’avion est un moyen incontournable pour voyager sur des distances importantes. Le pourcentage semble élevé, mais s’avère là aussi inférieur à ceux des autres nations qui se situent entre 89 et 95 %.

Pensez-vous que l’industrie aéronautique est dans votre pays un secteur stratégique prioritaire qu’il faut soutenir et protéger ?

Lorsque que la notion de « distance importante » est remplacée par « quelle que soit la distance », le pourcentage chute naturellement partout en Europe. D’autant que les pays interrogés possèdent des réseaux ferrés conséquents. Sans surprise – et malgré les nombreuses critiques entendues sur le prix des trains ou des péages routiers en France – les sondés hexagonaux sont les plus rétifs à prendre l’avion : seuls 48 % le considèrent comme incontournable quelle que soit la distance. Le Royaume-Uni suit, mais le pourcentage grimpe à 53 %. Ensuite l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie naviguent entre 59 et 70 %.

Derrière ces tendances se dégagent deux éléments. Tout d’abord, les Français font partie des Européens qui considèrent le plus le transport aérien comme un secteur fortement émetteur de CO2 (81 %). Seuls les Britanniques font mieux avec 87 %, tandis que les autres se situent à 74 et 75 %.

Et cela se conjugue avec un certain pessimisme sur le potentiel de décarbonation du transport aérien. Les deux tiers des Français croient en sa capacité à se réformer dans les prochaines années pour répondre au changement climatique. Les Allemands sont 68 % à y croire, les Espagnols 80 %.

Cette différence nette entre la France et les pays limitrophes se retrouve pour l’ensemble des autres secteurs confrontés au défi de la transition environnementale et énergétique. C’est nettement le cas pour le transport routier, l’industrie, la production d’énergie, à peine moins pour le bâtiment ou l’agriculture.

Les Français semblent donc résignés à voir des contraintes apparaître sur le secteur.
Autre signe allant dans ce sens : lorsqu’on leur demande leurs attentes vis-à-vis du secteur aérien, plus de la moitié des Français comme des Européens mettent la priorité à la réduction des émissions de CO2. Mais 20 % de nos concitoyens veulent avant tout une réduction du prix des billets d’avion. C’est plus que dans tout autre pays interrogé, le triple de l’Allemagne ou du Royaume-Uni. Ce qui laisse entrevoir une propension encore forte à voyager par les airs.

Sondage aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

Sondage aérien: Les Français croient peu à la décarbonation de l’aérien mais veulent encore voyager

D’après l’institut IFOP pour le Groupe ADP, en partenariat avec La Tribune », les Français ne croient guère à la décarbonatation de l’aviation et prévoient le développement de ce mode de transport sur longue distance

87 % des Français pensent que l’avion est un moyen incontournable pour voyager sur des distances importantes. Le pourcentage semble élevé, mais s’avère là aussi inférieur à ceux des autres nations qui se situent entre 89 et 95 %.

Pensez-vous que l’industrie aéronautique est dans votre pays un secteur stratégique prioritaire qu’il faut soutenir et protéger ?

Lorsque que la notion de « distance importante » est remplacée par « quelle que soit la distance », le pourcentage chute naturellement partout en Europe. D’autant que les pays interrogés possèdent des réseaux ferrés conséquents. Sans surprise – et malgré les nombreuses critiques entendues sur le prix des trains ou des péages routiers en France – les sondés hexagonaux sont les plus rétifs à prendre l’avion : seuls 48 % le considèrent comme incontournable quelle que soit la distance. Le Royaume-Uni suit, mais le pourcentage grimpe à 53 %. Ensuite l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie naviguent entre 59 et 70 %.

Derrière ces tendances se dégagent deux éléments. Tout d’abord, les Français font partie des Européens qui considèrent le plus le transport aérien comme un secteur fortement émetteur de CO2 (81 %). Seuls les Britanniques font mieux avec 87 %, tandis que les autres se situent à 74 et 75 %.

Et cela se conjugue avec un certain pessimisme sur le potentiel de décarbonation du transport aérien. Les deux tiers des Français croient en sa capacité à se réformer dans les prochaines années pour répondre au changement climatique. Les Allemands sont 68 % à y croire, les Espagnols 80 %.

Cette différence nette entre la France et les pays limitrophes se retrouve pour l’ensemble des autres secteurs confrontés au défi de la transition environnementale et énergétique. C’est nettement le cas pour le transport routier, l’industrie, la production d’énergie, à peine moins pour le bâtiment ou l’agriculture.

