Archive pour le Tag 'verts'

Europe Ecologie-Les Verts : Le choix entre le gauchisme et l’environnement

Europe Ecologie-Les Verts : Le choix entre le gauchisme et l’environnement

Le climat de terreur idéologique qui règne dans le parti Europe écologie les Verts a conduit le secrétaire national à quitter ses fonctions de secrétaire général sur des soupçons non n’avérés et largement alimentés par Sandrine Rousseau.

Des procédés classiques sous la terreur et qui correspondent d’ailleurs à l’idéologie des gauchistes qui veulent entraîner Europe écologie les Verts sur le terrain révolutionnaire en délaissant la question environnementale.

L’élue des Hauts-.de-France Marine Tondelier a donc été élue samedi secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, au terme d’un second tour de scrutin interne à l’issue du congrès fédéral du parti à Rungis dans le Val-de-Marne. La motion de synthèse qui l’a porté en tête a recueilli 90,8% des voix.

Il n’y avait guère de suspense dans les travées du parc des expositions du Val-de-Marne où les quelques centaines de délégués ont convergé. Après avoir frisé la barre des 50 % dès la première phase du congrès, la conseillère municipale d’opposition à Hénin-Beaumont était assurée de prendre la tête du mouvement

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Les écolos d’Europe écologie les Verts prennent enfin conscience que la radicalité ridicule de certains de leurs membres condamne le parti à la marginalité.

Melissa Camara, la candidate de Sandrine Rousseau qui défend « une forme de radicalité, de rupture » obtient 13,54%, un score « décevant ».Selon des résultats partiels communiqués par la direction, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), qui était considérée comme la favorite et était notamment soutenue par l’ex secrétaire national Julien Bayou, a obtenu 46,97% des voix des adhérents recueillies sur sa motion « La Suite ». Le résultat définitif et le nombre de votants parmi les 11 000 adhérents du parti seront connus dimanche.

Ce choix de mettre en tête deux candidates plus pragmatiques que radicales, marque en effet un échec pour la députée Sandrine Rousseau, qui avait encore récemment accusé l’ex-candidat à la présidentielle Yannick Jadot de ne plus défendre « l’écologie de combat ».

Marine Tondelier a dénoncé à plusieurs reprises « le buzz » et « la twitterisation » de la vie politique, dans un tacle à peine voilée à Sandrine Rousseau. Ce qui faisait dire à Melissa Camara, que « chez les copains, j’ai l’impression que c’est ‘tout sauf Rousseau’ »

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risquait de faire éclater EELV

Ce qui se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne , ce qui autorise tous les excès . Notamment les excès de Sandrine Rousseau qui a fait de l’exhibitionnisme, de la provocation et du buzz permanent sa ligne politique. L’essentiel étend qu’on parle d’elle. Visiblement le congrès est en train de rectifier la fuite en avant gauchiste.

Environnement- Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Environnement- Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Europe écologie les Verts avec un score anecdotique de 5 % ou le double enterrement.

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque partie assez folle ( ou ses) exemples Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes

Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Europe écologie les Verts: Un double enterrement

Europe écologie les Verts avec un score anecdotique de 5 % ou le double enterrement.

Paradoxalement la cause environnementale aura presque disparu de la campagne électorale présidentielle française. En cause, sans doute d’abord la crise en Ukraine qui va remettre au centre des préoccupations la compétitivité souvent au détriment de la qualité de l’environnement. En outre, une crise qui va durer peut-être des mois et même des années avec des effets négatifs sur l’inflation et plus généralement sur l’environnement. Non seulement la croissance sera remise en question au plan mondial mais son contenu productiviste et gaspilleur sera encouragé pour  compenser la hausse des coûts.

Mais il s’agit d’un double enterrement, celui évoqué par la guerre menée par la Russie mais tout autant sans doute par l’incohérence totale du parti Europe écologie les Verts qui a démontré toutes ses limites et ses contradictions et d’une certaine manière a largement discrédité la cause environnementale. La plupart des dirigeants d’Europe écologie les Verts sont d’ailleurs plus proches politiquement des communistes ou  de Mélenchon que d’un parti réellement écolo. Et ne parlons pas des délires des gauchistes de culture woke; Sandrine Rousseau illustrant jusqu’à la caricature l’extrémisme d’Europe écologie les Verts dans tous les domaines : économique, écologique, social et sociétal. On objectera que chaque partie assez folle ( ou ses) exemples Morano pour les républicains, Ségolène Royal pour le parti socialiste ou encore Taubira pour la gauche bobo. N’empêche qu’avec un score d’environ 5 % le représentant politique des écolos renvoie la cause environnementale à beaucoup plus tard : au moins cinq ans sinon plus! Heureusement cette cause est sans doute mieux servie par des écologistes indépendants des doctrines extrémistes gauchistes

Union économique : nucléaire et gaz labellisés verts !

