Archive pour le Tag 'vendus'

Supermarchés: L’impact des produits vendus sur l’environnement

Supermarchés: L’impact des produits vendus sur l’environnement

Des chercheurs de l’université d’Oxford ont analysé la composition de 57.000 produits transformés vendus au Royaume-Uni et en Irlande pour évaluer leur impact environnemental. Les résultats pourraient constituer un premier pas vers un étiquetage plus transparent dans ce domaine. ( Les Echos)

 

S’il est désormais connu qu’il est plus dommageable pour la planète de consommer de la viande que des légumes, difficile de connaître l’impact environnemental des produits industriels vendu en supermarché. Cherchant à remédier à ce manque de transparence, des chercheurs de l’université d’Oxford ont analysé l’impact environnemental de 57.000 produits vendus en supermarché au Royaume-Uni et en Irlande, dans une étude publiée par la revue scientifique PNAS.

Les chercheurs ont pris en compte quatre facteurs : les émissions de gaz à effet de serre, l’utilisation d’eau, l’utilisation de terres et l’eutrophisation aquatique (une pollution de l’eau). Ils ont ainsi constaté que les aliments transformés à base de fruits, légumes, sucre et farine, comme les soupes, salades, pains et céréales de petit-déjeuner, avaient un impact environnemental faible.

A l’inverse, les produits à base de viande , fromage ou poisson ont un impact élevé. Le thé, le café, les noix et fruits secs ont également un impact environnemental important. Le pain, mais aussi certaines céréales et certains plats préparés ou desserts ont un impact environnemental relativement faible ou moyen.

Mais l’étude montre également de fortes variations à l’intérieur de certaines catégories, comme les viandes et leurs produits alternatifs, les biscuits ou encore les lasagnes. Au sein d’une même catégorie, l’impact environnemental de certains produits peut varier du simple au double. Par exemple, plus les biscuits contiennent de chocolat, plus leur impact environnemental est élevé.

L’étude compare également le score environnemental des produits au score nutritionnel (Nutri-Score). Les produits les plus soutenables ont tendance à avoir de meilleures qualités nutritionnelles, et inversement. Mais il y a plusieurs exceptions : les boissons sucrées, gazeuses et énergétiques ont un impact environnemental très faible mais n’ont pas un grand intérêt nutritionnel.

Ces travaux vont dans le sens d’autres études sur l’impact environnemental des aliments bruts (viande rouge, volaille, légumes…). C’est toutefois la première sur des produits qui contiennent plusieurs ingrédients, et la première fois qu’une méthode « reproductible et transparente » est développée pour évaluer la soutenabilité de produits industriels, selon l’université d’Oxford.

L’attribution d’un impact environnemental à des produits transformés n’est pas une tâche aisée, car la quantité de chaque ingrédient est souvent peu détaillée sur l’étiquette. Les chercheurs ont donc développé un algorithme qui permet d’estimer la quantité d’un aliment dans un produit et de le comparer aux bases de données existantes sur son impact environnemental. L’analyse ne prend en revanche pas en compte l’origine géographique des aliments ou leur méthode de production agricole.

Selon les chercheurs, les informations récoltées pourraient permettre aux consommateurs de baisser leur empreinte carbone sans forcément changer de régime alimentaire (comme passer à un régime végétarien ). « Plus important encore, cela pourrait inciter les distributeurs et fabricants de produits alimentaires à réduire l’impact environnemental de leurs produits », explique Pete Scarborough, professeur en santé publique à Oxford, dans un communiqué.

Cette étude pourrait aussi être un outil à disposition des industriels pour réduire leurs émissions, a déclaré le scientifique auprès de la BBC. En France, le gouvernement réfléchit déjà à mettre en place une « note environnementale » en supermarché.

