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Intelligence artificielle : nouvelle version de ChatGPT

Intelligence artificielle : nouvelle version de ChatGPT

 

 OpenAI, l’éditeur de ChatGPT, a présenté lundi 13 mai son nouveau modèle d’intelligence artificielle générative, GPT-4o, censé apporter à tous ses utilisateurs ses capacités les plus avancées en production et compréhension de texte, d’images et de sons et voix. « Nous sommes vraiment ravis d’apporter GPT-4o à tous nos utilisateurs gratuits. Les utilisateurs payants continueront à bénéficier de limites en termes d’utilisation cinq fois plus élevées que les utilisateurs gratuits », a déclaré Mira Murati, directrice technologique de la start-up californienne, lors d’une présentation vidéo diffusée en direct.

« Mais c’est la première fois que nous faisons un grand pas en avant en matière de facilité d’utilisation. C’est extrêmement important, il s’agit de l’avenir de l’interaction entre nous et les machines », a-t-elle ajouté. OpenAI a dévoilé un nouveau modèle, GPT-4o (« o » pour « omni »), qui peut  »raisonner » en temps réel via l’audio, la vision et le texte. Ces nouvelles capacités vont être progressivement ajoutées à ChatGPT, en commençant par le texte et l’image, d’abord pour les abonnés payants, ainsi que les utilisateurs gratuits, avec des limites en matière d’usage. La nouvelle version du « Voice Mode » (mode vocal) doit arriver dans les prochaines semaines pour les abonnés.

CHATGPT: UNE VERSION GOOGLE INTÉGRÉE AU MOTEUR DE RECHERCHE

CHATGPT: UNE VERSION GOOGLE INTÉGRÉE AU MOTEUR DE RECHERCHE

Une nouvelle étape dans le domaine de l’intelligence artificielle chez les géants de la tech: l’arrivée d’un concurrent au désormais célèbre ChatGPT avec une version Google.

Google a annoncé lundi le lancement en phase de test de son robot conversationnel, baptisé Bard, quelques mois après celui de ChatGPT, le logiciel de la startup américaine OpenAI qui déchaîne les passions.

« Bard a pour ambition de combiner l’étendue des connaissances du monde avec la puissance, l’intelligence et la créativité de nos grands modèles de langage », a expliqué Sundar Pichai, directeur général d’Alphabet, maison mère de Google, cité dans un communiqué. Le logiciel « s’appuie sur les informations du web pour fournir des réponses actualisées et de haute qualité », a indiqué le responsable, pour lequel « Bard peut être un terrain d’expression pour la créativité et une rampe de lancement pour la curiosité. »
Le robot conversationnel est capable d’« expliquer les dernières découvertes de la Nasa issues du télescope James Webb à un enfant de 9 ans, ou de vous renseigner sur les meilleurs attaquants du football actuel, puis de vous proposer un entraînement spécifique pour vous améliorer ».
Bard s’appuie sur LaMDA, un programme informatique conçu par Google pour générer des robots de conversation (chatbots), dont le groupe de Mountain View (Californie) avait dévoilé la première version en 2021.

Si l’intelligence artificielle est omniprésente dans le secteur technologique et au-delà depuis des années, voire des décennies, la sortie de ChatGPT en novembre a fait évoluer la vision du grand public sur ses capacités. Il n’est pas le premier logiciel du genre mais il a surpris par la qualité de ses réponses, qu’il s’agisse d’écrire un texte sur un thème donné, d’expliquer un sujet complexe de façon intelligible, voire de créer un poème ou les paroles d’une chanson.
Déjà partenaire d’Open AI, le créateur de ChatGPT, Microsoft a annoncé fin janvier qu’il allait investir « plusieurs milliards de dollars » pour étendre leur collaboration, après avoir réalisé deux investissements en 2019 et en 2021.

Microsoft, Google, mais aussi Meta et Amazon font partie des acteurs les plus importants de l’intelligence artificielle, technologie à laquelle ils consacrent des investissements colossaux. Selon plusieurs médias américains, l’arrivée de ChatGPT a bousculé Google, qui disposait déjà de LaMDA mais qui a, depuis, mis les bouchées doubles pour proposer dans des délais resserrés, un produit similaire au robot conversationnel d’OpenAI.

Google a indiqué lundi qu’il lançait Bard avec une « version allégée » de LaMDA, « nécessitant une puissance de calcul moindre » pour permettre l’utilisation par un « plus grand nombre d’utilisateurs » et « de traiter un volume plus important de retours. » Pour l’instant, l’utilisation du logiciel va être limitée à « des testeurs de confiance, avant de le rendre plus largement disponible dans les semaines à venir », a précisé Sundar Pichai.

