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Les ventes de Tesla de Musk s’écroulent

Les ventes de Tesla de Musk s’écroulent

 

En janvier 2025, les ventes de l’entreprise d’Elon Musk ont chuté de près de 50 % en Europe par rapport à l’année précédente.

 
L’action du pionnier des véhicules électriques chutait de plus de 8% ce mardi à New York, plombée par l’annonce de ventes divisées par deux en Europe. Avec seulement 7517 véhicules immatriculés en janvier 2025 contre plus de 15.000 en janvier dernier, le constructeur affiche une baisse de 45,2% de ses ventes. Le désamour est particulièrement visible en Allemagne (-59,5%), en France (-63,4%) et en Espagne (-75,4%).  En cause des prix exorbitants et des problèmes de fiabilité. Musk pourra toujours se rattraper sur les nombreuses autres activités qui dirigent puisqu’il a environ 300 contrats avec l’État fédéral !

Tesla : baisse des ventes

Tesla : baisse des ventes

Comme beaucoup d’autres marques, les automobiles Tesla d’Elon Musk enregistre une baisse des ventes. En cause le climat général par rapport à des véhicules électriques qui sont loin d’atteindre leur objectif de croissance. Aussi le prix un peu démentiel des Tesla et des défaillances techniques. 

 

Il faut aussi sans doute souligner le facteur le plus négatif à savoir un prix qui évolue entre 60 et 100 000 dollars. De quoi décourager les plus enthousiastes partisans de l’électrique. Les livraisons de véhicules Tesla ont fléchi (-1%) en 2024 par rapport à l’année précédente, selon des chiffres publiés jeudi par le constructeur, une première dans l’histoire du constructeur. Le groupe texan a ainsi manqué sa cible, lui qui prévoyait, en octobre, une «légère augmentation» des livraisons sur l’ensemble de l’exercice. Tesla a partiellement compensé ce repli par une accélération au quatrième trimestre, marqué par une progression de 2,3% sur un an. Les livraisons des trois derniers mois de 2024 sont néanmoins inférieures aux attentes des analystes.

Résultat, le titre de l’entreprise recule fortement en Bourse. A Wall Street, l’action Tesla chutait de 5,9% à 379,88 dollars dans les premiers échanges contre un gain de 0,49% pour le Standard & Poor’s 500.

Automobile Tesla : baisse des ventes

Automobile Tesla : baisse des ventes

Comme beaucoup d’autres marques, les automobiles Tesla d’Elon Musk enregistre une baisse des ventes. En cause le climat général par rapport à des véhicules électriques qui sont loin d’atteindre leur objectif de croissance. Aussi le prix un peu démentiel des Tesla et des défaillances techniques. 

 

Il faut aussi sans doute souligner le facteur le plus négatif à savoir un prix qui évolue entre 60 et 100 000 dollars. De quoi décourager les plus enthousiastes partisans de l’électrique. Les livraisons de véhicules Tesla ont fléchi (-1%) en 2024 par rapport à l’année précédente, selon des chiffres publiés jeudi par le constructeur, une première dans l’histoire du constructeur. Le groupe texan a ainsi manqué sa cible, lui qui prévoyait, en octobre, une «légère augmentation» des livraisons sur l’ensemble de l’exercice. Tesla a partiellement compensé ce repli par une accélération au quatrième trimestre, marqué par une progression de 2,3% sur un an. Les livraisons des trois derniers mois de 2024 sont néanmoins inférieures aux attentes des analystes.

Résultat, le titre de l’entreprise recule fortement en Bourse. A Wall Street, l’action Tesla chutait de 5,9% à 379,88 dollars dans les premiers échanges contre un gain de 0,49% pour le Standard & Poor’s 500.

Ventes automobiles : en recul 2024

Ventes automobiles : en recul 2024

Un recul de 3,2 % en France où les ventes se sont écroulées au second semestre.

Les ventes de véhicules électriques neufs ont elles aussi diminué (-2,2%) et leur part de marché est restée stable à 16,9%, après trois années d’explosion, tandis que la part des ventes de véhicules hybrides neufs a fortement progressé pour atteindre 42,8%, selon les chiffres publiés mercredi par la Plateforme automobile (PFA), qui représente constructeurs et équipementiers du secteur.

