Archive pour le Tag 'ventes'

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Champagne: baisse des ventes en France,

Champagne: baisse des ventes en France,

Selon les chiffres du premier semestre 2013 publiés, jeudi 14 août, par le Comité interprofessionnel du vin de Champagne (CIVC), les expéditions du précieux alcool ont reculé de 3,1%. « Les ventes de champagne reflètent assez bien le rythme économique de la France et de l’Europe (qui viennent à peine de sortir de la récession, ndlr) mais cette baisse est amortie par une progression continue des expéditions vers le grand export », a expliqué à l’AFP Thibaut le Mailloux, porte-parole du CIVC. En effet, pour les six premiers mois de l’année 2013, le volume des ventes de champagne a baissé de 7,1% dans les pays de l’Union Européenne et de 5,1% en France, par rapport au premier semestre 2012. En revanche, les expéditions dans les pays tiers (hors UE), qui représentent 20% des ventes totales, ont bondi de 6,8%, limitant ainsi la baisse générale. récolte de 3 millions d’hectolitres  « Le grand export continue à croître à des taux rassurants, d’autant que ces pays sont amateurs de cuvées de prestige fortes en valeur, ce qui devrait nous permettre de conserver un bon chiffre d’affaires », a poursuivi Thibaut le Mailloux. « L’inquiétude n’est pas de mise, nous restons dans des volumes de plus de 300 millions de bouteilles ce qui constitue une performance proche des niveaux historiques », a-t-il ajouté. Ce qui est d’autant plus important que la récolte à venir est prometteuse. Selon les chiffres publiés par le ministère de l’Agriculture. La production va augmenter de 56%, cette année, en raison de conditions climatiques plus favorables qu’en 2012. Le ministère s’attend ainsi à une production de 3,1 millions d’hectolitres pour 2013, contre seulement 1,9 million produit en 2012. Mais pour les consommateurs, le prix du champagne ne diminuera pas pour autant. Les producteurs se sont mis d’accord pour qu’un éventuel surplus de production soit utilisé pour compléter les anciennes réserves millésimées au lieu d’être mis en bouteille.

 

Croissance Japon : -Hausse des ventes au détail en juin

Croissance Japon : -Hausse des ventes au détail en juin

 

Les ventes au détail ont augmenté de 1,6% en juin au Japon sur un an, confirmant une meilleure orientation de la consommation des ménages, selon des données publiées lundi par le ministère de l’Economie. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une progression de 1,9%. En mai, les ventes au détail avaient progressé de 0,8%. (Kaori Kaneko, Véronique Tison pour le service français)

 

Automobiles : baisse des ventes en Europe en mai

Automobiles : baisse des ventes en Europe en mai

. Les immatriculations de voitures neuves en Europe ont chuté de 5,9% en mai à 1,04 million de véhicules vendus, signant même la plus mauvaise performance pour un mois de mai depuis 1993, selon des chiffres publiés par l’ACEA. Après un an et demi de baisse ininterrompue, le marché automobile européen avait connu une timide reprise en avril (+1,7%), qui s’expliquait essentiellement par un mois d’avril 2012 particulièrement mauvais et le fait que Pâques soit tombé en mars. Mais l’éclaircie a été de courte durée. Sur le mois écoulé, le Royaume-Uni est le seul des grands marchés automobiles européens à avoir vu les ventes progresser (+11%), tandis que celles de l’Italie, de l’Espagne et de la France reculaient. Le premier marché européen, l’Allemagne, qui a longtemps bien résisté à la morosité, a perdu 9,9%. Les constructeurs français ont souffert, les immatriculations de PSA Peugeot Citroën chutant de 13,2% et celles du groupe Renault (marques Renault et Dacia) de 10%. Le groupe allemand Volkswagen a limité la casse (-2,8%).  Sur cinq mois, le recul des immatriculations dans les 27 pays de l’Union (hors Malte pour qui les données n’étaient pas disponibles) est encore plus net avec 6,8%.