Cette phase de test vise notamment à s’« assurer que les réponses de Bard atteignent un niveau élevé en termes de qualité, de sécurité et d’ancrage dans les informations du monde réel », selon lui.

L’ Euro sans version numérique est condamné.

L’ Euro   sans version numérique est condamné. 

Par Philippe Mudry   dans l’Opinion

C’est un avertissement salutaire que vient de lancer le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. L’Europe doit « agir aussi rapidement que nécessaire » sauf à risquer « une érosion de (sa) souveraineté monétaire, ce que nous ne pouvons tolérer ! ». C’est peu dire que le temps presse. Déjà, le système financier international a senti la menace d’un bouleversement imminent avec le projet, heureusement tué dans l’œuf, de « Libra » de Facebook. Tous les jours, de nouvelles initiatives de création de cryptomonnaies rappellent le profond besoin des utilisateurs finaux de nouveaux moyens d’échanges qui se rêvent tous, peu ou prou, en devises de demain.

Surtout, le haut responsable français a mis le doigt sur la principale menace planant sur la souveraineté européenne, que fait peser la Chine avec son projet de renminbi digital déjà en phase d’expérimentation avancée. Il a le potentiel, ni plus ni moins, de faire basculer le monde de l’ère de « roi dollar » au « roi yuan ». Il a fallu deux guerres mondiales pour que le dollar accède formellement, au travers des accords de Bretton Woods, en 1944, à la suprématie qu’on lui connaît. La Chine entend emprunter une autre route, plus discrète mais pas moins efficace.

Elle consiste à se souvenir d’une règle absolue en matière monétaire : qui possède la monnaie dominante s’assure de la domination financière. Les destins de Londres et de New York sont là pour la rappeler. Pour y parvenir, outre une ouverture progressive des marchés financiers chinois de plus en plus poussée, il s’agit de convertir la masse chinoise à un usage numérique de sa monnaie, une évolution déjà en cours, pour l’étendre ensuite, grâce à l’architecture digitale ainsi créée, à d’autres usagers, étrangers cette fois.

« Pékin travaille avec d’autres pays et la Banque des règlements internationaux, à un grand registre des transactions dont on n’imagine pas que la conception puisse lui échapper »

« Zone yuan ». La « zone yuan » ainsi constituée ne pourra, par effet de masse, que s’élargir ; non seulement pour des raisons de coûts et d’efficacité, mais aussi parce que, qui dit architecture dit standards techniques. En prenant de l’avance sur ce terrain, la Chine se donne les meilleures chances que les siens, déjà tout prêts, s’imposeront à tous.

Déjà, Pékin travaille avec d’autres pays et la Banque des règlements internationaux, à un grand registre des transactions dont on n’imagine pas que la conception puisse lui échapper. Face à cela, où en sont ses concurrents ? Sûrs de leur suprématie monétaire, les Etats-Unis s’éveillent lentement à ce défi. Quant à l’Europe, plus avancée dans sa réflexion, elle n’a toujours pas ouvert concrètement le chantier de la création de l’euro numérique, qui seul peut permettre à ses choix digitaux et aux principes démocratiques qu’ils reflètent, en matière de protection des données personnelles, mais aussi plus généralement de régulation financière, d’être sérieusement pris en compte.

L’Europe sait pourtant ce qu’une domination monétaire étrangère veut dire. Quoiqu’alliée des Etats-Unis, elle a dû subir les conséquences de son « privilège exorbitant » dénoncé par la France dès les années 1960 et dont la plus fameuse illustration, et la plus funeste, demeure l’abandon unilatéral de la convertibilité du dollar en or, le 15 août 1971. Veut-elle vraiment un système monétaire et financier sous domination chinoise ? Si la réponse est négative, il faut agir, sans aucun délai.

EDF, nouvelle version de la réforme

EDF, nouvelle version de la réforme 

Un nouveau projet EDF transmis à Bruxelles et qui garantit l’unité du groupe. Précédemment le gouvernement français et la direction d’EDF soutenaient le projet Hercule qui prévoyait une réorganisation de l’entreprise en trois entités pour lui donner plus de moyens d’investir dans le nucléaire et les énergies renouvelables, et satisfaire également aux règles de concurrence fixées par Bruxelles : EDF Bleu avec les activités nucléaires et le réseau de transport RTE, EDF Vert avec les activités commerciales, de distribution et les renouvelables et EDF Azur, avec les concessions hydrauliques. Malgré ces trois entités distinctes, la France insistait sur le fait qu’EDF devait rester un groupe « intégré » avec une direction et une stratégie uniques.

