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Vaccin Coronavirus: une deuxième dose nécessaire par les 3 à 4 semaines

Vaccin Coronavirus: une deuxième dose nécessaire par les 3 à 4 semaines

Plusieurs pays ont décidé de n’appliquer pour l’instant qu’une seule dose pour couvrir un spectre plus large de la population. Normalement deux doses sont nécessaires. L’organisation mondiale de la santé recommande de ne pas trop éloigner les deux vaccinations du vaccin Pfizer “Nous avons délibéré et arrêté la recommandation suivante : deux doses de ce vaccin (Pfizer) dans les 21-28 jours”, a déclaré Alejandro Vravioto, président du Groupe stratégique consultatif d’experts (SAGE) sur la vaccination, lors d’une conférence de presse en ligne.

Pour les pays soumis à des contraintes exceptionnelles sur l’offre de vaccin, ce délai peut être prolongé de plusieurs semaines afin de “maximiser le nombre d’individus bénéficiant d’une première dose”, a-t-il ajouté.

Depuis son apparition à la fin 2019, le virus du Covid-19 a fait 1,85 million de morts dans le monde, pour un total supérieur à 85 millions de contaminations, selon les calculs de Reuters établis sur la base de données officielles.

Vaccin Grande-Bretagne : des dizaines de millions au premier trimestre

Vaccin Grande-Bretagne : des dizaines de millions au premier trimestre

 

La Grande-Bretagne est particulièrement touchée par le virus notamment le virus mutant avec par exemple près de 55 000 contaminations en 24 heures annoncées dimanche. Par ailleurs le nombre de morts est le plus élevé d’Europe avec 75 000.

Du coup les autorités envisagent une stratégie de vaccination massive qui concernera plusieurs dizaines de millions de personnes au premier trimestre 2021.

Le pays a été l’un des premiers au monde à lancer une campagne de vaccination contre le COVID-19 début décembre, et le premier à autoriser en urgence le vaccin de Pfizer-BioNTech, puis celui développé par AstraZeneca avec l’université d’Oxford.

Ce dernier vaccin, approuvé la semaine dernière par l’agence britannique du médicament, sera disponible à partir de lundi, a fait savoir le chef du gouvernement.

 

« Vaccin : un sabotage administratif». ( François de Closets)

« Vaccin : un sabotage administratif». ( François de Closets)

 

Dans l’Opinion ,François de Closets s’insurge contre la lenteur administrative concernant la vaccination en France .

 

 

Contre la Covid, nous faisons quelques dizaines de vaccinations à grand spectacle quand nos voisins en font des milliers, voire des dizaines de milliers. Une paralysie qui reproduit celle que nous avons connue sur les tests de dépistage. La raison est toujours la même : une inefficacité administrative érigée au rang de sabotage. Voyons cela.

Première erreur : les masques. La classe politique ayant stupidement vidé notre arsenal sanitaire, il fallait au plus vite, le reconstituer sur un marché mondial en folie. Nous nous sommes retrouvés empêtrés dans la lente et lourde procédure des marchés publics, alors que les cargaisons faisaient l’objet jusqu’à la dernière minute de surenchères payées en cash. Nos lenteurs détournaient les livraisons en provenance de l’étranger mais elles freinaient aussi la production nationale, en faisant attendre interminablement les agréments nécessaires aux entreprises.

L’impossibilité de réaliser les tests n’est pas moins incompréhensible. La France était parfaitement équipée en laboratoires, publics ou privés, médicaux ou vétérinaires, pour répondre à cette brusque explosion de la demande. Mais les laboratoires médicaux du secteur public étaient seuls habilités à pratiquer ces examens. Il en est allé de même pour les lits de réanimation que l’on cherchait dans l’hôpital public en oubliant les cliniques privées. Et que dire de ces « attestations dérogatoires de déplacement », une stupidité qui a accompagné les déplacements des Français pendant le confinement.

Cela n’était rien encore, le chef-d’œuvre kafkaïen fut atteint avec la vaccination. L’injection vaccinale est un acte médical des plus simples, laissé aux infirmières ou aux pharmaciens. Il est, le plus souvent, obligatoire et pratiqué en séries. Faute de l’imposer pour la Covid-19, l’administration aurait pu présumer l’acceptation et laisser aux réfractaires le soin d’expliciter leur refus. Impossible, car la bureaucratie sanitaire en a fait un acte médical majeur nécessitant un consentement éclairé, comme les plus lourdes opérations chirurgicales.

