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Stratégie économique: L’aéroport de Vatry vendu aux Chinois ?

Stratégie économique: L’aéroport de Vatry vendu aux Chinois ?

 Incroyable mais vrai, Christian Bruyen, le président du Conseil départemental de la Marne a annoncé que la collectivité comptait vendre l’aéroport de Vatry aux Chinois. Après avoir développé des infrastructures aériennes inutiles maintenant on envisage de le solder au chinois. Notons évidemment qu’il est interdit aux capitaux étrangers d’investir dans de telles infrastructures en Chine. Ou la démonstration de l’incompétence de ces structures politiques intermédiaires que constituent  notamment les départements. 

« La Chine veut investir pour maîtriser toute la chaîne logistique, un aéroport les intéresse donc », a-t-il exposé. Reste à voir si Vatry échappera à la polémique qui avait eu lieu à Toulouse quand l’aéroport était passé aux mains d’investisseurs chinois de 2015 à 2019.

L’aéroport de Vatry n’a rien à voir avec son homologue du sud-ouest de l’Hexagone, mais une infrastructure aéroportuaire reste toujours un actif stratégique pour les territoires.

Mis en service en 2000 avec l’ambition de transporter quelque 125.000 tonnes de fret par an, l’aéroport de Vatry, implanté à 30 kilomètres de Châlons-en-Champagne, n’a jamais atteint cet objectif et connaît depuis des difficultés financières, malgré le développement du transport de passagers.

Si le potentiel du parc Euro Disney est réel pour une « clientèle import » à Vatry, ce dernier sera toujours en concurrence avec l’aéroport parisien d’Orly (mais aussi de Roissy) plus proche du parc d’attractions que Vatry (à 136 kilomètres d’Euro Disney), sur lequel est implanté un grand nombre de low-cost. De même, à l’export, il est difficile d’attirer à Vatry la clientèle parisienne (150 kilomètres les séparent) qui dispose déjà d’une offre low-cost consistante à Orly, Roissy mais aussi à Beauvais.

 

L’aéroport de Vatry vendu aux Chinois ?

L’aéroport de Vatry vendu aux Chinois ?

 Incroyable mais vrai, Christian Bruyen, le président du Conseil départemental de la Marne a annoncé que la collectivité comptait vendre l’aéroport de Vatry aux Chinois. Après avoir développé des infrastructures aériennes inutiles maintenant on envisage de le solder au chinois. Notons évidemment qu’il est interdit aux capitaux étrangers d’investir dans de telles infrastructures en Chine. Ou la démonstration de l’incompétence de ces structures politiques intermédiaires que constituent  notamment les départements. 

« La Chine veut investir pour maîtriser toute la chaîne logistique, un aéroport les intéresse donc », a-t-il exposé. Reste à voir si Vatry échappera à la polémique qui avait eu lieu à Toulouse quand l’aéroport était passé aux mains d’investisseurs chinois de 2015 à 2019.

L’aéroport de Vatry n’a rien à voir avec son homologue du sud-ouest de l’Hexagone, mais une infrastructure aéroportuaire reste toujours un actif stratégique pour les territoires.

Mis en service en 2000 avec l’ambition de transporter quelque 125.000 tonnes de fret par an, l’aéroport de Vatry, implanté à 30 kilomètres de Châlons-en-Champagne, n’a jamais atteint cet objectif et connaît depuis des difficultés financières, malgré le développement du transport de passagers.

Si le potentiel du parc Euro Disney est réel pour une « clientèle import » à Vatry, ce dernier sera toujours en concurrence avec l’aéroport parisien d’Orly (mais aussi de Roissy) plus proche du parc d’attractions que Vatry (à 136 kilomètres d’Euro Disney), sur lequel est implanté un grand nombre de low-cost. De même, à l’export, il est difficile d’attirer à Vatry la clientèle parisienne (150 kilomètres les séparent) qui dispose déjà d’une offre low-cost consistante à Orly, Roissy mais aussi à Beauvais.

 

Orpea: l’ancien DG visé pour avoir vendu 600 000 € d’actions juste avant le scandale

Orpea: l’ancien DG visé pour avoir vendu 600 000 € d’actions juste avant le scandale

 

 

La découverte de la vente de près de 600 000 € d’actions par l’ancien DG d’Orpéa sonne comme un aveu des scandales dénoncés par le livre « les fossoyeurs »

Une enquête préliminaire pour délit d’initié vise désormais Yves Le Masne, l’ex-directeur général d’Orpea, débarqué le 30 janvier par le conseil d’administration. Le parquet national financier souhaite étudier les circonstances dans lesquelles le dirigeant a revendu des actions Orpea, le 29 juillet dernier, pour 588.000 euros. L’opération, révélée le 2 février par Le Canard enchaîné , a eu lieu trois semaines après que la direction d’Orpea a été officiellement informée de la publication de l’enquête de Victor Castanet. Son livre, Les Fossoyeurs , accuse l’entreprise de maltraitance, pointe des pratiques financières douteuses et désigne Yves Le Masne comme l’un des trois instigateurs d’un « système Orpea ». Le 21 juin, Orpea a reçu une liste de 56 questions du journaliste ; le 6 juillet, l’entreprise a refusé d’y répondre.

