Archive pour le Tag 'ventes'

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Ventes d’appartements neufs : moins 8%

Ventes d’appartements neufs : moins 8%

 

 

 

Les ventes de logements neufs par les promoteurs ont reculé de 11,2% au troisième trimestre sur un an, selon les chiffres publiés jeudi 20 novembre par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI).  Dans le meilleur des cas, ces professionnels considèrent qu’ils ne vendront pas plus 70.000 logements neufs. C’est un recul de 8% par rapport à 2013, qui était un millésime déjà très pauvre. Ce secteur économique enregistre son neuvième trimestre consécutif de baisse d’activité. La vie des promoteurs peut nous paraître un souci un peu lointain. En réalité, cela nous concerne tous. D’abord construire et vendre 70.000 logements quand la vitesse de croisière de la France c’est 120.000 à 130.000 appartements, cela signifie concrètement que près de 60.000 emplois qualifiés sont perdus par l’ensemble de la filière bâtiment. Ensuite quand les promoteurs ne vendent pas, ils gèlent tous nouveaux projets. Enfin, il faut simplement coller à la demande des nouveaux ménages. La population française a augmenté de 10% en quinze ans. Il y a aussi les séparations et les divorces. Au total, il faut bâtir au moins 340.000 logements par an. On va donc accumuler un retard supplémentaire dans l’offre de logements disponibles pour les Français. Nous en serons loin cette année.  Manuel Valls avait pourtant annoncé un plan de relance. Il y avait cinquante mesures phare pour fin décembre. Mais d’ores et déjà, la moitié d’entre sont reportées à l’été 2015. Même topo avec la loi Pinel. Elle devait simplifier, clarifier, élaguer, bref réparer les dégâts de la loi Alur de Cécile Duflot. Ce travail est toujours en suspens. Les normes, souvent paralysantes, toujours coûteuses et parfois contre-productives, n’ont pas encore été allégées. Les procédures administratives restent aussi pesantes. Bercy traîne bien sûr les pieds sur le volet financier et fiscal des nouveaux dispositifs. Pour faire simple, le bâtiment à la tête sous l’eau. Les secouristes sont toujours assis sur la berge. C’est assez rageant quand on sait que ce secteur, s’il est bien relancé, c’est un coup d’accélérateur massif de croissance en France. Ce serait un bonus d’au moins 0,4%. On n’est pas si gaillard qu’on puisse le mépriser. Nos politiques ont une responsabilité : celle de créer un cadre de travail cohérent. Mais les promoteurs et les constructeurs en ont une très lourde aussi. Le logement neuf est trop cher (c’est le plus cher d’Europe) et d’un mauvais rapport qualité-prix. Il est très peu efficace en termes de consommation d’énergie. Les process de fabrication n’ont pas beaucoup évolué depuis quarante ans. Les standards de qualité sont quasiment d’époque. Cette industrie doit prendre exemple sur l’automobile. Aujourd’hui, une Clio 4 coûte beaucoup moins cher qu’une 4L. Mais vous avez le confort, la sécurité, la consommation et le plaisir en plus. Les Français ne sont pas dupes : ils privilégient toujours l’ancien plutôt que le neuf. (Lu sur RTL)

 

Automobiles : hausse des ventes surtout de low cost

Automobiles :  hausse des ventes surtout de low cost

 

Les ventes progressent encore en Europe mai surtout les voitures moins chères. Cependant la production (et les ventes) sont encore sou le niveau d’avant 2008). Avec une hausse de 6,4% des immatriculations de voitures neuves, le marché européen connaît une nouvelle embellie. Toujours en convalescence, il est en augmentation pour le 13e mois consécutif? Et les constructeurs français tirent particulièrement bien leur épingle du jeu. Renault progresse de 10,7% et PSA Peugeot Citroën de 9,8% par rapport à septembre 2013, indique l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) dans un communiqué. Les marques de PSA croissent à peu près au même rythme: +10,6% chez Peugeot et +8,7% chez Citroën. Du côté du groupe Renault, la marque au losange s’en tire honorablement avec +7,9% mais c’est comme les mois précédents Dacia qui enregistre la progression la plus nette: +20,2% pour la marque d’origine roumaine, spécialisée dans les voitures simples et moins chères. Sur neuf mois, les immatriculations de PSA progressent de 4,8%, en deçà de la moyenne du marché (+6,1%) tandis que celles du groupe Renault bondissent de 15,9%. Au total, 1,23 million de voitures ont été immatriculées dans l’UE au mois de septembre, contre 1,16 million pour la même période un an plus tôt. Mais les volumes restent encore inférieurs à ceux que l’UE avait connu avant la crise de 2008. Ainsi, en septembre 2005 et 2006, quelque 1,4 million de voitures avaient été mises en circulation.

