Archive pour le Tag 'vendre ?'

L’Europe a sacrifié l’agriculture pour vendre des avions, des voitures des armes et des services

L’Europe a sacrifié l’agriculture pour vendre des avions, des voitures, des armes et des services

Inutile de tourner autour du pot, c’est sciemment que l’agriculture a été sacrifiée et pas pour des motifs écologiques mais des motifs de stratégie économique. L’objectif de l’Europe est depuis longtemps d’accepter les produits agricoles beaucoup moins chers des pays tiers du fait des moindres contraintes sociales, sanitaires et environnementales. En échange, l’Europe et la France vendent des avions, des armes, des voitures, des centrales nucléaires et surtout des services.

L’économie agricole est totalement mondialisée précisément pour permettre l’échange de produits à faible valeur ajoutée comme l’agriculture contre des produits beaucoup plus élaborés.

L’équation est impossible à résoudre. Aucun pays ne peut rétablir une souveraineté totale sur l’agriculture. Il faudrait pour cela sacrifier nos exportations sur les produits industriels et les services très profitables. C’est la spécialisation économique qui l’impose autant que la libéralisation économique mondiale.

C’est à peu de la même manière qu’on s’est débarrassés de la petite industrie peu spécialisée. On ne garde que le haut du panier- et encore avec des délocalisations- pour privilégier nos exportations de haute valeur ajoutée. Une politique en outre voulu par le pouvoir au service des intérêts financiers qui dirigent l’économie. Mais une politique qu’on ne peut bousculer sans remettre en cause les équilibres globaux de notre modèle économique. La crise dépasse le seul champ agricole et affecte de bien d’autres aspects économiques, sociaux, sanitaires, financiers et environnementaux. Des aspects à prendre en compte sauf à tomber dans le simplisme et la démagogie. C’est une chose de reconnaître la situation de l’agriculture, c’est autre chose que de définir une politique cohérente et efficace.

KYLIAN MBAPPÉ À VENDRE pour 200 millions

KYLIAN MBAPPÉ À VENDRE pour 200 millions

A Kylian Mbappé est maintenant à vendre ; m^êe s’il ne lui reste qu’un an de contrat au PSG, la somme pourrait atteindre de l’ordre 200 millions en l’2at un peu fou du marché. Le joueur sera sur le marché à partir du 31 juillet (date avant laquelle Mbappé peut encore lever son option jusqu’en 2025). Et le PSG pourrait s’engager avec des prétendants. Des clubs anglais et saoudiens commenceraient à regarder d’ores et déjà la situation. Le nom de Kylian Mbappé reste malgré tout associé au Real Madrid mais le club madrilène n’a pas (encore) avancé ses pions cet été.

Le stade de France à vendre….. aux russes ou aux chinois ?


Le stade de France à vendre….. aux russes ou aux chinois ?

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Les candidats pour le Stade de France vont pouvoir se manifester. En début de semaine prochaine, l’Etat, comme l’indique ce vendredi l’entourage de la ministre des Sports, va lancer des appels à candidature pour vendre ou trouver un nouvel exploitant .

Depuis 1995, c’est un consortium Vinci/Bouygues, constructeurs du stade, qui exploite l’enceinte. La concession prend fin en juillet 2025.

Ainsi le Stade de France, comme certaines infrastructures et équipements français pourraient passer dans des mains étrangères.
Dans les mains par exemple de riches propriétaires arabes, russes ou chinois qui déjà possèdent des clubs et des infrastructures de football dans le monde entier. Les plus grands clubs britanniques par exemple appartiennent à des étrangers.

C’est évidemment une honte pour la France de se débarrasser ainsi de la gestion de son plus grand stade et de son patrimoine. Pourquoi pas aussi vendre par exemple la cathédrale de Paris, la tour Eiffel et les hôpitaux.

Des ventes qui ont déjà eu lieu dans des secteurs aussi stratégiques que l’industrie, les services voire l’agriculture notamment via les délocalisations.

On ne peut qu’être étonné que la France ne parvienne pas à trouver un mode de gestion financièrement équilibrée pour une telle infrastructure.

L’automne dernier, le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi (du Qatar) en bisbilles avec la ville de Paris sur le Parc des Princes, avait montré son intérêt pour racheter l’enceinte.

Les Fédérations françaises de football et de rugby (FFF et FFR), qui y jouent un certain nombre de matches, ont été informées du lancement du processus.

D’ici qu’on envisage de faire jouer les matchs des équipes de France à Pékin ou à Moscou, il n’y a qu’un pas !

