Archive pour le Tag 'variable'

Garde à vue pour avoir voulu déloger des squatteurs

  • Garde à vue pour avoir voulu déloger des squatteurs de son logement
  • C’est un peu évidemment le monde à l’envers avec la mise en garde à vue d’un propriétaire qui a voulu déloger des squatters.
  • «Le 13 octobre 2021, en rentrant du supermarché, je constate que le portail a été fracturéavait raconté, la semaine dernière au Figaro le trentenaire vit avec sa mère malade. Il y a chez nous deux jeunes hommes, une femme et un pitbull. Ils ont jeté mes vêtements à la cave
  • Appelée aussitôt, la police avait fait sortir les individus… qui reviendront quelques minutes plus tard. Ils finiront par quitter les lieux après une énième intervention des forces de l’ordre.
  • Le 1er novembre, les squatteurs étaient pourtant de retour. Le propriétaire a tenté de récupérer pacifiquement son logement mais se retrouve désormais en garde à vue !
  • Au parquet de Bobigny, on réplique que «les violences peuvent être psychologiques: le simple fait d’arriver à 23 ( des voisins) en menaçant d’expulser des gens en pleine nuit, en plein hiver».

Retraites : variable d’ajustement des finances publiques

Retraites : variable d’ajustement des finances publiques 

L’économiste Michaël Zemmour et l’expert de la sécurité sociale Justin Besnard dénoncent, dans une tribune au « Monde », la règle d’équilibre budgétaire contenue dans l’article 1 de la loi organique relative au système universel de retraites, qui transforme de fait un régime « à prestations définies » en régime « à cotisations

 

Tribune.

Le débat public se concentre beaucoup sur les modalités techniques de la réforme, mais le cœur des deux projets de loi, l’un « ordinaire », « instituant un système universel de retraites » (64 articles), et l’autre, « organique », portant sur son financement (5 articles), est passé quasiment inaperçu : l’instauration dans le second d’une « règle d’or » qui ferait basculer dès 2022 la France dans un système où le niveau des pensions (taux de remplacement) n’est plus garanti, mais devient une variable d’ajustement des finances publiques.

Inscrite dans l’article 1 du projet de loi organique de la réforme des retraites, la règle d’or interdit au système tout déficit sur une période glissante de cinq ans – ce qui, en matière de retraite, constitue un horizon très court. D’apparence anodine, cette règle est une rupture institutionnelle et politique majeure.

En effet dans le cadre actuel, pour le régime général comme pour celui de la fonction publique, le calcul de la retraite en fonction d’un salaire de référence est défini par la loi. Ce système garantit globalement le niveau des pensions, malgré des altérations importantes dues aux réformes passées.

Si un déficit apparaît, une discussion politique est donc nécessaire pour analyser la source du déficit (structure des recettes, conjoncture, démographie), et évaluer dans quelle mesure il faut, en réponse, refinancer le système, tolérer un déficit temporaire et éventuellement réviser le niveau des prestations ou les critères d’âge.

En cela, notre système est un système à « prestations définies », dans lequel la protection des assurés est un objectif prioritaire. »


Agriculture : variable d’ajustement pour favoriser les échanges d’autres biens et services

Agriculture : variable d’ajustement pour favoriser les échanges d’autres biens et services

 

Comme souvent les intérêts des grands multinationales sont privilégiés dans les négociations commerciales, à la fin vient seulement la question agricole qu’on sacrifie pour vendre les produits phares de la France (Avions, matériel militaire, télécom, BTP, services) « . La profession agricole est par exemple en « désaccord profond » avec Emmanuel Macron à propos des négociations commerciales entre l’UE et les pays du Mercosur, qui menacent 20 à 25.000 exploitations en France, a lancé la présidenet de la FNSEA, Christiane Lambert,  au micro de BFM/RMC. La France « risque de perdre 20 à 25.000 exploitations » si l’Europe signe ces accords, a estimé, Christiane Lambert. Elle compte « redire samedi au président les risques qu’il fait prendre à l’agriculture française » lors de l’inauguration du salon à Paris. « Nous exprimerons jusqu’au bout notre désaccord (.) et nombre sont les consommateurs et les associations qui nous disent qu’ils sont à nos côtés » a-t-elle ajouté. La responsable s’inquiète particulièrement de l’absence de toute « garantie sanitaire » sur les quotas d’importation de viande brésilienne, argentine, uruguayenne ou paraguayenne qui seraient concédés par Bruxelles aux quatre pays de Mercosur afin de parvenir à un accord commercial global comprenant aussi les autres productions agricoles, l’industrie, les services etc. « L’agriculture a vraiment le sentiment d’être la variable d’ajustement d’autre chose » a ajouté la responsable.  Elle dit ne pas comprendre « l’obstination » de l’exécutif de faire entrer en Europe de la viande qui sera « à un prix inférieur de 30% » à celle produite en France, car issue d’animaux qui mangent des farines animales interdites en France, et qui ont grandi avec des accélérateurs de croissance et autres substances non utilisées en Europe. « Ce n’est pas notre choix de faire cet accord (…) Le président a dit qu’il voulait cet accord. C’est sa responsabilité », a-t-elle conclu. Emmanuel Macron est prévenu, les agriculteurs l’attendent de pied ferme.

Rémunération : de plus en plus variable

Rémunération : de plus en plus variable

Depuis quelques années, la part variable n’est plus réservée aux cadres dirigeants. Si au moins 90% des   » hauts potentiels  » touchent une part variable qui peut aller jusqu’à trois ou quatre mois de salaire en plus, désormais, même les cadres  » de premier niveau  » touchent des primes. Le cabinet  Deloitte estime que deux-tiers d’entre eux sont concernés. La part variable se chiffre alors à 8 ou 10% de leur salaire fixe annuel. Avantage aux grandes entreprises sur les PME : la différence de part variable peut se monter à 30% entre les grandes et les petites. La mode de la prime individuelle a même franchi le seuil du fameux statut cadre. Les non cadres sont eux aussi de plus en plus souvent intéressés aux résultats. Une catégorie se détache d’ailleurs : les commerciaux de terrain, sur qui les entreprises comptent plus que jamais pour sauver les meubles. Même s’ils ont tendance à s’assagir avec la crise. Deloitte estime qu’ils ont dans l’ensemble doublé en dix ans, notamment pour les cadres dirigeants.




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