Archive pour le Tag 'variants'

Covid: De nouveaux variants en Europe

Covid: De nouveaux variants en Europe

Les sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5 qui se développent surtout actuellement en Afrique du Sud pourraient éventuellement atteindre l’Europe à la fin de l’été.

Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) appelle donc  les Etats européens à surveiller de près l’émergence des sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5, dans un communiqué publié samedi 14 mai. « La proportion dans l’Union européenne est actuellement faible », précise le texte, « mais ils deviendront dominants dans les mois à venir », ce qui pourrait entraîner potentiellement « une augmentation significative du nombre de cas ». A ce stade, l’ECDC ne dispose pas d’éléments suggérant une augmentation de la gravité des cas de Covid-19 induits par ces sous-variants par rapport aux lignées précédentes.

 

Identifiés à la fin de l’année 2021, BA.4 et BA.5 sont désormais majoritaires en Afrique du Sud. Ils pourraient désormais s’imposer en Europe. « L’Institut national portugais de la santé a estimé que BA.5 représentait environ 37% des cas positifs au 8 mai 2022″, relève l’ECDC, qui ajoute que ce sous-variant devrait devenir dominant dans le pays d’ici le 22 mai. Leur avantage compétitif « est probablement dû à leur capacité à échapper à la protection immunitaire induite par une infection et/ou une vaccination antérieures, en particulier si celle-ci a diminué avec le temps ».

En France, le sous-variant BA.2 d’Omicron est toujours largement dominant, selon Santé publique France (SPF), avec 99% des séquences de la dernière enquête. Mais BA.4 et BA.5 ont déjà été détectés dans l’Hexagone et font l’objet d’« une surveillance renforcée », écrit l’agence sanitaire dans son bulletin épidémiologique du 5 mai. SPF précisait qu’au « 2 mai 2022, deux cas de BA.4 et six cas de BA.5 (avaient) été confirmés en France et (étaient) en cours d’investigation ».

Variants: vaccin Pfizer toujours efficace…. mais plus cher

  •  Variants: vaccin Pfizer toujours efficace…. mais plus cher

 

 

D’après les laboratoires Pfizer/BioNTech, leur vaccin est toujours efficace par rapport aux différents variants actuels. Curieusement cependant les mêmes labos recommandent une troisième dose alors que pour l’instant les experts n’ont encore pas déterminée la période de protection effective des vaccins. L’objectif est évidemment pour les labos d’augmenter les chiffres d’affaires et les profits qui sont considérables. En attendant le prix du vaccin Pfizer va augmenter. Le vaccin Pfizer passe ainsi de 15,5 à 19,5 euros et celui de Moderna de 19 à 21,5 euros. La logique voudrait cependant que la croissance exponentielle de la production tire les prix vers le bas. Une augmentation injustifiée d’autant que le vaccin n’a pas bénéficié d’amélioration depuis son début.

Le vaccin a rapporté à Pfizer 10,8 milliards de dollars (environ 9,2 milliards d’euros) de revenus au premier semestre 2021, période à partir de laquelle il a commencé à encaisser l’essentiel des ventes de ce traitement. De son côté, BioNTech a enregistré 7,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires au premier semestre. Pour tout 2021, il estime que ses ventes de vaccins anti-Covid 19 représenteront 15,9 milliards d’euros.

Du coup le vaccin sera encore plus inaccessible aux pays pauvres et notamment en Afrique où la vaccination atteint à peine 2 %. De quoi entretenir la pandémie pendant encore longtemps… et la production de vaccins

Vaccin Novavax : efficace à 93 % contre les variants

Vaccin Novavax : efficace à 93 % contre les variants

Selon la biotech américaine, le NVX-CoV2373 serait efficace à 93 % contre les variants dits « préoccupants » et ceux dits « intéressants » selon la classification du CDC (le centre de prévention et de contrôle des maladies américain) – soit les variants Alpha, Beta, Epsilon et Gama. Lors d’un précédent essai clinique, mené au Royaume-Uni auprès de 15.000 personnes, le candidat vaccin avait présenté une efficacité de près de 90 % contre le virus et ses variants.