Immobilier : le moment de vendre mais pas d’acheter

Immobilier : le moment de vendre mais pas d’acheter

D’après le conseil des notaires eux-mêmes, c’est le moment de vendre. Sous-entendu ce n’est pas forcément la période la plus favorable pour acheter.

Il y a d’abord l’envolée des prix provoqués par l’argent facile par la banque centrale européenne et sa politique très accommodante.
Ainsi beaucoup ont pu s’endetter plus que de raison à des taux très favorables mais pour acheter des biens immobiliers trop chers.

Aujourd’hui avec la crise il y a un net tassement du pouvoir d’achat et certains ne pourront pas honorer les échéances de remboursement.

Les prix sont donc engagés dans une tendance baissière qui s’ajuste au moyen en baisse des acheteurs potentiels. En outre, les taux d’intérêt sont repartis à la hausse tandis que les revenus salariaux, eux, régressent au regard de l’inflation.
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Selon le Crédit Logement CSA, le taux moyen des prêts immobiliers, toutes durées confondues, est repassé au-dessus des 2 % en octobre. Du jamais vu depuis début 2016. Pour octobre, les barèmes de taux sur 20 ans transmis aux courtiers du groupe Meilleurtaux se situent pour 40 % à 2,30 %, 20 % à 2,50 % et 12 % à 2,70 %. Il n’existe plus aucune offre bancaire avec un taux en dessous de 1,90 %, indiquait le 8 novembre dernier Meilleurtaux à l’occasion de son observatoire du crédit immobilier.

Le port de Hambourg à vendre aux chinois

Allemagne : Le port de Hambourg à vendre aux chinois !

L’Allemagne une nouvelle fois aveuglée par ses intérêts économiques pourrait se lier les mains avec la Chine en lui vendant son premier port de commerce. Finalement la même erreur que celle faite avec les Russes où le business a pris le pas sur les intérêts politiques plus généraux. Olaf Scholz, chancelier allemand et ancien maire de Hambourg serait partisan de la vente partielle du port de Hambourg au groupe chinois Cosco. Ce port est le premier port commercial d’Allemagne et le troisième en Europe derrière Rotterdam (Pays-Bas) et Anvers (Belgique). Cosco est, lui, le premier armateur chinois.

La chancellerie compterait autoriser la cession contre l’avis de six ministères fédéraux – Economie, Intérieur, Défense, Finances, Transports et Affaires étrangères. Il s’agit de finaliser l’accord conclu il y a un an entre l’opérateur du port de Hambourg (HHLA) et l’armateur Cosco sur une prise de participation de 35% dans l’exploitation du terminal à conteneurs Tollerort (CTT). Si le gouvernement ne s’oppose pas à cette opération d’ici à fin octobre, la décision sera avalisée.

Pour Annalena Baerbock, ministre des Affaires étrangère « l’Allemagne doit faire preuve de prudence dans ses relations économiques avec la Chine et ne pas commettre de nouveau l’erreur, comme avec la Russie, de dépendre d’un pays qui ne partage pas [ses] valeurs ». Elle argumente : « La Chine a changé ces dernières années, elle s’isole du monde, menace d’agir militairement contre Taïwan et tente d’imposer ses propres règles en lieu et place des normes internationales. » La Chine « aurait une influence sur tous les grands ports européens et pourrait les monter les uns contre les autres », a de son côté réagi Johannes Vogel, vice-président du parti libéral FDP, dans un message retweeté par le ministre des Finances, Christian Lindner. Même tonalité dans les rangs de l’opposition. « L’intention du chancelier de donner à la Chine une influence considérable sur cette infrastructure via l’entreprise publique Cosco serait une erreur stratégique », a fustigé sur Twitter le chrétien-démocrate Norbert Röttgen, chargé des relations internationales au sein de la CDU.

Secteur immobilier: Le moment de vendre ou d’acheter ?

Secteur immobilier: Le moment de vendre ou d’acheter ?

Depuis plusieurs semaines les professionnels de le mobilier ne cessent de soutenir que le marché immobilier se porte bien en dépit de la crise économique et notamment de la hausse des taux d’intérêt. Or aujourd’hui une très grande majorité de notaires conseillent de vendre.

Implicitement, cela signifie que les prix pourraient baisser à l’avenir. Donc que les acheteurs de leur côté ont intérêt à attendre.
Alors que cet été, 61 % des notaires trouvaient que l’environnement était plus propice à la revente d’un bien immobilier, contre 29 % à l’achat, la part des partisans à la vente culmine désormais à 77 %. Le signe d’une inquiétude grandissante sur le devenir du marché immobilier.

