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Covid: Le pic d’incompétence d’Olivier Véran sur la contamination

Covid: Le pic d’incompétence d’Olivier Véran sur la contamination

 

Il y a deux jours le ministre de la santé a annoncé un pic de l’ordre de 50 000 qui sera en faitprès de 100 000 d’ici la fin du mois.

« Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays », a déclaré Olivier Véran juste avant que les chiffres officiels ne dévoilent un nouveau record Mardi et mercredi.

Mardi en effet, on  a enregistré +63.405 nouveaux cas confirmés en 24h ,un nouveau record Suivi d’un autre record mercredi avec plus de 65 000 Soit très au-dessus de la moyenne habituelle de 48 000 contaminés par jour.

 

Une nouvelle fois, Olivier avérant se trompe lourdement non seulement il va falloir affronter la montée en puissance des malades en traitement dans les hôpitaux mais continuer aussi de faire face à la croissance de la pandémie. Sur la tendance, en effet on pourrait atteindre de l’ordre de 100 000 contaminés par jour d’ici la fin de l’annéeEt avec près de 4000 malades en soins intensifs qui vont complètement paralyser les capitaux.

Ce n’est pas de pas le pic épidémique qui a été atteint mais peut-être le pic d’incompétence d’un ministre par ailleurs beaucoup trop bavard.

COVID-19: le pic épidémique ou le pic d’incompétence pour Olivier Véran

COVID-19: le pic épidémique ou le pic d’incompétence pour Olivier Véran 

« Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays », a déclaré Olivier Véran juste avant que les chiffres officiels ne dévoilent un nouveau record.

Mardi en effet, on  a enregistré +63.405 nouveaux cas confirmés en 24h ,un nouveau record. Soit très au-dessus de la moyenne habituelle de 50 000 contaminés par jour.

 

Cependant le ministre de la santé n’a pas pu promettre que les contaminations, estimées à 50.000 par jour, allaient redescendre, ou si un plateau allait s’établir dans les prochaines semaines.

 

Une nouvelle fois Olivier avérant se trompe lourdement non seulement il va falloir affronter la montée en puissance des malades en traitement dans les hôpitaux mais continuer aussi de faire face à la croissance de la pandémie. Sur la tendance, en effet on pourrait atteindre de l’ordre de 100 000 contaminés par jour d’ici la fin de l’année.

Ce n’est pas de pas le pic épidémique qui a été atteint mais peut-être le pic d’incompétence d’un ministre par ailleurs beaucoup trop bavard.

 

Covid 19 « vers un confinement »(Véran)…après les fêtes ?

Covid 19 « vers un confinement »(Véran)…après les fêtes ?

 

La question n’est pas de savoir s’il y aura ou non de nouvelles mesures restrictives allant jusqu’au confinement mais quand seront prises les décisions. Pour l’instant ,comme souvent, le gouvernement tergiverse et espère ne pas avoir à prendre de décision avant Noël. Le problème est que la moyenne journalière dépasse maintenant 50 000 cas par jour, on a même compté un pic de 70 000 cas et surtout avec des les hôpitaux de plus en plus surchargés par les patients en soins critiques. Leur nombre atteint 2500 personnes, à 3000 les capitaux seront complètement embouteillés et à 4000 ce sera la catastrophe.

 

« Selon toute vraisemblance, nous sommes en train d’atteindre le pic », prévient Olivier Véran, samedi 11 décembre, dans un entretien au Parisien. Le ministre de la Santé rappelle que cette cinquième vague épidémique est violente : « Nous avons dépassé en début de semaine les 70 000 diagnostics en 24 heures, du jamais-vu depuis le début de la pandémie dans notre pays. »

« Depuis une dizaine de jours, on constate un début de ralentissement de la vague épidémique », ajoute le ministre. Il faut désormais attendre pour savoir si les contaminations vont baisser rapidement ou si le plateau va rester haut. « Nous ne nous dirigeons pas vers un confinement. Mais dire que cela n’arrivera jamais plus, c’est impossible », a prévenu Olivier Véran.

«

La pression hospitalière liée au Covid-19 ne faiblit pas en France où plus de 2 500 personnes sont actuellement accueillies dans les services de soins critiques, selon les chiffres publiés samedi par Santé publique France. Ces dernières 24 heures, 787 personnes atteintes du Covid-19 ont été admises dans les hôpitaux français, portant au total à 13 855 le nombre de patients Covid hospitalisés en France.