Affaire Fillon : qui a vendu la mèche ?

Affaire Fillon : qui a vendu la mèche ?

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La question risque d’être pendante durant un long moment car dans ce genre d’affaires ceux qui agissent vraiment et pourraient être même inculpés pour action illégale sont souvent des seconds couteaux voir des troisièmes. Il faut se souvenir qu’au moment de l’élection présidentielle Fillon n’était sans doute pas le seul loin s’en faut à rémunérer quelqu’un de sa famille comme collaborateur parlementaire. D’une façon générale pendant des années, cette pratique a même été assez courante.

Une manière d’arrondir les fins de mois. Ce qui est surprenant dans cette affaire c’est la brutalité avec laquelle est intervenue cette nouvelle qui a largement contribué à discréditer l’intéressé et même à lui faire perdre toute chance d’élection.

 

Certains parlent de concurrence et de rivalité au sein même du parquet , la thèse est possible mais on ne livre pas ce genre d’information sans s’être au préalable assuré de l’appui  suscpectible  de vous défendre en cas d’attaque de l’adversaire. Il est clair que Macron a été l’un des principaux bénéficiaires de cette opération de déstabilisation de Fillon qui a pris peut-être un peu trop ses aises avec les privilèges » ordinaires » du pouvoir . ( Hollande était déjà hors jeu).

 

L’attaque peut aussi venir de intérieur même du camp des Républicains. De proches de Sarkosy qui n’appréciaent pas  Fillon les mêmes peut qui ont auussi torpillé la candidature de Juppé. À deux pas de son ­épilogue, l’affaire ­Fillon vient ­peut-être de ­redémarrer. L’ancien ­Premier ­ministre, favori ­déchu de la ­dernière élection présidentielle, attendait sans ­optimisme le jugement du tribunal correctionnel (prévu le 29 juin) sur les emplois ­controversés de son épouse. Et voici que les déclarations surprenantes d’une haute magistrate jettent un doute rétrospectif sur la ­conduite de l’enquête et lui offrent l’occasion d’apparaître non plus en ­suspect mais en ­victime.

La femme par qui le scandale arrive est ­Éliane ­Houlette. À la tête du ­parquet ­national financier (PNF) jusqu’à l’an ­dernier, elle vient de déplorer devant une commission parlementaire les « pressions » exercées par sa hiérarchie en 2017 pour accélérer les poursuites contre ­François ­Fillon. Dès lors, c’est la ­question de l’impartialité de la ­justice qui est posée. Et, par ricochet, celle de la sincérité d’une élection qui a causé la défaite de l’intéressé et abouti à la victoire ­d’Emmanuel ­Macron.

Le chef de l’État ne s’y est ­d’ailleurs pas trompé. ­Conscient qu’une ombre portée sur le scrutin de 2017 pourrait lui porter tort, il a saisi vendredi soir le ­Conseil ­supérieur de la magistrature (CSM), organe indépendant chargé de ­garantir l’indépendance de la justice, pour lui demander « d’analyser si le PNF a pu exercer son activité en toute sérénité, sans pression » dans le dossier ­Fillon. Le CSM devrait vite ­convoquer ­Éliane ­Houlette et les autres ­magistrats susceptibles ­d’éclairer cet épisode, au ­parquet général de ­Paris et à la ­chancellerie, voire l’ancien ministre (PS) de la ­Justice ­Jean-Jacques ­Urvoas et des membres de son cabinet. Mais nul ne sait quelles ­conséquences pourront être tirées de l’avis qui sera rendu, surtout s’il est négatif.

L’avocat de ­Fillon, ­Antonin ­Lévy, n’en attend rien de providentiel : « La séparation des pouvoirs est à géométrie variable, ­ironisait-il samedi. La ­justice ne veut pas que les ­députés s’autocontrôlent sur l’utilisation de leurs frais de mandat, mais elle veut bien que les magistrats s’autocontrôlent sur la ­conduite des procédures. » À ­l’Élysée, on ­confie néanmoins qu’une ­inspection administrative pourrait prendre le relais si les pouvoirs d’enquête du CSM s’avéraient insuffisants.

Quel mystère faut-il percer? Celui des circonstances qui ont conduit le PNF à changer le cadre juridique de l’enquête sur ­Fillon et son épouse, le 24 février 2017. Ce ­jour-là, ­Éliane ­Houlette interrompait subitement l’enquête préliminaire ouverte un mois plus tôt sur la base d’un article du ­Canard ­enchaîné et ouvrait une information judiciaire. Loin d’une simple étape procédurale, cette ­décision transférait la responsabilité de l’enquête de la police à un juge d’instruction ; et surtout, elle ­ouvrait la possibilité d’une mise en ­examen, alors que le candidat avait ­proclamé que seule une telle poursuite l’obligerait à se retirer.