Les Français semblent donc résignés à voir des contraintes apparaître sur le secteur.
Autre signe allant dans ce sens : lorsqu’on leur demande leurs attentes vis-à-vis du secteur aérien, plus de la moitié des Français comme des Européens mettent la priorité à la réduction des émissions de CO2. Mais 20 % de nos concitoyens veulent avant tout une réduction du prix des billets d’avion. C’est plus que dans tout autre pays interrogé, le triple de l’Allemagne ou du Royaume-Uni. Ce qui laisse entrevoir une propension encore forte à voyager par les airs.

Sondage RETRAITES:73 % des Français veulent que le gouvernement retire sa réforme

Sondage RETRAITES:73 % des Français veulent que le gouvernement retire sa réforme

D’après un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, 73% des Français interrogés estiment que le gouvernement doit retirer sa réforme pour mettre fin aux blocages et grèves.

Les électeurs du candidat LFI à la présidentielle de 2022 Jean-Luc Mélenchon (89%) et ceux de la candidate RN Marine Le Pen (87%) ont en particulier donné cette réponse. Les électeurs d’Emmanuel Macron au second tour se prononcent eux à 56% pour le retrait.

« Cette opinion est également majoritaire chez les retraités » avec 63% d’entre eux favorables au retrait, note le sondage.

Une majorité des personnes interrogées se dit encore favorable à la mobilisation: 63% (+3 points depuis le 22 mars) l’approuvent, contre 25% (-3) qui la désapprouvent.

« Depuis fin janvier, l’approbation de la mobilisation ne faiblit pas et oscille entre 60% et 68% », souligne le sondage, une dynamique qui « se distingue de l’essoufflement mesuré lors du mouvement social contre la réforme des retraites d’Édouard Philippe (ex-Premier ministre) où l’approbation avait baissé de 64% à 47% entre le 6 novembre 2019 et le 15 janvier 2020. »

Ce sondage a été réalisé sur un échantillon de 1005 Français représentatifs, de plus de 18 ans, selon la méthode des quotas, par Internet du 28 au 29 mars 2023.

Réforme des retraites : les syndicats veulent un référendum

>Réforme des retraites : les syndicats veulent un référendum

Les responsables syndicaux appellent Emmanuel Macron à consulter le peuple sur la réforme des retraites et dénoncent le refus du Président de les recevoir.

C’est évidemment une sorte de bras d’honneur qu’ adresse Macron aux syndicats avec sa lettre particulièrement hypocrite qui détourne la demande d’audience vers la première ministre qui elle-même l’oriente vers le ministre du travail qui, lui, fait la sourde oreille.

« Puisqu’il est si sûr de lui, le président de la République, il n’a qu’à consulter le peuple. On verra la réponse du peuple », a appelé le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez. « La détermination est là, on est passé même à un stade de grosse colère, avec ce qu’a fait le président de la République », vendredi, en rejetant la demande des syndicats de le rencontrer, a ajouté Philippe Martinez, qui va jusqu’à parler d’un « bras d’honneur » d’Emmanuel Macron. « Sans doute il faut aller vers une consultation citoyenne », a appuyé son homologue de la CFDT Laurent Berger.

« Le bras d’honneur que nous fait le président de la République avec sa réponse, c’est prendre le risque que le mouvement social dégénère », a renchéri le secrétaire général de FO Frédéric Souillot. « FO va proposer qu’on ait trois journées, les 15-16-17, de grèves et de manifs », a-t-il affirmé.

De son côté, le président de la CFE-CGC, François Hommeril, veut croire à la « raison » revienne à l’exécutif. « On ne peut diriger, on ne peut pas emmener vers l’avant un pays comme la France en misant sur la résignation de sa population. C’est la chose la plus grave de ce moment », a-t-il regretté.

Alors que le recours à l’article 49.3 qui permettrait d’approuver le texte sans vote n’est pas exclu, le secrétaire général de la FSU Benoît Teste dénonce un potentiel « coup de force démocratique » qui redonnerait « du souffle à la mobilisation ».

Crise alimentaire : les Français veulent un pays plus autonome

Crise alimentaire : les Français veulent un pays plus autonome

Autour de 50 % des fruits et légumes sont importés. Les Français souhaitent donc une plus grande autonomie du pays pour des raisons de sécurité alimentaire et sanitaire

Selon un sondage réalisé par le cabinet d’études pour « Les Echos », Radio Classique et l’Institut Montaigne publié ce jeudi, ils sont même plus d’un tiers à considérer que l’Hexagone « importe beaucoup » et n’est dès lors « pas du tout autonome pour couvrir les besoins de sa population ».

Cette envie d’une autonomie plus importante ne rend pas pour autant les Français très optimistes sur la façon dont le pays peut y arriver. Il y a même un vrai doute. Ils ne sont que 60 % à juger qu’on sera capable de produire des aliments en quantité suffisante en 2050, ils ne sont plus que 53 % à envisager que cette production puisse être en même temps de bonne qualité, et moins de la moitié à imaginer qu’elle puisse être tout à la fois respectueuse de la planète.