Les notaires se montrent donc pessimismes sur le devenir de l’immobilier. En atteste la part en hausse des professionnels estimant que le moment est plus favorable à la vente qu’à l’achat d’un bien.
Précisément, en septembre, 77 % des notaires et négociateurs conseillent de vendre un logement dans les deux mois, contre 61 % en juillet et 72 % en mai. A l’opposé, ils ne sont désormais plus que 19 % à juger la période propice à l’achat, contre 29 % cet été.En cause, encore une fois la hausse des taux d’intérêt, les difficultés de certains investisseurs du fait de la baisse en euros constants du pouvoir d’achat et trop de prêts accordés sans garantie suffisante lors de la période de politique monétaire accommodante. Enfin une dérive des prix raisonnable qui appelle aujourd’hui une régularisation tendanciellement à la baisse.

Immobilier: Le moment de vendre ou d’acheter ?

Immobilier: Le moment de vendre ou d’acheter ?

Depuis plusieurs semaines les professionnels de le mobilier ne cessent de soutenir que le marché immobilier se porte bien en dépit de la crise économique et notamment de la hausse des taux d’intérêt. Or aujourd’hui une très grande majorité de notaires conseillent de vendre.

Implicitement, cela signifie que les prix pourraient baisser à l’avenir. Donc que les acheteurs de leur côté ont intérêt à attendre.
Alors que cet été, 61 % des notaires trouvaient que l’environnement était plus propice à la revente d’un bien immobilier, contre 29 % à l’achat, la part des partisans à la vente culmine désormais à 77 %. Le signe d’une inquiétude grandissante sur le devenir du marché immobilier.

notaires se montrent pessimismes sur le devenir de l’immobilier. En atteste la part en hausse des professionnels estimant que le moment est plus favorable à la vente qu’à l’achat d’un bien.
Précisément, en septembre, 77 % des notaires et négociateurs conseillent de vendre un logement dans les deux mois, contre 61 % en juillet et 72 % en mai. A l’opposé, ils ne sont désormais plus que 19 % à juger la période propice à l’achat, contre 29 % cet été.

Parti Socialiste : à vendre par appartements

 

 

 

 

Parti Socialiste : à vendre par appartements

 

D’une certaine manière, le parti socialiste est livré aux enchères contradictoires selon les  courants politiques et les intérêts personnels. Les plus opportunistes qui font carrière n’auront aucun mal à rejoindre Macron au nom du réalisme qui conduit en fait à faire le grand écart entre le néo libéralisme et le vernis socialiste. Les plus radicaux, souvent toujours attaché aux valeurs marxistes voire communistes vont se retrouver chez Mélenchon. Reste ceux qui refusent l’ OPA des « Insoumis  » sur le parti socialiste au motif de leurs convictions républicaines et européennes.

Théoriquement, le parti socialiste ne représente plus que 2 à 3 % en termes d’audience nationale. Diviser cette audience par trois revient en fait à amorcer  la dissolution du parti actuel. Reste cependant que sur le terrain, les troupes du parti socialiste et notamment ses nombreux élus en font encore une force réelle bien implantée. Bien au-delà d’ailleurs souvent des forces du fantomatique parti en marche de Macron. Bien au-delà aussi du parti de Mélenchon qui ne dispose pas d’une implantation locale très consistante.

L’intérêt du parti socialiste n’est certainement pas de se dissoudre dans les différents courants contradictoires qui souhaitent boire  les dernières gouttes de sang du parti. L’intérêt du parti socialiste est de manifester sa présence non pas bien sûr pour se reconstituer aujourd’hui en partie le gouvernement mais pour envisager une reconstruction ultérieure possible sur des bases claires qui renvoient les marxistes à leurs origines et qui permettent de construire une vraie sociale démocratie participative et représentative de la sociologie du pays notamment des couches moyennes et des couches défavorisées. Et non pas un nouveau parti socialiste dirigé par une poignée d’énarques, de professionnels de la politique aux convictions idéologiques très molles qui passent sans état d’âme du marxisme au néolibéralisme ou l’inverse.

Même pour le moyen et longs terme, la question est de savoir s’il n’est déjà pas trop tard espérer reconstruire un vrai parti social-démocrate.Et plus généralement on peut s’interroger sur l’état de résilience des partis politiques qui pourraient bien laisser place à différentes formes de césarismes .

