Archive pour le Tag 'véritable'

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Quelle est la véritable compétence des « experts »

  • Quelle est la véritable  compétence  des « experts »
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  • La question mérité d’être posée tellement avis sont parfois plus proches des discours  d’évangélistes que de scientifiques.  Il ne se passe pas une journée sans que des dizaines d’experts viennent s’exprimer pour expliquer des événements sociaux, politiques, environnementaux ou sociétaux. De ce point de vue,  la France dispose d’une armée très imposante d’experts très divers notamment des historiens, des géographes des spécialistes en politique ou en opinion, des sociologues, des psychologues, des économistes, des urbanistes. La liste est longue et le nombre de spécialités ne cesse de se développer. De ce point de vue,  la France est un des pays qui forment le plus d experts en sciences sociales en particulier des psychologues et des économistes. Des experts qui ont bien d’ailleurs du mal à trouver un emploi et qu’on retrouve le plus souvent dans les administrations. Parallèlement, la France manque cruellement d’ingénieurs et de techniciens. Des catégories qu’on entend beaucoup moins car ils ont les mains dans le réel. La présence régulière pour ne pas dire l’envahissement de ces experts dans tous les médias s’explique aussi par la crise économique de ces médias. Des médias pour la plupart dans le rouge, d’ailleurs rachetés par des financiers non  pas par intérêt économique mais pour orienter et contrôler l’information. Cette masse d’experts ressemble à une sorte d’auberge espagnole. On y trouve le meilleur et le pire, souvent du  médiocre asservi aux intérêts financiers (la plupart des économistes). Parfois les éclairages sont intéressants mais la plupart du temps, ils  se caractérisent  par une certaine parcellisation de l’analyse. Or ce qui caractérise la période, c’est sa complexité et le caractère systémique des différents facteurs de changement. Le concept de généraliste n’existe pas. Les tentatives d’analyse partent  un peu dans tous les sens en fonction de la spécialité de chacun, de sa personnalité ;  Aussi de ses affinités philosophiques et politiques. Personne ne peut prétendre à la neutralité et à l’indépendance, encore moins à l’objectivité. C’est tellement vrai que les grands événements de la société ont rarement été prévus par ces experts notamment par la plus grande partie des économistes. Conclusion l’apport de certains experts peut-être utiles voire nécessaire mais il faut en relativiser le caractère d’objectivité notamment prédictive.

SNCF, la véritable réforme: changer les dirigeants

 

SNCF, la véritable réforme: changer les dirigeants

 

Il est clair que la SNCF a besoin de réforme car sa gestion n’est pas réellement un modèle d’efficacité. Le problème n’est pas nouveau. Nombre d’éléments de la problématique méritent d’être examinés (dette, financement des investissements, conditions de concurrence, effet aménagement du territoire, organisation et conditions sociales notamment). Pour autant, on néglige sans doute l’élément essentiel à savoir le management. Le problème c’est que la SNCF s’inscrit dans un environnement de plus en plus concurrentiel (surtout de nature intermodale) et qu’elle est dirigée par des fonctionnaires. Plus exactement par des ingénieurs des ponts sortant de l’école sans aucune expérience et de plus en plus maintenant aussi par des énarques. De ce point de vue la SNCF n’a gère gagné au change. La SNCF n’a pratiquement jamais eu de dirigeants à la hauteur des enjeux de l’entreprise. Son conseil administration est un organe d’enregistrement de la direction et rares sont ceux qui osent contester une orientation. L’incurie de ces dirigeants est patente en termes d’efficacité, concernant la gestion économique, financière et commerciale. Certes,  certains parviennent à faire un peu de com. mais c’est un vernis qui cache mal les défaillances de gestion. Une telle entreprise a besoin de vrais patrons, de responsables d’expérience, de gestionnaires pas de fonctionnaires ou assimilés. Les grands corps trustent littéralement tous les postes ; leur inefficacité vient surtout du fait qu’ils entrent très tôt dans l’entreprise et se fondent dans la culture molle ambiante. Les cheminots de base  ont sans doute des responsabilités mais ce ne sont pas eux qui dirigent l’entreprise, loin s’en faut car les innombrables structures de concertation sont surtout de pure forme et traitent souvent des questions très secondaires. Les cheminots appliquent les directives de leur direction (exemple la fuite en avant du financement des TGV principale responsable de la situation financière catastrophique, la réduction de l’entretien du réseau, une politique commerciale en perpétuel changement et contradictoire). L’urgence pour la SNCF c’est de trouver un vrai patron, pas un commis de l’Etat qui ne connait rien à la gestion d’une entreprise bousculée par son environnement concurrentiel. L’urgence c’est que ce patron s’entoure lui-même de dirigeants  ayant une  expérience économique et sociale au profil de gestionnaire. On ne change pas une  entreprise par les textes uniquement, loin s’en faut. L’entreprise en général ne  vaut que par la valeur de ses  dirigeants et leur capacité à mobiliser les ressources humaines  de leur société.

