Archive pour le Tag 'Vall'

PME – Valls :le CDD prolongé deux fois

PME - Valls :le CDD prolongé deux fois

C’est sans doute la mesure la plus importante du plan de soutien aux PME cette possibilité de reconduire deux fois au lieu d’une le CDD. Une mesure visant à s’adapter aux carnets de commandes très capricieux en cette période de croise. Mais  le Premier ministre a pris soin de ne pas franchir les lignes rouges des syndicats, en particulier de la CFDT, en ne touchant pas au contrat de travail à durée indéterminée (CDI).  Mais les 18 mesures inspirées de réformes mises en œuvre par d’autres gouvernements sociaux-démocrates européens vont parfois au-delà de ce qui était attendu. C’est le cas de la possibilité de renouveler deux fois au lieu d’une les contrats à durée déterminée (CDD) ou en intérim.   »Comme d’autres l’ont fait à côté de nous, il faut décider des mesures fortes : c’est ce que nous avons fait ce matin », a déclaré à la presse le Premier ministre. Trois jours après avoir dénoncé au congrès du PS le discours « anxiogène » du patronat sur la peur d’embaucher, c’est pourtant pour tenter de rassurer les chefs d’entreprises qu’il a annoncé un plafonnement des indemnités accordées par les juges prud’homaux pour les licenciements abusifs. De même, les vices de forme comme une lettre de licenciement mal rédigée ou hors délais, n’entraîneront plus la nullité de la rupture de contrat mais un mois de salaire d’indemnité. Alors que la loi sur le dialogue social en cours d’examen touche à peine à la complexité des contraintes liées à la taille des entreprises, ce plan simplifie les effets de seuils pour les PME, en gelant leurs impacts fiscaux pendant trois ans.

 

Manuel Valls : une micro loi sur le social

Manuel Valls : une micro loi sur le social

 

Après la mini loi Macron, la micro loi Valls. On devait reformer le code du travail, transformer les relations, alléger le coût du travail. Finalement on va se limitera une micro loi qui traitera essentiellement des délégués du personnel des PME. Pas étonnant, Valls ne dispose pas de majorité à l’assemblée ,par ailleurs la discussion entre patronat et syndicat sur le dialogue social a échoué. Peu importe on va montrer à Bruxelles que les réformes avancent. La réforme sociale de Valls ne sera même pas à la hauteur de ce qu’a été la Mini loi Macron pour  l’économie. Mais l’ essentiel est que Valls affirme sa volonté et son autorité !  Pour lisser les « effets de seuil » dénoncés par le patronat comme un frein à l’embauche, il propose de regrouper délégués du personnel, comité d’entreprise et Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) dans une délégation unique du personnel (DUP) dans les sociétés de 50 à 300 salariés. L’intégration du CHSCT dans une instance représentative du personnel (IRP) unique a été une cause de l’échec des discussions des partenaires sociaux en janvier. Manuel Valls a assuré que les DUP reprendraient les prérogatives des CHSCT. La future loi permettra d’étendre aussi ce regroupement dans les sociétés de plus de 300 salariés par accords d’entreprise. Cette simplification s’accompagnera d’une rationalisation des obligations de consultation et de négociation. Une vraie révolution !

Valls : non aux nouvelles demandes du MEDEF

Valls : non aux nouvelles demandes du MEDEF

 

On le sait Hollande et Valls n’ont guère apprécié les nouvelles demande du MEDEF relatives au SMIC, aux 35 heures ou encore à la remise en cause des CDI. En outre pour rallier les voix des frondeurs il fallait prendre une posture d’autorité vis-à-vis du patronat même si Valls a reconnu que ce sont les entreprises qui créent la richesse et donc l’emploi. C’est donc un non ferme opposé à la baisse du salaire minimum, un non au nouveau modèle social réclamé par Gattaz, un non à la flexibilité du contrat de travail. Le Premier ministre a aussi mis en demeure les branches professionnelles d’engager enfin les discussions du pacte de responsabilité. Pour enfoncer le clou et se dégager de son image libérale, Valls a même adressé un carton jaune au ministre du travail.   »Les demandeurs d’emploi ne doivent pas être stigmatisés. Personne n’aspire à devenir chômeur, ni à le rester », a-t-il plaidé. Assurant gouverner au nom de l’efficacité et non de l’idéologie, le premier ministre s’est démarqué du Medef en rejetant leurs propositions parues dans la presse. « Réformer, ce n’est pas casser. Réformer, ce n’est pas régresser. Et comme je l’ai déjà dit, il n’y aura pas de remise en cause des 35 heures ni de la durée légale du travail », a-t-il martelé, refusant toute réduction du Smic ou encore la suppression du CDI. Et pour gauchir un peu plus sa posture Valls a généreusement lâché une prime exceptionnelle pour les retraités à moins de 1200 euros par mois (à défaut de augmentation prévue puis annulée !), soit 40 euros !