Or dans sa déposition récente devant les députés, ­Éliane ­Houlette affirme que sa supérieure directe, ­Catherine ­Champrenault, a voulu lui imposer ce revirement. « J’ai été ­convoquée au ­parquet général, j’y suis allée avec trois de mes collègues d’ailleurs, […] pour m’engager à changer de voie procédurale, ­c’est-à-dire d’ouvrir une information », ­raconte-t-elle, indiquant même que la procureure générale lui a adressé « une dépêche en ce sens ». L’entrevue entre les deux femmes remonte au 15 février 2017. ­Houlette dit avoir refusé d’obtempérer. Pourtant, une semaine après, elle ouvrait bel et bien une information judiciaire ­contre les époux ­Fillon, notamment pour « détournement de fonds publics ».

Officiellement, le motif de sa ­volte-face tenait à un risque ­imprévu : l’adoption d’un nouveau régime de prescription interdisant de ­facto de poursuivre des délits financiers au-delà de douze ans après les faits, qui pouvait donc bloquer le dossier ­Fillon. S’agissait-il d’un prétexte ­destiné à habiller une décision prise sous la ­contrainte? Même si ­Houlette a « regretté » vendredi le ­tohu-bohu né de ses propos publics, selon elle « déformés ou mal compris », rien n’interdit de le penser puisque sa supérieure, elle, ne nie pas avoir « préconisé » une information judiciaire. D’où une énigme ­supplémentaire dans cette charade à tiroirs : pourquoi la dirigeante du PNF ­n’a-t-elle pas versé cette instruction écrite au dossier, comme la loi le prévoit?

L’imbroglio ne s’arrête pas là. Car une fois l’information ouverte, il fallait la ­confier à un juge et ce choix relevait non du PNF mais du président du tribunal de ­Paris. Alors à ce poste, ­Jean-Michel ­Hayat, magistrat chevronné notoirement classé à gauche, allait ­désigner ­Serge ­Tournaire en sachant pertinemment quelle en serait la ­conséquence : le juge d’instruction, déjà chargé de la ­quasi-totalité des enquêtes visant ­Nicolas Sarkozy et des personnalités de droite, passerait vite à l’action, campagne présidentielle ou non.

Problème : Hayat a révélé par la suite avoir été alerté par ­Houlette dès le 22 février ; mais ­Tournaire n’était de permanence qu’à partir du 24. Tout porte donc à croire que la procureure et le président se sont entendus pour faire coïncider l’ouverture du dossier avec l’agenda du juge d’instruction – ­ralentir le processus pour accélérer la procédure… La suite se déroula comme prévu : trois jours après avoir hérité de l’affaire, ­Tournaire ­convoquait ­Fillon et le 14 mars, le candidat était mis en examen, à quarante jours du premier tour. Déjà ­flétrie, sa campagne tournait au ­calvaire.

Bien sûr, rien ne permet de ­conclure que ces influences secrètes ont été décisives avant sa mise en examen, ­l’ex-Premier ­ministre avait déjà chuté dans les sondages, les éléments de l’enquête le compromettaient et sa défense semblait calamiteuse – ­n’avait-il pas ­lui-même réclamé que la ­justice aille vite? Sans parler de l’affaire des costumes révélée par le JDD en mars. Il n’empêche, les ­confidences de ­l’ex-dirigeante du PNF, désormais retraitée, font ressurgir les soupçons d’instrumentalisation de la justice.

D’autant que la magistrate évoque aussi d’insistantes « ­demandes de précisions » sur l’enquête, venues elles aussi du ­parquet général. « C’est un contrôle très étroit, une pression très lourde », ­a-t-elle dit aux ­députés. En réponse, la procureure générale n’a ­contesté que le terme de « ­pression ». Et pour cause : sa ­position hiérarchique l’autorisait à solliciter de tels renseignements. À qui les destinait-elle? D’évidence, à la chancellerie, et à travers elle au pouvoir. Toujours démentie mais toujours pratiquée, la remontée ­d’informations sensibles fait ­partie de l’ordinaire des procureurs, a ­fortiori en période électorale, où les plus avisés veillent à prendre le bon tournant au bon moment.

Début 2017, ­François ­Hollande s’était déjà désisté ; le jeu était ouvert mais les usages restaient. Dans le livre qu’ils lui ont consacré, Un président ne devrait pas dire ça (Stock, 2016), les journalistes ­Gérard ­Davet et ­Fabrice ­Lhomme décrivent le prédécesseur de ­Macron comme « le président de la Ve ­République le moins au fait des procédures dites sensibles » tout en apportant plusieurs preuves du ­contraire : ­Hollande retraçant la chronologie d’une enquête visant ­Sarkozy, ­confiant avoir été prévenu d’une perquisition par ­Christiane ­Taubira, révélant avoir renoncé à nommer une ministre pour avoir « su qu’il y avait une enquête préliminaire ». « Il vaut mieux ne pas savoir, quitte à prendre des coups », assurait-il aux auteurs. Dans ­l’affaire ­Fillon, certains ont su. Et le coup (de grâce) a été donné.

