Archive pour le Tag 'verts'

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UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

UE- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

Europe- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

Europe- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE : gaz et nucléaire considéré comme investissements verts

UE : gaz et nucléaire considéré comme investissements verts

 

L’union européenne s’apprêterait à considérer aussi comme investissements verts le gaz et le nucléaire. Une majorité s’est dégagée sur cette question. Sans doute un compromis politique notamment entre la France et l’Allemagne. L’Allemagne qui pousse le gaz provenant surtout de la Russie et la France qui pousse sa technologie nucléaire Le sujet divise les Vingt-Sept. Mais au sommet des chefs d’État et de gouvernement jeudi à Bruxelles, «une très grande majorité d’États membres» a souhaité inclure à la fois le gaz et le nucléaire dans cette liste d’investissements durables, a déclaré un diplomate européen à l’AFP.. La crise des prix du gaz semble avoir créé un contexte favorable au nucléaire.

Mi-octobre, dix États de l’UE, dont la France, ont publié une tribune soutenant le nucléaire au motif qu’elle n’émet pas de CO2 et fait partie des solutions pour lutter contre le réchauffement climatique, mais également qu’elle contribue à l’indépendance énergétique européenne. Ce texte a aussi été signé par la Roumanie, la République tchèque, la Finlande, la Slovaquie, la Croatie, la Slovénie, la Bulgarie, la Pologne et la Hongrie. Les Pays-Bas se sont ralliés récemment à cette position.

D’autres pays comme l’Allemagne, l’Autriche ou le Luxembourg y sont farouchement opposés, à l’instar de plusieurs ONG qui épinglent le problème du stockage à très long terme des déchets radioactifs. Les centrales à gaz émettent du CO2, mais beaucoup moins que le charbon et, comme le nucléaire elles représentent une source d’électricité stable et pilotable qui peut apporter un complément nécessaire aux sources renouvelables (solaire, éoliennes) quand soleil et vent sont absents.

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

 

Après le résultat des primaires d’Europe écologie les Verts ,Sandrine Rousseau joue les mouches du coche. Il est clair que Sandrine Rousseau s’attendait à être élue puisqu’elle bénéficiait du soutien de l’appareil. La victoire de Jadot a été très courte mais réelle. Jusque-là les écologistes dans la primaire s’étaient efforcés de conduire un débat relativement serein.

 

Mais à peine Jadot élue, Sandrine Rousseau fait entendre sa petite musique de la radicalité. Elle suggère notamment que Jadot tienne largement tenir compte de la ligne politique radicale qu’elle représente et que son soutien n’est pas acquis. Une attitude qui contredit totalement l’engagement des candidats à la primaire de soutenir le gagnant de la consultation.

Les écolos ont réussi à ne pas trop se diviser pendant la primaire mais il pourrait bien faire ressurgir leurs vieux démons au cours de la campagne électorale. Rien d’étonnant à cela dans la mesure où les lignes électorales respectives de Yannick Jadot et de Sandrine Rousseau sont opposées à peu près sur tout sauf peut-être le climat est encore.

 

En gros Yannick Jadot développe un projet de gouvernement qui forcément tient compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau s’enfonce dans le gauchisme et l’idéologie Woke. Sandrine Rousseau lance un avertissement en forme de menace à Yannick Jadot.

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

 

Après le résultat des primaires d’Europe écologie les Verts ,Sandrine Rousseau joue les mouches du coche. Il est clair que Sandrine Rousseau s’attendait à être élue puisqu’elle bénéficiait du soutien de l’appareil. La victoire de Jadot a été très courte mais réelle. Jusque-là les écologistes dans la primaire s’étaient efforcés de conduire un débat relativement serein.

 

Mais à peine Jadot élue, Sandrine Rousseau fait entendre sa petite musique de la radicalité. Elle suggère notamment que Jadot tienne largement tenir compte de la ligne politique radicale qu’elle représente et que son soutien n’est pas acquis. Une attitude qui contredit totalement l’engagement des candidats à la primaire de soutenir le gagnant de la consultation. Les écolos ont réussi à ne pas trop se diviser pendant la primaire mais il pourrait bien faire ressurgir leurs vieux démons au cours de la campagne électorale. Rien d’étonnant à cela dans la mesure où les lignes électorales respectives de Yannick Jadot et de Sandrine Rousseau sont opposées à peu près sur tout sauf peut-être le climat est encore.