Dans le détail, la nouvelle mouture du projet du gouvernement doit, elle, permettre de garantir l’intégrité du groupe en matière de ressources humaines, en autorisant, par exemple, qu’un dirigeant venant du nucléaire soit nommé à la direction des énergies renouvelables. Mouvement qui n’aurait pas été possible dans la version initiale du projet. Outre le flux des personnes entre les différentes entités du groupe, l’exécutif défend aussi la libre circulation des flux financiers, tandis que la version précédente, telle qu’interprétée par Bruxelles, interdisait de transférer les bénéfices d’une entité à une autre qui en aurait besoin, comme les renouvelables. Le projet du Grand EDF doit également assurer une gouvernance commune, notamment en matière de trading.

Ce nouveau projet, défendu par l’exécutif, s’éloigne donc de la vision défendue par la Commission européenne, qui voulait « l’éclatement d’EDF », selon le PDG du groupe, Jean-Bernard Lévy. Depuis le début des négociations, cette dernière se positionne, en effet, pour une mise en concurrence libre et absolue entre l’hydroélectrique, le nucléaire et les énergies renouvelables, avec une étanchéité totale entre les différentes entités du groupe.

 

Retour du revenu universel version PS.

 

Retour du revenu universel version PS.

Députés et sénateurs socialistes français réaffirment  leurs convictions sociales en ressortant tiroir le revenu universel mais sans contrainte d’insertion. En clair,  on va étendre et augmenter le revenu minimum RSA. De toute manière, le genre de proposition qu’une organisation politique fait lorsqu’elle est dans l’opposition et qu’elle sait que ce projet de loi ne pourra pas passer avec une majorité au Parlement. L’expérimentation prendrait deux formes : une fusion du Revenu de solidarité active (RSA) et de la prime d’activité (soit un minimum de 550 euros) ; ou une fusion du RSA, de la prime d’activité et de l’aide au logement (APL) (740 euros au minimum). Prévue pour concerner environ 60.000 personnes dans 18 départements pour une durée de trois ans avant évaluation, l’expérimentation serait ouverte aux jeunes de 18 à 24 ans, dont un quart vit sous le seuil de pauvreté (et qui bénéficient aujourd’hui de l’APL mais pas, sauf exception, du RSA). Elle serait automatique, à l’heure où l’on estime que 35% des personnes pouvant bénéficier du RSA n’y ont pas recours.

Terrorisme : les nouvelles folles de Chaillot version djihadiste

Terrorisme : les nouvelles folles de Chaillot version  djihadiste

Qui sont ces femmes qui apparaissent de plus en plus à l’occasion des tentatives et des actes de terrorisme ? Finalement comme les hommes, pour la plupart des individus qui présentent de grandes déficiences mentales et qui relèvent de la psychiatrie. Des sortes de nouvelles folles de Chaillot de Giaudoux ,version djihadiste, qui veulent purifier les péchés du monde dans le sang des innocents Des individus schizophréniques partagés  entre les avantages matériels de la société occidentale et la recherche de l’ascétisme religieux. Pour parler clair les intéressés sont des marginaux qui se vengent d’une société dans laquelle ils ont à peu près tout raté. C’est la revanche des fous qui trouvent une légitimité à leurs violences et leurs haines  dans une religion à laquelle il ne comprenne pas grand-chose. Ce il y a bien quelques exceptions mais qui confirment  la règle, la plupart sont des fous et des primaires. La preuve encore avec ce « commando terroriste » de jeunes femmes démantelé après la découverte, dimanche au coeur de Paris, d’une voiture contenant des bonbonnes de gaz, avait pour objectif de « commettre un attentat », ( le procureur de Paris).Trois jeunes femmes interpellées jeudi soir à Boussy-Saint-Antoine (Essonne), dans le cadre d’une enquête ouverte après cette première découverte, projetaient une « action terroriste » « violente » et « imminente », a-t-il indiqué. Elles voulaient commettre un attentat jeudi gare de Lyon, selon une source proche de l’enquête. Des   »jeunes femmes téléguidées par des individus se trouvant en Syrie », nouant leurs projets « de manière virtuelle », ces deux enquêtes prouvent que l’Etat islamique « entend faire des femmes des combattantes », après les avoir d’abord reléguées à des tâches familiales et domestiques. L’une des femmes, Inès M., 19 ans, interpellée jeudi soir en possession de la clé du véhicule, était aussi connue pour ses velléités de départ, et fichée « S ». Dans son sac à main, les enquêteurs ont retrouvé un manuscrit par lequel elle fait allégeance à l’Etat islamique et dans lequel elle indique : « Répondant à l’appel de Al-Adnani (porte-parole de l’Etat islamique, qui avait appelé en 2014 à tuer des Français par tous les moyens, et qui a été tué récemment), je vous attaque dans vos terres afin de marquer vos esprits et de vous terroriser. » Des convictions relève encore davantage de la psychiatrie que de la justice.

