Archive pour le Tag 'Venezuela'

Venezuela : l’opposant coupable d’avoir gagné les élections !

Venezuela : l’opposant coupable d’avoir gagné les élections !

 La justice vénézuélienne a décidé de l’arrestation de celui qui pourtant a gagné les élections avec au moins 60 % des voix !

 

Le parquet vénézuélien a sollicité lundi 2 septembre l’arrestation d’Edmundo Gonzalez Urrutia, le candidat de l’opposition qui revendique la victoire à la présidentielle du 28 juillet dont Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur. Dans le texte publié sur les réseaux sociaux, le parquet lance «l’ordre d’arrestation contre le citoyen Edmundo Gonzalez Urrutia» pour les crimes et délits de «désobéissance», «conspiration» et «sabotage».

Le parquet a envoyé la demande d’arrestation à un tribunal spécialisé dans le terrorisme qui a délivré un mandat d’arrêt.

Ou la justice et la démocratie à la sauce Maduro ! Justement ce que soutient Mélenchon !

Le président socialiste Nicolas Maduro, dont la victoire a été validée par la Cour suprême, a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral (CNE) qui n’a cependant pas rendu publics les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact. Selon l’opposition, qui a publié les procès-verbaux fournis par ses scrutateurs, Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu plus de 60% des voix.

Après l’annonce de la réélection de Nicolas Maduro, des manifestations spontanées ont fait 27 morts et 192 blessés, tandis que quelque 2.400 personnes ont été arrêtées, de source officielle.

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

 

L’Union  Européenne ne reconnaît pas le caractère démocratique de l’élection présidentielle de Maduro au Venezuela.

L’Union européenne ne reconnaît pas de «légitimité démocratique» au président vénézuélien Nicolas Maduro après sa réélection en juillet, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.

Maduro «continuera à être président, oui, de facto. Mais nous ne reconnaissons pas de légitimité démocratique basée sur des résultats (électoraux) qui ne peuvent pas être vérifiés», a déclaré M. Borrell, à l’issue d’une réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l’UE à Bruxelles.

Maduro continue d’ignorer les manifestations nombreuses et massives de l’opposition qui considère avoir emporté l’élection avec plus de 60 % des voix.

Notons qu’en France, Mélenchon soutient inconditionnel de Maduro n’a pas osé s’exprimer sur cette élection truquée du bolivarisme.

Politique -Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

Politique -Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

 Le Tribunal supérieur de justice (TSJ) a validé la victoire de Maduro alors que ces derniers n’a guère obtenu plus de 40 % de suffrages. Il ne fallait sans doute pas s’attendre à un autre verdict de cette instance bidon ( qu’on utilise de la même manière dans nombre d’autres pays illibéraux). Conséquence:  les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine ne reconnaissent pas la victoire de Maduro

La Cour « certifie ( sans rire ) de manière non contestable le matériel électoral et valide les résultats de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, émis par le Conseil national électoral (CNE), où le citoyen Nicolas Maduro Moros a été élu président de la République bolivarienne du Venezuela pour la période constitutionnelle 2025-2031 », a affirmé sa présidente Caryslia Rodriguez.

Pour mémoire, l’annonce de la réélection du président vénézuélien pour un troisième mandat a provoqué des manifestations spontanées, qui ont été brutalement réprimées. Elles ont jusqu’ici fait 27 morts, 192 blessés et 2.400 arrestations, selon les autorités.

Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le CNE, qui n’a cependant pas fourni les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact des votes.

Mais selon l’opposition, qui a rendu publics les procès-verbaux obtenus grâce à ses scrutateurs, son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 60% des voix.

Le Brésil pour de nouvelles élections au Venezuela

Le Brésil pour  de nouvelles élections au Venezuela

Le président brésilien Lula a suggéré ce jeudi 15 août à son homologue vénézuélien Nicolas Maduro de «convoquer» de nouvelles élections pour résoudre la crise née de la présidentielle contestée du 28 juillet.

 

Lula a également suggéré  de «laisser entrer les observateurs du monde entier pour assister aux élections». Comme on lui demandait s’il reconnaissait la réélection de son allié Nicolas Maduro, il a répondu : «Pas encore»«Il sait qu’il doit une explication à la société brésilienne et au monde», a ajouté le président brésilien de gauche.