 

Ventes automobiles Allemagne : chute auusi en Allemagne

Ventes  automobiles Allemagne : chute auusi en Allemagne

Les ventes  ont auusi  chuté en Allemagne, moins  0.5% seulement en août (comme en France et ailleurs), le signe du tassement de la demande et d’une croissance générale  très molle. Les ventes de voitures neuves ont diminué de 0,5% à 213.100 unités en août en Allemagne, faisant craindre que la reprise du marché automobile européen marque déjà le pas. La fédération professionnelle VDA, en annonçant ce chiffre mardi, l’a imputé à la période estivale traditionnellement creuse pour le marché et aussi au fait que le mois comparable de 2013 comptait un jour ouvré de plus, mais des experts du secteur craignent un malaise plus profond. « Il y a des signes d’affaiblissement du marché », commente ainsi Ferdinand Dudenhöffer, à la tête du centre de recherche automobile de l’Université de Duisbourg-Essen. Le tassement des ventes en août contraste avec la hausse de 6,8% des immatriculations en juillet. Les ventes aux particuliers ont diminué de 2% en août pour représenter 37,8% du total, montrent les chiffres de la VDA. Le marché allemand n’a pas été le seul à baisser le mois dernier: les immatriculations de voitures neuves ont baissé de 3% en France et diminué de 0,2% en Italie, a-t-on appris lundi, mais elles ont bondi de 13,7% en Espagne où le marché est soutenu par une prime à la casse. Sur la période janvier-août, le marché automobile allemand a progressé de 3% à un peu plus de deux millions de véhicules, selon la VDA. Le président de la fédération Matthias Wissmann a dit qu’il comptait toujours voir le secteur atteindre son objectif de porter les ventes annuelles à trois millions de véhicules environ cette année contre 2,95 millions en 2013.

 

Automobiles : ventes en recul

Automobiles : ventes en recul

 

Moins 11% pour Renault, moins 3% pour Peugeot et globalement des immatriculations en régression. Le signe de l’attentisme des consommateurs surtout au moment de régler les impôts et le dépenses contraintes de rentrée. Evidemment encore une mauvaise nouvelle pour la croissance et l’emploi. Les ventes de voitures neuves en France ont reculé de 3% au mois d’août 2014, par rapport à août 2013, selon les données publiées lundi par le comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). Au mois d’août, 83.340 véhicules neufs ont été immatriculés en France, mais à nombre de journées ouvrables comparable, le marché affiche une hausse de 1,8%, souligne le CCFA. Les constructeurs français connaissent également une baisse de leurs ventes en août: -3,1% pour PSA Peugeot Citroën, -10,7% pour le groupe Renault.

Presse : nouveau recul des ventes

Presse : nouveau recul des ventes

 