Facebook a vendu des millions de données à Amazon

Facebook a vendu des millions de données à Amazon

Des millions données d’utilisateurs de Facebook ont été par mégarde affichés à la vue de tous sur des serveurs d’informatique dématérialisée (« cloud ») d’Amazon, rapporte mercredi la société de cybersécurité UpGuard. S’il est possible que cet affichage relève d’une erreur par contre il a bien fallu que ces données soient fournies par Facebook. Ce qui confirme évidemment que Facebook est moins un réseau social qu’une immense arnaque de recueil de données revendues avec profit aux plates-formes de vente.  Selon CNBC, le premier réseau social a confirmé que ces données avaient été stockées sur des serveurs Amazon, ajoutant que Facebook travaillait avec le géant du commerce électronique pour faire en sorte que ces données ne soient plus visibles. Le mois dernier, Facebook a dit avoir résolu une erreur qui avait permis à ses employés d’être en mesure de lire les mots de passe stockés par des millions d’utilisateurs. KrebsOnSecurity, un blog consacré à la cybersécurité, avait précisé que ces mots de passe étaient disponibles pour quelque 20.000 salariés de Facebook et ce parfois depuis 2012.

L’hôtel de la Marine : vendu au Qatar !

L’hôtel de la Marine : vendu au Qatar !

 

Ce n’est pas encore certain affirme la ministre des armées mais le fait simplement d’évoquer cette possibilité témoigne que le gouvernement est décidément prêt à brader le patrimoine qu’il s’agisse de sociétés publiques comme l’aéroport de Paris, la Française des jeux ou de bâtiments historiques. Cela rappelle en outre l’époque Sarkozy quand ce dernier a ouvert largement les investissements du Qatar dans l’immobilier de prestige de Paris. Certes on comprend il soit utile de rentabiliser des monuments nationaux mais de là à les offrir au Qatar ! Il y a en effet suffisamment en France de ressources artistiques qui pourraient trouver leur place dans l’ancien hôtel de la Marine dont on ne sait pas d’ailleurs il serait loué ou vendu au Qatar. On sait seulement que l’émirat voudrait présenter la collection d’arts de l’émir.  “Si cette rumeur était confirmée, ce que je ne sais pas, ce ne serait pas la première fois que des investissements étrangers en France, notamment qataris, s’exercent dans le domaine immobilier, en particulier l’immobilier de prestige parisien”, a affirmé la ministre des armées avec une fausse naïveté.  “Pour l’instant ce n’est pas une décision, c’est une possibilité”, a-t-elle ajouté.

ADP vendu aux fonds étrangers ?

ADP vendu aux fonds étrangers ?

 

 

 

Le gouvernement va vendre les bijoux de famille pour boucher les trous du budget. Évidemment on vend les actifs les plus rentables. C’est le cas des aéroports de Paris qui pourrait rapporter une dizaine de milliards et qui pourrait être vendu à des fonds étrangers et ou à Vinci. Il n’existe guère d’investissement aussi rentables (rien qu’Air France paie plus d’un milliard de redevances par an) ;  puisqu’ils sont systématiquement amortis par les taxes aéroportuaires. En fait le même mécanisme que pour les autoroutes, elles aussi très rentables. Le problème c’est que le pays perd la maîtrise d’infrastructure très stratégique et que la France pourrait vendre à des fonds étrangers notamment américains alors qu’inversement la prise de participation financière dans les équipements américains de ce type est interdite. À ce compte, un jour la France vendra peut-être les routes non concédées, les canaux, les rivières, les ports et même toute la voirie publique. Au moins trois consortiums ont été constitués en vue de présenter une offre pour le rachat de la participation de l’Etat dans ADP, anciennement Aéroports de Paris, qui figure parmi les premières opérations de privatisation prévues au cours de l’année 2019, apprend-on de trois sources proches du dossier. A noter que le groupe italien, Atlantia pourraiat renoncé.   Si Rome impose des mesures punitives à sa filiale Autostrade, opérateur du viaduc, et sa direction pourrait être trop occupée par les implications de la catastrophe pour s’intéresser à autre chose. Quant à Vinci, Reuters a rapporté en juin que le groupe français, qui détient 8% du capital d’ADP, a proposé à des fonds de pension y compris étranger de s’associer à une opération de reprise.

Maillot deux étoiles de l’équipe de France : un cout de 5 euros et vendu entre 80 et 150 euros !

Maillot deux étoiles de l’équipe de France : un cout de  5 euros et vendu entre 80 et 150 euros !

Pour ce maillot à deux étoiles, le prix de vente est de 85 euros pour le maillot de base, 109 euros pour la version avec le flocage d’un nom de joueur, et 140 euros pour le maillot avec la technologie VaporKnit, celui porté par les Bleus lors des matches. Le maillot est fabriqué en Asie notamment en Thaïlande pour un cout autour de 5 euros. Même s’il faut ajouter les frais de transports de commercialisation, ça laisse encore uen joli bénfices pour ce qui nets qu’un teeshirt sportif.

Le rosé espagnol vendu pour du vin français

Le rosé espagnol vendu pour du vin français

La consommation du rosé constitue un véritable phénomène de mode, les ventes s’emballent. Premier pays producteur et consommateur de vin rosé dans le monde, la France a vu sa consommation de rosé tripler en 20 ans -devançant même de loin celle de blanc.la progression des ventes est accompagnée d’uen grande tricherie car nombre de rosé supposé être produit en France viennent de l’étranger ; On constate en fait sur le rosé ce qu’on a vu sur le mousseux avec des copies, de fausses appellations et tout simplement des fraudes sur l’identité du produit. C’est le type d’escroquerie que la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a repéré après deux ans d’enquête réalisée en 2016 et 2017, révèle ce dimanche Le Parisien . « Nous avons constaté des fraudes chez quatre négociants-producteurs », explique Alexandre Chevallier, le directeur de cabinet adjoint de la DGCCRF. « Ces cas de francisation concernent plus de 70 000 hectolitres de vin. » L’équivalent de 10 millions de bouteilles de rosé.

