Archive pour le Tag 'vache'

Société et environnement -Du lait sans vache !

Société et environnement -Du lait sans vache !

Il y a déjà longtemps qu’on a créé des yaourts et autres desserts aux fruits mais sans fruit avec une mixture chimique pour remplacer. Cette fois, est du lait sans vache là aussi avec une mixture d’eau, de matières grasses, de sucre de caséine notamment.

De quoi fabriquer en nombre et sans des indésirables vaches du lait pour dessert, glaces et autre fromages.

On n’arrête pas le progrès puisqu’on sait faire chimiquement des biftecks à partir de cellules qui se multiplient sans recourir à la viande animale.

On imagine qu’on pourra bientôt fabriquer aussi du vin et même des grands crus sans pour autant avoir besoin de la vigne.

Il restera aussi à fabriquer du pain sans céréales ce qui devrait être possible. Une véritable victoire pour les Vega mais peut-être pas pour les gastronomes.

Créée il y a trois ans, Standing Ovation fabrique une protéine végétale avec une empreinte carbone moindre que celle du lait.

La prouesse est due à des microorganismes génétiquement modifiés nourris seulement d’eau, de sucre, de sel et d’azote minéral. Un savant dosage de caséine, eau, matière grasse et calcium végétaux, ferments et sucre permet ensuite d’obtenir fromages, yaourts et glaces totalement végans et sans lactose, mais avec le même contenu en protéines que ceux fabriqués à partir de lait, explique Romain Chayot, cofondateur et président de Standing Ovation. « Puisque les microorganismes et leur ADN sont éliminés durant le procédé, les produits finaux ne contiennent pas d’OGM, conformément à la réglementation en vigueur », précise-t-il.

Le principal avantage de cette innovation réside dans sa moindre empreinte environnementale. Selon une étude d’analyse du cycle de vie (ACV) commandée à un partenaire extérieur et prenant en compte l’ensemble de la chaîne de production, les produits laitiers fabriqués à partir de la « fermentation de précision » de Standing Ovation produisent ainsi 94 % moins de gaz à effet de serre que ceux issus du lait. Ils consomment 90 % d’eau en moins et utilisent 99 % de terres agricoles en moins. « Pour produire ne serait-ce qu’un gramme de lait, il faut un veau, donc une vache d’au moins deux ou trois ans qui, pendant ce temps, consomme des ressources et génère des gaz à effet de serre, explique Romain Chayot. Or, un fermenteur industriel de 200 mètres cubes se remplit d’une tonne de caséine en moins d’une journée. C’est l’équivalent de la production de plusieurs milliers de vaches. »

L’histoire ne dit pas quelle sera l’effet de toute cette cuisine chimique sur la santé d’ici 30 ou 50 ans

Alors que les soupçons s’accumulent concernant les effets des additifs sur la santé, des chercheurs français montrent que nous y sommes bien plus exposés que ce que l’on pourrait croire.

L’UFC que choisir attire l(attention possibles effets délétères des additifs sur la santé qui se font de plus en plus nombreuses.

Des chercheurs français ont fait tester des milliers de produits en laboratoire, analysé les données fournies par plusieurs agences expertes et croisé leurs résultats avec les déclarations de consommations alimentaires d’environ 100 000 concitoyens.

Leurs résultats (1), publiés dans la revue scientifique Scientific Reports, font froid dans le dos : alors que l’on pouvait penser être exposés à des quantités infimes de ces molécules invisibles, les chercheurs sont au contraire arrivés à la conclusion que nous en consommions, en moyenne, 155,5 milligrammes par jour et par kilogramme de poids corporel. Rapporté au poids moyen des Français (72,4 kilogrammes), cela signifie que nous ingérons quotidiennement 11,3 grammes d’additifs… soit l’équivalent de deux carrés de sucre par jour, ou encore 4 kilogrammes par an ! Quant aux 5 % de Français les plus exposés (les plus gros consommateurs d’aliments ultratransformés), ils en avalent en moyenne 25 grammes par jour, soit près de 10 kilogrammes par an.
Bon appétit !

Du lait sans vache !

Du lait sans vache !

Il y a déjà longtemps qu’on a créé des yaourts et autres desserts aux fruits mais sans fruit avec une mixture chimique pour remplacer. Cette fois, est du lait sans vache là aussi avec une mixture d’eau, de matières grasses, de sucre de caséine notamment.

De quoi fabriquer en nombre et sans des indésirables vaches du lait pour dessert, glaces et autre fromages.

On n’arrête pas le progrès puisqu’on sait faire chimiquement des biftecks à partir de cellules qui se multiplient sans recourir à la viande animale.

On imagine qu’on pourra bientôt fabriquer aussi du vin et même des grands crus sans pour autant avoir besoin de la vigne.

Il restera aussi à fabriquer du pain sans céréales ce qui devrait être possible. Une véritable victoire pour les Vega mais peut-être pas pour les gastronomes.

Créée il y a trois ans, Standing Ovation fabrique une protéine végétale avec une empreinte carbone moindre que celle du lait.