«Notre délire vaccinal vise simplement à mettre ceux qui organiseront la campagne ou procéderont aux injections à l’abri des vaccinés mécontents ou des “antivax” enragés»

Elle a donc pondu un mode d’emploi de 45 pages prévoyant une consultation préalable ! La procédure prévoit aussi un consentement donné par écrit et renouvelé de vive voix, s’y ajoute un suivi, la tenue d’un fichier conservant le numéro du lot, etc. Autant de règles qui deviennent ingérables lorsqu’il s’agit de personnes très âgées, bien souvent sous tutelle, qui constituent pourtant la première cohorte des Français à vacciner.

Nous voilà donc équipés par notre administration d’un carcan qui renforce la méfiance de la population française – « Si l’on prend tant de précautions, c’est bien la preuve qu’il y a un risque grave » – et ralentit les opérations au point que, si même le vaccin a l’efficacité espérée, il mettra une bonne année pour débarrasser la France de la Covid-19.

Voilà donc le dernier exemple en date de cette emprise bureaucratique qui a paralysé la France face au coronavirus. L’hôpital public a échappé à la bérézina car le personnel soignant a pris les choses en main – les « choses » étant en l’occurrence des malades qui risquaient de mourir — et fait au mieux, sans se soucier des règlements hospitaliers.

Comment expliquer qu’un système administratif, dont l’excellence est toujours célébrée, ait un bilan aussi cataclysmique ? La réponse tient en un mot : la bureaucratisation. Notre fonction publique s’est mise à son propre service, elle vise d’abord à assurer l’irresponsabilité des fonctionnaires. Ne cherchez pas ailleurs la vraie raison de notre délire vaccinal. Il vise simplement à mettre ceux qui organiseront la campagne ou procéderont aux injections à l’abri des vaccinés mécontents ou des « antivax » enragés. Ce cursus vaccinorum assure la tranquillité de ceux qui le suivent. Il est donc excellent.

«Lorsque l’urgence renverse la table, que les solutions préfabriquées perdent toute pertinence, le cadre réglementaire devient un piège qui se referme. Voilà ce que nous avons découvert au cours de la crise sanitaire. Comment en sortir?»

Ces dysfonctionnements sont liés à la crise sanitaire, donc circonstanciels. Dans des conditions ordinaires, ces accumulations de procédures ne font que ralentir le fonctionnement du pays mais en période de crise, lorsque l’urgence renverse la table, que les solutions préfabriquées perdent toute pertinence, le cadre réglementaire devient un piège qui se referme. La France se trouve administrée contre les Français. Voilà ce que nous avons découvert au cours de la crise sanitaire. Comment en sortir ?

La France n’a pas à réinventer son administration. Elle s’est construite autour de son Etat et, dans l’ensemble, elle n’a pas à le regretter. Conservons donc ce qui fonctionne, c’est-à-dire la gestion ordinaire, et corrigeons ce qui ne fonctionne pas, c’est-à-dire la gestion de crise. Et c’est là que l’on bute sur la question de la responsabilité.

Quelles que soient les circonstances, le fonctionnaire sait que, s’il applique le règlement, il est irréprochable. Qu’il impose des délais mortifères, qu’il interdise le recours à des solutions de secours, qu’il transforme les contrôles en procédures paralysantes, peu importe. Dès lors qu’il peut se réfugier derrière le règlement, il n’aura à répondre de rien. Si, au contraire, il s’aventure hors des routes tracées pour improviser une solution ad hoc, il perd la protection statutaire et ne pourra se justifier par les résultats obtenus car sa responsabilité n’est pas de résultat mais de moyen.

Voilà précisément ce qui n’est plus admissible. L’urgence doit changer non pas l’administration mais son mode de fonctionnement. Face à la situation nouvelle crée par la crise, le fonctionnaire doit improviser. Ce n’est pas une possibilité mais une obligation. Tirons donc au plus vite les enseignements des dysfonctionnements révélés par la crise sanitaire, instaurons l’administration à deux vitesses. Si longtemps que l’on reste dans le cours ordinaire des évènements, la France est structurée par son droit administratif et les fonctionnaires qui l’appliquent. Le système doit certes être amélioré mais il doit d’abord être conservé.