La presse recule encore, pas étonnant les grands médias offrent très peu d’originalité dans leurs infos et leurs analyses. Pire, comme la plupart des français pendant environ deux mois, les journalistes sont en vacances. (Cela vaut pour la presse, comme pour les radios, les télés ou les grands sites internet). D’une certaine manière, la presse souffre de la pensée unique et de l’info congelée en provenance des agences de presse, du gouvernement ou des grandes organisations. Il faut d’ailleurs noter un décalage d’analyse d’un jour ou deux entre la pensée ambiante et les sites indépendants. Des sites de plus en plus plus et analysés qui nourrissent ensuite la ligne éditoriale des grands médias, une petite révolution culturelle peu évoquée. !  .  Le chiffre d’affaires global de la presse écrite française (quotidiens et magazines) s’est replié de 5,3 % l’an dernier, s’établissant à 8,25 milliards d’euros. C’est la sixième année consécutive de baisse pour le secteur, installé «de façon durable dans une phase négative», note la DGMIC. Dans le détail, les ventes de diffusion (ventes au numéro et abonnements) ont baissé de 3,5 % et les recettes publicitaires ont chuté de 8,5 %. Au niveau de la diffusion, la baisse de la vente au numéro (kiosques et maisons de la presse) s’est accélérée entre 2012 et 2013, passant de -2 % à -6 %.  Le contexte général ainsi que la fermeture de points de vente expliquent cette aggravation. Quant aux abonnements, ils montrent pour la première fois depuis plusieurs années des signes de faiblesse, alors même que de nombreux éditeurs en ont fait souvent leur priorité commerciale. Alors que les recettes d’abonnements avaient progressé en 2012, elles ont légèrement reculé l’année dernière, sans doute sous l’effet d’une pression sur les prix, les éditeurs étant prêts à accorder de grosses remises pour conquérir des clients réguliers. Mais c’est sur le terrain publicitaire que la dégringolade a été la plus violente: les recettes liées à la vente d’encarts et aux petites annonces, en baisse de respectivement 8,2 % et 9,5 %, souffrent particulièrement de la mauvaise conjoncture. «Les annonceurs reportent voire annulent des campagnes, mais ils font surtout pression sur les prix», observe un éditeur de magazines. La presse gratuite d’annonce (PGM) est le segment le plus touché avec des ressources au global en recul de 23,6 % en 2013. À cela s’ajoute le phénomène de migration de l’achat d’espace du papier vers le numérique qui se poursuit, mais les recettes sur le Web sont encore loin de compenser les baisses de recettes tirées du papier. La forte dégradation des recettes publicitaires depuis 2008, parallèle à une érosion plus mesurée du chiffre d’affaires de diffusion, fait évoluer le modèle économique des éditeurs. Comme le rappelle la DGMIC, la part des ventes s’est fortement renforcée dans le chiffre d’affaires global: elle est passée de 52,5 % en 1990 à 64 % en 2013. Dans ces revenus, la part de la vente au numéro a reculé, de 36,7 % à 32,5 % du chiffre d’affaires global, tandis que la part des abonnements a doublé, passant de 15,8 % à 31,5 %. Le diagnostic de la DGMIC est sans appel. «L’organisation fonctionnelle de la presse est en désordre et le modèle économique qui la caractérise va devoir se transformer en profondeur», note la direction du ministère, pour qui «le secteur doit se préparer à des évolutions plus radicales encore». La DGMIC constate par ailleurs que les recettes numériques restent une source de revenus «mineure» pour la plupart des éditeurs. Elles ont tout juste franchi la barre en 2013 des 5 % du chiffre d’affaires des 300 plus grands acteurs de la presse en France.

 

Fruits et légumes français : baisse des ventes de 10%

Fruits et légumes français : baisse des ventes de 10%

Alors que les prix sont en baisse, les ventes sont en baisse de plus de 10% d’après les syndicats de producteurs. « On se pose beaucoup de questions parce que nos produits sont à disposition et ils sont très bons. En termes de chiffre d’affaires, c’est 20% en moins sur nos exploitations« , se désole Jacques Rouchaussé, président du syndical Légumes de France. Et la situation est d’autant plus inquiétante pour la filière que la production est en avance sur certains produits d’après Pascal Dujols, président du syndicat des détaillants en fruits, légumes et primeurs : « En général, on a surtout une crise de surproduction sur quelques produits. Cette année, les récoltes sont en avance sur les prunes. Les raisins, les poires vont également concurrencer les nectarines. On est très inquiets« . Autre motif d’inquiétude: la concurrence des produits étrangers dans les grandes surfaces. Ce qui pousse les producteurs français à casser leurs prix. C’est le cas par exemple des salades : « Ca se négocie entre 25 et 28 centimes, et c’est revendu entre 80 centimes et un euro dans les rayons« , d’après Denis Digel, producteur à Sélestat, en Alsace. Grosses tensions également sur la pêche. Début juillet, des arboriculteurs français ont bloqué des camions espagnols à la frontière pour protester contre la concurrence des pêches et des nectarines. Luc Barbier, président de la Fédération nationale des fruits, dénonce les pratiques commerciales des producteurs espagnols.

