Archive pour le Tag 'ventes'

Immobilier: Un coup d’arrêt des ventes

Immobilier: Un coup d’arrêt des ventes

Le secteur immobilier subit actuellement un sérieux coup d’arrêt du fait en particulier de la difficulté des futurs acquéreurs à obtenir un prêt. Des prêts d’ailleurs nettement surenchéris avec la hausse des taux d’intérêt. Globalement le rythme des transactions devrait nettement faiblir et les prix aussi.

La cause principale du freinage est la difficulté à emprunter. La remontée rapide des taux d’intérêt a renchéri le coût du crédit.

Le taux d’usure, qui interdisait aux banques de prêter au-delà d’un certain taux, a un temps grippé le marché, avec des acquéreurs qui devaient rétracter leurs offres faute d’accès au crédit. Mais l’assouplissement de la réglementation décidé fin janvier ne va pas pour autant relancer le marché, estiment plusieurs professionnels. « C’est plus la contrainte de l’environnement économique et de la baisse du pouvoir d’achat qui réduit les volumes de crédit que le taux d’usure », estime Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim).

Par rapport à l’inflation (5,2% en 2022), les prix de l’immobilier sont d’ores et déjà en baisse, souligne-t-il. Et ça ne va pas s’arrêter là. « Oui, nous allons assister à une poursuite de la décélération des prix dans les prochains mois », dit-il. Les économistes de BPCE estiment même que les prix dans l’ancien devraient refluer d’ici à la fin de l’année, de 2 à 3%.

Du côté de l’immobilier neuf, les très mauvais chiffres s’accumulent. Jeudi, le pôle habitat de la Fédération française du bâtiment, qui regroupe aménageurs, promoteurs, constructeurs de maisons et rénovateurs, s’est alarmé d’une « crise sévère » touchant le secteur. Les constructions de maisons individuelles en lotissements ont chuté de 22,2% en 2022, celles en secteur diffus (hors lotissements) de 31%. En cause, pointe le pôle habitat, la remontée des taux d’intérêt, mais aussi la hausse des coûts de construction, aggravée par la guerre en Ukraine, et l’affaiblissement de dispositifs de soutien aux acquéreurs.

Signe de la baisse du pouvoir d’achat, les ventes d’Amazon baissent

Signe de la baisse du pouvoir d’achat, les ventes d’Amazon baissent

Signe de la baisse de du pouvoir d’achat au plan mondial, Amazone constate une baisse des dépenses des consommateurs.

Amazon.com a prévenu jeudi que son bénéfice d’exploitation risquait de continuer à baisser au cours du trimestre en cours, les licenciements massifs n’ayant pas suffi à compenser la baisse des dépenses des consommateurs et des clients de ses services cloud.

Si les revenus d’Amazon pendant la période des fêtes de fin d’année ont dépassé les attentes de Wall Street, la croissance des ventes des très lucratifs services de cloud computing ont ralenti au cours du quatrième trimestre.

Amazon prévoit de réaliser un bénéfice de 0 à 4 milliards de dollars de bénéfice d’exploitation au quatrième trimestre, contre 3,7 milliards de dollars sur la même période il y a un an et 4,04 milliards de dollars attendus par les analystes, selon le cabinet de recherche FactSet.

Les actions du géant du commerce en ligne ont chuté de 5 % dans les échanges après-Bourse, effaçant leur gain de 7 % avant la clôture de Wall Street jeudi.
Face à une inflation élevée et aux incertitudes économiques en 2023, le PDG d’Amazon, Andy Jassy, s’emploie à réduire les coûts et a annoncé le mois dernier plus de 18 000 licenciements dans différents services.

Automobile : grosse déprime des ventes en Europe

Automobile : grosse déprime des ventes en Europe

Nouvelle grosse déprime des ventes en Europe sur le marché automobile. En cause, la hausse des prix des voitures neuves mais surtout les inquiétudes des automobilistes vis-à-vis des mutations vers la voiture électrique encore beaucoup trop chère et insuffisamment fiable. S’ajoute à cela en Europe une réglementation kafkaïenne qui est en train de tuer son industrie.