Mais, lorsque surviennent, à l’échelle locale ou nationale, des situations extrêmes, des singularités qui font exploser les paramètres et rendent inopérantes nos lois, alors l’administration doit trouver instantanément le mode de fonctionnement le plus adapté aux circonstances. Une liberté qui entraîne une responsabilité. Celle-ci ne doit pas se fonder sur la conformité au règlement mais sur la pertinence des initiatives. Le respect scrupuleux et hors de propos des modes de fonctionnement ne serait plus une clause absolutoire mais une circonstance aggravante.

L’introduction dans notre droit administratif de ce double mode de fonctionnement soulève de nombreuses difficultés juridiques. Raison de plus pour la lancer sans attendre. Toute la fonction publique doit désormais savoir qu’en situation d’urgence, le respect du règlement ne la protège plus mais peut au contraire la condamner. Seule l’action au service des Français peut rendre à l’administration sa raison d’être, aux fonctionnaires leur dignité.

François de Closets est journaliste et essayiste. Dernier ouvrage paru : Les guerres d’Albert Einstein, tome II (Robinson Editions)

Macron : l’espoir ….. en attendant le vaccin !

Macron :  l’espoir ….. en attendant le vaccin !

 

Un discours d’espoir de la part du chef de l’État qui a insisté sur la perspective du vaccin contre le Coronavirus. Le problème c’est qu’en même temps le chef de l’État faisait l’éloge de la lenteur. En justifiant les carences françaises par de supposées sûretés vis-à-vis des bonnes conditions dans lesquelles la vaccination doit se faire.

Au total, un discours assez fade et peu crédible avec des propos assez généraux “Les épreuves que nous avons affrontées auraient pu émousser notre enthousiasme, désaltérer l’espoir. Il n’en est rien. L’espoir est là. Dans ce vaccin que le génie humain a fait venir en un an seulement, c’était impensable il y a encore quelques mois”, a-t-il dit.

À noter toujours le fameux en même temps qui caractérise le président : “Je vous le dis avec beaucoup de détermination ce soir, je ne laisserai personne jouer avec la sureté et les bonnes conditions (…) dans lesquelles la vaccination doit se faire”, a assuré Emmanuel Macron.

Mais en même temps “Et je ne laisserai pas davantage, pour de mauvaises raisons, une lenteur injustifiée s’installer”, a-t-il ajouté.

“Chaque Français qui le souhaite doit pouvoir se faire vacciner”. Le problème, c’est quand ? En effet la vaccination massive ne pourra avoir lieu réellement qu’à partir du second trimestre. Aujourd’hui la France vaccine 300 à 400 personnes tandis que les États-Unis en ont vacciné plusieurs millions. La Russie 1 million, l’Allemagne près de 100 000, la Grande-Bretagne environ 200 000.

“Au moins jusqu’au printemps, l’épidémie pèsera encore beaucoup sur la vie de notre pays”, a-t-il dit. Mais “l’espoir grandit chaque jour dans cette relance qui déjà frémit en France plus qu’ailleurs et qui va nous permettre dès le printemps d’inventer une économie plus forte”.

Emmanuel Macron a également plaidé l’espoir “dans la liberté que nous retrouverons” alors que le pays est toujours soumis à un couvre-feu à partir de 20h00, limitant les festivités des Français pour le réveillon du Nouvel An.

“En 2020, nous avons su conduire les transformations nécessaires et renforcer notre crédibilité. Nous avons su convaincre l’Allemagne, puis les autres membres de l’Union européenne, de concevoir un plan de relance unique, de décider d’un endettement commun et solidaire pour mieux préparer notre avenir”, a-t-il rappelé.

Le couplet unitaire sonne assez faux quand le président affirme “Notre nation a traversé cette année avec une telle unité et une telle résilience, rien ne peut lui résister (…) En 2021, quoiqu’il arrive, nous saurons donc faire face aux crises »

Vaccin : la France «championne du monde» des « anti », pourquoi ?

Vaccin : la France «championne du monde» des « anti », pourquoi ?