La prouesse est due à des microorganismes génétiquement modifiés nourris seulement d’eau, de sucre, de sel et d’azote minéral. Un savant dosage de caséine, eau, matière grasse et calcium végétaux, ferments et sucre permet ensuite d’obtenir fromages, yaourts et glaces totalement végans et sans lactose, mais avec le même contenu en protéines que ceux fabriqués à partir de lait, explique Romain Chayot, cofondateur et président de Standing Ovation. « Puisque les microorganismes et leur ADN sont éliminés durant le procédé, les produits finaux ne contiennent pas d’OGM, conformément à la réglementation en vigueur », précise-t-il.

Le principal avantage de cette innovation réside dans sa moindre empreinte environnementale. Selon une étude d’analyse du cycle de vie (ACV) commandée à un partenaire extérieur et prenant en compte l’ensemble de la chaîne de production, les produits laitiers fabriqués à partir de la « fermentation de précision » de Standing Ovation produisent ainsi 94 % moins de gaz à effet de serre que ceux issus du lait. Ils consomment 90 % d’eau en moins et utilisent 99 % de terres agricoles en moins. « Pour produire ne serait-ce qu’un gramme de lait, il faut un veau, donc une vache d’au moins deux ou trois ans qui, pendant ce temps, consomme des ressources et génère des gaz à effet de serre, explique Romain Chayot. Or, un fermenteur industriel de 200 mètres cubes se remplit d’une tonne de caséine en moins d’une journée. C’est l’équivalent de la production de plusieurs milliers de vaches. »

L’histoire ne dit pas quelle sera l’effet de toute cette cuisine chimique sur la santé d’ici 30 ou 50 ans

Alors que les soupçons s’accumulent concernant les effets des additifs sur la santé, des chercheurs français montrent que nous y sommes bien plus exposés que ce que l’on pourrait croire.

L’UFC que choisir attire l(attention possibles effets délétères des additifs sur la santé qui se font de plus en plus nombreuses.

Des chercheurs français ont fait tester des milliers de produits en laboratoire, analysé les données fournies par plusieurs agences expertes et croisé leurs résultats avec les déclarations de consommations alimentaires d’environ 100 000 concitoyens.

Leurs résultats (1), publiés dans la revue scientifique Scientific Reports, font froid dans le dos : alors que l’on pouvait penser être exposés à des quantités infimes de ces molécules invisibles, les chercheurs sont au contraire arrivés à la conclusion que nous en consommions, en moyenne, 155,5 milligrammes par jour et par kilogramme de poids corporel. Rapporté au poids moyen des Français (72,4 kilogrammes), cela signifie que nous ingérons quotidiennement 11,3 grammes d’additifs… soit l’équivalent de deux carrés de sucre par jour, ou encore 4 kilogrammes par an ! Quant aux 5 % de Français les plus exposés (les plus gros consommateurs d’aliments ultratransformés), ils en avalent en moyenne 25 grammes par jour, soit près de 10 kilogrammes par an.
Bon appétit !

Londres : le beurre, l’argent du beurre et la zizanie entre la vache et la fermière

Londres : le beurre, l’argent du beurre et la zizanie entre la vache et la fermière

Il apparaît de plus en plus clairement que la Grande-Bretagne n’a pas de plan B pour gérer le brexit y comprit la première ministre Theresa May ;  la position de la grande Bretagne paraît en effet schizophrénique. Pour respecter le chois des  électeurs,  le gouvernement britannique confirme qu’il veut une rupture avec l’union européenne mais en conservant les  avantages de membre. Pour cela la Grande-Bretagne tente de faire durer le plus possible les négociations qui normalement ne devraient pas dépasser deux ans. Mais il est vrai que la complexité du dossier pourrait encourager les Britanniques à donner encore du temps au temps en espérant notamment que l’Allemagne s’efforcera de limiter les inconvénients d’un départ de l’union économique.  Dans le même temps la Grande-Bretagne veut négocier directement avec les acteurs économiques comme Renault par exemple pour accorder des droits de douane réduits spécifiques. Récemment Theresa May a aussi engagé des négociations avec la Pologne, pays relativement eurosceptique en matière d’échanges économiques. En clair la Grande-Bretagne cherche à diviser les partenaires européens pour adoucir les conséquences du brexit. Pas forcément une attitude qui sera très appréciée en Europe. La Première ministre britannique Theresa May a ainsi discuté lundi avec son homologue polonais du renforcement de la coopération entre Londres et Varsovie dans les secteurs de la défense, de la sécurité et du commerce, cherchant à trouver un terrain d’entente après la décision des Britanniques de sortir de l’Union européenne. Ce sommet, auquel participaient de nombreux ministres, était essentiellement consacré aux relations entre les deux pays dans le contexte de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. « La Grande-Bretagne et la Pologne étaient de proches alliés au sein de l’Union européenne et nous prévoyons de nous rapprocher davantage une fois que le Royaume-Uni sera parti », a déclaré Theresa May lors d’une conférence de presse organisée après la rencontre.




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