Dans les magasins, les enquêteurs ont découvert des problèmes d’étiquetage pouvant induire en erreur le consommateur. L’origine du produit était parfois peu visible ou alors la présence de logo français ou de mention « produced in France » prêtait à confusion. Dans un supermarché d’Île-de-France, 16.700 bouteilles d’un vin espagnol à l’étiquetage ambigu ont été retirées des rayons, écrit Le Parisien.

Plusieurs enquêtes pour tromperie, pratique commerciale trompeuse, tromperie en bande organisée ou usurpation de signes de qualité sont ouvertes.

 

Le PS vendu par appartement

Le PS vendu par appartement

D’une certaine façon, le PS est actuellement vendu par appartement. Il ya eu bien sûr  la vente de l’emblématique siège de Solferino mais aussi la vente de ses occupants. Un certain nombre se sont ralliés à Macron et tentent d’accommoder leurs positions socialisantes avec le libéralisme assumé du chef de l’Etat. Pour l’instant cependant, les membres influents du gouvernemene

t sont plutôt lus proches de l’ancienne UMP. Les plus radicaux ont rejoint Mélenchon notamment des anciens frondeurs. Certains moins anti européens se sont regroupés autour de Benoit Hamon qui se veut socialiste, européen et écolo. Dernier transfert,  La présidente du Mouvement des jeunes socialistes et 25 des 30 membres de son bureau national quittent le Parti socialiste et ont rejoint  Génération.s, le mouvement de Benoît Hamon.: la présidente du Mouvement des jeunes socialistes, Roxane Lundy, passe avec armes et bagages dans le giron de Génération.s, le mouvement de Benoît Hamon. Comme le révèle Le Monde, 25 des 30 membres du bureau national, ainsi que de nombreux militants, ont fait de même.

« Je fais le choix avec des milliers de jeunes socialistes de partir, car je considère que le Parti socialiste n’est pas l’outil qui permettra de transformer la société », explique-t-elle  au quotidien du soir.

« Nous ne parlons plus la même langue », ajoute-t-elle. Elle imite ainsi l’ancien président des MJS Benjamin Lucas, en partance pour Génération.s fin février. En rupture avec la ligne « sociale démocrate » incarnée par Olivier Faure et Stéphane Le Foll après le quinquennat de François Hollande, l’organisation de jeunesse socialiste opte donc pour une ligne nettement plus marquée à gauche.  « Cinquante ans après Mai 68, le PS est devenu un Ephad », constate Roxane Lundy. Ou la dure évolution d’un club d’élus et d’oligarques qui ont tout simplement vieillis.

L’Aéroport de Toulouse vendu aux Chinois ?

L’Aéroport de Toulouse vendu aux Chinois ?