Le marché n’est pas revenu aux niveaux très bas de 2022, année paralysée par les pénuries de puces électroniques, mais il reste loin de ses niveaux d’avant-pandémie de Covid. Environ 2,2 millions de véhicules neufs avaient été vendus en 2019, dernière année avant la crise du coronavirus.

En 2024, 1,7 millions seulement ont été vendus, la pire année de l’histoire moderne.

 

Automobiles États-Unis : Nouveau tassement des ventes

Automobile États-Unis : Nouveau tassement des ventes

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Ford est le seul des trois grands constructeurs historiques américains à afficher une hausse sur le trimestre, mais marginale (+0,7%, à 504.039 véhicules). Les ventes ont chuté de 20% sur un an chez Stellantis (305.294 véhicules) et de 2,2% chez General Motors (659.601 véhicules) qui a cependant fait mieux que les anticipations des analystes. «Nous continuons de prendre les mesures nécessaires pour attirer des ventes et pour préparer notre réseau de concessionnaires et nos clients à l’arrivée des modèles 2025», a commenté Matt Thompson, responsable aux États-Unis des ventes de Stellantis (Jeep, Ram, Chrysler, Dodge, Fiat, Alfa Romeo).
Les trois grands de Detroit (Michigan) ont pu néanmoins se féliciter des ventes de véhicules électriques et hybrides. «Les clients continuent d’avoir une préférence pour les motorisations hybrides pendant les mois d’été», a noté Ford, qui a écoulé 23.509 véhicules électriques (+12,2% sur un an) et 48.101 véhicules hybrides (+38%). D’après sa publication mardi, General Motors a vendu 32.000 véhicules électriques sur le trimestre (+46%). Devenant ainsi le second vendeur de véhicules électriques aux Etats-Unis sur le trimestre et depuis le début de l’année (70.750, contre 67.689 pour Ford), derrière le spécialiste Tesla.

baisse en France

La baisse du marché automobile français continue pour le cinquième mois de rang. Avec 11% de baisse, septembre fait passer l’année 2024 dans le rouge

Les chiffres AAA Data publiés par la Plateforme Automobile (PFA) indique qu’il y a eu au moins de septembre 2024 exactement 139 004 immatriculations. En données brutes, cela représente donc une baisse de 11,07% par rapport à ce même mois de septembre, en 2023. Pour dire, c’est même en dessous de septembre 2022 (141 142 immatriculations) alors que les usines subissaient des pénuries de composants et des trous de production. Par rapport à 2019, dernière année pré-covid, le marché est près de 20% plus faible !

 

Position Modèle Volume sept 2024
1 RENAULT CLIO V 8549
2 PEUGEOT 208 II 7254
3 DACIA SANDERO 3 4719
4 TESLA MODEL Y 4591
5 RENAULT CAPTUR II 3803
6 CITROEN Ë-C3 3626
7 PEUGEOT 2008 II 3478
8 PEUGEOT 3008 III 3477
9 VOLKSWAGEN POLO VI 3299
10 DACIA DUSTER 3 3104
11 TOYOTA YARIS CRO 2903
12 PEUGEOT 308 III 2796
13 TOYOTA YARIS 2589
14 RENAULT ARKANA 2168
15 RENAULT AUSTRAL 2038
16 OPEL CORSA 1548
17 FORD PUMA 1493
18 DACIA JOGGER 1444
19 CITROEN C3 III 1408
20 VOLKSWAGEN T-ROC 1323
21 B.M.W. X1 1317
22 HYUNDAI TUCSONIII 1219
23 TOYOTA C-HR II 1148
24 TOYOTA AYGO X 1117
25 RENAULT ESPACE VI 1042
26 CITROEN C4 III 1029
27 FORD KUGA 1023
28 SUZUKI SWIFT 994
29 KIA SPORTAGE5 981
30 CITROEN C5 AIRCR. 961
31 VOLKSWAGEN T-CROSS 956
32 SKODA FABIA IV 952
33 NISSAN QASHQAI 3 941
34 FIAT 500 940
35 RENAULT MEGANE-E 929
36 MERCEDES GLA II 924
37 VOLKSWAGEN GOLF VIII 896
38 HYUNDAI KONA II 847
39 TOYOTA COROLLA 837
40 RENAULT TWINGOIII 775
41 B.M.W. IX1 774
42 TESLA MODEL 3 758
43 CITROEN C3 AIRCR. 753
44 SEAT IBIZA V 714
45 OPEL MOKKA 698
46 B.M.W. SERIE 1 672
47 NISSAN JUKE II 608
48 CUPRA FORMENTOR 580
49 PEUGEOT 5008 II 557
50 M.G. MG4 444
51 DACIA DUSTER 2 224