 

 

Le Monténégro à vendre à la Chine ?

Le Monténégro à vendre à la Chine ?

La Chine pourrait bien acheter, comme en Grèce ou en Afrique , le plus grand port industriel des Balkans  .  Au départ, le Monténégro voulait construire une autoroute pour désenclaver le pays. Une banque chinoise a alors prêté un milliard d’euros au pays en 2015, et une autre société sous mainmise chinoise a été chargée du chantier.

Le contrat prévoit que si le Monténégro ne peut pas rembourser ce prêt, il devra céder des terres à la Chine en dédommagement. Craignant d’être en défaut de paiement, l’État a demandé de l’aide à l’Union européenne.

Foot : la France forme des talents pour les vendre à l’étranger

Foot : la France forme des talents pour les vendre à l’étranger

C’est ce que pense Claude Puel manager général de l’A.S. Saint-Étienne dans le JDD

 

interview

 

Pablo Longoria , président de Marseille, dit avoir choisi un technicien sud-américain pour sa passion ; sous-entendu, les entraîneurs français seraient ennuyeux. Qu’en pensez-vous?
C’est un très jeune dirigeant, qui découvre notre football. Pour le spectacle, il faut des joueurs de haut niveau. La Ligue 1 est formatrice, donc nos joueurs ne sont pas prêts. Mais les entraîneurs les mettent en avant car l’économie des clubs en dépend. Ce qu’ils réalisent avec la matière première est déjà très intéressant. Sans les citer, il y a dans nos deux premières divisions pas mal d’équipes qui ont un style reconnaissable.

Il déplore une formation très individuelle des joueurs. Est-ce une réalité?
A Saint-Etienne, on a incorporé chez les pros des gamins de 17 ans qui n’avaient pas encore évolué en réserve. On brûle des étapes car dès qu’un gamin éclate, il part. On l’a vu avec William Saliba [vendu 29 millions d'euros à Arsenal en 2019] et Wesley Fofana [45 millions à Leicester l'été dernier]. On ne pouvait pas faire autrement. Nos joueurs ont une touche un peu individuelle car, à cet âge, on les laisse s’exprimer. Les paliers, ils les passent plus tard, à l’étranger plutôt qu’ici, où ils représentent des actifs susceptibles de combler des déficits. S’il y avait un problème global avec notre formation, il n’y aurait pas autant de débouchés en Angleterre, en Italie ou en Allemagne.

L’échec de Saliba peut-il inviter à la prudence?
Non, car c’est à pile ou face. William a raté ses débuts, pas Wesley. Les environnements incitent au départ, les clubs en ont besoin pour se remettre d’équerre. J’aimerais que les dirigeants se demandent comment développer une équipe et non comment remettre les comptes à niveau. Rivaliser avec les quatre grands championnats, on n’y arrivera pas. L’enjeu est de mieux protéger notre formation. Le premier contrat pro est de trois ans, contre cinq en Angleterre. Il faut des sommes astronomiques pour les garder alors qu’on doit continuer à les former. Donc, à partir de 16 ans, ils sont mis aux enchères.

Peu d’entraîneurs français s’expatrient. Pourquoi?
Déjà, les étrangers savent mieux se vendre. Ensuite, les coupes d’Europe révèlent les entraîneurs, or on ne va pas assez loin. Mais citez-moi trois coaches anglais qui flambent en Premier League? S’ils étaient extraordinaires, on les verrait à Manchester City ou à Liverpool. Aujourd’hui, les clubs sont rachetés par des fonds d’investissement qui arrivent avec un attelage complet, du président au responsable du recrutement. L’entraîneur et ses adjoints sont inclus dans le package. Il faudrait s’ouvrir à ce mécanisme où la coulisse compte autant que la compétence réelle, si ce n’est plus. Je pense qu’on n’y est pas préparé. En allant à Southampton [en 2016], je me suis mis en danger, mais j’avais 54 ans. Il faut quitter son confort plus jeune. En 2004, Porto avait jeté son dévolu sur moi. Mais je n’étais pas formaté pour être carriériste.