40% seulement des Français accepteraient de se faire vacciner contre le Covid, selon une étude Ipsos Global Advisor en partenariat avec le Forum économique mondial. Un pourcentage en plus en nette diminution par rapport à août près de 60 % se disaient favorable à la vaccination. En cause, les nombreuses interrogations voire les contradictions non seulement des pouvoirs politiques mais aussi des autorités sanitaires depuis le début de la crise.

Plus fondamentalement, c’est la crédibilité des autorités qui est en cause non seulement à propos de la stratégie sanitaire mais dans tous les autres champs de la politique. D’un point de vue global sur toute les questions ou presque,  il y a une opposition de 60 à 70 % des Français au gouvernement. La problématique n’est donc pas seulement sanitaire mais politique.

Les autorités se sont trop contredites, elles se sont en plus noyés dans des bavardages inutiles et incompréhensibles. Le chef de l’État lui-même est tombé dans le piège du verbiage permanent en se transformant en expert médical lui-même. De la même manière qu’il endosse le rôle de premier ministre, de ministre et de directeurs d’administration. Sans parler de ses digressions philosophiques à prétention intellectuelle qui avec ce le fameux en même temps le conduit à dire tout et le contraire par opportunisme politique.

La France n’est pas le seul pays où les intentions vaccinales sont relativement basses. Ainsi, selon l’étude Ipsos Global Advisor, seuls 43% des Russes sont prêts à se faire vacciner, et 53% des Sud-Africains. Arrivent ensuite le Japon (60%), l’Italie et l’Espagne (62%), puis l’Allemagne (65%).

À l’opposé, la Chine est en tête des pays où les personnes interrogées sont les plus enclines à se faire vacciner (80%), devant le Brésil (78%) et le Royaume-Uni (77%), premier à avoir commencé les vaccinations le 8 décembre. Les États-Unis, où une immense campagne de vaccination a également commencé, sont le seul pays où les intentions de vaccination sont en hausse (69% aujourd’hui, 64% en octobre).

Vaccin AstraZeneca : autorisation retardée

Vaccin AstraZeneca : autorisation retardée

“Ils n’ont même pas encore déposé de demande”,  a déclaré mardi le  directeur exécutif adjoint de l’agence européenne du médicament, Noël Wathion, dans une interview publiée par le quotidien belge Het Nieuwsblad. A ce jour, ajoute-t-il, l’agence européenne n’a reçu que certaines informations à propos du vaccin. “Même pas assez pour justifier une licence de commercialisation sous condition”, précise-t-il.

“Il nous faut des données additionnelles sur la qualité du vaccin. Et ensuite, la compagnie devra déposer une demande formelle.”Dans ces conditions, poursuit-il, il est “improbable” que l’Agence européenne des médicaments puisse autoriser le mois prochain ce candidat vaccin contre le coronavirus.

A ce jour, seul le vaccin développé par Pfizer et BioNTech a été validé par l’agence européenne, et les campagnes de vaccination ont débuté ce week-end sur le territoire de l’Union européenne. En plus de Pfizer/BioNTech, les Etats-Unis et le Canada ont également approuvé le vaccin mis au point par Moderna

Covid Espagne : un registre national des récalcitrants au vaccin

Covid Espagne : un registre national des récalcitrants au vaccin

Alors que plusieurs pays dont la France envisagent de délivrer une sorte de passeport pour les personnes vaccinées, l’Espagne, elle, se veut beaucoup plus radicale en envisageant la création d’un registre des personnes . Comme en France, le vaccin contre la Covid-19 ne sera pas rendu obligatoire en Espagne ; en revanche, le gouvernement va tenir un registre des personnes qui refusent de se faire vacciner.

« Ce qu’on va faire, c’est un registre qui sera partagé avec d’autres pays européens« , a-t-il été déclaré, précisant qu’il se référait « aux personnes auxquelles on l’aura proposé et qui, tout simplement, l’auront refusé« . « Il ne s’agit pas d’un document qui sera rendu public », a-t-on assuré, ajoutant que ce fichier serait élaboré « avec le plus grand respect pour la protection des données« . On voit mal le Conseil d’État le conseil constitutionnel accepter en France la tenue d’un tel registre.

ASTRAZENECA: le vaccin gagnant ?

ASTRAZENECA: le vaccin gagnant ?