D’autres souches étaient également en train de prendre de plus en plus d’ampleur au moment de l’étude. La biotech est d’autant plus confiante dans l’efficacité de son candidat vaccin contre les variants que ceux-ci représentaient 82 % des cas de Covid constatés pendant l’essai.

Novavax entend demander une autorisation d’utilisation aux principales autorités sanitaires mondiales d’ici à la fin du troisième trimestre 2021.

Notons que d’autres laboratoires ont également affirmé l’efficacité de leur propre vaccin contre les variants

Vaccin: efficace à 90%, contre les variants aussi

Vaccin:  efficace à 90%, contre les variants aussi

Plusieurs laboratoires notamment l’entreprise de biotechnologie américaine Novavax indiquent que leur vaccin anti-Covid est  efficace à plus de 90%, y compris contre les variants, après une étude réalisée sur près de 30.000 personnes aux États-Unis et au Mexique pour Novavax.

Covid monde : 3,8 millions de morts et menace de variants

  • Covid monde : 3,8 millions de morts et menace de variants

Si la situation globalement semble s’améliorer reste aussi la menace de nouveaux variants dans plusieurs pays en Afrique du Sud par exemple avec plus de 9000 nouvelles contaminations en 24 heures ou même plus près au Royaume-Uni où le variant Delta contamine 60 % des malades.

Après le brassage des vacances d’été, le risque est la résurgence d’une nouvelle bague à partir de ces variants.

Covid-Une dose de Pfizer, insuffisante face aux variants

  • Une dose de Pfizer, insuffisante face aux variants

Après une seule dose de vaccin Pfizer contre le Covid-19, on est moins susceptible de produire des anticorps protecteurs face aux variants initialement détectés en Inde et en Afrique du Sud que face à celui initialement repéré en Angleterre, selon une étude en laboratoire publiée vendredi dans la revue médicale The Lancet.

Selon le Francis Crick Institute qui a réalisé ces travaux, 79% des personnes avaient une réponse anticorps détectable contre la souche originale, mais cela tombait à 50% pour le variant Alpha, 32% pour le variant Delta et 25% pour le variant Beta.

Vaccins Covid-19: protection contre tous les variants (OMS)

Vaccins Covid-19: protection contre tous les variants (OMS)

les vaccins actuellement utilisés seraient efficaces contre tous les variants d’après l’OMS. Les vaccins actuellement disponibles et approuvés sont jusqu’à présent efficaces contre «tous les variants du virus», mais «La pandémie n’est pas terminée», a souligné Catherine Smallwood, chargée des situations d’urgence à l’OMS Europe.

 

Selon les données de l’OMS, dans l’ensemble de la région qui couvre une partie de l’Asie centrale, le nombre de nouveaux cas a chuté de 60% sur un mois, passant de 1,7 million mi-avril à 685.000 la semaine dernière. «Nous allons dans la bonne direction, mais nous devons rester vigilants (…) l’augmentation de la mobilité, des interactions physiques et des rassemblements peut entraîner une augmentation de la transmission en Europe», a insisté Hans Kluge.

En outre, l’assouplissement des mesures sociales doit aller de pair avec la hausse des efforts en matière de dépistage, traçage, séquençage et de vaccination.

Les vaccins efficaces contre les variants ( l’OMS)

  • Les vaccins efficaces contre les variants ( l’OMS)

«Tous les variants du virus du Covid-19 qui sont apparus jusqu’à présent répondent aux vaccins disponibles et approuvés» par l’OMS, a assuré Hans Kluge, le directeur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) Europe, lors d’une conférence de presse en ligne.

Interrogée sur l’efficacité du vaccin d’AstraZeneca sur le variant B.1.351, identifié pour la première fois en Afrique du Sud, l’OMS estime que la vaccination avec ce sérum réduit les formes graves de Covid-19.