En Ligue 1, vous êtes le seul manager général…
C’est dommage. A Lille [2002-2008], partant d’une page blanche, on m’avait demandé de participer à la formation, à des réunions de chefs de service. C’était chiant mais ça m’a enrichi. Cette expérience m’a appris à ne pas demander l’impossible. Souvent, je suis reparti avec des novices, sans moyens, mais en connaissance de cause. Il y a eu des parcours en dents de scie, le temps d’apprendre, mais beaucoup de futurs internationaux se sont révélés. C’est notre modèle : mettre le pied à l’étrier aux jeunes, qui coûtent des points mais finiront par assurer la survie économique du club. C’est comme ça que j’ai lancé Fofana. Il a fait des bêtises mais au bout d’un an, son transfert a rapporté 45 millions qui ont fait beaucoup de bien. Le problème en France, c’est qu’on développe nos joueurs pour les vendre et équilibrer le budget. A présent que le trading se casse la figure, comment fait-on?

La Ligue 1 à 18 clubs?
C’est du court terme. On est dans l’urgence depuis un an et demi, mais on n’a pas planché sur le fond. On va coller une rustine, s’arranger entre quelques-uns, alors qu’on aurait pu tout mettre à plat. La France est un laboratoire qui forme pour ses voisins. Et on voudrait être performant en Coupes d’Europe? Nous avons les meilleurs joueurs en devenir, protégeons-les.

Dans le jeu, innove-t‑on  encore?
Il vient toujours un gars qui le fait avancer. Guardiola a transformé le jeu. A Barcelone, les risques que prenaient ses joueurs n’en étaient plus tant c’était harmonieux. Sa force, c’est de faire du premier attaquant le premier défenseur. Depuis dix ans, tout le monde s’est inspiré de ses principes, en les adaptant. C’était une révolution. A Manchester City, il a été critiqué la première année. Tous ses joueurs étaient magnifiques, sauf le gardien. A l’intersaison, il a incorporé Ederson, qui a des mains à la place des pieds. Problème résolu.

Mais Guardiola est resté longtemps dans ses clubs.
C’est la seule façon de poser sa patte. Et c’est intéressant si le club continue dans la même direction après votre départ. Beaucoup de dirigeants recrutent des noms, les préceptes sont secondaires pour eux. Avant, les clubs avaient un style défini, comme Nantes. Avec les transferts et les nouveaux propriétaires, ce football technique de très haut niveau s’est perdu, c’est devenu du combat. Dans un club, on devrait avoir une identité unique, de la formation jusqu’aux professionnels. Mais c’est un vœu pieux.

Après la victoire au Parc, il a ironisé sur son « génie ». Au-delà du résultat, à quoi peut-on juger un entraîneur?
A ceci : Guardiola rend meilleurs des joueurs déjà accomplis et très chers. J’ai eu Mahrez à Leicester : un phénomène. City a payé 80 millions et l’a laissé sur le banc les six premiers mois, jusqu’à ce qu’il épure son jeu, comprenne quand prendre un risque ou lâcher le ballon. Son équipe respire l’intelligence. Les onze joueurs sont dépositaires du jeu. J’ai entendu que ce serait plus facile pour lui, car il n’a pas les mêmes individualités que le PSG. Foutaises! Tous sont hors norme mais au service d’une idée collective.

Guardiola a les idées et les moyens. Aurait-il des résultats à l’ASSE ?
Pas les mêmes, mais il développerait les joueurs. Quand j’ai accepté Leicester [2017], j’ai dit aux dirigeants qu’il n’y avait que cinq éléments au niveau. Finalement, j’en ai gardé deux. On a été très irrégulier car nous avions recruté des gamins. Ils avaient besoin de mûrir. C’est la même équipe qui, cette saison, lutte pour le podium. Les choses se construisent.

Les véhicules électriques , c’est bien mais il faut les vendre !

Les véhicules électriques , c’est bien mais il faut les vendre !

 

Les constructeurs sont enthousiastes mais les concessionnaires peinent à vendre ces modèles censés représenter l’avenir de l’industrie automobile (Article Wall Street Journal)

 

Concessionnaire automobile à Saint-Louis dans le Missouri, Brad Sowers investit pour préparer l’arrivée de nouveaux modèles électriques commercialisés par General Motors (GM). Il installe des stations de recharge, met à niveau ses aires de service et forme ses équipes à la maîtrise de ces véhicules aux multiples équipements technologiques.

Mais lorsqu’il regarde le nombre de Chevrolet Bolts qu’il a vendus l’année dernière – neuf exemplaires, sur près de 4 000 modèles Chevrolet écoulés au total –, il ne peut s’empêcher de s’interroger.

Dans cette région du centre des Etats-Unis, « la clientèle n’envisage pas encore » de passer aux véhicules électriques, observe-t-il, invoquant les longs trajets que parcourent quotidiennement ses clients, ainsi que l’absence d’infrastructures de recharge en dehors des grandes villes.