Covid « vers un confinement »(Véran)

Covid « vers un confinement »(Véran)

 

La question n’est pas de savoir s’il y aura ou non de nouvelles mesures restrictives allant jusqu’au confinement mais quand seront prises les décisions. Pour l’instant ,comme souvent, le gouvernement tergiverse et espère ne pas avoir à prendre de décision avant Noël. Le problème est que la moyenne journalière dépasse maintenant 50 000 cas par jour, on a même compté un pic de 70 000 cas et surtout avec des les hôpitaux de plus en plus surchargés par les patients en soins critiques. Leur nombre atteint 2500 personnes, à 3000 les capitaux seront complètement embouteillés et à 4000 ce sera la catastrophe.

 

« Selon toute vraisemblance, nous sommes en train d’atteindre le pic », prévient Olivier Véran, samedi 11 décembre, dans un entretien au Parisien. Le ministre de la Santé rappelle que cette cinquième vague épidémique est violente : « Nous avons dépassé en début de semaine les 70 000 diagnostics en 24 heures, du jamais-vu depuis le début de la pandémie dans notre pays. »

« Depuis une dizaine de jours, on constate un début de ralentissement de la vague épidémique », ajoute le ministre. Il faut désormais attendre pour savoir si les contaminations vont baisser rapidement ou si le plateau va rester haut. « Nous ne nous dirigeons pas vers un confinement. Mais dire que cela n’arrivera jamais plus, c’est impossible », a prévenu Olivier Véran.

« 

La pression hospitalière liée au Covid-19 ne faiblit pas en France où plus de 2 500 personnes sont actuellement accueillies dans les services de soins critiques, selon les chiffres publiés samedi par Santé publique France. Ces dernières 24 heures, 787 personnes atteintes du Covid-19 ont été admises dans les hôpitaux français, portant au total à 13 855 le nombre de patients Covid hospitalisés en France.

VARIANT OMICRON: 25 cas en France (Véran)

 VARIANT OMICRON: 25 cas en France (Véran)

 

Olivier Véran ,ministre de la Santé a indiqué  que 21 cas d’Omicron provenaient de personnes de retour d’Afrique australe. 4 cas proviennent de transmissions depuis le sol français.

« S’il y a plus de 400 cas confirmés en Europe à ce stade, on estime qu’il y a sans doute plusieurs milliers de cas en circulation et qui sont en passe d’être diagnostiqué. En France, le séquençage très intensif que nous réalisons sur tous les tests positifs suspects nous a permis d’identifier 25 cas positifs du variant Omicron », a d’abord expliqué le ministre de la Santé.

« 21 sont des cas importés, c’est-à-dire que ce sont des personnes qui se sont contaminées essentiellement dans les pays d’Afrique Australe où ce variant est apparu. Pour 4 cas en revanche, c’est probablement une contamination autochtone, c’est-à-dire une transmission interhumaine sur le sol français », a encore avancé le neurologue.

 

Covid France : Une 3e dose de vaccin en septembre ? (Véran)

Covid France : Une 3e dose de vaccin   en  septembre ?  (Véran)

 

Sur BFM, , Olivier Véran a indiqué que la Haute autorité de Santé devait bientôt rendre son avis sur la troisième dose, il a précisé avoir « demandé à (ses) services de mettre en place le programme pour ceux et celles qui en relèvent. »

« Je rappelle brièvement, la troisième dose c’est de se dire qu’une fois que vous avez eu deux doses, vous être protégé, mais la protection conférée par le vaccin peut diminuer au fil du temps, au fil des mois, et il faut donc proposer une troisième injection à celles et ceux qui sont les plus fragiles. Je pense qu’elle (la HAS, ndlr) nous dira de faire 3e injection chez les personnes de plus de 65 ans », a-t-il développé.

« Il y aura un délai d’au moins six mois entre la deuxième et la troisième injection. Que les Français ne se précipitent pas, on ouvrira la possibilité quand ce sera arbitré par la HAS et le président de la République, je mets des pincettes, on souhaite ouvrir dès septembre », a-t-il encore assuré.