Union économique : nucléaire et gaz labellisés verts !

 

Ce n’est pas tellement sur des critères environnementaux relatifs aux émissions de carbone que le nucléaire et le gaz viennent d’être labellisés verts par les autorités européennes. Il s’agit plutôt d’un compromis qui pour l’instant met fin à la guerre entre la France qui défend le nucléaire et l’Allemagne qui défend le gaz russe.

Du coup il s’agit surtout d’un compromis surtout politique. Notons en effet que le nucléaire ne produit aucune émission de carbone mais que les Allemands ( et d’autres) voulaient exclure le nucléaire de la labellisation verte européenne (taxinomie).  Les commissaires européens ont fini par approuver ce mercredi, via un acte délégué, l’inclusion de l’atome civil et du gaz dans les investissements « verts » de l’Union européenne. Un graal pour les deux filières en question et pour les pays qui les défendent, ceux-ci ayant fait pression pendant de longs mois afin que ces activités intègrent la précieuse liste, aux côtés des énergies renouvelables.

Et pour cause, cette classification ne sera pas que symbolique : concrètement, elle servira à flécher les financements privés vers les activités reconnues « durables », mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. Et ce, par la mise en place une grille d’analyse harmonisée à destination des investisseurs européens, de manière à clarifier l’impact des fonds qu’ils placent auprès des entreprises, de plus en plus pris en compte par les agences de notation financière. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés qui sont en jeu.

UE : report encore sur les investissements « verts » du nucléaire et du gaz

UE : report encore sur les investissements « verts » du nucléaire et du gaz

 

Un nouveau report jusqu’au 21 janvier de la consultation lancée par l’union européenne pour qualifier les investissements verts y compris le nucléaire et le gaz. En fait une prolongation qui correspond à une situation politique pleine de contradictions. Des pays du Nord en effet s’opposent notamment à la reconnaissance du nucléaire pouvant bénéficier du label vert. L’inclusion du nucléaire et du gaz dans la liste des investissements verts découlait en réalité d’un compromis entre la France qui pousse le nucléaire et l’Allemagne qui a un besoin urgent de gaz russe.

Cet accord politique donne lieu à des remous au sein même de l’alliance politique allemande qui comprend des libéraux, des écolos et des sociaux-démocrates. On voit mal cependant comment la France et d’autres favorables au nucléaire pourraient accepter que le gaz russe bénéficie du label vert tandis que le nucléaire serait rejeté. Ce serait une incongruité y compris sur le plan écologique puisque le nucléaire ne rejette pas pratiquement de carbone contrairement au gaz. La Commission européenne a donc annoncé lundi avoir repoussé la date butoir avant laquelle les experts doivent se prononcer sur sa proposition intégrant le gaz naturel et l’énergie nucléaire dans la catégorie des investissements dits « verts ».

Cette classification, ou « taxonomie pour une finance durable », vise à mieux orienter les capitaux vers des activités durables dans l’ensemble de l’Union européenne, afin de contribuer à l’objectif européen d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050.

Bruxelles a déclaré lundi que ses experts auraient jusqu’au 21 janvier pour faire part de leurs observations sur le projet. Ils avaient initialement jusqu’au 12 janvier pour se prononcer.

« Nous avons repoussé la date limite d’une semaine afin de donner un peu plus de temps aux experts pour faire part de leurs observations », a dit Eric Mamer, porte-parole de l’exécutif européen, lors d’une conférence de presse.

Quand les experts auront rendu leur avis, Bruxelles dévoilera son projet définitif, lequel ne devra pas ensuite être bloqué par une majorité qualifiée de pays de l’UE ou par le Parlement européen dans un délai de quatre mois pour entrer en vigueur.