Si les dirigeants des constructeurs automobiles et les investisseurs ne cessent d’évoquer l’avènement des voitures électriques, de nombreux vendeurs soulignent l’écart entre cet enthousiasme et la réalité du marché : l’an dernier, les véhicules électriques ont représenté moins de 2 % des ventes de voitures neuves aux Etats-Unis.

La plupart des clients qui visitent les concessions automobiles ne s’intéressent pas aux voitures électriques, et comme les prix de l’essence restent relativement bas, les modèles hybrides peinent eux aussi à trouver preneur, indiquent vendeurs et analystes du secteur.

L’offensive des constructeurs automobiles dans l’électrique est spectaculaire, le lancement de dizaines de nouveaux modèles étant prévu au cours des années à venir. Certains, comme GM, ont même pris des engagements fermes de sortie du marché des véhicules à essence.

Cette perspective met de nombreux concessionnaires dans une situation délicate : ils tentent de s’adapter mais ne savent pas si, et à quel rythme, leur clientèle décidera de passer à l’électrique. Quelque 180 concessionnaires GM (soit 20 % environ) ont pris la décision de céder leur franchise Cadillac plutôt que d’investir dans les mises à niveau coûteuses exigées par GM pour la vente de voitures électriques.

Selon un porte-parole, le constructeur anticipait cette évolution et se félicite que les quelque 700 concessionnaires Cadillac restants partagent son objectif du passage au tout-électrique.

Pour régler ces problèmes, le président Joe Biden entend investir plusieurs milliards de dollars dans la mise à niveau des infrastructures de recharge, dans le cadre d’une vaste offensive visant à inciter les Américains à acheter des voitures électriques

Les précédentes tentatives des constructeurs automobiles pour augmenter leurs ventes de voitures électriques ont en grande partie échoué, laissant les concessionnaires face à de larges stocks d’invendus. Encore aujourd’hui, certains vendeurs se montrent réticents à stocker des modèles électriques en grand nombre.

« Le principal problème est que les concessionnaires ont été quelque peu échaudés », note Chris Lemley, lui-même vendeur de voitures dans le Massachusetts.

Les constructeurs automobiles promettent depuis des années de fabriquer des voitures électriques pour M. et Mme Tout-le-monde, mais n’ont produit que des modèles de niche, dans de faibles volumes, explique-t-il. Le vendeur raconte s’être retrouvé avec quantité d’exemplaires de Ford Focus électriques en stock, qui n’avaient pas séduit sa clientèle. Le constructeur a arrêté la production de ce modèle en 2018.

« Alors aujourd’hui, quand ils nous disent, ‘‘Cette fois, nous y allons pour de bon’’, on ne peut pas s’empêcher d’être sceptique », indique M. Lemley.

Certains clients se montrent perplexes eux aussi. Joe Daniel, analyste de l’énergie au sein de l’organisation Union of Concerned Scientists, était déterminé à acheter un véhicule électrique mais a finalement renoncé après s’être rendu compte qu’il n’y avait pas suffisamment de stations de recharge à proximité de son appartement à Washington. Sans ce type d’équipement, l’achat n’avait guère de sens, observe-t-il.

« Pour que les véhicules électriques prennent leur essor, il faut que leur utilisation soit aussi pratique que celle des voitures à essence, c’est tout l’enjeu d’un tel investissement », ajoute-t-il.

Pour régler ces problèmes, le président Joe Biden entend investir plusieurs milliards de dollars dans la mise à niveau des infrastructures de recharge, dans le cadre d’une vaste offensive visant à inciter les Américains à acheter des voitures électriques.

Ford, GM et d’autres grands constructeurs automobiles se disent confiants dans leur offre de nouveaux modèles électriques et sont en train de former les concessionnaires à la vente et à la prestation de services autour de ces véhicules.

Certains vendeurs se disent cependant inquiets quant aux implications à long terme pour leur activité.

L’influence de Tesla sur le marché des voitures électriques a changé la donne dans la vente de voiture, le constructeur proposant l’achat en ligne dans le cadre d’une gamme simplifiée, sans négociation de prix. D’autres start-up du secteur, comme Rivian Automotive ou Lucid Motors, entendent aussi vendre leurs véhicules directement aux consommateurs, en contournant le réseau classique des concessionnaires.

Certains constructeurs traditionnels empruntent désormais cette voie, ne livrant que peu ou pas de modèles électriques aux concessionnaires et incitant leurs clients à commander directement auprès d’eux.