 

En 2022, le marché européen des ventes de voitures neuves est retombé à son niveau de 1993, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles (Acea) qui compile les ventes de l’ensemble des constructeurs dans les vingt-sept pays de l’Union. Malgré une légère amélioration des ventes depuis le mois d’août, le marché a reculé de 4,6 % sur l’année, avec 9,3 millions de véhicules neufs écoulés. En 2019, c’était 15,3 millions

Les ventes de véhicules neufs restent à un niveau très bas depuis 2020 et la crise sanitaire. Après le choc des confinements, d’autres crises se sont ajoutées: le manque de semi-conducteurs, les perturbations de la chaîne logistique, les pénuries de certains composants liées à la guerre en Ukraine, l’inflation des coûts. Pis, en Europe, la demande est encore plus en berne qu’en Amérique du Nord ou en Chine.

Renault : un recul des ventes de près de 15% en 2022

Renault : un recul des ventes de près de 15% en 2022

La marque Renault voit ses ventes reculer de 14,6 % en 2022.. Elle conserve néanmoins la deuxième place sur le marché français des véhicules particuliers, derrière Peugeot. Pour 2023, le constructeur mise sur sa gamme hybride et électrique pour assurer sa croissance et prévoit quatre lancements « importants ».

 

Avec 1.466.729 véhicules vendus en 2022, la marque Renault enregistre un recul de 14,6% par rapport à 2021 (1.751.000 de ventes), a indiqué le constructeur ce mardi.

Renault voit ainsi ses ventes reculer plus vite que la moyenne du marché, mais reste sur le podium des ventes électriques européennes, derrière Tesla et Volkswagen. « On a vendu tout ce qu’on a produit », et les portefeuilles de commandes sont encore bien remplis, a indiqué le directeur exécutif de la marque, Fabrice Cambolive, lors d’une conférence de presse.

Hors d’Europe, les ventes sont stables par rapport à 2021

Russie: Baisse de 60% des ventes de voitures

 Russie: Baisse de 60% des ventes de voitures 

Conséquence de la guerre en Ukraine et de la crise économique, le marché russe dégringole. C’est ce qu’il ressort des chiffres publiés ce jeudi 12 janvier par l’Association of European Businesses (AEB), qui regroupe les industriels du secteur. Par rapport à 2021, ce sont près d’un million de voitures en moins qui ont été vendues. Sur un an, le repli est vertigineux : -59% d’une année sur l’autre.

Les chutes les plus marquées sur l’année concernent notamment les modèles allemands de Volkswagen (-80% par rapport à 2021), Audi (-79%) et Mercedes-Benz (-78%), le suédois Volvo (-81%), les japonais Lexus (-90%) et Toyota (-80%). Côtés français, Peugeot enregistre -72%, Renault -70%, Citroën -67%.

Sur le seul mois de décembre, les ventes ont chuté de 50%, selon l’AEB. Ce n’est toutefois pas le pire mois de cette année 2022 : à partir de mars, mois qui a suivi l’offensive russe en Ukraine, les ventes ont affiché des reculs au moins similaire. Avec un plus haut enregistré en mai (-83,5%).

 

L ‘explication se trouve aussi du côté de l’inflation. À 11,9% sur l’année 2022, elle réduit le pouvoir d’achat des Russes et les possibilités pour eux d’acheter des produits importés, a fortiori des voitures. Début décembre, Vladimir Poutine avait dit s’attendre à une inflation « à 12,2% » d’inflation en fin d’année, sur fond de contraction du PIB national « de 2,9% ».

Un niveau élevé mais toutefois bien loin des prévisions apocalyptiques du printemps après les premières sanctions internationales contre Moscou en représailles de son offensive en Ukraine. Les prix avaient connu un embrasement au deuxième trimestre 2022, dans les semaines suivant le début de l’intervention russe chez son voisin. Au mois d’avril, l’inflation avait même battu un record depuis 2002 en grimpant à 17,8% sur un an. La hausse des prix s’est depuis stabilisée dans le pays autour de 12% depuis novembre, selon des chiffres publiés mensuellement par l’agence de statistiques nationale, Rosstat.

Immobilier: chute des ventes sur fond de baisse des prix

Immobilier: Vers la chute des ventes

D’une manière générale, la vente des logements notamment neufs enregistre une nette tendance baissière. En cause, la réduction du pouvoir d’achat qui affecte les capacités de remboursement d’emprunt des acheteurs potentiels. Aussi une hausse assez nette des taux d’intérêt. Enfin des prix qui dans la période se sont un peu trop emballés. Du coup, le conseil des notaires est plutôt d’attendre pour acheter.