 

Inde : baisse de 12% des ventes automobiles

Inde : baisse  de 12% des ventes automobiles

 

Les ventes de voitures, considérées comme un indice de la santé économique de ce pays émergent, ont chuté à 143.216 unités en mai (12,26% en mai sur un an), selon la Fédération indienne des constructeurs automobiles (Siam). En avril, les ventes avaient plongé de plus de 10%.   »C’est une période inquiétante pour l’industrie automobile », a commenté devant la presse le directeur général de la Siam, Vishnu Mathur.   »C’est la plus longue période consécutive de déclin dont nous avons été témoins » depuis que la Siam a commencé à compiler les chiffres de ventes il y a 16 ans, a-t-il ajouté.  Les ventes de voitures devraient progresser de l’ordre de 3% à 5% en 2013-14, espère encore la Siam, des chiffres toutefois bien loin du record de +30% enregistré en 2010-11, un bond qui avait bénéficié aux nombreux géants mondiaux du secteur attirés par ce marché juteux.  Selon le responsable de la Siam, des licenciements dans le secteur automobile indien pourraient avoir lieu et toucher dans un premier temps les équipementiers.   »La production a déjà été réduite de 10% à 20% chez certains constructeurs », a commenté auprès de l’AFP Sugato Sen, un autre responsable de la Siam, ajoutant que cela risquait d’entraîner des pertes d’emploi dans le secteur.  Selon la fédération, de forts taux d’emprunt et les inquiétudes croissantes liées au sévère tassement de l’activité de la troisième puissance économique d’Asie ont pesé sur les ventes.  Les ventes de véhicules commerciaux (poids lourds, autobus) ont aussi chuté de 10,6% en mai sur un an, à 55.458 unités.  Pour tenter de séduire malgré tout les clients, les constructeurs ont adopté des tactiques de vente agressives en proposant aux ménages d’acheter maintenant en différant leur paiement ou en leur offrant la possibilité d’acheter en plusieurs fois sans frais, avec parfois des remises allant jusqu’à 20%.  L’Inde a enregistré en 2012/13 une croissance de l’ordre de 5%, soit sa pire performance en dix ans. Pour la première fois en dix ans également, les ventes automobiles annuelles ont chuté sur cette période, de 6,7%.  Seuls 12 Indiens sur 1.000 possèdent une voiture, contre une proportion de 500 pour 1.000 aux Etats-Unis, selon la Fédération.  Le potentiel de croissance du marché automobile dans un pays de 1,2 milliard d’habitants a attiré voici quelques années les géants mondiaux du secteur en quête de nouvelles opportunités dans un contexte de morosité sur les marchés européens.

 

Tabac: hausse des prix et écroulement des ventes à prévoir

Tabac:  hausse des prix et écroulement des ventes à prévoir

 

Deux nouvelles hausses du tabac, la crise, le développement du marché parallèle (au moins 20%), la cigarette électronique, quatre raisons pour faire écrouler les ventes d’ici la fin de l’année.  Le prix du tabac devrait encore grimper dans les prochains mois. Selon une information du Figaro confirmée par Europe 1, le prix du paquet devrait augmenter de 20 centimes au 1er juillet et à nouveau de 20 centimes en octobre. L’augmentation sera plus forte pour le tabac à rouler. « Les représentants des cigarettiers ont été réunis à Bercy mardi à 18 heures », rapporte Le Figaro. « Leur autorité de tutelle leur a demandé d’envisager une hausse de 20 centimes du paquet de cigarettes au 1er juillet, suivie d’une augmentation du même montant début octobre. » Cette décision est le résultat d’ »un bras de fer politique » entre le ministère de la Santé, désireux de faire baisser la consommation de tabac, et celui des Finances, qui cherche à préserver les rentrées fiscales liées à la vente de tabac. Cette hausse s’ajoute à celle du 1er octobre 2012, lorsque tous les produits du tabac avaient déjà augmenté d’au moins 6,5%, soit au moins 30 centimes. De plus, une nouvelle hausse des prix est attendue avec l’entrée en vigueur des nouveaux taux de TVA le 1er janvier 2014 : la TVA sur le tabac sera ainsi portée de 19,6% à 20%. Et ces augmentations à répétition devraient mécontenter beaucoup de monde, à commencer par les buralistes, qui connaissent depuis quelques mois une forte baisse de leurs ventes et qui craignent désormais de mettre la clé sous la porte. « En 15 mois le prix du tabac aura augmenté quatre fois. On ne comprend pas cette acharnement », a réagi sur Europe1 Pascal Montredon, le président de la Confédération des buralistes. « On sait très bien que ça ne marche plus d’augmenter le prix du tabac pour faire diminuer la consommation. Le marché parallèle augmente. Et nous ne sommes pas des multinationales. C’est une véritable drame du point de vie économique et personnel. Quand on est chef d’une petite entreprise et dit à son collaborateur : ‘on ne peut pas te garder’, cela ne fait plaisir ni à lui ni à nous », renchérit-il. Les militants anti-tabac ne devraient pas non plus y trouver leur compte, eux qui soutiennent une hausse bien plus rude. « Pour être efficaces, les hausses doivent être dissuasives et répétées, d’au moins 10% tous les deux ans », estime ainsi le professeur Gérard Dubois, président d’honneur de l’Alliance contre le tabac. « Le ministère de la Santé gagne tout de même une mini-victoire. C’est toujours mieux que rien », reconnaît-il toutefois au micro d’Europe1.