Le patron de Volvo, Håkan Samuelsson, a récemment déclaré que toutes les futures voitures électriques de la marque seraient vendues exclusivement en ligne, et que la fixation des prix serait centralisée, supprimant ainsi toute possibilité de marchander. Les concessionnaires contribueront à la livraison des véhicules aux clients et à la prestation d’autres services, comme l’entretien des voitures, a-t-il précisé.

« L’activité de vente quitte les concessions physiques et se déroule de plus en plus en ligne, note M. Samuelsson. C’est ce qui va se passer au cours des dix prochaines années. »

Howard Drake, concessionnaire GM à Los Angeles, est en train de repenser l’agencement de deux de ses salles d’exposition. Plutôt que de séparer les modèles selon leur marque, il envisage d’établir deux magasins distincts, l’un pour les voitures électriques et l’autre pour les véhicules à essence.

« On s’adresse vraiment à deux types de clientèles différents, souligne-t-il. Un acheteur de Hummer électrique n’a sans doute pas envie de se retrouver à côté d’un client qui vient acheter un pick-up très consommateur en essence. »

M. Sowers, pour sa part, perçoit quelques signes encourageants. GM a récemment renoncé au prix de son modèle Bolt tout électrique et les ventes se sont améliorées en février. Le concessionnaire n’entend toutefois pas augmenter son stock de véhicules électriques, la demande à long terme restant incertaine.

« Il est encore trop tôt », estime-t-il.

Parvenir à vendre les modèles électriques n’est pas le seul problème pour les concessionnaires : les services qui y sont associés constituent une autre difficulté.

De fait, les voitures électriques comptent généralement moins de composants mécaniques et ne nécessitent pas les mêmes interventions que les voitures à essence, comme les vidanges d’huile. Or, ce type de service représente un important centre de profit pour les concessionnaires.

« Il y aura un impact, mais il faudra peut-être trois ou quatre ans pour ressentir pleinement les effets, estime M. Lemley. Pour moi, c’est vraiment la principale question qui se pose. »

William Boston a contribué à cet article

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Anne Montanaro)

Traduit à partir de la version originale en anglais

Le PS à vendre sur le Bon coin ?

Le PS à vendre sur le Bon coin ?

Le parti socialiste n’en finit pas de mourir et Olivier Faure le secrétaire actuel à tout le profil dans la forme comme sur le fond du croque-mort qui va enterrer définitivement la vieille institution. Le PS meurt doucement en s’éloignant de son siège historique mais aussi des préoccupations des Français.

 Ne reste qu’un noyau de bobos purs et durs qui se radicalisent d’autant plus que les effectifs disparaissent.

Ainsi après avoir vendu le siège du parti, le parti socialiste s’apprête à licencier une cinquantaine de personnes dans son siège. Encore quelques années et le maigre patrimoine se retrouvera sur le Bon coin et  racheté peut-être par l’extrême gauche elle-même en plein recul. En cause évidemment le mal de la gauche française qui n’a jamais su intégrer les acteurs économiques et sociaux du terrain. Une organisation plutôt pseudo intellectuelle coupée des réalités et plus proche d’un club d’élus que d’une organisation politique réelle.

La Russie ridiculise les vaccins occidentaux pour vendre les siens !

La Russie ridiculise les vaccins occidentaux pour vendre les siens !

 

La Russie ne cesse de ridiculiser les vaccins occidentaux vers des pays où la Russie veut vendre son propre vaccin, Spoutnik V”, a indiqué Josep Borrell, sur le site du Service Européen pour l’Action Extérieure (SEAE).  notant que ces démarches menaçaient la santé publique dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Il n’a donné aucun exemple précis.

“Les concepteurs de vaccins occidentaux sont ouvertement tournés en dérision par les médias russes multilingues contrôlés par l’État, ce qui a conduit dans certains cas à des affirmations absurdes selon lesquelles les vaccins transformeront les gens en singes”, a déclaré Josep Borrell dans un article publié sur son blog sur le site du Service Européen pour l’Action Extérieure (SEAE).

“Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré à la presse que le vaccin Spoutnik V était plus fiable parce qu’il était basé sur un adénovirus trouvé chez l’homme, comparé à celui d’AstraZeneca, un “vaccin de singe”, dont les essais clinique ont momentanément été interrompus en septembre en raison d’une maladie inexpliquée contractée par un participant.