Le Venezuela est plongé dans une nouvelle crise depuis que le Conseil national électoral (CNE) a proclamé la réélection du président socialiste Nicolas Maduro, contestée par l’opposition qui dénonce une fraude et revendique la victoire de son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia. L’annonce de la réélection de Nicolas Maduro pour un troisième mandat a provoqué des manifestations spontanées de protestation, avec un bilan officiel de 25 morts, 192 blessés et 2400 arrestations.

 

Au Venezuela, la dictature et la répression

Au Venezuela, la dictature partout

 

Un collectif de spécialistes du droit et de la violence en Amérique latine appelle, dans une tribune au « Monde », à l’arrêt des « violations massives des droits humains » commises par l’exécutif vénézuélien depuis l’élection contestée de Nicolas Maduro et à l’organisation d’un recomptage indépendant des voix du scrutin présidentiel.

 

Nous, membres de l’Association latino-américaine de droit pénal et de criminologie (Alpec), spécialistes de l’étude de la violence, de la sécurité, de la politique criminelle et des droits humains en Amérique latine, activistes, intellectuels et universitaires, exprimons tous notre profonde inquiétude devant la violence croissante des institutions étatiques au Venezuela, depuis la proclamation, à la hâte, du Conseil national électoral, de la victoire de Nicolas Maduro à l’élection présidentielle, le 28 juillet.Ce Conseil, entièrement entre les mains du pouvoir exécutif, qui n’a aucune crédibilité tant sur le plan national qu’international, a enfreint l’obligation stipulée par le code électoral de ne proclamer le résultat des élections qu’à l’issue du décompte de la totalité des bulletins de vote. L’opposition, qui possède des copies de 81 % des actes du dépouillement des urnes, avance qu’Edmundo Gonzalez Urrutia l’a emporté avec deux fois plus de votes que Maduro. Ce déni de la volonté populaire par le gouvernement a entraîné toute une série de protestations spontanées, plus de 500 dans l’ensemble du pays, qui ont été réprimées avec violence, de façon arbitraire et illégale.

L’Etat vénézuélien a mis en branle, avec une intensité jamais vue auparavant, tous les dispositifs répressifs qu’il a mis au point et utilisés ces douze dernières années, telles les opérations de libération du peuple (OLP), les forces d’actions spéciales.

Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition

Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition

Alors que l’autorité électorale a ratifié  la victoire frauduleuse de Nicolas Maduro, plusieurs pays reconnaissent la victoire de son opposant . Les Etats-Unis, le Pérou, l’Argentine et l’Uruguay dénoncent des fraudes massives du président socialiste réélu. 

Plusieurs pays ont accusé le président socialiste au pouvoir depuis 2013 de fraudes massives, et affirmé que son opposant avait remporté la victoire. « Sur la base de preuves accablantes, il est clair pour l’Uruguay qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu la majorité des voix lors des élections présidentielles au Venezuela », a par exemple écrit le ministre des Affaires étrangères uruguayen, Omar Paganini, sur le réseau social X.
Des milliers de personnes ont été interpellées lors de manifestations spontanées qui ont éclaté dans le pays dans les deux jours qui ont suivi le scrutin, faisant au moins 11 morts civils, selon les organisations de défense des droits humains.

Élection de Maduro au Venezuela : déjà 11 morts !

Élection de Maduro au Venezuela : déjà 11 morts !

Des élections des manifestations massives ont été réprimées dans le sang par ma dure au élu avec 51 % des voix selon les résultats « officiels ». Bilan déjà onze morts ce régime qui inspire en France Mélenchon !

Héritier du leader socialiste et bolivarien Hugo Chavez, Nicolas Maduro, 61 ans, au pouvoir depuis 2013, a été proclamé réélu pour un troisième mandat jusqu’en 2031, à l’issue du scrutin de dimanche remporté avec 51,2% des voix contre 44,2% à son adversaire Edmundo Gonzalez Urrutia, selon les résultats officiels.

L’opposition conteste dans la rue ses résultats et dénonce une «fraude massive». Elle affirme détenir les preuves de la victoire de son candidat et a demandé au Conseil national électoral (CNE) de publier le détail du vote, tout en exigeant un recomptage transparent des bulletins.

 

Manifs monstres au Venezuela

Manifs monstres au Venezuela

 
Des manifestations monstres au Venezuela pour protester contre la décision du conseil national électoral qui a déclaré élu le dictateur avec 51 % des voix ! Une élection qui a reçu les félicitations de la Russie et de la Chine notamment qui utilisent aussi le même mode électoral.