Variants : le vaccin Pfizer est performant

Variants : le  vaccin Pfizer est performant

Le laboratoire allemand BioNTech a indiqué lundi tabler sur l’efficacité de son vaccin anti-Covid contre les variants du coronavirus, estimant qu’aucune étude ne plaide à ce stade pour la nécessité d’une nouvelle formule.

« À ce jour, rien n’indique qu’une adaptation du vaccin actuel de BioNTech contre les principaux variants émergents identifiés soit nécessaire », écrit l’entreprise dans un communiqué, ajoutant qu’elle développe cependant « une stratégie complète pour faire face à ces variants si le besoin s’en faisait sentir à l’avenir ».

 

Covid-19 : quels vaccins sont les plus efficaces aux variants ?

 Covid-19  : quels vaccins sont les plus efficaces aux variants ?

Quelles sont les vaccins les plus adaptés aux variants « Clairement, ce sont les ARN messagers ».

Ces vaccins à ARN messagers, ce sont les vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna. Ils injectent directement des séquences d’ARN qui conduisent les cellules à fabriquer des protéines présentes dans le coronavirus afin d’y habituer le système immunitaire. Ces séquences peuvent être très vite synthétisées en laboratoire.

Par contraste, les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson utilisent la technique du « vecteur viral ». Elle intègre également du matériel génétique aux cellules mais en prenant comme « navette » un virus préexistant, par ailleurs différent du coronavirus. Des vaccins qui sont plus longs à développer. En guère plus d’un mois, Moderna a lancé les essais cliniques d’un nouveau vaccin, alors qu’AstraZeneca a prévenu qu’un tel travail lui prendrait six mois – un délai rapide par rapport à la norme.

Les vaccins à ARN messager nécessitent cependant un maintien à très basse température, ce qui complique les étapes suivant la synthèse du principe actif.

Novatrices, ces deux catégories sont en tout cas beaucoup plus rapides à redévelopper que les vaccins classiques, dit « inactivés ». Pourtant, le gouvernement britannique fonde beaucoup d’espoirs sur ces vaccins pour répondre à l’émergence de nouvelles souches. Contre le Covid-19, ils ne sont pas encore approuvés en Europe mais l’un deux, développé par Valneva, devrait être distribué au Royaume-Uni d’ici à l’automne.

Alors que les vaccins à ARN messager et à vecteur viral se concentrent sur une petite partie du virus – la protéine S, dite « Spike » – les vaccins classiques 10 inactivés utilisent, eux le coronavirus dans son ensemble pour développer la réponse immunitaire. Cela « donne beaucoup plus de chances de refléter les mutations », a jugé début février le secrétaire d’État Nadhim Zahawi devant les parlementaires britanniques, jugeant que ce vaccin pouvait donc être « incroyablement efficace ».

Santé- La multiplication des variants favorisée par la lenteur de la vaccination

Santé- La multiplication des variants favorisée par la lenteur de la vaccination

 

 

 

Paradoxalement,  la campagne de vaccination très étalée pourrait favoriser la venue de nouveaux variants et même les multiplier. En effet, le virus s’ adapte et développe de nouvelles contagiosité et sa résistance aux anticorps. En se modifiant, les variants peuvent ainsi contourner les défenses immunitaires. D’une certaine façon, la lenteur de la campagne de vaccination mondiale va constituer un accélérateur de multiplication des variants. On a trouvé le variants britanniques, puis le variant sud-africain, le variants brésilien et même maintenant le variants américain.

 

Ainsi, l’immunité croissante permise soit par les vaccins, soit par les anticorps des asymptomatiques incite le virus à muter et va toucher des cibles en contournant les défenses immunitaires.

 

 

Plus la campagne sera étalée dans le temps et plus les variants vont se multiplier. Or en l’état des vaccins disponibles et des campagnes de vaccination, il paraît exclu que l’ensemble de la population mondiale puisse être vaccinée au cours de l’année 2021. Dans les pays développés comme l’Europe par exemple on propose simplement déjà un objectif de vaccination de 70 % pour l’été. Il s’agit bien entendu d’un objectif politique que la réalité sanitaire contredit. Ainsi en France pour tenir l’objectif il faudrait 5 millions de vaccinations par mois alors qu’on a vacciné en moyenne mensuellement un peu plus d’un million de personnes depuis le début de l’année.