 

Ventes voitures Europe : ça repart pour Renault

Ventes voitures Europe : ça repart pour Renault

 

Les Européens ont continué d’acheter davantage de voitures en juin. Les ventes de véhicules neuf ont progressé de 4,5%, selon des chiffres publiés jeudi par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). Il s’agit du dixième mois de hausse consécutif. Mais la chute avait été tellement forte que le niveau du marché reste bas. Seules 1,2 million de nouvelles immatriculations ont été enregistrées en juin. Sur le premier semestre, les ventes sont en hausse de 6,5%, avec 6,6 millions de véhicules écoulés. Hormis l’Allemagne, où les ventes reculent de 1,9%, tous les marchés européens ont repris de la vigueur: +2,5% pour la France, +3,8% pour l’Italie, +6,2% pour le Royaume-Uni, et même +23,9% pour l’Espagne. Du côté des constructeurs français, les situations divergent. PSA ne perd quasiment plus de terrain, en baisse de 0,1%, quand Renault accélère nettement, de 23,9%, la plus belle progression parmi les constructeurs européens, à l’exception de Mitsubishi qui caracole en tête avec +55,5%.  Peugeot Citroën a pâti d’une sortie de route de la marque aux chevrons, qui a plongé de 4,1%, tandis que celle au lion s’en tire, en hausse de 3,4%. Le groupe Renault, lui, profite des belles performances de ses deux marques, l’éponyme en progression de 20,9%, et sa low cost, Dacia, qui bondit de 32,8%. Parmi les autres constructeurs, General Motors, Daimler et Hyundai sont en baisse (respectivement de 2,6%, 1,2% et 4,4%). La maison-mère de Mercedes subit de plein fouet le plongeon des ventes de Smart, de 19,5%. Ford a vendu le même nombre de voitures qu’au mois de juin 2013, tandis que Fiat a vu ses ventes grimper de 7,1%, BMW de 4,6%, Volkswagen de 2,5%.

Automobiles : hausse des ventes en juin en Europe

Automobiles : hausse des ventes en juin en Europe

 

Hausse en juin mais toujours à un bas niveau. Les immatriculations de voitures neuves ont augmenté de 3,9% en juin en Europe de l’Ouest, selon des données du secteur réunies par le cabinet spécialisé LMC Automotive, la poursuite du rebond du marché en Europe du Sud éclipsant un trou d’air (-1,9%) en Allemagne. Les immatriculations, tombées en 2013 à leur plus bas niveau en vingt ans, signent ainsi leur dixième mois consécutif de hausse et ont atteint le mois dernier 1,15 million de véhicules, soit 6,4 millions sur les six premiers mois de l’année. Sur le semestre, les immatriculations ressortent en progression de 5,4%. En mai, selon les derniers chiffres de ‘Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA), les immatriculations en Europe occidentale avaient progressé de 3,9%. Les chiffres de l’ACEA pour le mois de juin seront connus le 17 juillet. Les données publiées par LMC, qui montrent aussi un rythme annualisé de 11,93 millions en juin, contre 11,54 millions sur l’ensemble de 2013, sont basées sur les chiffres des immatriculations communiquées cette semaine dans 13 des 17 pays d’Europe occidentale, accompagnées d’estimations pour les quatre restants : L’Autriche, le Danemark, le Luxembourg et la Suisse. En Espagne et au Portugal, les immatriculations ont bondi respectivement de 23,9% et de 23,6% le mois dernier. En France, le marché a progressé de 3,2%, conduisant le CCFA à relever à +2% environ sa prévision pour l’ensemble de l’année.

 

Hausse de 8% des ventes de voitures neuves dans l’UE mais pas en France

Hausse de 8% des ventes  de voitures neuves dans l’UE mais pas en France

 

 