 

Croissance : baisse des ventes de détail en mars en zone euro

Croissance : baisse des ventes de détail en mars en zone euro

Les ventes ont enregistré un repli de 0,1% par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés lundi par Eurostat, une baisse conforme aux attentes des économistes. Les ventes de produits alimentaires et de tabac ont augmenté de 0,8% par rapport à février mais cela n’a pas compensé la baisse enregistrée pour d’autres biens, comme les vêtements et les ordinateurs. Sur un an, la baisse est également pire qu’anticipé, avec un recul de 2,4% alors que les économistes avaient projeté en moyenne un recul de 2,2%. Les ventes au détail ont particulièrement baissé en Europe du Sud, avec une chute de 10,5% en rythme annuel en Espagne, la plus importante enregistrée dans la région en mars. Eurostat a révisé les chiffres de février, qui montrent désormais un déclin de 0,2% par rapport à janvier alors que les ventes avaient initialement été données en baisse de 0,3%. En rythme annuel, leur baisse a en revanche été revue à la hausse à 1,7% contre -1,4% précédemment annoncé.

 

Ventes voitures neuves en recul de 5,2% en avril

Ventes  voitures neuves en recul de 5,2% en avril

Les immatriculations de voitures neuves ont reculé de 5,2% en données brutes en France en avril sur un an pour s’établir à 157.859, selon des chiffres publiés jeudi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).  A nombre de jours ouvrables comparable par rapport à avril 2012, le recul atteint 9,7%, selon un communiqué.  Chez les constructeurs français, les immatriculations de PSA Peugeot Citroën ont chuté de 12,1% à 47.708, celles de Renault ont diminué de 2,8% à 36.213 en avril 2013 par rapport à avril 2012.  Le nombre d’immatriculations des constructeurs étrangers dans leur ensemble a légèrement diminué (-1,1%) à 73.870.

PSA : chute des ventes

PSA : chute des ventes

 

 PSA Peugeot Citroën a annoncé mercredi qu’il lui faudrait prendre de nouvelles mesures d’économies en France pour atteindre son objectif d’équilibre financier en 2014, tout en assurant qu’elles n’impliquaient pas de réductions d’effectifs supplémentaires. La faiblesse persistante du marché automobile européen, où PSA a réalisé 57% de ses ventes au premier trimestre, s’est traduite par un recul de 6,5% de son chiffre d’affaires lors des trois premiers mois de l’année, à 13,02 milliards d’euros. Pour la seule division automobile, la baisse atteint 10,3%. Le constructeur, qui a déjà engagé une vaste restructuration en France, a prévenu que le marasme européen perdurerait en 2014 et que le marché pourrait même être plus difficile que prévu, imposant de nouvelles mesures pour atteindre un free cash flow à l’équilibre à la fin de l’an prochain. « Nous allons démarrer des discussions sur la compétitivité du groupe en mai (…) J’aimerais bien qu’elles se concluent à l’automne », a déclaré à des journalistes le président du directoire Philippe Varin en marge de l’assemblée générale des actionnaires, placée sous haute surveillance.Le directeur financier Jean-Baptiste de Chatillon a précisé que des réductions d’effectifs supplémentaires, en plus des 8.000 suppressions de postes annoncées pour 2013 et 2014, n’étaient « pas l’objet » des prochaines discussions.