 

Par ailleurs, la pandémie mondiale ne peut être combattue que par une politique sanitaire mondiale. Or dans ce domaine en dépit des promesses des états de l’organisation mondiale de la santé,  nombre de pays pour devront attendre pour recevoir un nombre significatif de vaccins sachant qu’ils n’ont pas les moyens de les payer eux-mêmes.

 

En attendant l’auto immunité mondiale que permettrait un plan de vaccination à la hauteur de l’enjeu, les chercheurs sont lancés dans une suite pour repérer le plus tôt possible la nature des variants notamment par le séquençage afin d’adapter rapidement en conséquence les vaccins notamment ceux à ARN messager.

La multiplication des variants favorisée par la lenteur de la vaccination

La multiplication des variants favorisée par la lenteur de la vaccination

 

 

 

Paradoxalement,  la campagne de vaccination très étalée pourrait favoriser la venue de nouveaux variants et même les multiplier. En effet, le virus s’ adapte et développe de nouvelles contagiosité et sa résistance aux anticorps. En se modifiant, les variants peuvent ainsi contourner les défenses immunitaires. D’une certaine façon, la lenteur de la campagne de vaccination mondiale va constituer un accélérateur de multiplication des variants. On a trouvé le variants britanniques, puis le variant sud-africain, le variants brésilien et même maintenant le variants américain.

 

Ainsi, l’immunité croissante permise soit par les vaccins, soit par les anticorps des asymptomatiques incite le virus a muter et va toucher des cibles en contournant les défenses immunitaires.

 

 

Plus la campagne sera étalée dans le temps et plus les variants vont se multiplier. Or en l’état des vaccins disponibles et des campagnes de vaccination, il paraît exclu que l’ensemble de la population puisse être vaccinée au cours de l’année 2021. Dans les pays développés comme l’Europe par exemple on propose simplement déjà un objectif de vaccination de 70 % pour l’été. Il s’agit bien entendu d’un objectif politique que la réalité sanitaire contredit. Ainsi en France pour tenir l’objectif il faudrait 5 millions de vaccinations par mois alors qu’on a vacciné en moyenne mensuellement un peu plus d’un million de personnes depuis le début de l’année.

 

Par ailleurs, la pandémie mondiale ne peut être combattue que par une politique sanitaire mondiale. Or dans ce domaine en dépit des promesses des états de l’organisation mondiale de la santé,  nombre de pays pour devront attendre pour recevoir un nombre significatif de vaccins sachant qu’ils n’ont pas les moyens de les payer eux-mêmes.

 

En attendant l’auto immunité mondiale que permettrait un plan de vaccination à la hauteur de l’enjeu, les chercheurs sont lancés dans une suite pour repérer le plus tôt possible la nature des variants notamment par le séquençage afin d’adapter rapidement en conséquence les vaccins notamment ceux à ARN messager.

La multiplication des variants favorisée par la lenteur de la vaccination

La multiplication des variants favorisée par la lenteur de la vaccination

 

 

 

Paradoxalement,  la campagne de vaccination très étalée pourrait favoriser la venue de nouveaux variants et même les multiplier. En effet, le virus s’ adapte et développe de nouvelles contagiosité et sa résistance aux anticorps. En se modifiant, les variants peuvent ainsi contourner les défenses immunitaires. D’une certaine façon, la lenteur de la campagne de vaccination mondiale va constituer un accélérateur de multiplication des variants. On a trouvé le variants britanniques, puis le variant sud-africain, le variants brésilien et même maintenant le variants américain.

 

Ainsi, l’immunité croissante permise soit par les vaccins, soit par les anticorps des asymptomatiques incite le virus a muter et va toucher des cibles en contournant les défenses immunitaires.