Pour le sixième mois consécutif, les immatriculations de voitures neuves dans l’Union européenne sont en hausse, progressant de 8% sur un an, mais elles sont restées à un niveau historiquement bas, a annoncé mardi l’ACEA.  861.058 véhicules ont été vendus le mois dernier dans les 27 pays de l’UE (hors Malte), selon les données de l’Association des constructeurs automobiles européens. Ceci correspond « au deuxième niveau le plus bas jamais enregistré pour un mois de février depuis 2003″ et le début de la collecte des données dans l’Union élargie.  Parmi les principaux marchés, seule la France s’est inscrite en recul, à -1,4%. A l’inverse, les immatriculations en Grande-Bretagne ont progressé de 3%, de 4,3% en Allemagne, de 8,6% en Italie et de 17,8% en Espagne.  Les groupes automobiles ont aussi connu des sorts différents. Le numéro un européen, Volkswagen, a progressé de 8%. Les américains General Motors et Ford ont aussi connu un bon mois, avec des augmentations de 12,6% et 12,2%. Renault a enregistré un bond de ses immatriculations de 11,7% grâce à sa marque à bas coûts Dacia, tandis que PSA Peugeot Citroën a souffert de la mauvaise tenue de la marque aux chevrons. Ses immatriculations n’ont gagné que 3,6%. Les immatriculations du japonais Toyota ont pris 16,2% sur un an.  Sur les deux premiers mois de l’année, les immatriculations de voitures neuves dans l’UE se sont accrues de 6,6% à 1,8 million. Parmi les principales marques, Renault, Ford et Toyota ont connu des croissances de leurs ventes de plus de 10%.

 

Ventes automobiles : rechute des immatriculations en février

Ventes automobiles : rechute des immatriculations en février

 

Les immatriculations de voitures neuves ont reculé de 1,4% en février, les marques françaises tirant toutefois leur épingle du jeu avec une hausse de 3% grâce à leurs petits modèles bon marché qui séduisent en temps de crise. PSA Peugeot Citroën a vu ses immatriculations augmenter de 4,2% le mois dernier (Peugeot +7,2% et Citroën +0,6%) et le groupe Renault a enregistré une progression de 1,7% grâce à une forte hausse chez sa marque économique Dacia (+10,1%), tandis que la marque Renault recule de 0,9%. « Pour les groupes français, tous les nouveaux programmes, qu’il s’agisse de la Peugeot 308, de la Renault Captur ou de la C4 Picasso se vendent bien », observe François Roudier, porte-parole du Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA).  Les marques étrangères, souvent spécialisées dans le haut de gamme, accusent en revanche un recul de 6,3%. Les ventes de Volkswagen, également propriétaire de marques comme Audi ou Skoda, ont chuté de 7,1%, celles de GM de 7,8%, BMW de 14,7% et Mercedes de 7,6%. « Les marques ‘premium’ (haut de gamme) subissent lourdement la crise. Leur baisse traduit le manque de confiance des entreprises car, dans le premium, il y a une très forte part d’achats de véhicules de sociétés », observe François Roudier, qui confirme la prévision du CCFA d’une stabilité du marché automobile français en 2014. Sur les deux premiers mois de l’année, les immatriculations totales de voitures neuves limitent leur repli à 0,5% – grâce à la hausse de 0,5% enregistrée en janvier – à 266.754 unités (dont 141.300 le mois dernier).

Ventes Automobiles : +5.5% en Europe en janvier mais 0.5% en France

Ventes Automobiles : +5.5% en Europe en janvier mais 0.5% en France

Les immatriculations automobiles dans l’Union européenne ont augmenté de 5,5% en janvier par rapport au même mois de l’an dernier, enregistrant leur cinquième mois consécutif de hausse, a annoncé mardi l’Association des constructeurs automobile européens (ACEA). A 935.640, le nombre de véhicules immatriculés se situe toutefois au deuxième rang des plus faibles volumes enregistrés pour un mois de janvier depuis le début du suivi du marché européen en 2003, précise l’ACEA. La plupart des marchés de l’UE ont progressé en janvier mais pour les principaux d’entre eux la croissance a été très variable, allant de 0,5% seulement en France à 7,2% en Allemagne et 7,6% au Royaume-Uni comme en Espagne. La hausse a été sensible dans les pays dits périphériques de la zone euro qui confirment leur sortie de crise, avec des bonds de 15,4% des ventes de voitures en Grèce, de 31,8% au Portugal et de 32,8% en Irlande. En Italie, le quatrième marché européen, la hausse des ventes a été de 3,2% par rapport à janvier 2013. Le détail des chiffres par constructeurs montre entre autres une bonne performance de Renault, dont les ventes ont augmenté de 13,4% sur un an grâce à un bond de 38,9% des immatriculations de Dacia, sa marque d’entrée de gamme. Volkswagen Group a vu ses immatriculations augmenter de 15,2% grâce notamment à des hausses de 10,3% pour sa marque Skoda et de 8,5% pour Audi. Toyota a enregistré une hausse de 15,2% et Ford a vu ses ventes augmenter de 8,8% mais General Motors accuse en revanche une baisse de 5,3% de ses ventes sur un an, la hausse de 8,9% des immatriculations de sa marque Chevrolet n’ayant pu compenser un recul de 7,6% des ventes des marques soeurs Opel/Vauxhall.