Il est certain que la situation réelle de l’agriculture française et les discours d’alerte entendus récemment, comme sur la sécheresse, pèsent sur l’opinion.

Face à la flambée des prix alimentaires depuis un an, les Français jugent par ailleurs que les torts sont partagés. Ils sont à peu près autant à pointer du doigt l’industrie alimentaire « qui augmente trop fortement ses tarifs », la grande distribution « qui ne réduit pas assez ses marges » ou le contexte international de guerre en Ukraine.

Contribution des Gafa aux télécoms : les collectivités veulent aussi un retour financier

Contribution des Gafa aux télécoms : les collectivités veulent aussi un retour financier

Alors que l’Europe étudie un mécanisme visant à faire contribuer les géants américains du Net au financement du déploiement de la fibre ou de la 5G, les collectivités françaises estiment qu’une partie de cette manne doit leur revenir. Et pour cause, elle pourrait atteindre 20 milliards d’euros par an, dont deux milliards pour la France.

l’Union européenne souhaite que les géants américains du Net contribuent au déploiement des réseaux télécoms sur le Vieux Continent et les collectivités françaises veulent mettre la main sur une partie de la contribution financière éventuelle. Pas question, en clair, que les opérateurs comme Orange, SFR, Bouygues Telecom ou Free, en soient les seuls bénéficiaires. C’est le message qu’a fait passer ce mardi Patrick Chaize, le sénateur de l’Ain (LR) et président de l’Avicca, qui regroupe les collectivités impliquées dans le numérique.

Les montants évoqués d’une possible contribution des Gafa au secteur des télécoms sont faramineux. Le lobby européen du secteur (ETNO), qui a été en première ligne pour faire avancer ce dossier à Bruxelles, milite pour un chèque de 20 milliards d’euros par an ! Les opérateurs français, eux, espèrent une contribution de 2 milliards d’euros pour l’Hexagone.

Les collectivités locales estiment *que les opérateurs ne sont pas les seuls à investir dans les réseaux. Dans les campagnes, le déploiement de la fibre, très avancé, n’a pu voir le jour que parce que les collectivités et l’Etat ont mis la main au portefeuille. C’est grâce à leurs investissements que les Réseaux d’initiative publique (RIP), qui permettent aux habitants des zones rurales et peu peuplées de disposer d’une connexion Internet fixe à très haut débit, ont vu le jour.
L’appétit croissant des Gafa en bande passante pour écouler leurs services oblige depuis des années les opérateurs télécoms à déployer, à grands frais, des tuyaux toujours plus gros. Ils n’ont pas le choix, puisque la neutralité du Net interdit aux Orange, Bouygues Telecom, SFR ou Free de discriminer le trafic de tel ou tel fournisseur de contenus. Dans ce contexte, et sachant que le trafic des Gafam engloutit jusqu’à 80% de la bande passante, la Commission européenne estime normal que ces mastodontes finance les réseaux d’infrastructures.

Superprofits : les députés veulent une taxe contre l’avis du gouvernement

Superprofits : les députés veulent une taxe contre l’avis du gouvernement

Encore une gifle reçue par le gouvernement à l’Assemblée nationale et ce n’est sans doute pas la dernière. Non seulement le gouvernement est coincé actuellement dans la rue ( Par les grévistes et par les automobilistes immobilisés) mais il l’ est également à l’occasion du vote de budget concernant les superprofits. Jusque-là en effet le gouvernement contrairement à d’autres pays s’est toujours refusé à taxer ses superprofits exceptionnelle dont beaucoup de sont directement liés d’ailleurs à l’inflation et non à une meilleure gestion des entreprises. C’est le cas évidemment en particulier dans le pétrole.

Les députés ont évidemment en tête le risque de développement du mécontentement social de salariés qui sont victimes de l’inflation et souhaite une revalorisation des salaires.
L’Assemblée nationale a donc adopté un amendement déposé par les élus MoDem et soutenu par LFI et le RN. 227 députés ont voté pour, 88 contre.

Les députés ont voté pour un amendement déposé par Jean-Paul Mattei, président du groupe MoDem, visant à introduire une « flat tax » à 35% sur les super-dividendes versés supérieurs de 20% à la moyenne des revenus distribués entre 2017 et 2021 au sein d’une entreprise.

227 parlementaires ont voté pour cet amendement, et 88 contre. Dans le détail, RN et la Nupes (LFI, PCF, EELV et PS) ont voté pour.

La majorité présidentielle s’est fracturée, le MoDem votant évidemment pour et Renaissance étant divisé: 19 membres du parti présidentiel ont soutenu la mise en place de cette taxe, y compris Freddy Sertin, suppléant d’Elisabeth Borne.