Climat-UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

Climat-UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on assiste à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé vert. Le président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

UE- marchandage écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

UE- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

Europe- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

Europe- marchandage Écologique : le nucléaire et le gaz labellisés verts

 

Comme Il fallait s’y attendre on a assisté à un marchandage entre l’Allemagne et la France concernant deux sources d’énergie à la fois stratégique pour l’économie mais aussi pour l’environnement. Ainsi la France a réussi à faire reconnaître de nucléaire comme une énergie verte contre la concession faite à l’Allemagne d’admettre que le gaz pouvait également être labellisé verts. président de la république Emmanuel Macron va s’efforcer d’entériner juridiquement ce compromis pendant sa présidence de l’union européenne

 

Car l’enjeu est majeur : il s’agit de déterminer à l’échelle communautaire la liste des activités bénéfiques pour le climat afin de flécher les investissements privés vers celles-ci, mais aussi, in fine, les futures subventions publiques. D’ici à la prochaine décennie, ce sont donc des centaines de milliards d’euros à lever sur les marchés financiers qui sont en jeu.

« La transition énergétique coûtera cher. Et les investisseurs n’auront pas envie de financer une activité qui ne rapportera pas d’augmentation de leur part « verte ». Si l’activité en question n’est pas incluse dans la taxonomie, trouver des financements ce sera plus difficile, et le coût sera donc peut-être plus élevé », explique Eric Duvaud, fondateur et responsable de l’équipe développement durable d’EY.

Alors qu’Emmanuel Macron a récemment affirmé vouloir construire de nouveaux réacteurs nucléaires sur le territoire pour garantir la « souveraineté électrique de la France » et « atteindre l’objectif de neutralité carbone en 2050 », l’Hexagone espère ainsi orienter une partie de ces précieux fonds vers son industrie nucléaire.

UE : gaz et nucléaire considéré comme investissements verts

UE : gaz et nucléaire considéré comme investissements verts

 

L’union européenne s’apprêterait à considérer aussi comme investissements verts le gaz et le nucléaire. Une majorité s’est dégagée sur cette question. Sans doute un compromis politique notamment entre la France et l’Allemagne. L’Allemagne qui pousse le gaz provenant surtout de la Russie et la France qui pousse sa technologie nucléaire Le sujet divise les Vingt-Sept. Mais au sommet des chefs d’État et de gouvernement jeudi à Bruxelles, «une très grande majorité d’États membres» a souhaité inclure à la fois le gaz et le nucléaire dans cette liste d’investissements durables, a déclaré un diplomate européen à l’AFP.. La crise des prix du gaz semble avoir créé un contexte favorable au nucléaire.

Mi-octobre, dix États de l’UE, dont la France, ont publié une tribune soutenant le nucléaire au motif qu’elle n’émet pas de CO2 et fait partie des solutions pour lutter contre le réchauffement climatique, mais également qu’elle contribue à l’indépendance énergétique européenne. Ce texte a aussi été signé par la Roumanie, la République tchèque, la Finlande, la Slovaquie, la Croatie, la Slovénie, la Bulgarie, la Pologne et la Hongrie. Les Pays-Bas se sont ralliés récemment à cette position.

D’autres pays comme l’Allemagne, l’Autriche ou le Luxembourg y sont farouchement opposés, à l’instar de plusieurs ONG qui épinglent le problème du stockage à très long terme des déchets radioactifs. Les centrales à gaz émettent du CO2, mais beaucoup moins que le charbon et, comme le nucléaire elles représentent une source d’électricité stable et pilotable qui peut apporter un complément nécessaire aux sources renouvelables (solaire, éoliennes) quand soleil et vent sont absents.

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

 

Après le résultat des primaires d’Europe écologie les Verts ,Sandrine Rousseau joue les mouches du coche. Il est clair que Sandrine Rousseau s’attendait à être élue puisqu’elle bénéficiait du soutien de l’appareil. La victoire de Jadot a été très courte mais réelle. Jusque-là les écologistes dans la primaire s’étaient efforcés de conduire un débat relativement serein.

 

Mais à peine Jadot élue, Sandrine Rousseau fait entendre sa petite musique de la radicalité. Elle suggère notamment que Jadot tienne largement tenir compte de la ligne politique radicale qu’elle représente et que son soutien n’est pas acquis. Une attitude qui contredit totalement l’engagement des candidats à la primaire de soutenir le gagnant de la consultation.

Les écolos ont réussi à ne pas trop se diviser pendant la primaire mais il pourrait bien faire ressurgir leurs vieux démons au cours de la campagne électorale. Rien d’étonnant à cela dans la mesure où les lignes électorales respectives de Yannick Jadot et de Sandrine Rousseau sont opposées à peu près sur tout sauf peut-être le climat est encore.