Influenceurs: Le retour des gourous…… vendus aux marques

  • Influenceurs: Le retour des gourous…….. vendus aux marques

Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils sont influents et sont prêts à vendre  n’importe quelle soupe du moment qu’elle rapporte. Leur audience est tellement importante que le président de la république a dû lui-même satisfaire au rituel des influenceurs en s’affichant honteusement avec eux.

  • La vérité c’est qu’ils ne sont pas porteurs de la moindre philosophie de la moindre vision sociétale ou politique. Ce sont des employés de commerce des grandes marques qui utilisent leur look et leur baratin pour s’enrichir. Et ça marche !
  • influenceurs ont rebattu les cartes de la communication. Des créateurs de contenus passionnés par un domaine sur YouTube aux personnalités populaires sur les réseaux sociaux comme Instagram, TikTok, Snapchat ou Twitch, en passant par les candidats d’émissions de téléréalité, la France compte aujourd’hui près de 150 000 influenceurs. EnjoyPhoenix (3,7 millions d’abonnés), Tibo InShape (6 millions d’abonnés) ou Nabilla (5,6 millions d’abonnés), comment expliquer un tel succès? Se demande le Figaro

Porté par la pandémie, le business mondial du marketing d’influence a dépassé 15 milliards de dollars l’an passé. Un influenceur est «une personne qui influence l’opinion, la consommation par son audience sur les réseaux sociaux», selon les dictionnaires.

Société-Vente en ligne: Le Maire réduit à solliciter les influenceurs vendus aux marques

Société-Vente en ligne: Le Maire réduit à solliciter les influenceurs vendus aux marques

 

 

 

Il est clair que les influenceurs, nouvelles mode d’intermédiation dans la vente notamment chez les jeunes, exerce un rôle non négligeable pour favoriser le commerce douteux voire frauduleux en tout cas pour vendre des produits qui les rémunèrent. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire timidement a appelé mercredi les influenceurs à «faire attention» à leurs recommandations pour que cela «corresponde à la réalité du produit» et a incité les consommateurs à signaler d’éventuelles arnaques de vente en ligne sur un site dédié.

 

Pourtant le ministre de l’économie devrait savoir que la fonction même d’influenceur  constitue une énorme arnaque commerciale voire juridique. Car ces nouveaux vendeurs façon télé réalité n’exercent leur activité que pour tirer profit des ventes qu’il favorise. C’est à leur statut qu’il conviendrait de réfléchir. En effet ces influenceurs  étant économiquement liées aux marques qui les rémunèrent devraient être considérées comme des opérateurs commerciaux classiques clairement identifiés comme représentants de marques. Ou alors s’engager à ne recevoir aucune rémunération des marques dont ils font semblant de procéder à l’évaluation.

 

Bruno Le Maire cite en particulier le «dropshipping» qui consiste à mettre en vente un produit que l’on n’a pas encore en stock mais que l’on obtient auprès d’un fournisseur. Cette pratique n’est pas illégale, note le ministre. «En revanche, ce qui est parfaitement illégal, et ce qui est un fléau que nous voulons combattre, c’est de vendre à des clients potentiels, qui souvent d’ailleurs sont des clients jeunes (…), des produits qui ne correspondent pas aux publicités», affirme-t-il. «Ça s’appelle de la publicité mensongère et de la vente mensongère», insiste Bruno Le Maire.

Vente en ligne: Le Maire réduit à solliciter les influenceurs vendus aux marques

Vente en ligne: Le Maire réduit à solliciter les influenceurs vendus aux marques

 

 

 

Il est clair que les influenceurs, nouvelles mode d’intermédiation dans la vente notamment chez les jeunes, exerce un rôle non négligeable pour favoriser le commerce douteux voire frauduleux en tout cas pour vendre des produits qui les rémunèrent. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire timidement a appelé mercredi les influenceurs à «faire attention» à leurs recommandations pour que cela «corresponde à la réalité du produit» et a incité les consommateurs à signaler d’éventuelles arnaques de vente en ligne sur un site dédié.