Télécoms : France, Italie et Espagne veulent faire payer les géants du numérique

Télécoms : France, Italie et Espagne veulent faire payer les géants du numérique

La France, l’Italie et l’Espagne veulent un projet européen de réglementation garantissant que les géants du numérique contribuent au financement des infrastructures de télécommunications.

Plus de la moitié du trafic Internet est aujourd’hui monopolisée par Google, Facebook, Netflix, Apple, Amazon et Microsoft, affirme une étude réalisée pour le compte de l’ETNO. Les opérateurs estiment que cela leur coûte chaque année entre 15 et 28 milliards d’euros par an.

Et selon une autre étude publiée plus tôt, une contribution annuelle de 20 milliards d’euros de la part des géants du numérique pourrait donner un coup de pouce de 72 milliards d’euros à l’économie européenne.

Cette fois-ci, dans un document commun, dont Reuters a pu consulter une copie, Paris, Rome et Madrid soulignent que les six principaux fournisseurs de contenus numériques représentant 55% du trafic sur internet.

« Cela entraîne des coûts spécifiques pour les opérateurs télécoms européens en matière de capacité, dans une période durant laquelle ils investissent déjà massivement dans les parties les plus coûteuses des réseaux 5G et fibre », est-il écrit.

France, Italie et Espagne exhortent l’exécutif européen à proposer un projet de loi « garantissant que tous les acteurs du marché contribuent aux coûts des infrastructures numériques », est-il ajouté dans le document.

Deux représentants du gouvernement italien ont confirmé les détails du document conjoint. Aucun commentaire n’a pu être obtenu dans l’immédiat auprès des gouvernements français et espagnol.

Sondage Législatives 2022 : 49% de Français veulent un premier ministre de gauche….Mais pas les électeurs !

Sondage Législatives 2022 : 49% de Français veulent un premier ministre de gauche….Mais pas les électeurs !

Selon un sondage Ifop pour Le JDD 49% d’entre eux espèrent ainsi que le prochain locataire de Matignon soit une personnalité de gauche.

 

Dans le détail, ce sont les jeunes, potentiellement ceux ayant le plus voté pour Jean-Luc Mélenchon, qui souhaitent un chef du gouvernement de cette tendance-là. D’autant que le chef de l’Etat lui-même avait dressé après sa victoire un premier portrait-robot : une personne «attaché à la question sociale, à la question environnementale et à la question productive». Autre élément à prendre en compte, cette même volonté chez les sympathisants du RN et ceux du parti présidentiel. Car si bien évidemment 92% des électeurs de gauche veulent que leurs idées arrivent au pouvoir, un tiers des soutiens d’Emmanuel Macron et 25% des partisans de Marine Le Pen y aspirent également. Une part non négligeable qui s’explique en partie par l’expression des catégories populaires de vouloir bénéficier de mesures plus sociales.

Les électeurs contredisent les Français

Paradoxe, selon un sondage OpinionWay-Kéa Partners, pour  Les Échos et Radio classique , Il y aurait entre 310 et 350 sièges à l’Assemblée à l’issue des législatives des 12 et 19 juin prochain pour la majorité présidentielle. Selon ce sondage, l’union de la gauche pourrait aussi investir entre 135 et 165 députés et devenir, devant la droite, la première force d’opposition du pays. Selon ce même sondage, Les Républicains passeraient de 101 députés actuellement à entre 50 et 70 dans la prochaine législature.Et le Rassemblement national pourrait obtenir entre 20 et 40 sièges et ainsi constituer un groupe parlementaire. C’est une avancée pour le parti, mais un faible score au vu de son nombre de voix récoltées au second tour de la présidentielle.

 

 

Sondage Présidentielle : les Français veulent un débat avec Macron avant le premier tour

Sondage Présidentielle : les Français veulent un débat avec Macron avant le premier tour

 

 62% des Français condamnent  l’absence de débat avec Macron avant le premier tour selon un sondage YouGov pour Le HuffPost . De ce point de vue la posture quasi monarchique de Macron est de plus en plus critiquée

Dans le détail, ce pourcentage bondit à gauche, chez les sympathisants Insoumis (81%) et socialistes (83%). Les sondés proches de La République en marche, eux, sont 50% à regretter qu’Emmanuel Macron ne descende pas dans l’arène. À droite, ils sont 67% chez les sympathisants Les Républicains et 67% chez les proches du Rassemblement National.

Dans un récent sondage Ipsos paru la semaine dernière, sept Français sur dix déclaraient être «intéressés par la prochaine élection Présidentielle de 2022». Cette tendance ne change pas. Le sondage YouGov indique que 68% des sondés sont «intéressés par la campagne présidentielle». Près d’un Français sur deux pense d’ailleurs qu’Emmanuel Macron doit se déclarer candidat rapidement, une position très largement répandue chez les sympathisants LREM (96%).

 

 

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