Déconfinement : encore l’interminable bla-bla de Castex et de Véran

Déconfinement : encore l’interminable bla-bla de Castex et de Véran

 

  Il faut encore évidemment s’attendre aujourd’hui à une interminable intervention premier ministre Jean Castex et du ministre de la santé Olivier Véran à propos d’un pseudo déconfinement. Pour résumer,  ce déconfinement se traduira par la réouverture des écoles après la période des vacances, à l’autorisation de certaines terrasses, à celle des musées, théâtres et cinémas dans certaines conditions et à la levée de la limite de mobilité dans les 10 km.

 Autant de mesures assez accessoire qui pourtant vont permettre au duo habituel de pérorer pendant près d’une heure pour  justifier le respect par le gouvernement des mesures restrictives promises à partir du début du mois de mai. Des mesures en réalité assez anecdotiques et qui par ailleurs seront soumises à des conditions de l’évolution de la situation sanitaire. Précisément une situation sanitaire dont ne peut pas conclure qu’elle s’améliore car elle se tient encore sur un plateau très haut  concernant le nombre de contaminés, le nombre de réanimés et le nombre de décès. On est encore très loin des critères qu’avait fixés le gouvernement pour déconfiner. 

 

Mais la décrue est encore lente et reste à confirmer, rappellent le ministère de la Santé et plusieurs experts.

« À ce stade, l’épidémie recule deux fois moins rapidement qu’en novembre », et « la pression hospitalière reste extrêmement forte », a souligné M. Attal, pointant d’importantes disparités territoriales.

Depuis cinq jours, « nous amorçons une décroissance de l’épidémie » de coronavirus, qui a emporté plus de 101.500 personnes depuis un an, avait souligné mardi le ministre de la Santé Olivier Véran dans une interview au Télégramme« On était monté à 40.000, on est aujourd’hui aux alentours de 33.000 cas chaque jour en moyenne ».

« On voit clairement une baisse notable dans un grand nombre de régions », a confirmé l’épidémiologiste Antoine Flahaut sur RTL.

Le taux de reproduction (R0) du virus, indicateur-clé correspondant au nombre de personnes infectées pour un seul malade, est « passé sous les 0,9″, relève ce médecin, prédisant que la baisse s’accentuera dans les jours qui viennent.

Vaccination dès 55 ans : le nouveau gros mensonge de Véran

Vaccination dès 55 ans : le nouveau gros mensonge de Véran

 

 

Chaque semaine ou presque un représentant du gouvernement pour justifier la lenteur de la vaccination tente de compenser avec l’annonce d’une nouvelle tranche d’âge autorisée à se faire vacciner. Cette fois Olivier Véran, le ministre de la santé, annonce la possibilité de vacciner dès maintenant les plus de 55 ans. Ceci alors qu’on n’a même pas été en capacité de vacciner la totalité plus de 75 ans et encore moins des plus de 65 ans. Ne parlons pas de la vaccination des enseignants qui d’ avril est reporté à l’été en juin ou juillet voire plus tard. Pas étonnant  si l’opinion publique à près  de 65 % ne croient pas dans les promesses du gouvernement en matière de politique sanitaire et particulièrement en matière de vaccination. Les déclarations d’Olivier V éran  dans le JDD :

 

Le vaccin d’AstraZeneca est dans la tourmente. Allez-vous le suspendre?
Ce vaccin est très efficace et protège contre les formes graves du Covid‑19. C’est ce que nous disent toutes les autorités sanitaires. De très rares cas de thrombose ont été observés, alors que plusieurs dizaines de millions de personnes ont été vaccinées en Europe. L’Agence européenne des médicaments, qui pointe un risque rare surtout chez les jeunes femmes, conclut que la balance bénéfice-risque demeure favorable. La France a toujours pris des précautions – suspension temporaire puis limitation aux plus de 55 ans – et a toujours suivi l’avis de la Haute Autorité de santé et de l’Agence nationale de sécurité du médicament, qui recommandent aujourd’hui, tout comme le Conseil d’orientation du professeur ­Fischer, de poursuivre son utilisation, avec les mêmes indications qu’aujourd’hui.