Après une période de stabilisation, les acteurs de l’immobilier prédisent une lente érosion des prix des biens. Une baisse qui ne suffira pas à rétablir la capacité d’achat des futurs acquéreurs et qui décourage les vendeurs.

En novembre, le baromètre national de Meilleurs Agents titrait ainsi « la baisse des prix s’installe dans les grandes villes », notant une stagnation de la valeur des biens dans sept des dix plus grandes villes de France. Un ralentissement qui conduit à une inexorable baisse des prix aux dires de plusieurs réseaux d’agences immobilières. Yann Jéhanno, président du réseau Laforêt, anticipe par exemple une baisse de « 1 à 2 % » en 2023. La Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) prédit, elle, une chute de 5 %.

Les réservations d’appartements neufs ont chuté de 29,3 % au troisième trimestre de cette année. Si les ventes aux particuliers décrochent, celles aux bailleurs sociaux et aux investisseurs institutionnels sont en chute libre. 2022 s’annonce pire que 2020, marquée par l’épidémie de Covid.

De juillet à septembre 2022, les mises en vente de logements collectifs neufs ont chuté de 12,4 % par rapport à la même période de 2021, à 19.006 unités, indique la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Sur les neuf premiers mois de 2022, la baisse atteint 10,2 %, à 72.670 unités.

Alors que cet été, 61 % des notaires trouvaient que l’environnement était plus propice à la revente d’un bien immobilier, contre 29 % à l’achat, la part des partisans à la vente culmine désormais à 77 %. Le signe d’une inquiétude grandissante sur le devenir du marché immobilier.

« Nous arrivons sur un repli assez net des prix, qui pourrait durer jusqu’au printemps prochain », confirme Christopher Dembik, chargé de la recherche macroéconomique chez Saxo Bank. « Cette baisse s’explique seulement par une demande de moins en moins solvable. Un ménage classique qui arrivait à emprunter à 1,2 % avant la crise sanitaire va maintenant emprunter jusqu’à près de 3 % », poursuit l’économiste. Une situation qui a fait perdre « 15 % de pouvoir d’achat » depuis la remontée des taux, complète Bernard Cadeau, ancien président d’Orpi et spécialiste du marché.

Autos Europe: Ventes Octobre en hausse sur tendance baissière annuelle

Autos Europe: Ventes Octobre en hausse sur tendance baissière annuelle

Toujours le même attentisme en dépit de la hausse Du mois d’octobre . Encore les interrogations vis-à-vis de l’électrique et l’augmentation du prix des voitures neuves. L’augmentation des ventes est encore plus marquée que les deux mois précédents (+4,4% en août puis +9,6% en octobre). Si le marché semble reprendre des couleurs il reste néanmoins, sur les dix premiers mois de l’année 2022, en retard de 8,1% par rapport à la même période en 2021.

Comme en septembre, le groupe Volkswagen, numéro un en Europe, a porté l’essentiel de ce rebond du mois d’octobre. Le groupe a vendu 190.255 voitures, soit une forte hausse de 41,7% sur un an, notamment sur ses marques Volkswagen, Audi, Skoda et Seat. Parmi ses marques, seule Porsche enregistre un recul de -16,2% ce mois-ci.
Le numéro deux Stellantis, qui avait bien résisté en octobre 2021, enregistre en revanche un léger recul de 4,3%, avec 141.500 unités vendues. Ses marques Peugeot, Fiat et Citroën sont toutes en baisse tandis qu’Opel et Jeep sont restées stables.

Enfin, le groupe Renault reste également stable avec 76.916 voitures vendues (+0.2). La forte performance de Dacia (+14,8%) contrastant avec la baisse de la marque Renault (-8,1%).
Reste que, sur les dix premiers mois de l’année, les ventes des trois groupes sont en baisse : -5,7% pour Renault, -10,4% pour Volkswagen et surtout -15,8% pour Stellantis.

Dans le détail, les ventes ont fortement repris en octobre en Espagne (+11,7%), en Italie (+14,6%), en Allemagne et surtout en Belgique (+21,6%). Mais sur les dix premiers mois de l’année, les immatriculations de voitures neuves sont en baisse. L’Allemagne et l’Espagne tirent toutefois leur épingle du jeu (respectivement -5,5% et -5,8%) comparé à la Belgique (-7,9%) et l’Italie (-13,8%).

