Archive pour le Tag 'vagues'

Politique–Macron essaye d’exister avec de vagues référendums

Politique–Macron essaye d’exister avec de vagues  référendums

Le président de la république depuis la dissolution de l’Assemblée nationale et sa recomposition hétéroclite qui n’offre aucune certitude de stabilité se trouve lui aussi privé de pouvoir. Pour exister, il multiplie donc les déplacements l’étranger et tente de donner un coup de vernis positif à la situation politique du pays comme par exemple :la non-censure obtenue par Bayrou , l’amorce de la « culture du compromis » qu’il attendait de voir émerger depuis 2022 !

Le président souligne aussi avec beaucoup d’hypocrisie un progrès de la démocratie sociale à propos du conclave sur les retraites. Une vraie hypocrisie pour Macron qui s’est toujours efforcé de tuer la concertation dans les institutions et qui s’est affranchi de la concertation avec les organisations sociales.

Bref le président essaye de récupérer à son compte quelques aspects positifs de la vie politique sur laquelle pourtant il n’a plus de prise.

D’où la réaffirmation de lancer plusieurs référendums dont pourtant ils ne précisent pas l’objet. L’essentiel pour lui étant de donner l’impression qu’il consulte directement les Français. Le problème c’est que ça popularité est tellement basse qu’il aurait les plus grandes chances de voir un référendum quelque soit le motif devenir une consultation anti Macron.

Macron essaye d’exister avec de vagues projets de référendum

Macron essaye d’exister avec de vagues projets de référendum

Le président de la république depuis la dissolution de l’Assemblée nationale et sa recomposition hétéroclite qui n’offre aucune certitude de stabilité se trouve lui aussi privé de pouvoir. Pour exister, il multiplie donc les déplacements l’étranger et  tente de donner un coup de vernis positif à la situation politique du pays comme par exemple :la non-censure obtenue par Bayrou , l’amorce de la « culture du compromis » qu’il attendait de voir émerger depuis 2022 !.

Le président souligne aussi avec beaucoup d’hypocrisie un progrès de la démocratie sociale à propos du conclave sur les retraites. Une vraie hypocrisie pour Macron qui s’est toujours efforcé de tuer la concertation dans les institutions et qui s’est affranchi de la concertation avec les organisations sociales.

Bref le président essaye de récupérer à son compte quelques aspects positifs de la vie politique sur laquelle pourtant il n’a plus de prise.

D’où la réaffirmation de lancer plusieurs référendums dont pourtant ils ne précisent pas l’objet. L’essentiel pour lui étend de donner l’impression qu’il consulte directement les Français. Le problème c’est que ça popularité est tellement basse qu’il aurait les plus grandes chances de voir un référendum quelque soit le motif devenir une consultation anti Macon.

 

Budget : Le Maire propose tardivement des économies bien vagues

Budget : Le Maire propose tardivement des économies bien vagues

Sans doute pour répondre au très sévère critique des institutions financières françaises ou internationales le ministre des finances propose bien tardivement de très vague économie.

 « La France doit passer d’un État Providence à un État protecteur. L’État doit protéger les plus faibles, mais il ne doit pas continuer de verser des chèques et des aides de manière aussi large. L’Etat doit se concentrer sur l’éducation, la décarbonation, la Défense et la sécurité, et la réduction de la dette. Ce sont les priorités pour le XXIème siècle », confie-t-il à La Tribune.

Concernant le salaire le ministre des finances estime que. « Le débat politique est hors-sol aujourd’hui »l. « Le débat fait fi de toute réalité économique et financière. Par exemple sur le Smic, il y a des TPE, des PME, des indépendants et des artisans qui doivent payer leurs salariés. Si on leur demande de payer ces salariés 1.600 euros alors que la productivité baisse, ces entreprises licencieront », prévient l’ancien ministre de l’Agriculture sous Nicolas Sarkozy.

Pour le quinquagénaire, « la bonne solution pour augmenter le salaire net des salariés est de revoir complètement la pente des allègements de charges, redonner de la dynamique salariale, et continuer de créer de l’emploi ».

Bref, des pistes qui semblent très radicales mais qui n’ont pas été beaucoup mis en œuvre sans parler du flou qui les caractérise

La Covid 19 : Des vagues vont se succéder jusqu’à l’été voir plus tard (Conseil scientifique)

 Covid 19 : Des vagues vont se succéder jusqu’à l’été voir plus tard (Conseil scientifique)

 

En clair, le conseil scientifique n’exclut plus la possibilité d’autres vagues qui vont succéder à celle en cours. On parle désormais d’une crise qui pourrait durer jusqu’à l’été voire davantage. « Il est très difficile de prévoir combien de temps va durer la 2e vague, car cela dépend du virus lui-même, de son environnement climatique, des mesures qui vont être prises pour limiter la circulation du virus, de leur acceptation et donc de leur impact », écrit le Conseil scientifique.

« On peut faire une hypothèse d’une sortie de 2e vague en fin d’année ou début d’année 2021. Cette sortie devrait s’accompagner d’un retour de la circulation du virus à un niveau très contrôlé (5.000 à 8.000 nouvelles contaminations par jour maximum) », poursuit l’instance.

« On peut ainsi avoir plusieurs vagues successives durant la fin de l’hiver/printemps 2021, en fonction de différents éléments: état climatique, niveau et efficacité opérationnelle de la stratégie Tester/tracer/isoler (les cas positifs) », ajoute-t-il.