Visiblement les Chinois continuent  de faire leurs courses en France y compris en matière d’investissements stratégiques. Dernier exemple en date l’aéroport de Toulouse déjà détenu à 49,99 % par les Chinois et qui pourrait racheter les 10 % de parts de l’État avec le consentement de ce dernier. Il faut rappeler que les investissements étrangers concernant les infrastructures en Chine sont interdits ! Mais la France reste très ouverte au commerce et aux investissements chinois. Les échanges de biens sont particulièrement déséquilibrés entre la France et la Chine. La Chine qui exporte chaque année environ 46 milliards et la France une quinzaine. Un résultat qui tient compte des écarts de compétitivité mais aussi du soutien artificiel de l’État chinois à des entreprises en surcapacités de production. (Ce qui a justifié notamment l’augmentation considérable des droits de douane de la part des États-Unis sur l’acier et l’aluminium). Les importations concernent  avant tout des produits électroniques. D’abord, tout ce qui touche les téléphones portables. Nous en achetons pour plus de 5.5 milliards, suivi de très près de l’informatique. Beaucoup plus loin derrière on trouve les vêtements avec quand même de gros volumes. Côté français, la meilleure vente française c’est notre aéronautique, des avions Airbus l’an dernier. C’est le tiers de nos exportations vers la Chine. Viennent ensuite les céréales et les médicaments. Des exportations qui restent très en dessous de nos importations. Notre déficit commercial continue de se creuser »,   La Chine ne se contente pas de ce déséquilibre commercial à son profit, elle prend aussi des bardes plus importantes dans les investissements français, des investissements dans les entreprises mais aussi des investissements dans les terres agricoles. Certes La Chine ne pèse que 2% de l’investissement total étranger en France mais chaque année, des fleurons de l’économie nationale passent sous le contrôle partiel ou total des investisseurs du pays communiste. Ainsi par exemple  Dongfeng est devenu le premier actionnaire du groupe PSA à la faveur de la crise traversée par le groupe en 2014. De même, la compagnie aérienne China Eastern Airlines vient d’acquérir 10% d’Air France-KLM. En juin dernier, le fonds Fortune Fountain Capital (FFC) s’est emparé de Baccarat, une entreprise lorraine âgée de 250 ans. Dans la mode, les marques Sandro, Maje ou Sonia Rykiel sont également passées sous pavillon chinois. Le groupe Jinjiang, leader de l’hôtellerie sur son marché, a franchi le seuil des 15% du capital d’Accor. En 2014, Il a déjà racheté la Louvre Hotels Group, qui possède des établissements de luxe et des chaînes grand public, comme Campanile ou Golden Tulip. Il vient également d’annoncer la prise de contrôle majoritaire du réseau français Hôtels & Préférence qui fédère 140 établissements de luxe dans le monde. Le Club Med. Fosun est devenu l’actionnaire unique du champion des clubs de vacances. Les infrastructures sont aussi dans le viseur. De futures têtes de pont pour les entreprises et les marchandises en provenance d’Asie. Sur le modèle du Pirée, en Grèce, 14 hectares d’entrepôts du port du Havre sont passés sous contrôle chinois. Comme les 600 hectares de l’ancienne base américaine de Châteauroux, qui entourent un aéroport dédié notamment aux formations des pilotes d’Air France et à l’entretien des avions de ligne comme l’A380. Mais l’acte le plus fort reste le choix surprise, en 2016, d’un financier de Hongkong pour prendre le contrôle de l’aéroport de Blagnac au moment de sa privatisation. Et pour conforter cette prise de contrôle l’état s’apprêterait à vendre les 10 % de parts qu’il détient de sorte que les Chinois détiendraient la majorité du capital de l’aéroport de Toulouse.  L’aéroport de Toulouse pourrait connaître un nouveau tournant au printemps 2018. (Crédits : Rémi Benoit)Dans six mois, l’État pourra vendre ses 10,01 % de parts restantes dans l’aéroport de Toulouse, avec la possibilité que l’actionnaire chinois devienne majoritaire dans la plateforme. Le pacte d’actionnaires conclu au moment de la cession entre l’État et Casil Europe pourrait compromettre le front commun mis en oeuvre par les actionnaires locaux. « On a le sentiment que l’État prépare le terrain pour mettre en oeuvre l’option de vente de ses parts restantes de l’aéroport », estime Pascal Boureau. Le représentant du Conseil départemental de Haute-Garonne au sein du conseil de surveillance de la société Aéroport Toulouse-Blagnac (ATB) s’interroge après les propos tenus la semaine dernière par Bruno Le Maire. Le ministre de l’Économie a été interpellé à l’Assemblée nationale par le député (Modem) de la 2e circonscription de Haute-Garonne Jean-Luc Lagleize sur le devenir de la plateforme aéroportuaire. Pour rappel, en avril 2015, l’État a cédé 49,99% des parts d’ATB à l’actionnaire chinois Casil Europe. À compter du 18 avril 2018, l’État aura six mois (renouvelable une fois) pour décider s’il met en oeuvre l’option de vente à Casil Europe de ses 10,01% de parts restantes. Avec 60% des parts, l’investisseur chinois deviendrait alors majoritaire au sein du capital de l’aéroport.  À l’Assemblée nationale, le ministre de l’Économie est loin d’exclure ce désengagement total de l’État : «Ce qui compte au final n’est pas de savoir si l’aéroport est public ou privé, mais qu’il puisse avoir de l’activité et des investissements afin de rester moderne et innovant, a répondu Bruno Le Maire à Jean-Luc Lagleize. L’État conserve d’autres moyens d’interventions : les normes, les règles et la distribution des créneaux pour les compagnies aériennes». Pour Christophe Lèguevaques, l’avocat du collectif contre la privatisation d’ATB, « les propos de Bruno Le Maire ne sont là que pour amuser la galerie. La messe est dite depuis le 4 décembre 2014 via la signature du pacte d’actionnaires entre l’État et Casil Europe qui contraint l’État à voter à chaque fois dans le sens des propositions de l’actionnaire chinois.

 

Martin Bouygues : «Pourquoi je n’ai pas vendu à Orange»

Martin Bouygues : «Pourquoi je n’ai pas vendu à Orange»

 

 

Dans le Figaro le patron du groupe Bouygues explique pourquoi il n’a pas vendu sa filiale télécom à Orange.

 

 

 

 

 

«Certains ont cru que je bluffais et que je négociais dos au mur. C’était stupide et même puéril de le penser». Comme à son habitude, Martin Bouygues ne mâche pas ses mots. Dans un entretien au Figaro, le PDG du groupe Bouygues s’explique sur les raisons de l’échec des négociations qui avaient été entamées trois mois plus tôt avec Orange, et qui auraient abouti à un partage des actifs de Bouygues Telecom entre Orange, SFR, et Free.