Du côté de la France, les ventes d’automobiles ont progressé plus modestement que chez ses voisins. Le secteur a enregistré 124.981 immatriculations de voitures particulières en octobre, un chiffre en hausse de 5,45% sur un an, ce qui constitue, là aussi une augmentation pour le troisième mois consécutif. Mais tout comme les autres, il affiche une forte baisse sur les dix premiers mois de l’année (-10,3%).

Ventes Automobile en Europe : Léger rebond sur tendance nettement baissière

Ventes Automobile en Europe :Léger rebond sur tendance baissière

Un léger rebond de 9,6% au mois de septembre Surtout du aux progressions du groupe Volkswagen . Globalement cependant les immatriculations s’inscrivent dans une tendance baissière retrait même de 2021 est sans doute en retrait de 25 % par rapport à 2019.

Ce mois de septembre a été marqué par un fort rebond du numéro un européen, Volkswagen (+25,7%). Cela s’explique par des ventes en forte hausse notamment chez Skoda, Audi et Porsche. Une performance qui améliore ses chiffres sur les neuf premiers mois de l’année (-13,9% et 1,7 million de véhicules vendus).
Quant à son concurrent direct, Stellantis affiche un mois de septembre stable (+0,3%). Il est, par contre, le grand groupe le plus touché depuis début 2022 : -17,2% et 1,4 million de véhicules vendus. Il enregistre de forts reculs de ses marques Jeep, Fiat et Citroën.
Quant à Renault, le français se défend bien. Avec une légère baisse de ses ventes en septembre (-1,2%) et une plus modérée sur les neuf premiers mois de l’année (-6,4%), après de fortes chutes les années précédentes. Le groupe au losange est porté par les performances de sa marque économique Dacia.

En cause les difficultés d’approvisionnement d’équipements en prenant surtout de la Chine mais sans doute encore davantage des interrogations des automobilistes quant aux perspectives de la voiture du futur surtout compte tenu du prix de la voiture électrique

Automobile : encore un recul des ventes

Automobile : encore un recul des ventes

 

 

 

Une baisse de près de 20 % en janvier des immatriculations de voitures neuves. La tendance baissière des années précédentes continues. Phénomène nouveau alors que les ventes d’occasion compensée en quelque sorte l’insuffisance des véhicules neufs, désormais tout le marché est touché et les véhicules d’occasion baissent aussi d’environ 9 % en janvier 102.899 immatriculations au seul mois de janvier. En cause le manque global de composants électroniques mais aussi la hausse du carburant qui commence à se faire sentir sérieusement.En effet discrètement le carburant approche les deux euros le litre.

L’ inflation favorise les ventes chez les discounters

L’ inflation favorise les ventes chez les discounters

 

 

À bas bruit souvent la hausse des prix se développe dans la consommation nombre de produits sont concernés. En cause évidemment la hausse des matières premières et de l’énergie sans parler des questions logistiques. Officiellement l’inflation aurait été autour de 3 % en France mais surnombre de produits, les hausses sont autrement importantes. Conséquence les consommateurs au pouvoir d’achat content ont tendance à délaisser la grande distribution traditionnelle pour se diriger vers les discounters .

Le panel Référenseigne de l’institut Kantar en donne la preuve. Au mois de décembre dernier, les Français ont plébiscité les discounters. Dans un marché dynamique – les dépenses courantes ont augmenté de 2,8 % par rapport à l’avant-crise sanitaire -, Lidl, Aldi et Leclerc ont gagné le plus de parts de marché (PDM) : respectivement 0,6 point, 0,4 point et 0,3 point pour atteindre chacun respectivement 6,9 %, 2,7 % et 22,9 %. À l’inverse dans les grandes marques de distribution les tendances sont à la stagnation voire à la baisse.

Parmi les facteurs explicatifs aussi, une moindre fréquentation des grands centres commerciaux du fait de la pandémie

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Conséquences de l’inflation : le développement des ventes chez les discounters

Conséquences de l’inflation : le développement des ventes chez les discounters

 

 

À bas bruit souvent la hausse des prix ce développe dans la consommation nombre de produits sont concernés. En cause évidemment la hausse des matières premières et de l’énergie sans parler des questions logistiques. Officiellement l’inflation aurait été autour de 3 % en France mais surnombre de produits, les hausses sont autrement importantes. Conséquence les consommateurs au pouvoir d’achat content ont tendance à délaisser la grande distribution traditionnelle pour se diriger vers les discounters .