Le vaccin d’AstraZeneca, développé en collaboration avec l’Université d’Oxford, fait appel à une version modifiée d’un virus du rhume des chimpanzés, ce qui est différent des vaccins à ARN messager développés par Pfizer/BioNTech et Moderna. La technologie ARN messager consiste à injecter des brins de code génétique, et non un virus inactif, pour déclencher une réponse immunitaire.

La semaine dernière, la Russie a expédié son premier lot de vaccins anti-coronavirus à l’Argentine dans le cadre d’un marché de 10 millions de doses. Elle a signé des accords d’approvisionnement avec un certain nombre d’autres pays d’Amérique latine et d’Asie. L’injection russe coûte moins de 20 dollars (16,37 euros) par personne pour les deux doses nécessaires.

Smart Daimler France : usine à vendre !

Smart Daimler France : usine à vendre !

 

 

La marque allemande a déclaré qu’elle envisageait de vendre l’usine située en France qui construit la Smart de Daimler Selon le site internet de Daimler, 800 personnes sont employées dans cette usine construite en 1997 et d’où sont sorties 80.000 Smart en 2017.

Daimler avait annoncé en mars 2019 qu’il allait transférer en Chine la production des versions électriques de la Smart à partir de 2022.

Dans une interview accordée au Républicain lorrain annonçant cette décision, le président de Smart France, Serge Siebert, ajoutait qu’il n’y aurait “aucun licenciement sec sur Smart ville” et que “tous les emplois seront pérennisés à travers notre nouveau projet industriel”.

Daimler avait annoncé en mai 2018 qu’il investirait 500 millions d’euros à Hambach pour y produire son premier modèle de marque Mercedes, un SUV électrique compact.

Le plan de restructuration de Daimler, également propriétaire de la marque Mercedes-Benz, se traduira par le passage d’une charge de restructuration de plusieurs centaines de millions d’euros.

Coronavirus: les pharmaciens autorisés à vendre des masques ….. qu’ils n’ont pas

Coronavirus: les pharmaciens autorisés à vendre des masques ….. qu’ils n’ont pas

Désormais les pharmacies seront autorisées à la vente « des masques non sanitaires fabriqués selon un processus industriel et répondant aux spécifications techniques applicables ». D’abord notons le flou de la recommandation quant à la qualité des masques . Ensuite surtout la grande difficulté pour les pharmaciens sera de trouver les fameux masques. En effet en vitesse de croisière c’est-à-dire en déconfinement, les besoins de masques se situent à 600 millions par semaine. Alors que la France en tout état de cause ne sera capable de fabriquer que 20 millions. C’est le résultat l’incompétence du gouvernement qui a été incapable de réquisitionner les usines dont pourtant les salariés sont financés à 85 % par le chômage partiel.

Dès aujourd’hui, les pharmaciens ont le droit de s’approvisionner mais devront attendre lundi pour passer des commandes. « Ce n’est donc pas la peine d’aller en pharmacies dès lundi pour acheter des masques », a prévenu sur BFMTV Philippe Besset, président de la Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France.

Jusqu’à présent, les officines n’avaient le droit de distribuer des masques destinés qu’aux professionnels de santé ou aux personnes fragiles, soit les FFP2 ou les masques chirurgicaux. Elles pourront donc vendre des masques en tissus fabriqués par des entreprises classiques.

Depuis dimanche 26 avril, les pharmaciens ont l’autorisation de vendre des masques dits « non-sanitaires » après la publication d’un arrêté au Journal Officiel, mais « la moitié des officines n’en auront pas à disposition » lundi, faute de temps pour s’approvisionner, déclare le 26 avril sur franceinfo le président de la section A de l’Ordre des pharmaciens Pierre Béguerie, qui représente les pharmaciens titulaires d’officines.

« L’arrêté est sorti un dimanche. Vous pensez bien qu’entre le dimanche et le lundi, les pharmaciens n’auront pas pu se procurer ces masques », commente le pharmacien, mais « vous pouvez faire confiance au réseau des pharmaciens pour faire tout ce qu’il faut pour pouvoir équiper les patients qui leur demanderont d’ici une ou deux semaines ». Pierre Béguerie se dit d’ailleurs « très confiant dans l’essor et l’élan de toutes les entreprises qui se sont mises à fabriquer » des masques.

Les pharmaciens réclamaient cette autorisation depuis le début du mois d’avril mais tous n’ont pas pu anticiper car, « comme ça a mis beaucoup de temps et que dans cette période de pandémie, les choses changent du jour au lendemain, on n’avait aucune certitude. Maintenant, c’est acté », se félicite le président de la section A.

 

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