 

En gros Yannick Jadot développe un projet de gouvernement qui forcément tient compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau s’enfonce dans le gauchisme et l’idéologie woke. Sandrine Rousseau lance un avertissement en forme de menace à Yannick Jadot.

Allemagne : les « Verts » largement battus

Allemagne :  les verts largement battus

Comme sans doute en France, les verts  se voyaient déjà en haut de l’affiche en Allemagne ; ils escomptaient prendre la succession de Merkel. En fait ils ont reçu une véritable claque avec un score autour de 14 % quand la droite et la gauche classique obtienne chacun autour de 25 %. Certes les verres pourraient se présenter en arbitre de la situation car aucun parti ne dispose des voix suffisantes pour s’imposer au gouvernement et comme chancelier.

 

Il existe cependant d’autres hypothèses. La première consiste à une nouvelle alliance entre la CDU où est le SPD. Une autre possibilité consiste pour l’un des deux parties à s’allier avec les libéraux. Enfin les Verts  pourraient éventuellement être de la partie de la nouvelle union.

 

Il y a une certaine différence avec la France en Allemagne à savoir qu’ un accord entre des partis opposés est toujours possible dans l’intérêt du pays . Dans l’histoire de l’Allemagne on a déjà fait l’hypothèse d’une crise institutionnelle mais à chaque fois l’Allemagne a su faire prévaloir l’intérêt supérieur du pays sur l’intérêt des partis. Il est clair qu’on envisagerait pas une union en France entre par exemple les républicains ,  socialistes voir les écolos..

Présidentielle 2022 : 55% des Français estiment que le projet pour la société d’Europe écologie les Verts n’est pas réaliste

Présidentielle 2022 : 58% des Français estiment que le projet pour la société d’Europe écologie les Verts (EELV) n’est pas réaliste

Selon le sondage Odoxa réalisé avec Backbone Consulting pour Le Figaro

58% des Français estiment que leur projet pour la société n’est pas «réaliste», et 54% jugent qu’il n’est pas «crédible». Ancrés par tradition dans la «contre-culture», les écologistes veulent prouver qu’ils sont désormais mûrs pour décrocher le pouvoir. Ce sera donc un des chantiers à poursuivre pour le futur vainqueur de la primaire des écologistes. «S’ils veulent dépasser les 5% qui constituaient jusqu’à présent leur score record à ce scrutin, les écologistes doivent changer leur image de ‘gentils babacools’, pas capables de gouverner», note d’ailleurs Gaël Sliman, le président d’Odoxa.

De fait, une majorité de Français estiment que les Verts feraient moins bien que le gouvernement actuel sur «la politique économique et sociale» (62%), sur «la sécurité» (74%) ou sur la «politique internationale». En revanche, 72% jugent que les écologistes feraient mieux sur «l’environnement».

Révision des règles de l’UE, la prise en compte de quels investissements verts ?

Révision des règles de l’UE, la prise en compte de quels investissements verts ?

 

 

Les règles budgétaires  (notamment déficits publics à 3% et la dette à 60% du produit intérieur brut (PIB ) pourraient être modifiées au plan de l’union européenne avec éventuellement intégration ou plus exactement traitement spécifique des investissements verts. La difficulté réside évidemment dans le la difficile évaluation de ce qui est vert et de ce qui ne l’est pas. En outre certains états frugaux s’oppose à ces propositions des états dépensiers du Sud dont  la France. Au cours d’un sommet de deux jours, les ministres des Finances des 27 pays de l’UE ont débattu de la manière de modifier les règles budgétaires pour mieux les adapter aux nouvelles réalités économiques une fois que les règles budgétaires de l’Union, désormais suspendues jusqu’à la fin de 2022, seront rétablies à partir de 2023.

Primaire EELV : la justice condamne les verts pour manque de démocratie

Primaire EELV : la justice condamne les verts pour manque de démocratie

 

Décidément les verts ont des difficultés avec leurs primaires organisées à l’occasion des présidentielles. Non seulement général les verts ont l’habitude d’élire le candidat qui a le moins de chance de faire un bon score aux élections mais en plus, le parti élimine de façon arbitraire des candidats à la candidature de cette primaire. Moins d’ailleurs pour des questions de procédures internes aux écologiste  que pour l’orientation relativement centriste d’une minorité.