 

Ventes cigarettes : baisse de 7,5% en 2013

Ventes cigarettes : baisse de 7,5% en 2013

Une baisse due aux augmentations successives et aussi au marché parallèle qui représenterait environ 25% des ventes. . Le journal Les Echos cite les « premières remontées statistiques annuelles », avec une baisse des ventes de cigarettes en 2013 de « 7,7%, à environ 47,5 milliards de cigarettes vendues, soit 4 milliards de moins qu’en 2012″. En 2012, 51,45 milliards de cigarettes avaient été vendues. « Sur deux ans, le marché des cigarettes recule ainsi de 6,6 milliards d’unités » et « le marché du tabac affiche de son côté un repli des volumes vendus de 6,1% en 2013, après la baisse de 3,4% observée en 2012″, poursuit le journal.  Selon Pascal Montredon, cette baisse est liée « aux augmentations successives de ces derniers mois » et au « marché parallèle qui représente entre 23% et 24% de la consommation ». Pour le président de la confédération des buralistes, la cigarette électronique « doit avoir un impact oui, mais pas aussi important que le marché parallèle ». Il martèle : « Nous demandons un moratoire sur les prix du tabac et une lutte contre le marché parallèle ». La hausse de 20 centimes du prix de toutes les marques de cigarettes en France a été repoussée au 13 janvier, au lieu du 6 comme initialement prévu. Cette augmentation fait passer le prix du paquet le plus vendu (Marlboro) à 7 euros et le paquet le moins cher à 6,50 euros. Après une augmentation de 40 centimes en octobre 2012, puis de 20 centimes en juillet dernier, il s’agit de la troisième hausse de prix en 15 mois. Les industriels souhaitaient une hausse qui permette de répercuter le relèvement de la TVA et l’augmentation de la part qui revient aux buralistes. 80% du prix du tabac est constitué de taxes, 8,74% reviennent aux buralistes, et le solde aux fabricants.

Immobilier : ventes en baisse, frais en hausse

Immobilier : ventes en baisse, frais en hausse

 

Alors que le marché est en très mauvaise situation, le gouvernement augmente les frais de notaire. Une curieuse manière d’encourager la reprise, reprise structurellement difficile car le nombre acquéreurs potentiels ne cessent de se réduire en raison d’une  part des prix trop élevés et des restrictions de crédits des banques. En moyenne  un bien immobilier représente un prix de 220 000 euros, il faut -aussi en moyenne- une revenu de 4500 euros mensuels  pour avoir la solvabilité nécessaire. Autant dire que la cible des acheteurs potentiels va demeurer restreinte tant que les prix n’auront pas baissé de manière significative. . Une nouvelle disposition pourrait encore un peu plus inciter les futurs acquéreurs à repousser leur projet. En effet, le Conseil constitutionnel a validé, le 29 décembre, le relèvement temporaire des droits de mutation, inscrit dans le budget 2014. Il s’agit des taxes perçues par le notaire à chaque changement de propriétaire pour le compte des communes et des conseils généraux. Ces droits de mutation (voir ci-contre) appartiennent à ce qui est appelé communément « les frais de notaire ». Ces frais regroupent en fait les émoluments, qui sont la rémunération du notaire (le barème est progressif, il va de 4% pour un prix entre 0 et 6.500 euros à 0,825% pour plus de 60.000 euros), les déboursés (coût des documents d’urbanisme, du bureau des hypothèques, du cadastre,…), les frais de publication (le salaire du conservateur des hypothèques), et donc les droits de mutation.   La loi de finances pour 2014 prévoit que ces droits de mutation puissent passer de 3,8% à 4,5% du prix de cession pour 2014 et 2015 si les conseils généraux en décident ainsi. La hausse doit servir à aider les départements à financer la solidarité nationale. C’est le département qui décidera s’il applique ou non le taux maximum. Mais peu de départements risquent de laisser passer cette manne. Un rapport de la Cour des comptes de février 2013 soulignait qu’en 2011 et 2012, les droits de mutation à titre onéreux représentaient 18,1% et 20,7% des recettes fiscales départementales, soit 7 et 8,51 milliards d’euros. Selon Claudy Lebreton, le président de l’Association des départements de France, la hausse devrait représenter 1,3 milliard d’euros. Ce dernier réfute d’ailleurs l’hypothèse d’un blocage du marché immobilier assurant que « des simulations ont été faites », et que la hausse du prix pour l’acquéreur ne serait que symbolique.