Canal+ : Une nouvelle version des Guignols cryptée et light !

Canal+ Une nouvelle version des Guignols  cryptée  et light !

C’est lundi 14 décembre qu’on pourra voir la nouvelle version des guignols sur Canal+. Une émission que voulait d’abord supprimer Bolloré depuis qu’il a pris la direction de la chaîne. Toutefois ce sera une version édulcorée c’est-à-dire plus Light et cryptée. En clair on parlera beaucoup moins de la politique française pour traiter de sujets internationaux et de thématiques divertissantes. L’émission culte, au cœur d’une vive polémique après avoir été menacée de disparition, revient donc avec trois mois de retard sur la rentrée. Elle revient aussi dans une version cryptée, réservée aux abonnés, comme l’avait promis Vincent Bolloré, le nouveau patron de Canal+.  Les non-abonnés pourront cependant retrouver les sketches en clair et dans la soirée sur le site de la chaîne et sur Dailymotion, propriété de Vivendi, la maison-mère de la chaîne. De même, les épisodes de la semaine seront rediffusés en clair le dimanche à 14h35 dans la traditionnelle « Semaine des Guignols ». Comme promis également par Vincent Bolloré, les Guignols devraient changer de style en présentant un nouveau JT « qui couvrira les news françaises et internationales, le sport, la pop culture, le web », précise la chaîne. Les Guignols parleront désormais « à un public mondial avec des sketches en anglais et en espagnol ». Canal+ veut aussi renouveler l’émission avec des sujets « dans les coulisses du journal avec des séquences au coeur de la newsroom, dans les loges et à la machine à café ».

Cambadelis : lance l’union de la « goche » version 2017

Cambadelis :  lance l’union de la « goche » version 2017

Une grande alliance populaire, c’est le cap fixé par Cambadélis réélu à la tête du PS ; finalement une sorte d’union de la « goche » avec écolos, communistes , d’autres. Il serait temps car il n’y a plus grand-chose de populaire au PS ;  pas chez ses dirigeants évidemment et même chez ses adhérents dont la moitié a curieusement. 170 000, 150 000 ou 65 000 ? ( en fait il n’a jamais eu que 60 000 adhérents à jour de leurs cotisations!) C’est l’éternelle histoire du programme commun, on se réunit, on définit un programme puis le candidat pour la présidentielle décide tout seul ses orientations enfin au gouvernement on fait autre chose. Le drame de la gauche qui cette fois pourraiat bien éclater définitivement et le PS disparaître comme la SFIO en son temps et pour à peu près les mêmes raisons.  Cela passe par une « stratégie d’alliance populaire » avec d’autres formations et courants politiques de gauche ou écologistes, a précisé à la presse Jean-Christophe Cambadélis.  Après avoir rallié le 21 mai 60% des voix des adhérents du PS sur un texte soutenu par le gouvernement mais aussi par la maire de Lille, Martine Aubry, très critique envers l’exécutif, il a recueilli jeudi 70,1% des 65.000 suffrages exprimés. Il veut voir dans cette double victoire un « vote de sortie de crise », celle de la contestation de la politique économique du gouvernement par l’aile gauche du PS, dont le chef de file, Christian Paul, n’a rallié que 29% des voix. « Maintenant, nous allons pouvoir entrer dans le vif du sujet », a-t-il dit, sans dissimuler la difficulté de la tâche. Le PS est un parti aux allures de vaisseau fantôme, traumatisé par des défaites électorales successives, notamment aux municipales et aux départementales, qui se sont soldées par une perte de substance et une hémorragie de militants (40.000 en moins depuis son dernier congrès, il y a deux ans et demi). Moins de 49% de ses 132.000 adhérents ont participé jeudi à l’élection de son premier secrétaire.

