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Santé -Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Santé :-Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. Le ministre français de la santé n’exclut pas des cas en France. 

La Suède a   déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. La Suède a en effet  déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

La Suède a déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

 

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : un cas en suède

Variole du singe (Mpox) : un cas en suède

La Suède a déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

 

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

La mpox est une maladie virale qui se propage de l’animal à l’homme mais qui se transmet aussi par contact physique étroit avec une personne infectée par le virus. Le Clade 1b fait apparaître des éruptions cutanées sur tout le corps, quand les précédentes souches étaient caractérisées par des éruptions et des lésions localisées, sur la bouche, le visage ou les parties génitales.

 

Une épidémie de variole va-t-elle menacer ?

Une épidémie de variole va-t-elle menacer ?

 L’OMS doit décider lors d’une réunion exceptionnelle si l’épidémie de variole qui touche le continent africain constitue une urgence de santé publique de portée internationale. Pourquoi ce rebond épidémique inquiète-t-il ?

Le mercredi 14 août, des experts de l’OMS se réuniront pour évaluer si l’épidémie de mpox (anciennement appelée « monkey pox », ou « variole du singe ») qui sévit actuellement en Afrique constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le plus haut degré d’alerte que l’autorité pourrait déclencher.

 

L’agence de santé de l’Union africaine, Africa CDC, a déjà déclaré «une urgence de santé publique», son plus haut niveau d’alerte, face à l’épidémie. Depuis la dernière épidémie mondiale en 2022, à l’origine de 100 000 cas dans une centaine de pays, le continent africain a enregistré 37 000 cas de mpox dans 15 pays, dont quatre (le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l’Ouganda) n’avaient jusqu’alors jamais été touchés, a rapporté le Centre africain de contrôle et de prévention des maladies en août 2024.

 

VARIOLE DU SINGE: ALERTE (OMS)

VARIOLE DU SINGE: ALERTE (OMS)

 

 

L’Organisation mondiale de la santé a lancé  ce samedi son plus haut niveau d’alerte pour tenter de juguler la flambée de variole du singe, qui a frappé près de 17.000 personnes dans 74 pays, a annoncé son directeur général.

« J’ai décidé de déclarer une Urgence de santé publique de portée internationale », a déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus lors d’un point de presse, précisant que le risque dans le monde était relativement modéré à part l’Europe où il est élevé.

La  France  compte 1 453 cas confirmés d’infection par le virus, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires, précisant que cette hausse notable ne doit pas s’interpréter comme « une augmentation exceptionnelle » car elle comprend un « rattrapage des données ».

« Au 19 juillet 2022 à 12h00, 1 453 cas confirmés ont été recensés en France », dont six femmes et deux enfants, a indiqué l’agence Santé publique France sur son site. Le précédent bilan, sept jours auparavant, faisait état de 912 cas.

Sur l’ensemble des cas comptabilisés, « 678 résidents en Île-de-France, 111 en Occitanie, 103 en Auvergne-Rhône-Alpes Rhône-Alpes, 65 en Nouvelle-Aquitaine, 55 en Provence-Alpes-Côte d’Azur, 41 dans les Hauts-de-France, 25 en Grand Est, 18 en Normandie, 15 en Pays de la Loire, 9 en Bourgogne-Franche-Comté, 9 en Centre-Val de Loire, 9 en Bretagne et 1 en Martinique », détaille SPF.

Parmi les cas qui ont fait l’objet d’une enquête, 78 % ont présenté une éruption génito-anale, 72 % une éruption sur une autre partie du corps, 76 % une fièvre. Par ailleurs, 274 cas sont séropositifs au VIH et 513 sont sous le traitement préventif de la PreP au VIH.

Face à la montée des cas de variole du singe et aux difficultés à retracer les chaînes de contamination, la France a annoncé il y a une dizaine de jours l’élargissement de la vaccination, désormais proposée préventivement aux groupes les plus exposés, notamment les homosexuels et bisexuels multi-partenaires, comme dans d’autres pays.

Confronté à un nombre croissant de critiques sur des difficultés pour obtenir un rendez-vous, le gouvernement a assuré la semaine dernière qu’il y avait assez de vaccins anti-varioliques et que les doses arrivaient progressivement dans 70 centres.

Le Comité d’urgence de l’OMS se réunira ce jeudi pour déterminer les moyens de juguler la flambée de variole du singe, qui a franchi la barre des 10 000 cas répartis dans une soixantaine de pays, avec l’Europe comme épicentre. La Commission européenne a annoncé lundi l’achat de 54 530 doses supplémentaires du vaccin au laboratoire danois Bavarian Nordic, s’inquiétant d’une augmentation des cas de « près de 50 % » dans l’UE en une semaine.