Ainsi, le petit parti de Corinne Lepage, Cap 21,  avait refusé de s’engager à soutenir le vainqueur de la primaire et avait  donc été éliminé la primaire des verts. Jean-Marc Governatori comptait sur cette formation : elle lui apportait 18 des 28 parrainages nécessaires pour se présenter.L’écologiste «centriste» , Jean-Marc Governatori , avait perçu derrière cette «agression» contre Cap 21 une manœuvre politique pour l’«empêcher de paraître».

Jean-Marc Governatori a déposé un référé au tribunal de Bobigny mi-juillet pour «invalider la démission de Cap 21 par la direction de la primaire et donc valider les parrainages». La justice lui a finalement donné raison jeudi, et a ordonné aux organisateurs de l’intégrer comme candidat.

PRIMAIRE ÉCOLOGISTE: Les verts vont encore choisir un candidat qui perd

PRIMAIRE ÉCOLOGISTE: Les verts vont encore choisir un candidat qui perd

Face à Yannick Jadot écolo plutôt centriste, Europe écologie les Verts va sans doute préférer un candidat qui perd comme Éric Piolle. Un candidat beaucoup plus à gauche et beaucoup moins connu. Bref le scénario éternel de la primaire écologiste ( Pour mémoire les écolos avaient déjà préféré Eva Joly à Nicolas Hulot). Éric Piolle vient d’ailleurs de soutenir de recevoir tout ce que compte l’écologie du gauche avec un appui de 300 élus.

« Nous avons besoin d’une présidence humble, terre à terre, qui nous ressemble et qui nous considère, qui connaisse la réalité du travail et celle des territoires », plaident ces soutiens d’Eric Piolle, rappelant sa victoire en 2014 à Grenoble puis sa réélection aux municipales de 2020.

« Il s’est inscrit dans une nouvelle page de l’histoire de l’écologie politique en France. Celle de l’écologie de gouvernement. Il a montré que les écologistes peuvent gagner pour agir sur le réel », insistent les signataires, qui plaident pour articuler « radicalité » et « pragmatisme ».

« Nous sommes également fiers de soutenir comme candidat à la présidentielle un ancien cadre » de Hewlett Packard « licencié pour avoir refusé un plan de délocalisation, devenu un élu de terrain à l’écoute, conscient des réalités du quotidien, attaché aux territoires qui font la France au-delà des considérations parisiennes et capable de construire le rassemblement des gauches écologistes », ajoutent ces personnalités.

Allemagne :La dirigeante des verts prises les mains dans le pot de confiture

Allemagne :La dirigeante des verts prises les mains dans le pot de confiture

Les verts en Allemagne vivent actuellement une mauvaise période d’abord avec des échecs aux élections locales mais aussi la mise en cause de leur principales dirigeante prise  les mains dans le pot de confiture. D’une part on l’accuse d’avoir minimisé sa fortune personnelle, d’autre part de s’être largement inspiré du copier coller pour grossir un programme politique un peu court. Sans parler d’un tripatouillage de son CV.

L’euphorie provoquée en avril par la nomination d’Annalena Baerbock pour briguer la chancellerie allemande pour les Verts est donc complètement retombée. Des incohérences et erreurs dans son curriculum vitae puis un bonus trop tardivement signalé avaient commencé d’égratigner la crédibilité de la candidate écologiste. Les nouvelles accusations de plagiat dont fait désormais l’objet son livre, tout juste paru à grand renfort de publicité, menacent de faire passer la jeune femme du statut d’espoir à celui de boulet pour les Verts.

 

Des plans de relance pas très verts plutôt gris voire noirs

Des  plans de relance pas très verts plutôt gris voire noirs

il y a évidemment les discours et les grandes rencontres internationales pour défendre l’environnement et notamment la détérioration du climat. Mais il y a aussi les réalités politiques et économiques. Et de ce point de vue les énormes plans de relance lancée partout dans le monde consacrent bien peu d’argent aux dimensions environnementales et en particulier aux énergies renouvelables. Les investissements destinés aux énergies fossiles sont en effet six fois plus nombreux que ceux affectés aux renouvelables. Pourtant, alors même que la crise sanitaire « aurait pu changer la donne », le compte n’y est pas, souligne le groupe de réflexion international sur les énergies renouvelables REN21 dans un nouveau rapport. Pour cause,« en dépit de tous les discours vers un avenir énergétique propre », les plans de relance post-Covid ont en fait accordé six fois plus d’investissements aux fossiles qu’aux renouvelables, signale l’étude.