 

Pourtant le ministre de l’économie devrait savoir que la fonction même d’influenceur  constitue une énorme arnaque commerciale voire juridique. Car ces nouveaux vendeurs façon télé réalité n’exercent leur activité que pour tirer profit des ventes qu’il favorise. C’est à leur statut qu’il conviendrait de réfléchir. En effet ces influenceurs  étant économiquement liées aux marques qui les rémunèrent devraient être considérées comme des opérateurs commerciaux classiques clairement identifiés comme représentants de marques. Ou alors s’engager à ne recevoir aucune rémunération des marques dont ils font semblant de procéder à l’évaluation.

 

Bruno Le Maire cite en particulier le «dropshipping» qui consiste à mettre en vente un produit que l’on n’a pas encore en stock mais que l’on obtient auprès d’un fournisseur. Cette pratique n’est pas illégale, note le ministre. «En revanche, ce qui est parfaitement illégal, et ce qui est un fléau que nous voulons combattre, c’est de vendre à des clients potentiels, qui souvent d’ailleurs sont des clients jeunes (…), des produits qui ne correspondent pas aux publicités», affirme-t-il. «Ça s’appelle de la publicité mensongère et de la vente mensongère», insiste Bruno Le Maire.

Venezuela: des vaccins vendus au noir

Venezuela: des vaccins vendus au noir

 

Au Brésil, au Venezuela et dans d’autres pays d’Amérique du Sud, la pandémie devient incontrôlable. Elle alimente aussi des trafics douteux de faux médicaments mais aussi de vrais vaccins.. Plusieurs sources médicales ont évoqué le sujet auprès de l’AFP, parlant de «doses à 300 dollars» et de «vaccins à 600», mais il n’a pas été possible de vérifier ces affirmations ni l’existence d’un marché noir.

 

Au Venezuela on a enregistré plus de 175.000 cas dont plus de 20.000 en mars avec l’arrivée du variant brésilien, réputé plus contagieux, pour environ 1.800 décès depuis le début de la pandémie, selon les chiffres officiels. Ces chiffres sont jugés «totalement faux» par l’opposition qui dénonce un effondrement du «système de santé». Les hôpitaux sont débordés et les vaccins arrivent au compte-gouttes dans ce pays en plein marasme économique.

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Lagardère Studios vendus et étendus

Lagardère Studios vendus et étendus

La société d’investissement dans les médias et les contenus fondée fin 2015 par Pierre-Antoine Capton, Xavier Niel et Matthieu Pigasse compte mettre sur la table 100 millions d’euros pour racheter la filiale du groupe Lagardère, qui a décidé de céder ses actifs jugés non essentiels. ( Surtout après les menaces d’un fonds spéculatif britannique)

“Lagardère franchit une nouvelle étape décisive dans son recentrage stratégique grâce à la cession de Lagardère Studios à Mediawan”, écrit le groupe dans un communiqué, disant avoir reçu une offre de Mediawan portant sur l’intégralité du capital de Lagardère Studios.

Pierre-Antoine Capton, le fondateur de la société de médias Troisième Oeil Productions, Xavier Niel, le fondateur du groupe de télécommunications Iliad, et le financier Matthieu Pigasse entendent avec leur nouvelle holding, baptisée Mediawan Alliance, rivaliser avec Netflix et d’autres plates-formes vidéos dans la production de contenus.

Dans le cadre de ce projet, Mediawan Alliance lancera une offre publique sur tous les titres Mediawan non détenus au prix de 12 euros par action et 0,65 euro par bon de souscription, précise le groupe dans un communiqué. Cette offre, dont le dépôt est prévu début juillet, représente une prime de 42,3% par rapport au cours de clôture de Mediawan du 19 juin.

En cas de succès de l’offre publique de Mediawan Alliance sur Mediawan, le fonds KKR apporterait à Mediawan Alliance une participation minoritaire dans Leonine, l’un des premiers groupes audiovisuels allemands.