Ventes cigarettes en baisse

Ventes cigarettes en baisse

 

Effet prix et effets contrebande ( plus de 20% des cigarettes vendues au marché noir),  le marché officiel des cigarettes a enregistré, pour la première fois depuis les années 2003/2004, une baisse de 2,50% en valeur au premier trimestre 2013 (-8,6% en volume) par rapport à la même période de 2012, selon des chiffres publiés lundi par Altadis Distribution France (Imperial Tobacco). Plus de 11,554 milliards de cigarettes ont été livrées aux buralistes de l’Hexagone entre le 1er janvier et le 31 mars 2013, soit une baisse de 8,6% en volume, selon les chiffres d’Altadis Distribution France (Imperial Tobacco), qui dispose d’un quasi-monopole des livraisons des bureaux de tabac. Pour la première fois, la baisse en volume n’est pas compensée par la hausse des prix, intervenue le 1er octobre. Le marché enregistre ainsi sa première baisse en valeur depuis les années 2003/2004, au moment où le marché avait été bousculé par des hausses de taxes, au nom de la protection de la santé publique, qui s’étaient traduites par une hausse des prix de 40% en quelques mois

Les ventes de voitures chutent en Europe

Les ventes de voitures chutent en Europe

Les immatriculations de voitures neuves ont diminué de 10,3% en mars en Europe occidentale, accusant ainsi une 18e baisse mensuelle consécutive avec notamment une chute des ventes des groupes PSA (-16,3%) et Renault (-9,7%), a annoncé mercredi l’Association des constructeurs européens d’automobiles (Acea). Sur le mois passé, 1.346.899 immatriculations de voitures neuves ont été enregistrées en Europe occidentale (Union européenne + Suisse, Islande et Norvège), contre 1.500.880 il y a un an. Sur les trois premiers mois de l’année, elles ressortent en baisse de 9,87% par rapport à l’année dernière, ajoute l’Acea. En France, le marché a diminué de 16,2% le mois dernier tandis qu’il a reculé de 17,1% en Allemagne. En Italie, le recul est de 4,9%. Le marché britannique, de son côté, a montré des signes de résistance avec une progression de 5,9%. Toyota a enregistré une chute de 16,6% de ses ventes. BMW a vu les siennes baisser de 4,7% et Daimler de 1,0%. Les ventes du groupe Volkswagen ont diminué de 9,3%.

Ventes voitures : nouveau plongeon en mars sauf à bas coût

Ventes voitures : nouveau plongeon en mars sauf à bas coût

 