Selon les résultats du CNE, Maduro, 61 ans, l’héritier de l’ancien président Hugo Chavez (1999-2013), a été réélu pour un troisième mandat consécutif de six ans avec 5,15 millions de voix (51,2%). Le candidat de l’opposition, Edmundo Gonzalez Urrutia, 74 ans, qui avait remplacé au pied levé Maria Corina Machado, déclarée inéligible, en a recueilli un peu moins de 4,5 millions (44,2%). L’opposition, qui espérait mettre fin à 25 années de pouvoir chaviste, a aussitôt rejeté ce résultat. Maria Corina Machado, pour qui Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu 70% des suffrages, a dénoncé «la violation grossière de la volonté populaire». «Notre combat continue, nous ne nous reposerons pas tant que la volonté du peuple vénézuélien ne sera pas reflétée», a lancé Edmundo Gonzalez Urrutia, sans appeler à manifester pour le moment.

Si Maduro a reçu le soutien de la Russie et de la Chine ainsi que de ses autres alliés habituels – Cuba, Nicaragua, Honduras et Bolivie —, les réactions négatives ou sceptiques ont afflué de la communauté internationale.

Maduro au Venezuela: Réélu comme un dictateur avec un décompte des voix bidon

Maduro au Venezuela: Réélu comme un dictateur avec un décompte des voix bidon
Des manifestations monstres au Venezuela pour protester contre la décision du conseil national électoral qui a déclaré élu le dictateur avec 51 % des voix ! Une élection qui a reçu les félicitations de la Russie et de la Chine notamment qui utilisent aussi le même mode électoral.

Selon les résultats du CNE, Maduro, 61 ans, l’héritier de l’ancien président Hugo Chavez (1999-2013), a été réélu pour un troisième mandat consécutif de six ans avec 5,15 millions de voix (51,2%). Le candidat de l’opposition, Edmundo Gonzalez Urrutia, 74 ans, qui avait remplacé au pied levé Maria Corina Machado, déclarée inéligible, en a recueilli un peu moins de 4,5 millions (44,2%). L’opposition, qui espérait mettre fin à 25 années de pouvoir chaviste, a aussitôt rejeté ce résultat. Maria Corina Machado, pour qui Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu 70% des suffrages, a dénoncé «la violation grossière de la volonté populaire». «Notre combat continue, nous ne nous reposerons pas tant que la volonté du peuple vénézuélien ne sera pas reflétée», a lancé Edmundo Gonzalez Urrutia, sans appeler à manifester pour le moment.

Si Maduro a reçu le soutien de la Russie et de la Chine ainsi que de ses autres alliés habituels – Cuba, Nicaragua, Honduras et Bolivie —, les réactions négatives ou sceptiques ont afflué de la communauté internationale.

Venezuela: Une coupure de courant fait plus de 200 morts dans les hôpitaux

Venezuela: Une coupure de courant fait plus de 200 morts dans les hôpitaux 

Du fait d’une gestion calamiteuse de la santé, le Venezuela a enregistré plus de 200 morts faute de courant.(Le Figaro)

 

 

Des médecins des principaux hôpitaux du pays ont participé à l’enquête qui a été lancée en 2014 pour comprendre les carences du système de santé publique, en proie aux pénuries de médicaments, de fournitures, des coupures d’eau et d’électricité. Les responsables de l’enquête, regroupés au sein de l’ONG Médicos por la Salud (Médecins pour la Santé) ont commencé à recenser les décès pouvant être attribués aux coupures de courant après le blackout de 2019 qui avait duré quatre jours.

Certains «patients sont morts parce qu’ils avaient besoin d’une ventilation artificielle ou devaient subir une intervention chirurgicale d’urgence et ne pouvaient pas être transférés à l’intérieur de l’hôpital parce qu’il n’y avait pas d’ascenseur», selon le rapport. L’augmentation du nombre de décès en 2021 pourrait être liée à la pandémie de Covid-19, selon l’étude. «Comme il s’agit d’une maladie avec atteinte respiratoire, les patients les plus sévères ont eu besoin d’une ventilation artificielle constante pendant de nombreux jours. La fluctuation de l’énergie a évidemment des conséquences dans ces cas-là.»