Mediawan va par ailleurs prendre une participation majoritaire dans le groupe audiovisuel espagnol Good Mood.

Grands Médias : vendus ou superficiels ?

 Grands Médias : vendus ou superficiels ?

Plusieurs grands médias commencent à réagir pour défendre leur probité face aux critiques montantes notamment des gilets jaunes. La question est de savoir comment répondre à cette double accusation : les médias sont-ils vendus ou bien trop superficiels. On serait tenté de dire les deux. D’abord on ne peut contester que les grands médias de gauche comme de droite sont désormais à peu près tous dans les mains des financiers et des industriels. Non pas tellement pour en tirer une rentabilité mais surtout pour maîtriser l’information qui façonne l’opinion publique. Il n’y a pas d’autres raisons à cette présence des financiers et des industriels qui d’ordinaire n’ont pas pour habitude d’investir dans des activités non rentables comme les médias. Précisément c’est la fragilité économique de ces médias qui les rend responsable de deux péchés capitaux : d’une part un esprit partisan d’autre part une superficialité des analyses. Depuis des années les médias classiques ne cessent de perdre de l’audience et les difficultés économiques s’accumulent. Évidemment l’ajustement se fait sur la variable journalistique. Dans le milieu à part quelque grosse tête d’affiche qui signe des éditoriaux et ou anime des émissions qui gagnent jusqu’à  20 000 €, pour la valetaille des autres journalistes et des pigistes, c’est la misère entre (Radio France exceptée mais là c’est le contribuable qui paye!). Il faut surtout observer que la plupart des lignes éditoriales ce ressemblent avec les mêmes titres, les mêmes analyses et le plus souvent la reprise intégrale des dépêches d’agence, des  organismes institutionnels notamment du gouvernement et des grands groupes de pressions. La responsabilité en incombe au propriétaire de ces médias dont  l’objectif n’est pas tellement d’éclairer l’opinion mais de rallier les lecteurs aux intérêts qu’ils défendent. Il faut aussi noter un grand amateurisme chez nombre de journalistes peut-être parce que beaucoup sont mal rémunérés mais surtout aussi parce qu’il est plus facile de se rallier à l’opinion à la mode d’un jour que d’approfondir un sujet. Heureusement Internet a bouleversé la donne. Certes le pire côtoie le meilleur mais on peut trouver en cherchant un peu nombreux d’émetteurs d’informations qui ont le souci d’enrichir et de vérifier l’info brute. Un seul exemple la question de l’écroulement de la croissance donc on tente maintenant d’attribuer la responsabilité aux gilets jaunes. C’est évidemment oublié que le phénomène a débuté dès les six premiers mois de 2018 avec respectivement plus 0,2 % d’augmentation du PIB. Le troisième trimestre s’est redressé à plus 0,4 % mais le quatrième retrouve la pente de baisse de la  croissance  à seulement 0,2 %. Certes le mouvement des gilets jaunes à générer des perturbations dans le commerce et la logistique mais pas au point de justifier l’atonie  de l’activité. Les grands médias sont occultés un phénomène central à savoir une conjoncture qui risque de conduire à la récession en 2019 en 2020.

Chantiers navals STX : officiellement vendus, une bonne affaire ?

Chantiers navals  STX : officiellement vendus, une bonne affaire ?

 