La chute des immatriculations de voitures neuves s’est accentuée en France en mars, à 16,4% en données brutes, selon les données publiées ce mardi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).A nombre de jours ouvrables comparable, le recul atteint 12,5%, avec 165.244 voitures immatriculées, selon un communiqué.Le français PSA Peugeot Citroën a particulièrement souffert, avec une baisse de ses immatriculations de 23,6%. Le groupe Renault a limité la casse (-8,3%) grâce à la bonne performance de sa marque à bas coûts Dacia (+29,3%).Les constructeurs étrangers dans leur ensemble ont connu une baisse de 15,5% de leurs immatriculations. Les immatriculations de voitures neuves connaissent un début d’année noire en France. En février, le décrochage était de 12,1% en février en données brutes, mais la situation devrait s’améliorer un peu d’ici la fin de l’année, espèrent les experts du secteur. A nombre de jours ouvrables comparable, la baisse est limitée à 7,7% à 143 366 unités, selon des chiffres publiés vendredi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Les immatriculations avaient déjà reculé de près de 14% l’an dernier, à 1,899 million d’unités, au plus bas depuis 1997, et de 15% en janvier, dans un contexte économique morose. Aucune reprise réelle n’est attendue par les constructeurs avant 2014 ou 2015. Pour autant, les constructeurs et les experts du secteur ne désespèrent pas de voir la situation se redresser un peu d’ici la fin de l’année. Le numéro deux français Renault table sur un repli du marché compris entre 3 et 5%, une prévision qui correspond à celle de Flavien Neuvy, responsable de l’Observatoire Cetelem spécialisé dans l’automobile. Le CCFA est plus pessimiste et voit un marché des immatriculations « autour de -5% » sur l’année, a indiqué un porte-parole. M. Neuvy s’appuie pour cela sur le niveau de prises de commandes des constructeurs automobiles, « qui sont moins mauvaises que les -12% des immatriculations ». « On devrait aller vers une stabilisation du marché d’ici la fin du premier semestre », estime-t-il. Il faut en effet quelques mois avant de voir les commandes se transformer en immatriculations. « Nous avons un marché des commandes sensiblement meilleur que celui des immatriculations », confirme Bernard Cambier, directeur commercial France chez Renault, qui estime qu’il est stable par rapport à l’an dernier. Comme en 2012, les différents constructeurs automobiles connaissent des sorts différents en ce début d’année. Les Français souffrent toujours un peu plus que les étrangers. Le numéro un PSA Peugeot Citroën a perdu 15,5%, plombé par sa marque Citroën (-22%). « Le niveau de commandes est stable », précise la marque aux chevrons pour qui les immatriculations de février « ne reflètent donc pas l’activité commerciale ». Le groupe Renault a vu ses immatriculations reculer de 10,8% à cause de la marque au losange (-19,5%), tandis que celles de Dacia ont bondi de 37,3%. « Nous sommes très satisfaits de ces résultats », indique cependant M. Cambier. Le recul des ventes de Renault s’explique par la fin du petit monospace Modus et de la Clio III dans sa version break, qui seront remplacés au printemps, ce qui devrait permettre à la marque de « remonter lors des mois suivants », a-t-il expliqué. Les groupes étrangers s’en sortent un peu mieux. Leurs immatriculations ont glissé dans l’ensemble de 10,2%. La chute la plus forte est celle de l’Américain Ford (-33,4%). General Motors recule de 14,7%, le Japonais Nissan de 10,3%, l’Italien Fiat de 11,8% et les groupes allemands Volkswagen, BMW et Daimler de respectivement 7,5%, 2,7% et 10,3%. « Des groupes qui avaient bien résisté jusqu’à présent, comme VW et le haut de gamme, baissent », souligne Flavien Neuvy. A l’inverse, le Japonais Toyota a connu une hausse de ses immatriculations de 12,3% et le Sud-Coréen Hyundai-Kia de 5%. « Toyota profite de l’engouement pour l’hybride », domaine où il est en pointe et « les marques à bas coûts se portent bien » comme Dacia, Hyundai et Kia, commente l’expert. Les ventes de véhicules utilitaires légers, un indicateur de l’activité des entreprises, ont baissé de 11,8% sur le mois de février. En Espagne, la chute des ventes de voitures neuves a été amortie par le plan de soutien gouvernemental et a atteint 9,8% en février.

 