Industrie automobile : ventes en baisse chez General Motors

Industrie automobile : ventes en baisse chez General Motors

 

Le constructeur automobile américain General Motors a subi une baisse de ses ventes au troisième trimestre aux États-Unis, à l’exception des véhicules électriques, tandis que les prix sont restés stables mais un niveau très élevé de leur de 50 000 € !

 

Entre juillet et septembre, le géant de Detroit (nord) a vendu 659.601 véhicules, soit 2,2% de moins que sur la même période de l’année précédente. Mais ce recul est moins creusé que celui anticipé par les analystes.

Le groupe a vu un regain des ventes de son pick-up Sierra mais sa vedette, le Silverado, a enregistré une contre-performance. Le constructeur a en revanche constaté que ses ventes de véhicules électriques progressaient «plus rapidement que le marché», avec un bond de 46% pour atteindre 32.000 exemplaires écoulés sur le trimestre. GM et son compatriote Ford ont levé le pied sur leurs investissements dans l’électrique du fait d’une demande moins dynamique qu’escompté.

 
627.000 véhicules en stock
Le prix moyen de ses véhicules ressort à 49.349 dollars, un niveau qui correspond à celui du deuxième trimestre dans un contexte de promotions et autres aides financières stables. À fin septembre, il comptait 627.048 véhicules en stock, ce qui est bien supérieur à l’année précédente lorsque les trois grands constructeurs américains subissaient une grève inédite qui a duré six semaines. Mais cela reste inférieur au stock pré-pandémie.

Pour Garrett Nelson, analyste de CFRA Research, ces chiffres sont «plus ou moins en ligne» avec les résultats des autres groupes du secteur au troisième trimestre. Cox Automotive s’attend à un recul des ventes de véhicules de 2,1% au total, dans un climat volatile dû à la période électorale et à l’effet bénéfique de la baisse des taux d’intérêts par la banque centrale (Fed). «Nous restons optimistes sur le fait que les ventes de véhicules neufs pourraient légèrement s’améliorer au dernier trimestre 2024», a relevé Charlie Chesbrough, économiste de Cox Automotive.

De son côté, le constructeur japonais Honda a vendu 105.527 véhicules sur le seul mois de septembre ce qui lui a permis de franchir le million de ventes depuis le début de l’année (1.056.495, +8,8%), soit un mois plus tôt qu’en 2023, a-t-il annoncé dans un communiqué. Sur le troisième trimestre, les ventes ont progressé de 8% à 366.214 véhicules, avec un recul de 6,7% pour les automobiles et un bond de 15,7% pour les pick-up. La marque Acura a reculé de 10,3% tandis que la marque Honda gagnait 10,2%.

«Malgré des problèmes d’approvisionnement dus à la préparation pour la production de véhicules électriques et des difficultés d’approvisionnement à cause du catastrophique ouragan Hélène dans le sud-est, nous continuons de connaître des ventes dynamiques», a commenté Lance Woelfer, vice-président d’American Honda Motor, cité dans le communiqué.

Allemagne : Baisse des ventes de voitures électriques

Allemagne : Baisse des ventes de voitures électriques

 

En janvier 2024, une voiture neuve sur dix vendue en Allemagne était électrique contre presque une sur cinq l’année dernière. En février, nouveau recul : les ventes ont chuté de 15,3% sur un an. À ce rythme, il sera compliqué voire impossible de tenir l’objectif ambitieux que s’était fixé le gouvernement : 15 millions de voitures électriques sur les routes allemandes en 2030, soit 30% du parc automobile. À ce jour, seulement 2,8% des véhicules en circulation sont des modèles électriques.

Ce qui freine le développement de l’électrique en Allemagne, c’est surtout la fin de ces aides, un acheteur sur trois a renoncé à l’électrique et s’est tourné vers un véhicule à essence, plus abordable. Car dans un contexte où l’inflation continue à peser sur le budget des ménages, le prix des véhicules électriques reste un obstacle. En 2023, une voiture électrique coûtait en moyenne 52 700 euros – 4 000 euros de plus qu’en 2022 – contre 44 630 euros pour un moteur thermique.