 

Automobiles-Etats-Unis : hausse des ventes de 8% en 2013

Automobiles-Etats-Unis : hausse des ventes de 8% en 2013

 

.Selon des chiffres de General Motors, les chiffres de ventes automobiles américaines ont atteint en décembre 15,6 millions d’unités en données annualisées, un niveau bien inférieur aux 16 millions anticipés par les 27 économistes interrogés par Reuters. Ces chiffres sont d’autant plus décevants que les ventes de décembre sont traditionnellement élevées. Selon John Felice, directeur des ventes de Ford, le niveau moins élevé qu’attendu en décembre s’explique par le fait qu’un certain nombre d’acquisitions ont été réalisées en novembre plutôt que le mois dernier en raison de la célébration de la fête de Thanksgiving qui a décalé certains achats. Des observateurs évoquent également un début d’hiver particulièrement rigoureux qui a dissuadé des consommateurs de se rendre dans les concessions automobiles. Reste que pour l’ensemble de l’exercice 2013, les ventes devraient avoir progressé de 8% à 15,6 millions d’unités, du jamais vu depuis 2007 lorsqu’elles avaient atteint 16,1 millions. En 2009, au plus fort de la crise financière, elles étaient tombées à 10,4 millions. Dans le détail, General Motors a vu ses ventes diminuer nettement, avec un recul de 6% à 230.147 unités en décembre, alors que les analystes anticipaient une très légère amélioration. Chez Ford, les ventes ont augmenté de 2% à 218.058 véhicules, un niveau là encore inférieur aux attentes. Les ventes de Toyota ont quant à elles reculé de 1,7% alors que les analystes prévoyaient une légère hausse. Chrysler, dont Fiat vient d’annoncer le rachat intégral, a vu ses ventes bondir de 6% le mois dernier à 161.007 unités, mais cette performance s’est elle aussi révélée inférieure aux attentes.

Ventes Automobiles Europe : rebond en septembre

Ventes Automobiles Europe : rebond en septembre

 

Le marché automobile européen a progressé de 5,5% en septembre, à la faveur d’un marché britannique qui reste porteur et d’un jour ouvrable supplémentaire par rapport au même mois de 2012, des données qui confortent le scénario de la fin du déclin des ventes en Europe. Selon des données publiées mercredi par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (Acea), les immatriculations de voitures neuves ont atteint 1,19 million d’unités le mois dernier contre 1,13 million il y a un an, total qui avait représenté un creux depuis 2003.Septembre ne constitue cependant que le troisième mois de hausse des immatriculations en deux ans. Sur les neuf premiers mois de l’année, les ventes de voitures dans les 27 pays de l’Union européenne plus ceux de l’Association européenne de libre-échange (Islande, Norvège et Suisse) ont baissé de 4,0% à 9.338.897 véhicules. Les dirigeants du secteur ont récemment répété qu’ils continuaient d’espérer que la fin du déclin des ventes automobiles en Europe était proche et que les derniers mois de 2013 seraient marqués par une forme de stabilisation. Ceci étant dit, l’année en cours est bien partie pour être la sixième de suite de contraction du marché automobile. L’année 2012 avait été la plus mauvaise en 17 ans. »Le pire est passé. La baisse des ventes a sensiblement ralenti et nous voyons des signes de reprise de la demande », a déclaré Peter Fuss, partenaire chez Ernst & Young Global Automotive Centre. Le marché allemand, relativement résilient en 2012, s’est contracté de 1,2% en septembre et les ventes de voitures neuves en Italie ont baissé de 2,9%.Mais la France a vu ses immatriculations augmenter de 3,4% le mois dernier et le marché espagnol a rebondi de 28,5%. Le marché britannique, le deuxième d’Europe, est resté robuste avec une progression de 12,1% de ses ventes, un dix-neuvième mois consécutif de hausse.

 

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