La véritable réforme de la SNCF : changer les dirigeants

La véritable réforme de la SNCF : changer les dirigeants

 

Il est clair que la SNCF a besoin de réforme car sa gestion n’est pas réellement un modèle d’efficacité. Le problème n’est pas nouveau. Nombre d’éléments de la problématique méritent d’être examinés (dette, financement des investissements, conditions de concurrence, effet aménagement du territoire, organisation et conditions sociales notamment).Pour autant, on néglige sans doute l’élément essentiel à savoir le management. Le problème c’est que la SNCF s’inscrit dans un environnement de plus en plus concurrentiel (surtout de nature intermodale) et qu’elle est dirigée par des fonctionnaires. Plus exactement par des ingénieurs des ponts sortant de l’école sans aucune expérience et de plus en plus maintenant aussi par des énarques. De ce point de vue la SNCF n’a gère gagné au change. La SNCF n’a pratiquement jamais eu de dirigeants à la hauteur des enjeux de l’entreprise. Son conseil administration est un organe d’enregistrement de la direction et rares sont ceux qui osent contester une orientation. L’incurie de ces dirigeants est patente en termes d’efficacité, concernant la gestion économique, financière et commerciale. Certes,  certains parviennent à faire un peu de com. mais c’est un vernis qui cache mal les défaillances de gestion. Une telle entreprise a besoin de vrais patrons, de responsables d’expérience, de gestionnaires pas de fonctionnaires ou assimilés. Les grands corps trustent littéralement tous les postes ; leur inefficacité vient surtout du fait qu’ils entrent très tôt dans l’entreprise et se fondent dans la culture molle ambiante. Les cheminots de base  ont sans doute des responsabilités mais ce ne sont pas eux qui dirigent l’entreprise, loin s’en faut car les innombrables structure de concertation sont surtout de pure forme et traitent souvent des questions très secondaires. Les cheminots appliquent les directives de leur direction (exemple la fuite en avant du financement des TGV principale responsable de la situation financière catastrophique, la réduction de l’entretien du réseau, une politique commerciale en perpétuel changement et contradictoire). L’urgence pour la SNCF c’est de trouver un vrai patron, pas un commis de l’Etat qui ne connait rien à la gestion d’uen entreprise bousculée par son environnement concurrentiel. L’urgence c’est que ce patron s’entoure lui-même de dirigeants  ayant une  expérience économique et sociale au profil de gestionnaire. On ne change pas une  entreprise par les textes uniquement, loin s’en faut. L’entreprise en général vaut que par la valeur de ses  dirigeants et leur capacité à mobiliser les ressources humaines  de leur société.

 

 

Faux papiers d’identité : une véritable industrie !

Faux papiers d’identité : une véritable industrie !

 

200 000 fraudes à l’État civil en France et près de 500 000 faux passeports en Europe : une véritable industrie. Le dernier rapport de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) révèle le nombre de suspects d’actes de délinquance, près de 120.000, agissant sous une fausse identité en 2014. Selon Christophe Naudin, expert en criminalité identitaire, le chiffre réel est probablement bien supérieur, «sans doute 200 000 fraudes à l’état civil, si l’on croise [les chiffres du ministère de l'Intérieur] avec les données des acteurs privés, comme les organismes sociaux ou les banques». Depuis les attentats du 13 novembre, la fragilité du système de reconnaissance des identités a éclaté au grand jour. Interpol estime que 450.000 faux passeports circulent désormais en Europe. L’industrie de la fausse identité n’est pas seulement dirigée par les mafias internationales, prospérant sur la traite des êtres humains. Elle est aussi une arme dans les mains des réseaux terroristes, notamment islamistes.

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