 

Baisse des ventes de voitures électriques en Allemagne

Baisse des ventes de voitures électriques en Allemagne

 

En janvier 2024, une voiture neuve sur dix vendue en Allemagne était électrique contre presque une sur cinq l’année dernière. En février, nouveau recul : les ventes ont chuté de 15,3% sur un an. À ce rythme, il sera compliqué voire impossible de tenir l’objectif ambitieux que s’était fixé le gouvernement : 15 millions de voitures électriques sur les routes allemandes en 2030, soit 30% du parc automobile. À ce jour, seulement 2,8% des véhicules en circulation sont des modèles électriques.

Ce qui freine le développement de l’électrique en Allemagne, c’est surtout la fin de ces aides, un acheteur sur trois a renoncé à l’électrique et s’est tourné vers un véhicule à essence, plus abordable. Car dans un contexte où l’inflation continue à peser sur le budget des ménages, le prix des véhicules électriques reste un obstacle. En 2023, une voiture électrique coûtait en moyenne 52 700 euros – 4 000 euros de plus qu’en 2022 – contre 44 630 euros pour un moteur thermique.

 

Ventes voitures électriques : la chute à prévoir

Ventes voitures électriques : la chute à prévoir

Selon une étude du cabinet Deloitte, seulement 9 % des Français interrogés désirent s’orienter vers un véhicule électrique pour leur prochain achat.

40 % des consommateurs français pensent à acheter un véhicule diesel ou essence comme future voiture, soit la même proportion que l’année dernière.
« 2023 ne nous amène pas vers une trajectoire sécurisée pour 2030 ». C’est la principale conclusion de l’étude réalisée par le cabinet Deloitte sur les consommateurs et le marché automobile. D’après celle-ci, cette année, seulement 9 % des Français envisagent un véhicule électrique comme prochain achat, soit 2 points de plus que l’année dernière.

Pour Deloitte, on a le sentiment que l’on a atteint « un plateau ».

Et la France n’est pas la seule à faire du surplace. En Asie, hors Chine, la part du thermique dans le futur achat de véhicule augmente de quelques points, idem pour l’Allemagne. À noter que l’étude a été réalisée avant l’arrêt brutal des aides pour les voitures électriques en décembre dernier Outre-Rhin, faisant plonger leurs ventes de 47 %.

La plus grande surprise pour le cabinet provient des Etats-Unis, où 67 % des Américains se tourneront vers une voiture à essence ou diesel pour leur prochaine voiture, contre 58 % en 2022.

Voitures Électriques : baisse des ventes

Voitures Électriques : baisse des ventes en décembre

La baisse de décembre des ventes deux voitures électriques en Europe constitue un phénomène qui traduit globalement un net ralentissement de la consommation des ménages qui s’ajoutent évidemment aux interrogations concernant la motorisation et les restrictions de circulation.

Si les voitures électriques ont bondi cette année, avec une hausse de 37 % en Europe, force est de constater que cette belle envolée s’est arrêtée net en décembre. Dans les chiffres rapportés ce matin par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA), les ventes de voitures électriques neuves ont diminué pour la première fois depuis avril 2020 en pleine pandémie, chutant de 16,9 % pour atteindre 160.700 unités.

Ce recul s’explique plus largement par la chute brutale du nombre de voitures électriques en Allemagne en décembre, de plus de 47 %. Une dégringolade qui avait commencé avant décembre mais qui a fortement été amplifiée suite à l’arrêt brutal des aides accordées à l’achat de véhicules électriques à hauteur de 4.500 euros pour les véhicules de moins de 40.000 euros et de 3.000 euros pour ceux jusqu’à 65.000 euros le 13 décembre dernier.

Les voitures électriques ne sont pas les seules à baisser en décembre. Plus généralement, le marché de l’automobile se contracte de 3,3 % par rapport à décembre 2022, une première en 2023. Le lobby européen justifie cette baisse par des ventes automobiles exceptionnellement en hausse en décembre 2022. Mais les experts du secteur pointent du doigt une probable baisse des ventes en 2024.