Le Venezuela connaît des coupures d’électricité constantes depuis plus de dix ans. Le pouvoir du président Nicolas Maduro les attribue généralement à des actes de sabotage ainsi qu’aux sanctions internationales destinées à l’évincer du pouvoir. Toutefois, les experts s’accordent à dire que la crise énergétique dans les hôpitaux est le résultat d’années de mauvaise gestion et de manque d’investissement.

Economie- Venezuela : une inflation 3000 à 400 000 % en un an !

Economie- Venezuela : une inflation  3000 à 400 000 % en un an ! 

 

Preuve de l’écroulement total de l’économie, la monnaie qui n’a plus de valeur et entraîne une hyperinflation. .L’hyper-inflation a atteint 400 000% en 2018, près de 10 000% en 2019 et 3 000% en 2020. Jadis riche pays pétrolier, le Venezuela a vu son PIB chuter de 80% depuis 2013 et 65% des ménages vivent dans la pauvreté.

En 13 ans, le bolivar aura perdu 14 zéros, signe des dévaluations successives imposées au gouvernement. L’ancien président Hugo Chavez (1999-2013) avait supprimé trois zéros en 2008. Son successeur et actuel président, Nicolas Maduro, avait fait de même en août 2018 en supprimant cinq zéros.

Venezuela : une inflation de 400 000 à 3000 % en un an !

Venezuela : une inflation de 400 000 à 3000 % en un an ! 

 

Preuve de l’écroulement total de l’économie, la monnaie qui n’a plus de valeur et entraîne une hyperinflation. .L’hyper-inflation a atteint 400 000% en 2018, près de 10 000% en 2019 et 3 000% en 2020. Jadis riche pays pétrolier, le Venezuela a vu son PIB chuter de 80% depuis 2013 et 65% des ménages vivent dans la pauvreté.

En 13 ans, le bolivar aura perdu 14 zéros, signe des dévaluations successives imposées au gouvernement. L’ancien président Hugo Chavez (1999-2013) avait supprimé trois zéros en 2008. Son successeur et actuel président, Nicolas Maduro, avait fait de même en août 2018 en supprimant cinq zéros.

Venezuela: arrestation d’un leader de l’opposition

Venezuela: arrestation d’un leader de l’opposition

 

Le Venezuela n’en finit pas de s’enfoncer dans la crise économique, sanitaire et démocratique. Ainsi le pouvoir vient-il de procéder à la prestation d’un leader de l’opposition. «Freddy Guevara a été arrêté par le SEBIN (Renseignement) en raison de ses liens avec des groupes extrémistes et paramilitaires associés au gouvernement colombien», écrit sur Twitter le Procureur général de la République, Tarek William Saab. «Ce citoyen qui a déjà participé à des actions violentes par le passé, sera inculpé de terrorisme, attentat contre l’ordre constitutionnel, trahison», a-t-il précisé.

Le pays est dans une impasse politique, avec un président Nicolás Maduro, non reconnu par une cinquantaine de pays dont les États-Unis qui cherchent à l’évincer du pouvoir, et un leader de l’opposition Juan Guaidó, considéré comme président intérimaire par les États-Unis, mais qui n’a aucun pouvoir.

Venezuela en faillite : Maduro dit oui pour rencontrer l’opposition

Venezuela en faillite : Maduro dit oui pour rencontrer l’opposition

 

À la faillite économique et à la misère sociale, s’ajoute évidemment une grave crise démocratique au Venezuela,  Maduro n’étant pas reconnu par nombre de pays comme le président légitime. Les négociations entre le régime de Nicolás Maduro et l’opposition sont au point mort depuis août 2019. Juan Guaidó, reconnu comme président par intérim par une partie de la communauté internationale (58 pays dont les États-Unis), a proposé mardi au pouvoir de négocier la levée des sanctions contre notamment «un calendrier pour des élections libres et justes», réclamant «un accord de salut national».

Venezuela : salaire en hausse de presque 300 %

Venezuela : salaire en hausse de presque 300 %

On peut se demander s’il s’agit vraiment d’une hausse en dépit du chiffre phénoménal de 300 % pour l’augmentation du salaire minimum. En effet,  il faut comparer cela à l’inflation qui a augmenté de 3000 % en 2020. Le pays est en effet en pleine crise économique et chaque jour les prix augmentent. Le gouvernement ne maîtrise plus rien ni sur le plan économique, ni sur le plan sanitaire et le gouvernement en est réduit à distribuer quelques bons alimentaires pour les pauvres. Tout cela en dépit évidemment des richesses monumentales que possède le pays en matière de pétrole.

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