 

Mais comment lutter contre la défiance qui monte?
AstraZeneca était jusqu’à présent réservé aux seuls plus de 55 ans atteints de comorbidités. Dès demain, tous les Français de plus de 55 ans, sans conditions, pourront recevoir ce produit. On élargit la vaccination ! Les autorités sanitaires y sont, là aussi, favorables. Ça complète l’annonce de l’extension de la campagne vaccinale par Pfizer et Moderna à tous les plus de 60 ans à compter du 16 avril. Beaucoup d’aidants familiaux ont entre 55 et 60 ans, d’autres sont en couple avec un partenaire plus âgé. Ils s’inquiétaient de devoir attendre un mois de plus. Ils pourront désormais se protéger avec AstraZeneca.

Une première livraison du vaccin Johnson & Johnson est attendue demain en France, avec une semaine d’avance

Que se passe-t‑il  pour les 600.000 soignants de moins de 55 ans ayant déjà reçu une première dose d’AstraZeneca?
En cohérence, nous leur proposons un rappel avec un vaccin à ARN messager, douze semaines après la première injection. Ce sera d’ailleurs mon cas. Pour les plus de 55 ans qui ont reçu une première dose ­d’AstraZeneca, la règle ne change pas. Rappel avec AstraZeneca à douze semaines.

Cette décision ne risque-t‑elle pas de nourrir l’hésitation vaccinale?
L’hésitation vis‑à-vis du vaccin AstraZeneca ne m’étonne pas et ne m’inquiète pas, dès lors qu’il y a eu un signal de sécurité européen. La confiance revient déjà. Vendredi, plus de 157 000 Français ont reçu une injection avec ce produit. Ça redécolle ! Et souvenons-nous que les Français, autrefois sceptiques, sont désormais à 70 % favorables aux vaccins.

Comment accélérer encore la campagne?
Une première livraison du vaccin Johnson & Johnson est attendue demain en France, avec une semaine d’avance. Ces 200 000 doses vont intégrer très prochainement le circuit de distribution des pharmacies et des cabinets médicaux et infirmiers. J’en ouvre aussi l’accès, par cohérence et souci d’efficacité, à tous les plus de 55 ans, sans conditions. Par ailleurs, nous activons un autre levier : l’espacement des deux doses de vaccin à ARN messager de Pfizer-BioNTech et Moderna. À compter du 14 avril, pour toutes les premières injections, nous proposerons un rappel à quarante-deux jours au lieu de vingt-huit actuellement. Ça va nous permettre de vacciner plus vite sans voir se réduire la protection, car l’âge moyen des personnes vaccinées baisse et le niveau d’immunité des moins de 70 ans est suffisant pour espacer les deux injections sans perte de chance. Les scientifiques estiment désormais avoir le recul suffisant, et beaucoup de nos voisins le font déjà. Pour les personnes fragiles, le délai pourra rester de vingt-huit jours sur avis médical. Enfin, à compter de la fin avril, nous allons expérimenter en Moselle – où le variant sud-africain est très présent – la distribution du vaccin Moderna aux pharmacies et aux médecins. Ce dispositif sera étendu en mai puis généralisé en juin.

L’espacement des doses de vaccins à ARN messager doit nous faire gagner 1,8 million d’injections sur la seconde quinzaine de mai.

Quel objectif vous fixez-vous?
L’espacement des doses de vaccins à ARN messager doit nous faire gagner 1,8 million d’injections sur la seconde quinzaine de mai. Pour rendre le dispositif encore plus souple, nous ajoutons la possibilité, quand cela se justifie, d’utiliser ces deux vaccins au mécanisme biologique identique. Par exemple, de recevoir une première dose de Pfizer-BioNTech et une seconde de Moderna. Ce ne sera pas la règle, mais ce ne sera pas un obstacle.

Quelle place prendront les autotests qui arrivent demain en pharmacie?
Ils vont se déployer progressivement dans des milliers d’officines tout au long de la semaine et compléter utilement les près de 4 millions de tests gratuits, PCR et antigéniques, effectués chaque semaine en France. On pourra se tester chez soi et, en cas de résultat positif, il faudra confirmer celui-ci par PCR. Non seulement pour vérifier s’il y a un variant, mais aussi pour conserver un outil de suivi.

Voulez-vous en faire un outil de dépistage à l’école?
Oui, ils vont être rapidement mis à disposition dans les établissements scolaires. Nous envisageons d’aller jusqu’à deux tests par semaine par élève et par enseignant.

Gageons qu’après la stabilisation viendra la baisse. Pour cela, nous devons encore tenir.