Inde- automobiles : chute des ventes de 26%

Inde- automobiles : chute des ventes de 26%

En février, dernier chiffre connu, les ventes de voitures ont chuté de 26% par rapport à février 2012, le pire résultat depuis 2000.  Sur l’exercice en cours, clos le 31 mars, les ventes devraient reculer par rapport aux douze mois précédents, après dix ans de croissance continue, selon la fédération indienne des constructeurs automobiles (SIAM).  Pour Sugato Sen, vice-directeur général de la fédération, cette atonie du marché s’explique par l’état de l’économie dans son ensemble, avec une croissance d’à peine 5% pour l’année en cours, soit le taux le plus faible depuis dix ans.   »Si les gens ne doivent pas acheter une voiture, ils n’en achètent pas. Ils brident leurs dépenses non nécessaires », déclare-t-il. « Les gens en bas de la pyramide amateurs de petits modèles, soit la plus grosse part du marché, n’achètent plus à cause d’une économie faible ».  L’autre grande économie émergente d’Asie, la Chine, devenue premier marché automobile mondial en 2009, ne connaît pas la crise. Elle « se trouve régulièrement à court de capacité (de production) alors qu’en Inde, les constructeurs ont un excès de capacité », note Deepesh Rathore, analyste sur l’Inde au cabinet de consultants IHS Automotive.  Jusqu’en 2010/2011, le marché indien affichait des taux de croissance compris entre 20 et 30% et faisait figure d’eldorado auprès des constructeurs étrangers, venus y chercher de quoi compenser la morosité de leurs ventes, en Europe notamment.  L’américain Ford a vu ses ventes chuter de 44% en février, à 4.490 unités, tandis que celles de General Motors ont reculé de 20% à 7.106 véhicules et celles de VW de 8%.  Mais le plus durement touché reste l’indien Tata Motors, dont les ventes ont dégringolé de 70%. Quant à sa Tata Nano, présentée comme la voiture la moins chère du monde (à peine plus de 2.000 euros pour les premiers prix), elle n’a jamais remporté le succès escompté depuis son lancement en 2009, handicapé notamment des problèmes techniques qui entraînaient des feux de moteurs.  R.C. Bhargava, dirigeant de Maruti Suzuki, premier constructeur indien et détenu majoritairement par le japonais Suzuki, craint que le prochain exercice (à partir d’avril) « ne soit pas meilleur » pour le secteur.  Pour réduire les stocks, les fabricants ferment des lignes de production et les investissements pourraient se tarir si la situation ne s’améliore pas, selon les analystes.  Plus largement, l’état du marché automobile reflète celui de l’économie, entravée par la faiblesse de la demande, une inflation et des taux d’intérêt élevés, et un large déficit public.   »Les gens ne perçoivent pas les bons signaux dans cette économie (qui les pousseraient) à acheter une voiture », ajoute Deepesh Rathore.  Seul segment épargné, celui des véhicules tout-terrain de loisir (SUV), prisés des classes moyennes supérieures à la recherche d’une voiture reflétant le statut de son propriétaire et suffisamment costauds pour protéger les passagers sur les routes indiennes, très meurtrières.  Les ventes de SUV ont augmenté de 35% en février. Le français Renault, revenu en Inde il y a juste deux ans, a décuplé ses ventes en février, à 6.723 unités, grâce notamment à son Duster, vendu 14.300 USD.  Mais la difficulté du moment ne fait pas oublier que le potentiel du marché indien reste immense, rappelle Sugato Sen. Seulement 12 Indiens sur 100 possèdent une voiture, rappelle-t-il.

 

Viande-Ventes surgelés :-30%

Viande-Ventes surgelés  :-30%

 

Les ventes de plats cuisinés surgelés à base de viande, comme les lasagnes, ont chuté de près de 30% en France en raison du scandale de la viande de cheval et ne montrent aucun signe de redressement à court terme, a fait savoir lundi la firme d’études de marché SymphonyIRI. Du 11 au 17 février, soit peu après qu’on eut découvert de la viande de cheval au lieu de viande de boeuf dans des lasagnes congelées en Grande-Bretagne, les ventes de plats surgelés à base de pâtes et de viande comme les lasagnes, les moussakas et les hachis parmentiers ont baissé de 26% par rapport à la semaine comparable de 2012. Elles ont encore diminué de 28% la semaine suivante, selon les données collectées auprès de plus de 6.000 supermarchés en France.  Le sentiment d’insécurité et de peur quant à la composition des produits alimentaires ne peut que durer compte tenu de l’attention que les médias y portent et de l’expansion géographique et technologique de la crise, a dit Jacques Dupré, directeur des études de SymphonyIRI, à Reuters.

 

Automobiles : recul ventes en Allemagne

Automobiles : recul ventes en Allemagne

 

Le marché automobile allemand débute l’année 2013 difficilement. Les ventes de voitures neuves en Allemagne ont reculé de 10,5% en février sur un an à 200.683, a annoncé ce lundi 4 mars l’agence fédérale allemande KBA. Les constructeurs Peugeot (-40,6%), Opel (-21,2%) et Ford (-19,4%) ont été parmi les plus touchés par la baisse des ventes, tandis que Renault et Hyundai ont connu un léger mieux avec +3,4% chacun. Volkswagen a reculé de 14,6%. Par rapport à janvier, les ventes de voitures ont progressé de 4,5% dans le pays.

Automobiles-Italie : les ventes s’écroulent

Automobiles-Italie : les ventes s’écroulent

Les ventes de voitures neuves en Italie ont chuté de 17,41% en février sur un an, a annoncé vendredi le ministère des Transports dans un communiqué. Le nombre de véhicules neufs immatriculés dans la péninsule s’est établi à 108.419 unités en février 2013, contre 131.271 l’année précédente, a précisé le ministère.

 

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