 

En gros Yannick Jadot développe un projet de gouvernement qui forcément tient compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau s’enfonce dans le gauchisme et l’idéologie Woke. Sandrine Rousseau lance un avertissement en forme de menace à Yannick Jadot.

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

Europe écologie les Verts : déjà des divisions avec Sandrine Rousseau

 

Après le résultat des primaires d’Europe écologie les Verts ,Sandrine Rousseau joue les mouches du coche. Il est clair que Sandrine Rousseau s’attendait à être élue puisqu’elle bénéficiait du soutien de l’appareil. La victoire de Jadot a été très courte mais réelle. Jusque-là les écologistes dans la primaire s’étaient efforcés de conduire un débat relativement serein.

 

Mais à peine Jadot élue, Sandrine Rousseau fait entendre sa petite musique de la radicalité. Elle suggère notamment que Jadot tienne largement tenir compte de la ligne politique radicale qu’elle représente et que son soutien n’est pas acquis. Une attitude qui contredit totalement l’engagement des candidats à la primaire de soutenir le gagnant de la consultation. Les écolos ont réussi à ne pas trop se diviser pendant la primaire mais il pourrait bien faire ressurgir leurs vieux démons au cours de la campagne électorale. Rien d’étonnant à cela dans la mesure où les lignes électorales respectives de Yannick Jadot et de Sandrine Rousseau sont opposées à peu près sur tout sauf peut-être le climat est encore.

 

En gros Yannick Jadot développe un projet de gouvernement qui forcément tient compte des réalités tandis que Sandrine Rousseau s’enfonce dans le gauchisme et l’idéologie woke. Sandrine Rousseau lance un avertissement en forme de menace à Yannick Jadot.

Allemagne : les « Verts » largement battus

Allemagne :  les verts largement battus

Comme sans doute en France, les verts  se voyaient déjà en haut de l’affiche en Allemagne ; ils escomptaient prendre la succession de Merkel. En fait ils ont reçu une véritable claque avec un score autour de 14 % quand la droite et la gauche classique obtienne chacun autour de 25 %. Certes les verres pourraient se présenter en arbitre de la situation car aucun parti ne dispose des voix suffisantes pour s’imposer au gouvernement et comme chancelier.

 

Il existe cependant d’autres hypothèses. La première consiste à une nouvelle alliance entre la CDU où est le SPD. Une autre possibilité consiste pour l’un des deux parties à s’allier avec les libéraux. Enfin les Verts  pourraient éventuellement être de la partie de la nouvelle union.

 

Il y a une certaine différence avec la France en Allemagne à savoir qu’ un accord entre des partis opposés est toujours possible dans l’intérêt du pays . Dans l’histoire de l’Allemagne on a déjà fait l’hypothèse d’une crise institutionnelle mais à chaque fois l’Allemagne a su faire prévaloir l’intérêt supérieur du pays sur l’intérêt des partis. Il est clair qu’on envisagerait pas une union en France entre par exemple les républicains ,  socialistes voir les écolos..

Présidentielle 2022 : 55% des Français estiment que le projet pour la société d’Europe écologie les Verts n’est pas réaliste

Présidentielle 2022 : 58% des Français estiment que le projet pour la société d’Europe écologie les Verts (EELV) n’est pas réaliste

Selon le sondage Odoxa réalisé avec Backbone Consulting pour Le Figaro

58% des Français estiment que leur projet pour la société n’est pas «réaliste», et 54% jugent qu’il n’est pas «crédible». Ancrés par tradition dans la «contre-culture», les écologistes veulent prouver qu’ils sont désormais mûrs pour décrocher le pouvoir. Ce sera donc un des chantiers à poursuivre pour le futur vainqueur de la primaire des écologistes. «S’ils veulent dépasser les 5% qui constituaient jusqu’à présent leur score record à ce scrutin, les écologistes doivent changer leur image de ‘gentils babacools’, pas capables de gouverner», note d’ailleurs Gaël Sliman, le président d’Odoxa.

De fait, une majorité de Français estiment que les Verts feraient moins bien que le gouvernement actuel sur «la politique économique et sociale» (62%), sur «la sécurité» (74%) ou sur la «politique internationale». En revanche, 72% jugent que les écologistes feraient mieux sur «l’environnement».

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