 

 

Plus la campagne sera étalée dans le temps et plus les variants vont se multiplier. Or en l’état des vaccins disponibles et des campagnes de vaccination, il paraît exclu que l’ensemble de la population puisse être vaccinée au cours de l’année 2021. Dans les pays développés comme l’Europe par exemple on propose simplement déjà un objectif de vaccination de 70 % pour l’été. Il s’agit bien entendu d’un objectif politique que la réalité sanitaire contredit. Ainsi en France pour tenir l’objectif il faudrait 5 millions de vaccinations par mois alors qu’on a vacciné en moyenne mensuellement un peu plus d’un million de personnes depuis le début de l’année.

 

Par ailleurs, la pandémie mondiale ne peut être combattue que par une politique sanitaire mondiale. Or dans ce domaine en dépit des promesses des états de l’organisation mondiale de la santé,  nombre de pays pour devront attendre pour recevoir un nombre significatif de vaccins sachant qu’ils n’ont pas les moyens de les payer eux-mêmes.

 

En attendant l’auto immunité mondiale que permettrait un plan de vaccination à la hauteur de l’enjeu, les chercheurs sont lancés dans une suite pour repérer le plus tôt possible la nature des variants notamment par le séquençage afin d’adapter rapidement en conséquence les vaccins notamment ceux à ARN messager.

 

Covid-19 : vacciner toute la planète pour éviter la multiplication des variants

Covid-19 : vacciner toute la planète pour éviter la multiplication des variants

 

 

Il y a évidemment une différence de cadencement  dans les processus de vaccination selon qu’il s’agit de pays développés ou  de pays pauvres. Aux États-Unis par exemple on vaccine à hauteur d’un million par jour ( 50 millions de personnes ont déjà été vaccinées) tandis qu’on accorde généreusement quelques milliers de vaccins à quelques paysp auvres  notamment africains.

Le problème évidemment c’est que le virus ne connaît pas les frontières surtout avec la mobilité internationale des personnes. D’où le risque d’un décalage calendaire entre les zones géographiques qui pourraient favoriser la multiplication de nouveaux variants dans les pays pauvres qui viendraient à leur tour contaminer les pays développés Alors qu’un nouveau variant a émergé au Nigeria, le Pr Christian Bréchot, ancien directeur de l’Inserm, a récemment défendu l’idée qu’il faudrait vacciner tout le globe pour ne pas favoriser de nouvelles mutations. Alors que les campagnes de vaccination sont surtout très avancées dans les pays les plus riches de la planète, commet-on une erreur – au-delà de la dimension morale – en favorisant ainsi l’émergence de mutants potentiellement résistants aux vaccins ? À cet égard, faut-il viser une vaccination de toute la planète pour diminuer ce risque des variants ?

Variants: une re-vaccination nécessaire ? (Union européenne)

Variants: une re-vaccination nécessaire ? (Union européenne)

 

 

 

L’ Union européenne qui a raté la première phase de vaccination avec des commandes complètement insuffisantes de vaccins tente de se racheter en essayant de prévoir l’évolution de la crise sanitaire du  fait de la progression des variants. Ainsi un dispositif de synergie de tous les acteurs médicaux et pharmaceutiques va être mis en place avec financements européens avec l’objectif de développer des capacités de production de ces vaccins de deuxième génération.

 

Il se pourrait bien en effet que la nature des nouveaux variants qui ne cesse d’évoluer nécessite une seconde vaccination.

L’optique est donc d’être prêts en cas de nouvelle vague liée aux variants. Malgré une campagne de vaccination implacable, le dérapage de la situation sanitaire au Royaume-Uni a inquiété en haut lieu. Et si la sortie de crise tant espérée en 2021 n’arrivait pas ? « Nous pourrions nous retrouver avec la nécessité de régulièrement revacciner les populations à risque. C’est un processus que nous maîtrisons avec la grippe. Il faut se préparer à le reproduire, si nécessaire, à plus grande échelle avec la Covid-19 », précise Ursula von der Leyen la présidente de la commission européenne.

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