 

Loi « Florange » : version allégée

Loi « Florange » : version allégée

Encore une promesse qui finit en eau de boudin. La loi dite « Florange », qui reprenait un engagement de François Hollande pendant la campagne présidentielle, ouvrait notamment la voie à des pénalités pour les entreprises fermant un site rentable comme, l’affirmaient les syndicats, les hauts-fourneaux de Florange (Moselle) fermés par ArcelorMital. Les « Sages » du Conseil constitutionnel  avaient jugé en mars certaines mesures de la loi « contraires à la liberté d’entreprendre et au droit de propriété » mais la commission des Affaires économiques de l’Assemblée a introduit dans le projet de loi sur l’ESS deux amendements reprenant en partie les dispositions invalidées. Les députés ont ainsi approuvé dans le cadre du projet de loi ESS des amendements socialistes qui recyclent une partie de la loi Florange. Ils prévoient que la recherche d’un repreneur sera nécessaire pour l’homologation d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) et donnent à l’autorité administrative le droit de demander un remboursement des aides publiques versées au cours des deux années précédant la fermeture du site. Le projet de loi sur l’économie sociale et solidaire prévoit également que, dans les PME de moins de 250 personnes, les salariés ou leurs représentants devront être obligatoirement informés lorsque le patron de l’entreprise veut la céder, l’annonce devant être faite au plus tard deux mois avant la cession.

La « loi Florange » version très allégée et vidée de son contenu à l’assemblée

La « loi Florange » version très allégée et vidée de son contenu  à l’assemblée

 

Florange résume la politique d’Hollande : on promet et on fait autre chose  La fameuse loi Florange promise par Hollande est en fait vidée de son contenu. On devaiat emp^cher la fermeture dusines, voire les ntionaliser, on se cntenter d’imoser une recherche d’axquéruer ( en faiat une psudo contrainte). Le projet de loi sur l’Economie sociale et solidaire, soutenu par Benoît Hamon quand il était ministre délégué de l’Economie sociale, est examiné en deuxième lecture devant l’Assemblée nationale les 13, 14 et 15 mai.  Ce texte vise à revoir les modes d’entreprendre, en accordant une place centrale aux projets à nature sociale plutôt qu’à ceux privilégiant la simple recherche du profit. Il s’agit aussi de privilégier le réinvestissement des bénéfices et de privilégier la gouvernance démocratique. Les entreprises appliquant ces principes bénéficieront d’un accès plus facile aux financements.  La nouvelle Banque publique d’investissement va ainsi leur consacrer une enveloppe de 500 millions d’euros pour soutenir leur développement. Le gouvernement espère à terme la création de 100.000 emplois dans la sphère de l’économie sociale.  Mais ce texte contient aussi une partie destinée à faciliter la reprise d’entreprises rentables. Ce principe avait était encadré par la loi dite « Florange », en raison de la promesse de campagne faite par François Hollande lors d’une visite sur le site du sidérurgiste Arcelor Mittal. Mais il reste bien peu des ambitions originales du texte, censuré en mars dernier par le Conseil constitutionnel, saisi par l’UMP qui estimait qu’ils portaient atteinte au droit de propriété et à la liberté d’entreprise.  Dans cette nouvelle version examinée par les députés, le principe initial d’obliger tout entrepreneur à rechercher un repreneur s’il souhaite fermer l’un de ses sites rentables demeure. Sur une initiative de François Brottes, le président PS de la commission des Affaires économiques, le respect de ce principe est une condition de l’homologation du plan de sauvegarde de l’emploi par l’administration. Il est également prévu que l’administration puisse demander le versement d’aides versées dans les deux années précédentes si un site venait à fermer alors d’un repreneur était sur les rangs. Mais les dispositions prévoyant une pénalité en cas de non-respect de l’obligation de recherche d’un repreneur ont dû être retirées par le gouvernement. Initialement, les dirigeants d’entreprises de plus de 1.000 salariés étaient obligés de chercher un repreneur pendant trois mois, à un site qu’ils souhaitent fermer. Faute de quoi, ils auraient dû verser une pénalité pouvant atteindre 20 smic mensuels (28.000 euros) par emploi supprimé, dans la limite de 2% de son chiffre d’affaires.

 

Facebook : version sans sucre

Facebook : version sans sucre

 

Une version allégée de Facebook est en préparation. L’application, qui requiert moins de données informatiques que les applications actuelles de Facebook pour Android ou iPhone, devrait permettre aux détenteurs de téléphones mobiles classiques d’avoir accès à Facebook depuis leur téléphone, tout comme les détenteurs de smartphones, ajoute le quotidien.  D’après le New York Times, Facebook prévoit d’annoncer très bientôt les résultats de ce projet sur lequel il travaille depuis deux ans.   »Facebook for every phone » est destiné à alimenter la croissance du groupe dans les pays émergents où les téléphones mobiles traditionnels sont encore la norme, alors que la croissance des utilisateurs du réseau social piétine dans les pays développés.




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