 

«Ma première préoccupation, essentielle, était le maintien des emplois et du statut des salariés de Bouygues Telecom. La deuxième, c’était que je crois dans l’avenir du secteur des télécoms et que je souhaitais que le groupe Bouygues demeure un acteur dans ce secteur, et donc qu’il trouve sa place d’actionnaire chez Orange. Ensuite, je demandais que le montant de l’opération soit proche de l’offre que nous avait faite Patrick Drahi il y a un an. Enfin, Bouygues ne devait pas assumer seul le risque d’exécution. Toutes ces conditions, je les ai exposées, très clairement, dès le départ. Il n’y avait aucun malentendu possible», explique Martin Bouygues. «Si nous étions quatre à la table des négociations, nous n’étions que trois à vouloir aboutir. Manifestement, l’un des protagonistes nourrissait l’ambition d’avoir le maximum en payant le minimum, tout en gardant la possibilité de se retirer». Martin Bouygues refuse d’en dire plus. Cependant, l’histoire de la négociation (dans Le Figaro du 2 avril) atteste du fait que Free, détenu par Xavier Niel, aurait cherché à obtenir un maximum de garanties en cas de réalisation de l’opération.

Les exigences «très étranges» de Bercy

Pour Martin Bouygues, en tout cas, l’absence d’accord entre les quatre opérateurs a pesé plus lourd dans la balance que les exigences de l’État. «Si nous étions parvenus à un accord entre les quatre opérateurs, ce sujet-là aurait fini, je l’imagine, par trouver sa solution», dit-il, tout en convenant avoir «trouvé très étranges» les exigences de Bercy.

Pour l’avenir, le PDG du groupe Bouygues s’affiche serein. «La consolidation du marché français avait du sens. Mais puisqu’elle n’a pas lieu, nous allons continuer d’évoluer dans un marché à quatre opérateurs. (…) S’agissant de Bouygues Telecom, je ne suis pas inquiet. L’entreprise est parfaitement viable dans un marché à quatre. Elle est la première à avoir fait des efforts de rationalisation, considérables. Sa structure de coûts est une des plus basses du marché, et elle a l’un des meilleurs réseaux mobiles. Le premier trimestre témoignera de notre croissance à la fois dans le fixe et dans le mobile. Nous avons, avec les cash-flows et la puissance du groupe Bouygues, les moyens nécessaires pour investir et continuer de développer Bouygues Telecom.»

 

Télécom-télé : TF 1 vendu à Orange ?

Télécom-télé : TF 1 vendu à Orange ?

D’après le Canard enchaîné la vente de TF1 à Orange ne serait plus exclue dans le cadre des restructurations du secteur des télécoms ce qui permettrait aussi à Bouygues de monter au capital d’Orange. Ce serait d’abord l’occasion de restructurer le secteur des télécoms considéré comme trop concurrencé avec 4 opérateurs. La coopération entre Orange et TF1 rendrait possible un renforcement de l’audience de TF1 en perte de vitesse depuis des mois et même des années.  Accessoirement cela rendrait possible une plus grande influence de l’Etat sur la chaîne télévisée  (l’État est actionnaire à hauteur de 23 % chez Orange). Dans l’immédiat, Orange souhaiterait  obtenir 10% du capital de TF1, ce qui reviendrait à permettre à son principal actionnaire, à savoir l’Etat, d’avoir un pied dans la chaîne privée, selon des révélations du Canard enchaîné de mercredi. En contrepartie, Bouygues, qui détient TF1, pourrait s’allier à Orange. Toujours selon l’hebdomadaire satirique, François Hollande serait à la manœuvre.  A 17 mois de l’élection présidentielle, François Hollande effectue une vaste refonte du PAF. Après la série nominations à France Télévisions (Delphine Ernotte en a pris la direction, Michel Field va piloter l’information), le chef d’Etat serait en train de s’accorder avec… Martin Bouygues, propriétaire réputé « sarkozyste » du groupe éponyme et donc de TF1. En effet, Le Canard enchaîné révèle mercredi qu’Orange, l’opérateur dont l’Etat français détient 23%, étudie la possibilité de prendre une participation de 10% de la chaîne privée. Ce qui permettrait à l’Etat de s’inviter à la table des actionnaires de la Une. Toujours selon l’hebdomadaire satirique, François Hollande est à la manœuvre pour permettre à LCI, la chaîne d’informations en continu affiliée à TF1, d’être présente sur la TNT gratuitement. Pourtant, en juillet 2014, Martin Bouygues n’avait pas obtenu gain de cause : le Conseil supérieur audiovisuel (CSA) avait refusé d’accorder un créneau TNT à LCI, plaçant la chaîne dans une situation financière délicate. Le 17 novembre dernier, le CSA est officiellement revenu sur sa décision. Le Canard enchaîné évoque même une vente de TF1 à Orange. En contrepartie, le groupe Bouygues pourrait bientôt sceller un accord pour monter au capital d’Orange – à hauteur de 10 à 12%. Cela fait un an que des spéculations circulent autour de Bouygues Télécom, poussé à la fusion avec l’un de ses trois concurrents, Orange, SFR-Numericable ou Free. Pourquoi de telles manœuvres? Pour Le Canard enchaîné, la raison est avant tout politique : « avoir la main » sur TF1 et LCI avant 2017… pour mieux « contrer BFMTV, que François Hollande juge ‘hostile’ à son action politique ».

TF 1 vendu à Orange ?

TF 1 vendu à Orange ?