A-t‑on  atteint le pic de la troisième vague?
Nous voyons les premiers signes qui montrent que le comportement des Français, les mesures de freinage et la vaccination ont enrayé la très forte hausse. Aujourd’hui, nous sommes autour de 40.000 cas quotidiens. Ça reste très haut. Cette stabilisation est plus nette encore dans les départements où les mesures de freinage ont été prises dès le 20 mars. Gageons qu’après la stabilisation viendra la baisse. Pour cela, nous devons encore tenir.

Que se passerait-il si nous revenions sur un haut plateau après ce confinement?
Ce serait un mauvais scénario. C’est pourquoi il est bien trop tôt pour relâcher nos efforts. Lors de la deuxième vague, nous étions montés à 50.000 cas quotidiens et la descente s’était faite de manière rapide, jusqu’à 10.000 cas début décembre. Nous avons cette fois un handicap, puisque les variants sont plus contagieux et plus dangereux. Mais nous avons aussi des atouts : la vaccination, le climat plus chaud et moins humide. Tout cela nous donne de bonnes raisons d’espérer, mais il est trop tôt pour dire à quel rythme ça va baisser.

Vous venez d’appeler les médecins retraités en renfort. L’hôpital craque?
La pression reste très forte et le nombre d’admissions en réanimation va continuer d’augmenter pendant plusieurs jours, nous le savons. Les mesures de freinage devraient nous permettre d’éviter d’atteindre le pic de la première vague, mais celui de la deuxième sera dépassé. Nous mobilisons tous les soignants, retraités, étudiants et libéraux, pour ouvrir des lits de réanimation – 350 la semaine dernière – en fonction des besoins. La plateforme Renfort Covid a déjà recueilli 25.000 inscriptions de volontaires, et 500 nouveaux les ont rejoints après l’appel du Président. Les soignants ont besoin de reconnaissance et de perspectives. Au-delà de l’augmentation générale de 183 euros net déjà accordée, j’avais annoncé une revalorisation des carrières à l’hôpital. Demain, lors du comité de suivi du Ségur de la santé, je proposerai des revalorisations fortes des grilles salariales aux infirmiers, aides-soignants, cadres de santé ou encore kinés. Une infirmière en fin de carrière touchera enfin plus de 3.000 euros net par mois.

Les 35″ vaccinodromes » de Véran: du pipeau !

Les 35″ vaccinodromes » de Véran: du pipeau !

 

 

 

Il faut d’abord rappeler que le ministre de la santé n’est pas À UNE contradiction près puisqu’il n’y a pas si longtemps il condamnait les initiatives relatives à la création de VACCINoDRÔMEs peu adaptés à la situation . POURTANT C’EST CE QU’IL PROPOSE À PARTIR D’AVRIL.

 

La FRANCE NE MANQUE PAS DE VACCINoDRÔMEs QUI TOURNENT À PEU PRÈS A VIDE FAUTEN DE DOSES. EN OUTRE ET SURTOUT ,LE CANAL HABITUEL ET LE PLUS EFFICACE DE LA VACCINATION QUI PASSE PAR LES MÉDECINS, LES PHARMACIENS ET LES INFIRMIÈRES MANQUE CRUELLEMENT DE VACCINS. C’EST POURTANT LE RÉSEAU LE PLUS PROCHE ET LE PLUS EFFICACE.

 

POUR MASQUER LE FIASCO COMPLET DU PLAN DE VACCINATION, CHAQUE SEMAINE LES POUVOIRS PUBLICS -ET EN PARTICULIER LE MINISTRE DE LA SANTÉ -TENTEnt  DE COMBLER LE VIDE AVEC DE NOUVELLES ANNONCES SOIT DE NOUVELLES CATÉGORIES D’ÂGE SUSCEPTIBLE DE RECEVOIR LE VACCIN SOIT AVEC DE NOUVEAUX CHIFFRES AUSSITÔT DÉSAVOUÉS PAR LA RÉALITÉ.

 

LA RÉALITÉ EST POURTANT DRAMATIQUE LA FRANCE NE PEUT VACCINER QU’ENVIRON 60 000 PERSONNES PAR JOUR QUAND IL EN FAUDRAIT 400 000 POUR TENIR LES OBJECTIFS.