Cousine éloignée de la variole humaine, mais considérée comme bien moins dangereuse, la variole du singe guérit généralement d’elle-même après deux ou trois semaines.

 

La variole du singe n’est pas une maladie sexuellement transmissible mais, en dehors des zones endémiques, elle touche des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes à de rares exceptions près.

Décelée pour la première fois chez l’humain en 1970, la variole du singe est moins dangereuse et contagieuse que sa cousine la variole humaine, éradiquée en 1980. Dans la plupart des cas, les malades sont des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, relativement jeunes, et vivant essentiellement en ville, selon l’OMS.

Une étude publiée ce jeudi dans la revue scientifique New England Journal of Medicine, la plus large réalisée sur le sujet et basée sur des données de 16 pays différents, confirme que dans la vaste majorité – 95% – des cas récents, la maladie a été transmise lors d’un contact sexuel et 98% des personnes touchées étaient des hommes gays ou bisexuels.

Ce vendredi, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré avoir approuvé l’utilisation d’un vaccin contre la variole humaine pour étendre son utilisation contre la propagation de la variole du singe. Ce vaccin est de fait déjà utilisé à cette fin dans plusieurs pays, dont la France.

 

Après la Covid, la variole du singe en Europe

Après la Covid,  la variole du singe en Europe

 

Déjà 4500 cas confirmés de variole du singe en Europe et le nombre deux cas a été multipliés par trois en 15 jours.

Dans un communiqué, le directeur régional de L’OMS a appelé les pays européens à « augmenter leurs efforts dans les prochaines semaines et mois pour éviter que la variole du singe ne s’installe dans une zone géographique plus grande », alors que l’Europe compte désormais plus de 4500 cas confirmés en laboratoire, soit 90% des cas enregistrés dans le monde depuis la mi-mai.

Cela correspond à 90% des cas enregistrés dans le monde depuis la mi-mai, lorsque cette maladie jusque là endémique seulement dans une dizaine de pays d’Afrique a commencé à se multiplier en Europe.

Epicentre de cette nouvelle contagion, l’Europe compte désormais 31 pays ou territoires ayant rapporté des cas de variole du singe.

 Les experts de l’OMS avaient considéré samedi la flambée des cas comme une menace sanitaire dont l’évolution était très inquiétante, mais sans atteindre pour le moment le stade d’une urgence sanitaire mondiale.

 

Variole du singe : cinq cas en France

Variole du singe : cinq cas en France

 

 

La variole du singe, dont plusieurs cas ont été détectés en Europe et en Amérique du Nord, est une maladie rare originaire d’Afrique dont on guérit en général spontanément. Proche de la variole, elle est toutefois à ce jour considérée comme beaucoup moins grave et moins contagieuse.

Il s’agit d’une maladie infectieuse qui est causée par un virus transmis à l’être humain par des animaux infectés, le plus souvent des rongeurs. Mais le virus a été découvert pour la première fois en 1958 au sein d’un groupe de macaques qui étaient étudiés à des fins de recherche, d’où son nom, explique l’Inserm.

Variole du singe : cinq cas en France


Proche de la variole, cette maladie est à ce jour considérée comme beaucoup moins grave et moins contagieuse.

Cinq cas confirmés de variole du singe ont été enregistrés en France mardi 24 mai, selon un communiqué de Santé publique France. Trois personnes infectées ont été identifiées en Ile-de-France, une dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et une dernière en Occitanie. « A ce jour, en Europe, ces cas sont survenus principalement, mais pas uniquement, chez des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, sans liens directs avec des personnes de retour de zone endémique », ajoute Santé publique France.

Proche de la variole, cette maladie est à ce jour considérée comme beaucoup moins grave et moins contagieuse.

 

La variole du singe, dont plusieurs cas ont été détectés en Europe et en Amérique du Nord, est une maladie rare originaire d’Afrique dont on guérit en général spontanément. Proche de la variole, elle est toutefois à ce jour considérée comme beaucoup moins grave et moins contagieuse.

Il s’agit d’une maladie infectieuse qui est causée par un virus transmis à l’être humain par des animaux infectés, le plus souvent des rongeurs. Mais le virus a été découvert pour la première fois en 1958 au sein d’un groupe de macaques qui étaient étudiés à des fins de recherche, d’où son nom, explique l’Inserm.

Face aux cas recensés la Haute autorité de Santé a recommandé mardi de vacciner les adultes, y compris des professionnels de santé, ayant eu un contact à risque avec un malade.




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