En cause évidemment le décalage constant entre les discours tonitruants des responsables politiques et leurs orientations réelles. Mais il convient aussi de prendre en compte également les réalités économiques et énergétiques. Dans la plupart des cas le recours total ad énergie renouvelable pour remplacer les fossiles et complètement utopiques en quelques années. Ou alors il faut alors accepter de tuer toute croissance, tout emploi et en même temps toute redistribution. Une politique énergétique ne peut se gérer que dans la durée et il faut des dizaines d’années pour progressivement faire évoluer un modèle pertinent et durable. À moins de conseiller à tous les Français par exemple de prendre leur vélo pour la totalité de leur dépassement. Une vision très bobo qui ne tient pas vraiment compte des réalités économiques ,urbanistiques et sociales.

Un A320 avec du carburant 100 % verts : une escroquerie

Un A320 avec du carburant 100 % verts : une escroquerie

Le carburant 100 % vert pour l’aérien constituent la même escroquerie que l’électricité 100 % verte d’Engie. Énergie verte, électricité verte est maintenant carburant aérien vert. Une véritable escroquerie évidemment car il ne s’agit nullement de réduire la totalité des émissions de CO2. On va tout simplement Substituerau kérosène un autre carburant avec soi-disant 100 % de carburant alternatif mais dont beaucoup auront besoin du pétrole notamment pour être produit (déchets industriels et agricoles par exemple) .

Désigné sous le nom de code de VOLCAN (Vol avec Carburants Alternatifs Nouveaux), ce projet franco-français sera non seulement une première pour un appareil de cette taille, mais il permettrait  également de mesurer pour la première fois, en conditions réelles, les émissions polluantes d’un vol au carburant dit « vert ». Sur le papier, ces nouveaux carburants issus de la biomasse, des déchets de l’industrie alimentaire ou forestière ou bien synthétisés à base d’hydrogène, sont susceptibles de réduire de 80 % les émissions de CO2 d’un avion, comparé au kérosène à base de pétrole. Mais jusqu’à présent, leur utilisation s’est toujours faite en complément de jet fuel classique.

 

« Nos moteurs actuels sont déjà certifiés pour fonctionner avec jusqu’à 50 % de carburants alternatifs, explique Stéphane Cueille, le directeur de l’innovation chez Safran, qui produit la majorité des moteurs d’Airbus A320 et de Boeing 737. Passer de 50 % à 100 % ne présente pas de difficulté technique majeure. Mais nous devons vérifier la compatibilité des joints, des pompes et des différents composants du système de propulsion, avant de pouvoir certifier des vols à 100 % ».

Selon le directeur de Safran, cet objectif d’une certification des vols avec 100 % de carburants alternatifs, devrait être atteint « vers la fin de la décennie » au plus tard. « Mais si nous pouvons aller plus vite, nous le ferons », précise-t-il. Car l’enjeu est considérable. Les carburants alternatifs sont non seulement le meilleur outil actuel pour réduire de 50 % les émissions de CO2 des vols courts et moyen-courriers, en attendant un éventuel nouveau modèle d’Airbus à hydrogène vers 2035, mais ils sont aussi la seule solution de long terme pour les long-courriers.

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Succès de Merkel en Saxe-Anhalt et défaite des Verts

Succès de Merkel  en Saxe-Anhalt et défaite des Verts

De quoi doucher sérieusement les espérances des verts allemands se voyaient déjà pouvoir.  Le parti d’Angela Merkel a remporté 36,2 % des suffrages lors des élections en Saxe-Anhalt dimanche, devançant l’extrême droite de près de 14 points. Les Verts restent de leur côté loin des 10 % qu’ils visaient. Les  Verts, qui menacent la CDU au niveau fédéral, n’ont réussi à réunir que 6,2 % des suffrages.

Une déception pour les VertsCe succès devrait conforter les résultats du dernier sondage de l’institut Insa paru dimanche pour le tabloïd Bild, qui crédite la CDU de 26 % contre 21 % pour les Verts au niveau national. La candidate de ces derniers à la chancellerie, Annalena Baerbock, a reconnu sa déception, confirmant que « nous avions espéré plus » en Saxe-Anhalt. Les Verts visaient en effet les 10 %, contre 5,2 % en 2016. Leur nouveau score les place même juste en-deçà des Libéraux (FDP), qui reviennent ainsi au parlement régional après 10 ans d’absence.

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