 L’annonce de 35 vaccinés Drôme prise en charge par l’armée constituent une nouvelle escroquerie du ministre de la santé

Ces 35 centres, pris en charge par l’armée, s’inscrivent dans les 1 à 2 grands centres de vaccination par département gérés par le ministère et l’assurance maladie. Il s’agit pour les autorités de «pouvoir être capables d’utiliser tous les vaccins qui nous sont livrés à partir du mois d’avril pour vacciner massivement les Français», a-t-il poursuivi. Olivier Véran a réaffirmé l’objectif de «10 millions de primovaccinés à la mi-avril, et puis ensuite ça va augmenter, parce que les apports de vaccin vont augmenter», a-t-il assuré.

 

En fait si l’armée peut être c’est pour assurer la campagne de vaccination outre-mer mais pas en France

 

Interrogé par l’AFP, le ministère des Armées précise que, le concernant, «la réflexion en cours concerne les hôpitaux d’instruction des armées», au nombre de 8 sur le territoire national. «On envisage une intensification de la vaccination dans ces hôpitaux en fonction de nos moyens et du nombre de doses mises à disposition», explique-t-on au sein du ministère. «Les armées sont déjà très engagées aujourd’hui aux côtés des autres services de l’État et de la Santé publique dans la gestion de la crise du Covid», commentait dimanche sur BFMTV leur chef d’état-major, le général François Lecointre, en évoquant notamment l’acheminement par voie militaire de vaccins dans les territoires d’outre-mer.

 

Santé-Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran sont-ils prioritaires ?

Santé-Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran  sont-ils prioritaires ?

 

Progressivement on apprend que certaines personnalités sont vaccinées alors que visiblement elles sont loin de faire partie des populations prioritaires. Rappelons que pour l’instant la  priorité concerne les plus de 75 ans et les personnes présentant de très graves pathologies. Si l’on en juge par le reportage complaisant sur Véran  qui montre son torse, on ne peut pas dire que le ministre de la santé soit réellement physiquement déficient. Ni qu’il soit prioritaire en tant que de médecin puisqu’il y a longtemps qu’il n’a pas vu un patient. Il en est de même pour Nicolas Sarkozy qui ,lui, a 66 ans et qui a été vacciné. Pour la justifier l’entourage de Sarkozy précise que c’est sur prescription médicale. En fait la même prescription pour être faite à ces millions de Français qui sont réellement prioritaires et qui attendent en vain une date de vaccination car tous les centres ou presque sont aujourd’hui fermés et où ne répondent plus à aucune sollicitation faute de vaccin.

L’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas précisé les raisons de cette prescription, en soulignant que l’ancien président, « comme tout citoyen, a le droit à une vie privée et au secret médical« . Interrogé jeudi sur cette information à l’occasion de la conférence de presse hebdomadaire sur l’évolution de l’épidémie, le ministre de la Santé Olivier Véran avait invoqué « le secret médical ».

« Il en va de Nicolas Sarkozy comme de n’importe quel Français, il a le droit au secret médical, donc je n’ai pas à en connaître s’il a été vacciné avant l’heure. Nous devons tous respecter les règles, nous avons tous des droits et des devoirs. Ils s’imposent à chacun d’entre nous, y compris celui de bénéficier du secret médical. Pas de commentaire donc », a-t-il déclaré. De son côté, Nicolas Sarkozy s’agacerait des lenteurs de la stratégie vaccinale du gouvernement, jugeant qu’il faut accélérer l’arrivée de vaccins pour mettre en place des « vaccinodromes ».

Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran sont-ils prioritaires ?

Vaccination : pourquoi Sarkozy et Véran  sont-ils prioritaires ?

 

 

Progressivement on apprend que certaines personnalités sont vaccinées alors que visiblement elles sont loin de faire partie des populations prioritaires. Rappelons que pour l’instant la  priorité concerne les plus de 75 ans et les personnes présentant de très graves pathologies. Si l’on en juge par le reportage complaisant sur Véran  qui montre son torse, on ne peut pas dire que le ministre de la santé soit réellement physiquement déficient. Ni qu’il soit prioritaire en tant que de médecin puisqu’il y a longtemps qu’il n’a pas vu un patient. Il en est de même pour Nicolas Sarkozy qui ,lui, a 66 ans et qui a été vacciné. Pour la justifier l’entourage de Sarkozy précise que c’est sur prescription médicale. En fait la même prescription pour être faite à ces millions de Français qui sont réellement prioritaires et qui attendent en vain une date de vaccination car tous les centres ou presque sont aujourd’hui fermés et où ne répondent plus à aucune sollicitation faute de vaccin.