 

Valls: baisse de l’impôt pour les couches moyennes….en 2015 « 

Valls: baisse de l’impôt pour les couches moyennes….en 2015  »

C’est promis, il y aura des baisses dimpôts pour les classes moyennes mais en 2015 ; on y travaille, a déclaré Valls. On se demande pourquoi alors il les a augmentés en 2014 ? Un coup à droite, u coup à gauche, Valls est en train de se griller les ailes avec son slalom à la mode Hollande. La preuve sur les autres dossiers c’est auusi la « Valls » hésitation ? Intermittents, SNCF, Alstom, impôts: le Premier ministre s’est expliqué ce vendredi 20 juin sur France Inter. Il a en particulier annoncé des baisses d’impôts dans le budget  Après avoir annoncé, hier, un geste à l’égard des intermittents du spectacle, Manuel Valls s’est expliqué ce vendredi 20 juin. « Il fallait donner un signe », a estimé le Premier ministre ce vendredi 20 juin sur France Inter.    Il a rappelé qu’une concertation tripartite allait s’engager et qu’il y « aurait une réforme d’ici la fin de l’année ». Mais il a refusé de dire si l’Etat prendrait définitivement en charge une partie du régime chômage de ces derniers. Il a en revanche réaffirmé que les crédits culturels seraient maintenus.  Concernant le conflit à la SNCF, Manuel Valls a estimé qu’ »une grève doit avoir un sens ». Or, « depuis le début, je n’ai pas compris le sens de celle-ci ».   Il a une nouvelle fois demandé « qu’elle s’arrête ». D’autant que le projet de réforme ferroviaire en cours d’examen « garantit le statut des cheminots ».  Sur Alstom, le chef du gouvernement a défendu l’attitude de l’exécutif. « Sans l’action du président et du gouvernement, Alstom serait sans condition dans les mains de General Electric ». Il a aussi défendu une nouvelle fois le décret anti-OPA étrangères et a renouvelé sa confiance envers Arnaud Montebourg et le travail de celui-ci.  Manuel Valls a ensuite annoncé qu’il ferait des annonces dans quelques semaines sur une baisse de l’impôt sur le revenu des classes moyennes dans le budget 2015. « Nous y travaillons actuellement », a-t-il confié.

 

Valls:  » trop d’impôts »

Valls:  » trop d’impôts »

Pour Valls il y a trop d’impôts mais reste à savoir s’il dispose vraiment des marges de manœuvre nécessaire avec d’un coté les déficits, de l’autre les 50 milliards d’économie à réaliser. Il se pourrait que les baisses soient d’ordre cosmétique notamment pour les ménages. C’est la semaine de vérité pour Manuel Valls. Mardi 8 avril, il prononcera la traditionnelle déclaration de politique générale de tout nouveau chef de gouvernement dans laquelle il détaillera les grands axes de son action et le calendrier des réformes qu’il compte mener.   Dans le JDD de ce 6 avril, il cadre ce discours. « Je veux aller à l’essentiel, créer les conditions de la confiance ». Ajoutant, ce qui fera sans doute plaisir à son prédécesseur qui avait lancé le chantier de la réforme fiscale: « les ravages de la hausse des impôts depuis quatre ans sont très importants. Les Français en ont assez du trop-plein d’impôts ».  Il vise en particulier «  »les classes moyennes » et « ceux qui se sont retrouvés imposables pour la première fois ». Lundi dernier, dans son intervention télévisée, François Hollande avait insisté sur une baisse des impôts d’ici à 2017.  « Les sujets économiques et sociaux s’imposeront », ajoute Manuel Valls. Il va être servi. A peine son discours prononcé, il va devoir décider des baisses de charges liées au pacte de solidarité. Baisses qui doivent concerner les entreprises mais aussi les salariés puisque François Hollande a ajouté cette promesse le 31 mars.   Puis, vendredi 11 avril, le groupe de travail sur la fiscalité des ménages mis en place par Jean-Marc Ayrault rendra ses propositions en matière de réforme fiscale et de baisse des impôts. Et le 15 avril en principe, le gouvernement présentera le détail des 50 milliards d’euros d’économies destinées à financer ces mesures.

 




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