D’après le canard enchaîné la vente de TF1 à Orange ne serait plus exclure dans le cadre des restructurations du secteur des télécoms ce qui permettrait aussi à Bouygues de monter au capital d’Orange. Accessoirement cela rendrait possible une plus grande influence de l’État (actionnaire à hauteur de 23 % chez Orang) une plus grande influence sur la chaîne télévisée. Dans l’immédiat Orange souhaiterait  obtenir 10% du capital de TF1, ce qui reviendrait à permettre à son principal actionnaire, à savoir l’Etat, d’avoir un pied dans la chaîne privée, selon des révélations du Canard enchaîné de mercredi. En contrepartie, Bouygues, qui détient TF1, pourrait s’allier à Orange. Toujours selon l’hebdomadaire satirique, François Hollande serait à la manœuvre.  A 17 mois de l’élection présidentielle, François Hollande effectue une vaste refonte du PAF. Après la série nominations à France Télévisions (Delphine Ernotte en a pris la direction, Michel Field va piloter l’information), le chef d’Etat serait en train de s’accorder avec… Martin Bouygues, propriétaire réputé « sarkozyste » du groupe éponyme et donc de TF1. En effet, Le Canard enchaîné révèle mercredi qu’Orange, l’opérateur dont l’Etat français détient 23%, étudie la possibilité de prendre une participation de 10% de la chaîne privée. Ce qui permettrait à l’Etat de s’inviter à la table des actionnaires de la Une. Toujours selon l’hebdomadaire satirique, François Hollande est à la manœuvre pour permettre à LCI, la chaîne d’informations en continu affiliée à TF1, d’être présente sur la TNT gratuitement. Pourtant, en juillet 2014, Martin Bouygues n’avait pas obtenu gain de cause : le Conseil supérieur audiovisuel (CSA) avait refusé d’accorder un créneau TNT à LCI, plaçant la chaîne dans une situation financière délicate. Le 17 novembre dernier, le CSA est officiellement revenu sur sa décision. Le Canard enchaîné évoque même une vente de TF1 à Orange. En contrepartie, le groupe Bouygues pourrait bientôt sceller un accord pour monter au capital d’Orange – à hauteur de 10 à 12%. Cela fait un an que des spéculations circulent autour de Bouygues Télécom, poussé à la fusion avec l’un de ses trois concurrents, Orange, SFR-Numericable ou Free. Pourquoi de telles manœuvres? Pour Le Canard enchaîné, la raison est avant tout politique : « avoir la main » sur TF1 et LCI avant 2017… pour mieux « contrer BFMTV, que François Hollande juge ‘hostile’ à son action politique ».

 

Goncourt : Christine Boutin a déjà vendu 38 exemplaires de son livre en 5 ans !

Goncourt : Christine Boutin a déjà vendu  38 exemplaires de son livre en 5 ans !

 

Il y a quelques livres politiques à la mode mais plus nombreux sont les flops comme celui de Christine Boutin pas vraiment candidate au Goncourt ; sur les 38 on ne sait pas combien d’exemplaires ont été achetés par sa famille, sa concierge ou le bedeau de sa paroisse. Certaines estimations font état d’une trentaine. Il y aurait donc 8 vrais lecteurs, ce qui paraît quand même eu énorme eu égard à la popularité de Christine Boutin dont le arti a renoncé à se réunir dans une cabine téléphonique faute de participants. A noter qu’à gauche les flops sont aussi retentissants comme ceux de Bartolone et Sapin, deux experts  linguiste (en langue de bois). En fait ce n’est pas parce qu’on a rien à dire que pour autant il faut renoncer à écrire un livre. D’autant que les nègres s’en chargent. D’une certaine manière même plus la matière est pauvre et plus cela justifie l’édition d’un ouvrage. L’’ENA (et autres sciences-po) constitue « à cet égard » un excellent atelier d’écriture pour ne rien dire ou plus exactement pour dire tout et son contraire ou l’inverse. Les candidats écrivains sont nombreux dans la classe politique, normal avec 677 députés et 343 sénateurs (sans compter les ex et les futurs), la France dispose d’un immense réservoir de talents littéraires. Ces gens là s’ennuient ,c’est évident. De temps à autre ils écrivent bien une loi, histoire de justifier leur appointements et autres avantages mais pas de quoi combler la frustration de l’ écrivain. En fait juste de quoi complexifier  un peu plus le citoyen et/ou le contribuable. Pauvre Christine !  À sa sortie en 2010, Qu’est-ce que le parti chrétien-démocrate est passé inaperçu, littéralement. Près de cinq ans plus tard, le magazine GQ révèle que l’ouvrage de Christine Boutin ne s’est écoulé qu’à 38 exemplaires. Un désastre sans précédent pour un livre politique.  L e magazine liste les autres loupés de la littérature politiques, mais aucun ne se rapproche du triste record de Christine Boutin. Claude Bartolone a par exemple vendu « seulement » 268 copies de son dernier ouvrage, en deux semaines, quand Michel Sapin atteignait, lui, péniblement les 346 ventes en trois semaines.  Pour les curieux qui voudraient se procurer l’ouvrage de Christine Boutin, il est toujours disponible sur Internet, parfois à moins de deux euros. Infime pour un livre qui pourrait bien devenir objet de collection.

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