Officiellement donc l’Italien Fincantieri a pris le contrôle financier des chantiers navals STX. Pour sauver la face, la France à obtenu un partage du capital à 50-50 ans mais en prêtant 1 % à l’Italien.50-50. Histoire de montrer que la France peut peser si elle souhaite. Est-ce une bonne affaire ?  STX St Nazaire est une superbe entreprise qui possède un très haut niveau de technicité, des clients et aussi une bonne rentabilité. Reste à savoir si le rachat de St Nazaire ne vise pas seulement qu’à récupérer la clientèle et à délocaliser le moment venu la production et le savoir-faire. D’une certaine manière il s’agit d’un enjeu stratégique pour l’industrie française et les pouvoirs publics ont évidemment une responsabilité particulière d’autant qu’ils sont  présents au capital. STX France, qui compte 2.600 salariés et fait travailler environ 5.000 sous-traitants, est en pleine forme. L’entreprise dispose d’un carnet de commandes très bien rempli, avec 14 paquebots de croisière à construire d’ici 2026.   Selon cet accord, les chantiers STX de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) sont détenus à 50/50 par la France et Fincantieri, mais l‘Etat français laisse le contrôle effectif au groupe italien, tout en garantissant la protection des intérêts français, en lui prêtant 1% du capital de STX. Dans un communiqué, le ministre français de l‘Economie et des Finances, Bruno Le Maire, s‘est félicité de cet accord, qu‘il qualifie d’“étape majeure dans la constitution d‘un géant naval européen”. Il avait été précédé de la signature d‘un autre accord sur l‘acquisition formelle par l‘Etat français, via l‘Agence des participations de l‘Etat (APE), des deux tiers du capital de STX France auprès de son actionnaire majoritaire sud-coréen, la France ayant fait jouer son droit de préemption sur ces titres. Bercy rappelle que, aux termes de l‘accord franco-italien, le capital de STX France est appelé à se présenter comme suit : 50% pour Fincantieri (+1% prêté par l‘APE), 34,34% pour l‘APE (dont 1% prêté à Fincantieri), 10% à 15,66% pour Naval Group, jusqu’à 2,4% pour les salariés et jusqu’à 3,26% pour un groupement d‘entreprises locales.

Affaire Balkany : biens saisis et vendus

Affaire Balkany : biens saisis  et vendus

 

 

Les taux se resserre autour des Balkany suite aux différentes inculpations qui les concernent. En fait,  il s’agit d’une sorte de course de vitesse entre la justice et les échéances politiques. Les Balkany comptent évidemment sur le retour de Sarkozy en 2017  pour échapper une nouvelle fois aux poursuites. La justice vient cependant de frapper un grand coup en confisquant la résidence des Balkany en France et en réalisant la vente de leurs propriétés de Saint-Martin aux Antilles. Les juges d’instruction en charge de l’enquête pour fraude fiscale visant Patrick et Isabelle Balkany ont ordonné la saisie du moulin de Giverny, où réside le couple, et mis en vente leur villa de Saint-Martin (Antilles). Le moulin de Cossy, une propriété de quatre hectares avec piscine, court de tennis et green de golf, évaluée à plusieurs millions d’euros et située à Giverny (Eure), « a été saisi », a indiqué à l’AFP une source proche du dossier, confirmant une information de Charlie Hebdo. Depuis qu’ils en ont fait donation à leurs enfants, dans les années 90, Patrick et Isabelle Balkany ne sont plus propriétaires de cette résidence, mais en gardent l’usufruit.  »Cette saisie est éminemment contestable », a réagi Me Grégoire Lafarge, avocat du couple. « Le juge d’instruction n’a pas qualité à révoquer une donation », a-t-il relevé. Le député-maire (LR) de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) et son épouse ont fait appel devant la chambre de l’instruction. Par ailleurs, la villa Pamplemousse, sur l’île de Saint-Martin aux Antilles, saisie par la justice il y a quelques mois, « vient d’être vendue », a indiqué la source proche du dossier, sans préciser le montant de la transaction. Cette résidence est estimée à « environ trois millions d’euros », d’après cette source. Les époux Balkany, poursuivis pour « blanchiment de fraude fiscale », « corruption » et « blanchiment de corruption », ont longtemps nié en être les propriétaires. Placée en garde à vue en mai 2014, Isabelle Balkany avait fait volte-face, reconnaissant posséder cette demeure. Elle avait ajouté que son mari n’était pas concerné et que le bien avait été financé par le fruit d’un héritage.  Les juges Renaud Van Ruymbeke et Patricia Simon, en charge du dossier, ont élargi leur enquête aux déclarations de patrimoine du couple, le suspectant notamment d’avoir sous-évalué ses biens. La justice vise notamment le moulin de Cossy et des villas à Marrakech et Saint-Martin.