Recul des ventes scolaires

Recul des ventes scolaires


D’après une étude de GFK,en raison de la baisse du pouvoir d’achat, les Français auraient réduit le volume des les achats de fournitures scolaires d’au moins 5 % en chiffre d’affaires mais de plus de 10 % en nombre de produits en cette rentrée de 2023.

La réduction en volume des achats découle de l’amputation du pouvoir d’achat des ménages mais aussi d’un phénomène de déconsommations qui commencent à se faire sentir.

La baisse des ventes est aussi le fait d’une «démocratisation de l’achat raisonné des consommateurs, qui ont tendance à faire l’inventaire des fournitures» achetées précédemment pour les «réutiliser», a observé lors d’une visio-conférence Samuel Gimenez, de GFK. Le bilan complet des ventes lors de cette rentrée des classes 2023 «sera disponible fin octobre», a encore précisé le panéliste.

Ventes automobiles :En recul de plus de 20 % sur 2019

Ventes automobiles :En recul de plus de 20 % sur 2019

Officiellement, on explique la baisse des ventes automobiles encore en 2023 par des difficultés logistiques liées au covid . Un facteur explicatif sans doute mais surtout des prix des voitures qui se sont un considérablement envolés du fait de la complexification inutile de véhicules. Au cours des sept premiers mois de l’année, les ventes de voitures dans l’Union européenne ont augmenté de 17,6%, comparé à la même période l’an passé, totalisant 6,3 millions d’unités. Mais, malgré les signes de reprise, les volumes restent encore inférieurs de 22% à ceux de 2019.

La plupart des marchés ont enregistré des hausses à deux chiffres au cours de cette période de sept mois, y compris les quatre plus grands : Espagne (+ 21,9%), Italie (+ 20,9%), France (+ 15,8%) et Allemagne (+ 13,6%).

Pour les ventes du seul mois de juillet, la part de marché des voitures électriques à batterie a atteint 13,6% (contre 9,8% le même mois de l’année précédente). Les voitures hybrides non rechargeables sont restées le deuxième choix des acheteurs, derrière les thermiques, avec plus d’un quart du marché. Les hybrides rechargeables semblent durablement distancées, avec une part de marché stable à 7,9% en juillet.

Les motorisations thermiques, essence et diesel, font de la résistance : elles ont représenté la moitié des ventes de voitures neuves. Le diesel continue à décliner (- 9,1% en juillet) : sa part de marché est tombée à 14,1%, contre 17,9% en juillet de l’année dernière. Et cela malgré une croissance en Allemagne (+ 2,7%) et sur les marchés d’Europe centrale et orientale, en particulier en Slovaquie (+ 36,1%) et en Roumanie (+ 19,8%).

Sur sept mois, Tesla est la marque dont la croissance est la plus spectaculaire en Europe : + 184,6 % avec 152.270 ventes contre seulement 53.500 sur sept mois en 2022. Son usine de Berlin, entrée en service en avril 2022, a porté ses fruits. Au sein du groupe Stellantis, dont les ventes progressent de 4,6% en comparant les sept premiers mois de 2023 à ceux de 2022, les marques Fiat et Citroën sont en recul de 3,2%. Le groupe Renault gagne quant à lui 23,1% par rapport à 2022. Volkswagen aussi voit ses ventes grimper de 23,4% à 1,65 million de véhicules.

Conjoncture Immobilier : la baisse des ventes continue

Conjoncture Immobilier : la baisse des ventes continue

Le marché immobilier est en partie gelée d’une part par l’affaiblissement de la demande et par la hausse des taux d’intérêt. Conséquence les prix s’inscrivent dans une tendance baissière. La baisse des transactions pourrait atteindre 10 % comme celle des prix. Mais il faudrait une baisse de près de 25 % pour vraiment relancer le marché. Du coup, les candidats à l’accession attendent cette baisse des prix tandis que les vendeurs de leur côté font de la résistance vis-à-vis de leurs prétentions initiales. Par ailleurs dans le neuf on constate la chute d’environ 20 % des permis de construire

Le problème est à la fois conjoncturel du fait d’une inflation qui s’est envolée provoquant une hausse des taux d’intérêt difficilement supportable. Et de manière plus structurelle en raison de la progression folle des prix depuis une dizaine d’années, la cible des candidats à l’accession se réduit de plus en plus. En clair, de moins en moins de ménage disposent des moyens financiers nécessaires à leur projet d’acquisition. Une situation grave qui pourrait même provoquer une crise sans précédent de l’ensemble du secteur immobilier.