L’entourage de Nicolas Sarkozy n’a pas précisé les raisons de cette prescription, en soulignant que l’ancien président, « comme tout citoyen, a le droit à une vie privée et au secret médical« . Interrogé jeudi sur cette information à l’occasion de la conférence de presse hebdomadaire sur l’évolution de l’épidémie, le ministre de la Santé Olivier Véran avait invoqué « le secret médical ».

« Il en va de Nicolas Sarkozy comme de n’importe quel Français, il a le droit au secret médical, donc je n’ai pas à en connaître s’il a été vacciné avant l’heure. Nous devons tous respecter les règles, nous avons tous des droits et des devoirs. Ils s’imposent à chacun d’entre nous, y compris celui de bénéficier du secret médical. Pas de commentaire donc », a-t-il déclaré. De son côté, Nicolas Sarkozy s’agacerait des lenteurs de la stratégie vaccinale du gouvernement, jugeant qu’il faut accélérer l’arrivée de vaccins pour mettre en place des « vaccinodromes ».

Olivier Véran dit la girouette :  » Le couvre-feu n’est pas suffisant « !

Olivier Véran dit la girouette :  » Le couvre-feu n’est pas suffisant « !

En voilà un qui connaît la musique (il est effectivement musicien aussi. ) pour délivrer toujours la même mélodie mais avec des paroles différentes. Un champion également de la sémantique qui vient d’inventer le concept de primo injection tout simplement pour masquer le scandale du manque de vaccins.

 

Maintenant il découvre subitement que le couvre-feu n’est pas suffisant. Mais il a trouvé la combine, c’est la faute aux variants ! Hier, il vantait les mérites du couvre-feu, aujourd’hui il l’enfonce toujours avec la même sincérité, celle du politique qui comme la girouette tourne. Mais comme disait Edgar Fuare  ce n’est pas la girouette qui tourne c’est le vent !.

 

Ce ministre de la santé fera une grande carrière politique car il est capable de tout, de bavarder sans limite, de tout dire et le contraire avec la même conviction. Médecin ,il sait soigner les âmes politiques avec simplement de la pommade, un jour socialiste, le lendemain macroniste, après-demain républicain ? C’est aussi à cause de ces girouettes que le parti socialiste est mort et que sans doute le macronisme disparaîtra de la même façon.

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Pour la démission d’ Olivier Véran

 

 

Le bavardage insipide d’Olivier Ferrand, ses contradictions permanentes et son slalom avec la vérité deviennent de plus en plus insupportables. On se souvient qu’on avait écarté l’ancienne ministre de la santé Agnès Buzyn   pour ses insuffisances. Cette fois on pourrait légitimement demander le départ d’Olivier Ferrand pour sa suffisance. L’intéressé s’est fait le champion de la communication permanente pour tout dire et le contraire.

Ainsi il a annoncé que 70 millions de personnes seront vaccinés d’ici l’été alors qu’il suffit de prendre n’importe quel numéro de centres de vaccination pour vérifier que dans nombre de cas il est devenu impossible d’obtenir le moindre rendez-vous. Pour preuve, on a vacciné tout au plus environ 1 million de personnes en janvier. Comment parvenir à ce chiffre de 70 millions de personnes avant l’été ?. Pour atteindre un tel objectif il faudrait vacciner 12 millions de personnes par mois et non pas 1 ou 2 millions. Visiblement Olivier Véran est fâché avec les chiffres en tout cas il jongle avec.

Ainsi verra à parler de 15 millions de vaccinés d’ici fin juin, il a aussi évoqué le chiffre de 35 millions pour atteindre une certaine immunité collective. À quelques heures d’intervalles, il  a aussi évoqué le nombre de 43 millions de vaccinés. Plus tard, il a indiqué que l’objectif était de vaccinés 70 millions de personnes d’ici l’été.

Le ministre de la santé a adopté depuis longtemps la posture du bavard impénitent qui révèle une absence de stratégie réelle. Par exemple l’insignifiance de sa dernière déclaration : « On n’attendra pas qu’une nouvelle vague arrive pour prendre les bonnes mesures », a déclaré le ministre de la Santé au Parisien. Emmanuel Macron devrait en parler aux Français sans doute ce mercredi.