Les Mistral russes vendus aux Chinois….ou à l’Etat Islamique ?

Les Mistral russes vendus aux Chinois….ou à l’Etat Islamique ?

Pas facile pour la France d’être à la fois un champion mondial de l’armement et en même temps de défendre la paix  et les droits de l’homme. Du coup avec cette contradiction , la France reste avec deux navires Mistral sur les bras  : ceux destinés aux russes. On pourrait bien les vendre mais à qui ?  une nation pacifiste et « démocratique » comme le Chine par exemple . A Cuba peut-être maintenant que les relations sosnt normalisées  après la visite de Hollande à Castro . Peut être même à l’Etat islamique si les riches pays arabes veulent bien continuer de financer le terrorisme. On a bien vendu des Rafle  à l’Egypte et au Qatar, alors ! On parle aussi du Portugal, de la Grèce  et de l’Argentine mais qui n’auraient pas les moyens financiers. Pourquoi pas à Monaco, là il y a les ressources (mais pas forcément les besoins) .  En tout cas cela fait des mois que les Mistral que la France a vendus à la Russie patientent dans le port de Saint-Nazaire, en attendant une hypothétique résolution du conflit russo-ukrainien. Finalement, il se pourrait bien que ces navires de guerre à la pointe de la technologie ne soient jamais livrés au Kremlin, mais plutôt à Pékin.  Les Echos, qui cite le journal pro-chinois de Taiwan, « Want China Times », avance ainsi que Paris pourrait proposer à Pékin d’acheter les deux bateaux. Ce n’est qu’une « rumeur née de l’arrivée samedi à Shanghai de deux navires de guerre », souligne le quotidien. Il se trouve que ces bateaux vont rester sept jours à quai, ce qui pourrait être l’occasion pour Paris de trouver un débouché pour ses deux Mistral, avance l’agence de presse Duowei News.  La livraison de cet arsenal aux Russes semble de plus en plus illusoire à mesure que le temps passe. Le président russe, Vladimir Poutine, a d’ailleurs évoqué, à l’occasion de sa conférence de presse annuelle, un remboursement des fonds déjà versés par le Kremlin pour ces navires. Dès lors, « l’option d’une vente de ces vaisseaux à un autre pays devient plausible » estime Les Echos.  Dans ce contexte, la Chine serait un client sérieux. Les médias locaux cité par le quotidien économique soulignent en effet que, le gouvernement chinois ayant dans l’idée de concevoir et de construire ses propres « bâtiments de projection et de commandement (BPC), il pourrait accélérer ses études en copiant le Vladivostock et le Sebastopol, les deux Mistral initialement destinés à Moscou.

Drones : 100.000 vendus l’an passé en France, pour quoi faire ?

Drones : 100.000 vendus l’an passé en France, pour quoi faire ?

 

 

Il ya les jouets dont on peut se servir dans sa cour. Il y a aussi ceux qu’on peut utiliser pour survoler des lieux publics. Et là c’est de l’inconscience totale. Dans un environnement de  terrorisme généralisé, on sait bien qu’un tordu un jour ou l’autre va balancer un engin explosif à partir d’un drone. On interdit certes le survol de certains lieux à certaines conditions mais pour autant le phénomène drone se développe par provocation ou pure idiotie ; On attend quoi pour interdire la commercialisation des drones dangereux ? Il faut une commission enquête parlementaire, une conférence internationale, une information judicaire, une réunion extraordinaire de l’assemblée nationale ?  D’après l’institut GFK, qui tient le registre de la commercialisation de produits de consommation, 100.000 drones de loisirs ont été achetés en France, en 2014.  Les drones font désormais partie de notre quotidien. On ne parle pas uniquement des survols de lieux interdits, qui se multiplient, mais plus précisément de leurs ventes.  Selon des chiffres obtenus par l’institut GFK, qui tient le registre de la commercialisation de produits de consommation (électroniques, particulier), Noël 2014 aura été la période la plus faste pour les ventes de ces objets volants. Elle indique, en effet, que 100.000 drones de loisirs ont été achetés en France, en 2014. Ce chiffre recouvre les ventes de ces appareils facturés entre 50 et 100 euros. Par ailleurs, ceux qui ont survolé les lieux interdits pèsent près d’un kilo et coûte plutôt près de 500 euros.