Les prix immobiliers à Rennes chutent ainsi de -14 %, suivi de Metz à -13 %, de Nantes à -11 %, puis de Bordeaux à -10 %.

La désertification des acquéreurs immobiliers fragilise tout un écosystème à la fois professionnel et sociétal. Le secteur des agents immobiliers déplore une baisse de leur activité de -40 % à -50 % sur les transactions immobilières depuis le début d’année 2023. Et les entreprises du bâtiment enregistrent faillite sur faillite.

Immobilier : la baisse des ventes continue

Immobilier : la baisse des ventes continue

Le marché immobilier est en partie gelée d’une part par l’affaiblissement de la demande et par la hausse des taux d’intérêt. Conséquence les prix s’inscrivent dans une tendance baissière. La baisse des transactions pourrait atteindre 10 % comme celle des prix. Mais il faudrait une baisse de près de 25 % pour vraiment relancer le marché. Du coup, les candidats à l’accession attendent cette baisse des prix tandis que les vendeurs de leur côté font de la résistance vis-à-vis de leurs prétentions initiales.

Le problème est à la fois conjoncturel du fait d’une inflation qui s’est envolée provoquant une hausse des taux d’intérêt difficilement supportable. Et de manière plus structurelle en raison de la progression folle des prix depuis une dizaine d’années, la cible des candidats à l’accession se réduit de plus en plus. En clair, de moins en moins de ménage disposent des moyens financiers nécessaires à leur projet d’acquisition. Une situation grave qui pourrait même provoquer une crise sans précédent de l’ensemble du secteur immobilier.

Les prix immobiliers à Rennes chutent ainsi de -14 %, suivi de Metz à -13 %, de Nantes à -11 %, puis de Bordeaux à -10 %.

La désertification des acquéreurs immobiliers fragilise tout un écosystème à la fois professionnel et sociétal. Le secteur des agents immobiliers déplore une baisse de leur activité de -40 % à -50 % sur les transactions immobilières depuis le début d’année 2023. Et les entreprises du bâtiment enregistrent faillite sur faillite.

Immobilier: Un coup d’arrêt des ventes

Immobilier: Un coup d’arrêt des ventes

Le secteur immobilier subit actuellement un sérieux coup d’arrêt du fait en particulier de la difficulté des futurs acquéreurs à obtenir un prêt. Des prêts d’ailleurs nettement surenchéris avec la hausse des taux d’intérêt. Globalement le rythme des transactions devrait nettement faiblir et les prix aussi.

La cause principale du freinage est la difficulté à emprunter. La remontée rapide des taux d’intérêt a renchéri le coût du crédit.

Le taux d’usure, qui interdisait aux banques de prêter au-delà d’un certain taux, a un temps grippé le marché, avec des acquéreurs qui devaient rétracter leurs offres faute d’accès au crédit. Mais l’assouplissement de la réglementation décidé fin janvier ne va pas pour autant relancer le marché, estiment plusieurs professionnels. « C’est plus la contrainte de l’environnement économique et de la baisse du pouvoir d’achat qui réduit les volumes de crédit que le taux d’usure », estime Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim).

Par rapport à l’inflation (5,2% en 2022), les prix de l’immobilier sont d’ores et déjà en baisse, souligne-t-il. Et ça ne va pas s’arrêter là. « Oui, nous allons assister à une poursuite de la décélération des prix dans les prochains mois », dit-il. Les économistes de BPCE estiment même que les prix dans l’ancien devraient refluer d’ici à la fin de l’année, de 2 à 3%.

Du côté de l’immobilier neuf, les très mauvais chiffres s’accumulent. Jeudi, le pôle habitat de la Fédération française du bâtiment, qui regroupe aménageurs, promoteurs, constructeurs de maisons et rénovateurs, s’est alarmé d’une « crise sévère » touchant le secteur. Les constructions de maisons individuelles en lotissements ont chuté de 22,2% en 2022, celles en secteur diffus (hors lotissements) de 31%. En cause, pointe le pôle habitat, la remontée des taux d’intérêt, mais aussi la hausse des coûts de construction, aggravée par la guerre en Ukraine, et l’affaiblissement de dispositifs de soutien aux acquéreurs.

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