Les gouvernements seront donc confrontés à « la gestion de vagues successives de recrudescence » de l’épidémie, « jusqu’à l’arrivée des premiers vaccins et/ou traitements », peut-être au deuxième trimestre 2021 mais plus vraisemblablement pas avant l’été voire plus tard.

Crise TPE-PME : des promesses vagues

Crise TPE-PME : des promesses vagues

Le ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des petites et moyennes entreprises n’a pas failli à la tradition en annonçant des promesses très vagues pour les TPE et PME.

Rappelons que dans le plan de relance de 100 milliards seulement 5 milliards sont affectés à ces entreprises alors qu’elles constituent le noyau central de l’emploi en France. Le ministre s’est surtout contenté de flatter des chefs d’entreprise rassemblée à Montpellier car en faite il n’a pas de mandat pour répondre aux problèmes concrets. Objet de ce déplacement, à une semaine de la présentation du plan de relance (le 3 septembre) : entendre les réflexions des acteurs économiques sur la nécessaire (et tellement attendue) simplification des procédures administratives.

« L’Etat a montré sa faculté à faciliter les procédures, déclare Alain Griset. Nous voulons nous appuyer sur cette expérience pour la mettre en œuvre dans le quotidien. Il y a des étapes qu’on pourrait annuler pour gagner du temps. »

Il aura martelé à de nombreuses reprises que dans cette crise sanitaire, « l’Etat fait beaucoup ».

« S’il n’y a pas d’entreprise, il n’y a pas de sécurité sociale, pas de retraite, et au final pas d’autoroutes ou d’écoles, etc., lance le ministre, un brin courtisan, aux dirigeants d’entreprises depuis les salons de la préfecture de l’Hérault. C’est l’entreprise qui crée des richesses et elle doit être considérée comme prioritaire. En conséquence, on fait tout pour la sauver. Il faut toutes les chérir car elles sont indispensables, c’est l’une des leçons à tirer de la crise. »

Des mots mo qui sont davantage ceux  d’un observateur que d’un acteur en charge d’une politique.

G7 : de vagues promesses

  G7 : de vagues  promesses

A chaud, les medias soulignent le sucés du G7. En réalité, il s’agit surtout de vagues promesses et les deux sujets essentiels n’ont pas été abordés, à savoir : le risque d’une récession et la question environnementale. Ce qui est un succès c’est surtout la mise en scène théâtrale de Macron qui évidemment s’est servi de cette rencontre internationale à des fins intérieurs. Le communiqué final est d’ailleurs relativement court et vague. La déclaration, d’une page pas plus, recense une série de grands principes consensuels, comme un soutien à une trêve en Libye et un appel à éviter les violences à Hong Kong, théâtre depuis plusieurs semaines de manifestations massives. Le document passe sous silence la question climatique, signe des désaccords persistants entre l’administration Trump, pour qui ce n’est pas une priorité, et les autres grandes puissances. Le texte ne traite pas non plus des risques de récession et de l’inquiétante tendance à la baisse de l’activité générale.

Les sept dirigeants se sont par ailleurs promis de réformer “en profondeur” l’Organisation mondiale du commerce (OMC) afin de mieux protéger la propriété intellectuelle, de régler les problèmes plus rapidement et d’”éradiquer les pratiques commerciales déloyales”.

Le maître de cérémonie du sommet a appelé les présidents américain et iranien, Donald Trump et Hassan Rohani, à organiser une rencontre “au sommet”, pourquoi pas “dans les prochaines semaines”, qui pourrait selon lui contribuer à améliorer les relations entre les deux pays, aujourd’hui des plus glaciales.

Reste à convaincre les deux premiers concernés, notamment Donald Trump, qui s’est dit prêt à voir son homologue iranien mais seulement “quand les circonstances seront réunies”.

“Je le sens bien”, a déclaré le chef de l’Etat américain lors d’une conférence de presse, au côté d’Emmanuel Macron. “Je pense que (Hassan Rohani) voudra qu’on se rencontre et que le problème soit résolu”, a-t-il ajouté, soulignant le “potentiel énorme” de l’Iran.

Autre dossier, autre promesse : une potentielle taxe sur les géants du numérique, qui serait négociée à l’échelle de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Le sujet cristallise les tensions entre les Etats-Unis et la France, qui s’est attirée les foudres de Donald Trump en créant son propre impôt sur les Gafa (Google, Amazon, Facebook, Apple, entre autres), pour la plupart américains.

Selon Emmanuel Macron, les chefs de file du G7 ont “acté le fait” de “travailler pour trouver un accord en 2020 pour moderniser les règles de la fiscalité internationale dans le cadre de l’OCDE.” Un cadre qui risque de privilégier les intérêts des très grandes puissances et des géants du numérique en se contentant d’une taxe dérisoire.

Une fois cet accord trouvé, Paris s’engage à supprimer son impôt national et à rembourser aux entreprises la différence entre la taxe française et le nouveau système.

Donald Trump a pour sa part joué l’apaisement avec la Chine.

“La Chine a appelé hier soir nos principaux responsables sur le commerce pour dire: ‘remettons-nous à table’, donc nous allons nous remettre à table et je pense qu’ils veulent faire quelque chose”, a-t-il. “Ils ont été frappés très durement mais ils comprennent que c’est ce qu’il faut qu’ils fassent”.

Les négociations devraient reprendre très prochainement, a assuré le président américain, qui dit croire à un accord.

A Pékin, le ministère des Affaires étrangères a réaffirmé que la Chine était prête à prendre de nouvelles mesures pour protéger ses intérêts si les Etats-Unis mettaient en œuvre des droits de douane supplémentaires, tout en estimant que les deux pays devaient résoudre leurs différends par la négociation.




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