 

L’A320 d’Airbus : 10 000 exemplaires vendus

L’A320 d’Airbus  : 10 000 exemplaires vendus

L’A 320 d’Airbus , un véritable succès commercial,  IAG, a annoncé jeudi 15 août, acheter 62 A320 pour sa filiale à bas coûts espagnole Vueling. La plus grande partie des appareils commandés sont des versions Néo de l’A320. Dans son contrat, la maison-mère de British Airways et d’Iberia pose une option sur 158 appareils supplémentaires. Le montant de la commande n’a pas été communiqué mais IAG a assuré avoir obtenu une « réduction très substantielle». Le plus petit avion de la gamme, Airbus confirme son succès commercial. 25 ans après sa mise en service, le succès de l’A320 reste intact. L’appareil enregistre pratiquement 10.000 commandes. Et comme près de la moitié n’ont pas encore été livré, les chaines d’assemblages de la famille 320 affichent complet jusqu’en 2020.  Cet appareil qui a permis à Airbus de rattraper Boeing. Pour continuer à surfer sur ce succès, l’européen a donné une nouvelle vie à son modèle phare. Airbus a lancé, fin 2010, la version Néo de l’A320, un modèle qui promet des économies de carburants de l’ordre de 15 %. Un argument commercial de taille pour séduire les compagnies aériennes. Boeing a été obligé de développer lui aussi une version plus économe de son 737. Mais cela n’empêche pas Airbus d’engranger un grand nombre de commandes pour cet avion annoncé à 70 millions d’euros l’exemplaire au tarif catalogue.

100 Airbus A320 vendus à AirAsia

100 Airbus A320 vendus à AirAsia

La compagnie malaisienne à bas coûts AirAsia a passé commande de 100 moyen-courriers Airbus A320 au prix catalogue de 9,3 milliards de dollars, dont 64 A320 Neo, le futur modèle à consommation réduite, a annoncé jeudi l’avionneur européen.  La transaction a déjà été comptabilisée dans le carnet de commande au mois de novembre, a précisé un porte-parole d’Airbus. Elle fait d’AirAsia, première compagnie low-cost en Asie, la principale compagnie cliente de la famille A320 dans le monde, souligne Airbus dans un communiqué.  Les constructeurs aéronautiques font systématiquement d’importants rabais sur les prix catalogue, qui peuvent aller jusqu’à 50%, selon les analystes du secteur.  Le contrat a été signé dans l’usine d’Airbus à Broughton, en Grande-Bretagne, en présence du Premier ministre britannique David Cameron.  Tony Fernandes, le directeur exécutif d’AirAsia, a expliqué que ces nouveaux appareils permettraient à son groupe de poursuivre sa stratégie d’expansion et « maintenir son leadership sur le marché ».   »Nous avons trois mines d’or en Malaisie, en Thaïlande et en Indonésie. Mais les Philippines et le Japon ont un énorme potentiel de croissance », déclare-t-il dans le communiqué.  Tony Fernandes a sauvé AirAsia de la faillite en 2001 et l’a transformée en un acteur clef du transport aérien en Asie.  AirAsia est équipée exclusivement de moyen-courriers A320. Elle en a commandé au total 475, dont plus d’une centaine sont déjà en opération, précise Airbus.

 




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