Le panel Référenseigne de l’institut Kantar en donne la preuve. Au mois de décembre dernier, les Français ont plébiscité les discounters. Dans un marché dynamique – les dépenses courantes ont augmenté de 2,8 % par rapport à l’avant-crise sanitaire -, Lidl, Aldi et Leclerc ont gagné le plus de parts de marché (PDM) : respectivement 0,6 point, 0,4 point et 0,3 point pour atteindre chacun respectivement 6,9 %, 2,7 % et 22,9 %. À l’inverse dans les grandes marques de distribution les tendances sont à la stagnation voire à la baisse.

Parmi les facteurs explicatifs aussi, une moindre fréquentation des grands centres commerciaux du fait de la pandémie

LA DACIA SANDERO : NUMÉRO UN DES VENTES EN EUROPE

LA DACIA SANDERO : NUMÉRO UN DES VENTES EN EUROPE

 

La Sandero voiture la moins chère (mais aussi la plus fiable) devient numéro un des ventes en Europe.

En juillet, on dénombre 20.446 ventes de Dacia Sandero, première du classement, devant les 19.425 unités de la Volkswagen Golf, d’après les données du cabinet Jato. A noter la troisième place de la Toyota Yaris, qui est donc la première voiture produite en France de ces ventes européennes. Seul représentant d’une marque française dans le top 10 de juillet toutes motorisations confondues, le Peugeot 2008 est en effet assemblé en Espagne.

En juillet, la Dacia Sandero a dominé les ventes de voitures neuves en Europe. © Jato

le Peugeot 3008, produit à Sochaux, est à la deuxième place des véhicules hybrides rechargeables les plus vendus en Europe en juillet, derrière le Ford Kuga. En 100% électrique, on retrouve la Renault Zoé, « made in Flins » également à la deuxième position, derrière l’ID.3 de Volkswagen.

Lancée l’an dernier, la dernière génération de Dacia Sandero représente un des meilleurs rapport qualité prix sur le marché du neuf actuellement, avec un tarif de départ à 8890 euros.

 

Automobile : grosse chute des ventes

En raison notamment des incertitudes qui pèsent sur l’avenir des futurs véhicules, les immatriculations de voitures particulières se sont élevées à 115.711 unités en juillet, soit 35 % de moins que sur le même mois de 2020.

Et la comparaison avec 2019 n’est guère plus favorable, avec une baisse de 32,8 %. Car 2020 a été une année très atypique : après de longs mois de fermeture des usines et des concessions au printemps en raison de la crise sanitaire, le marché a ensuite été largement soutenu par des bonus à l’achat et autres primes à la conversion.

Peugeot en tête des ventes automobiles en Europe

Peugeot en tête des ventes automobiles en Europe

Dans un marché très déprimé qui accuse une baisse de 20 %, Peugeot prend la tête des ventes.

Peugeot voit sa 208 détrôner la Toyota Yaris en tête du palmarès des ventes en Europe. La marque au Lion décroche aussi la deuxième place du top 10 avec la 2008. Renault occupe la sixième place avec la Clio. Les constructeurs français sont aussi bien positionnés sur le segment des hybrides rechargeables : la Peugeot 3008 occupe la deuxième place derrière la Volvo XC40, et le Renault Captur la troisième. Sur celui des véhicules à batterie, la Zoe de Renault est en troisième position derrière la Tesla Model 3 et la Volkswagen ID3, suivie par la Peugeot e208.

 

La part du diesel continue à décroître avec 27% des immatriculations en février. En revanche, les véhicules électrifiés (purs électriques et hybrides rechargeables) continuent à progresser avec une hausse de 67% par rapport à l’an dernier. Leur part de marché, de 6,5% en février 2020, passe ainsi à 13,6% le mois dernier. Les SUV ont représenté 44% des ventes, contre 39% l’année dernière.

Baisse des ventes de médicaments sans ordonnance en 2020

Baisse des ventes de médicaments sans ordonnance en 2020

En 2019, le chiffre d’affaires des médicaments vendus hors prescription médicale en pharmacie avait reculé de 4%. En 2020, en pleine pandémie, celui-ci a de nouveau chuté de 9,4%, indique le baromètre annuel de l’association française des fabricants du secteur (Afipa) publié ce jeudi 4 février.

En effet, en se protégeant de la Covid-19 avec le port du masque, le respect des gestes barrières, la limitation des déplacements et des contacts physiques, les Français se sont également protégés des maladies saisonnières et ont, par conséquent, eu moins recours aux médicaments sans ordonnance, précise l’Afipa.

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