La vérité c’est que le ministre de la santé n’a rien à dire car c’est Macron qui décide tout et Véran s’efforce tout juste de parodier maladroitement le flou des orientations de Macon.

Vaccination Covid-19 : le nouveau mensonge d’Olivier Véran

Vaccination Covid-19 : le nouveau mensonge d’Olivier Véran

Le ministre de la Santé Olivier Véran une nouvelle fois a menti de façon éhontée quant aux perspectives de vaccination en France. Il a notamment annoncé que la totalité de la population, c’est-à-dire autour de 70 millions de personnes seraient vaccinés d’ici fin août. Or en janvier c’est tout juste si 1 million de personnes auront été vaccinées.

 

D’ailleurs la plupart des centres de vaccination ont fermé leurs portes et ne répond même plus au téléphone pour des prises de rendez-vous du fait  de l’insuffisance dramatique des doses. L’objectif premier était de vacciner les personnes de 75 ans et plus. On devait le faire en un mois, il faudra des mois pour tenir l’objectif.

Pour atteindre et respecter la promesse d’Olivier Véran  il faudrait vacciner presque 10 millions de personnes par mois. On n’en est très loin. À ce rythme il faudra même plusieurs années pour vacciner toute la population. Le problème c’est que d’ici là nombre de variants seront apparus et rendront peut-être même le bassin actuel inopérant. Et Olivier véran  d’égrener des perspectives de vaccination complètement irréaliste :

 

« Probablement, 4 millions de Français (vaccinés, ndlr) fin février. 9 millions à la fin du mois de mars. 20 millions à la fin avril. 30 millions à la fin mai. 43 millions à la fin du mois de juin, ça monte. 57 millions à la fin du mois de juillet » et enfin « 70 millions, c’est-à-dire la totalité de la population, d’ici à la fin août. » Ce que le ministre de la santé avoue d’une certaine manière

:  « dans une circonstance que je précise », nuance-t-il, « c’est si la totalité des vaccins que nous avons commandés sont validés par les autorités sanitaires européennes et mondiales« . Car à ce jour, seul le vaccin Pfizer/BioNTech est administré aux personnes prioritaires. La France attend de voir arriver sur son territoire les vaccins AstraZeneca/Oxford et Moderna, moins coûteux et plus faciles à produire ainsi qu’à stocker. Pour l’heure,  »on est dans la même situation que nos voisins allemands, italiens et espagnols », également dans l’expectative des nouveaux vaccins, souligne Olivier Véran.

Vaccin: Véran demande pardon !

Vaccin: Véran demande pardon !

 

 

Olivier Véran  aura tout dit, le contraire aussi. Il aura même été capable d’introspection et de demander le pardon des Français noyés sous les flots de paroles du ministre de la santé et du président de la république. Interrogé ce dimanche 10 janvier, le ministre de la Santé a en effet reconnu des erreurs dans la communication de l’exécutif.

 

Il y a en effet eu un « manque de clarté dans la communication et l’explication de la campagne vaccinale ». Une erreur que le ministre assume : « Je prends personnellement le point là-dessus. » Un exercice débuté dès jeudi. Le locataire de l’avenue Duquesne avait ainsi estimé sur BFMTV avoir peut-être été « un peu trop défensif dans la façon d’aborder le vaccin », voire « un peu trop prudent ». Seulement, en trois jours, son discours à quelque peu changé.

 

Tandis qu’il réfutait jeudi l’idée selon laquelle il avait été guidé par l’opinion des anti-vaccin, particulièrement nombreux dans le pays, il envisage désormais cette possibilité. « Nous avons sans doute internalisé l’espèce de défiance générale vis-à-vis des vaccins dont on parlait en permanence sur les plateaux et dans les familles », a-t-il reconnu sur Europe 1.

« . Olivier Véran a notamment fustigé le président LR de la région Grand-Est, Jean Rottner, qui avait décrit un « scandale d’État ». « Parler d’un ‘scandale d’État’ au bout de cinq jours ? Ne me dites pas qu’il n’avait pas trouvé la formule avant même que nous commencions à vacciner », a-t-il réagi.

 

Reste à voir si cette offensive pourra convaincre la grande majorité des Français qui juge la campagne gouvernementale comme « pas assez rapide ».

 

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