« Nous avons trouvé la formule gagnante et comment arriver à une efficacité, qui, avec deux doses, est élevée comme celle des autres », a déclaré le directeur général Pascal Soriot dans le Sunday Times, assurant que son vaccin assurait une « protection de 100% » contre les formes sévères du Covid-19.

Le vaccin Oxford/AstraZeneca est très attendu car il est relativement peu coûteux et n’a pas besoin d’être conservé à une température aussi froide que celui de Pfizer/BioNTech par exemple, conservé à -70 degrés. Cela rend plus aisé une vaccination à grande échelle ainsi que dans les maisons de retraites.. Le gouvernement britannique a annoncé mercredi avoir soumis les données complètes du vaccin Oxford/AstraZeneca au régulateur britannique, la MHRA. Selon la presse britannique, cette dernière doit se prononcer dans les tous prochains jours en vue d’injection à partir du 4 janvier.

 

Vaccin Pfizer-BioNTech : autorisé en France

Vaccin Pfizer-BioNTech : autorisé en France

Un premier vaccin autorisé en France mais qui ne sera pas forcément le plus utilisé compte tenu de certains effets néfastes notamment vis-à-vis des personnes allergiques.

« L’utilisation du vaccin chez les personnes présentant des antécédents d’allergies graves de type anaphylactique, compte-tenu des cas rapportés en Grande-Bretagne et en attente de données complémentaires, n’est pas recommandée. »

 

La Haute Autorité décourage encore ceux qui auraient dans l’idée de doubler leur vaccin avec d’autres inoculations: « En l’absence de données disponibles à ce jour, la co-administration du vaccin BNT162b2 avec d’autres vaccins n’est pas recommandée ». “Le vaccin BNT162b2 peut être utilisé chez les personnes de 16 ans et plus et y compris les plus âgées du fait de son efficacité et de son profil de tolérance satisfaisant”, estime la HAS dans un avis sur la stratégie de vaccination. Mais “Cet avis sera revu en fonction de l’évolution des connaissances, notamment au regard des résultats complets des essais de phase 3”, précise la HAS. Une précaution oratoire sans doute utile !

Vaccins : des prix de 1,78 et 14,70 euros par vaccin !

 

Vaccins : des prix de 1,78 et 14,70 euros par vaccin !

Le prix des vaccins varie de 1,78 euro pour le vaccin du groupe suédo-britannique AstraZeneca, à 14,70 euros pour celui de l’américain Moderna. Une information qui devait rester secrète mais qui a été divulgué maladroitement par Eva de Bleeker, la secrétaire d’Etat belge au Budget « Je voulais être transparente, peut-être un peu trop transparente », a déclaré la gaffeuse en admettant sa bourde devant les députés belges. Mais cela « ne met en rien en péril » les livraisons des vaccins à la Belgique, a-t-elle assuré.

La communication de ce tableau censé rester confidentiel a eu lieu lors d’un débat budgétaire intense, alors que Mme De Bleeker se voyait reprocher par des députés de l’opposition le manque des moyens dégagés par l’Etat belge pour l’achat de vaccins.

Coronavirus : réaction allergique au vaccin Pfizer

Coronavirus : réaction allergique au vaccin Pfizer

Une professionnelle de santé vivant en Alaska a présenté une grave réaction allergique après avoir reçu une injection du vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19, au point d’être hospitalisée, rapporte le « New York Times ». Cette agente de santé, dont l’identité n’a pas été précisée, ne possédait pas d’antécédent allergique connu. Ces réactions allergiques avaient été annoncées par le laboratoire.

Pression inadmissible sur l’EMA, agence européenne pour approuver le vaccin de Pfizer/BioNTech

Pression inadmissible sur l’EMA, agence européenne  pour approuver le vaccin de Pfizer/BioNTech

Un responsable de l’EMA, l’agence européenne des médicaments estime que la pression exercée sur l’agence par les gouvernements de l’Union européenne à travers les “canaux de communication habituels” s’était notamment accrue après qu’une autorisation d’utilisation d’un vaccin en urgence a été accordée par le Royaume-Uni.

Les plus grandes pressions concernent le vaccin contre le COVID-19 développé par le laboratoire américain Pfizer et son partenaire allemand BioNTech .

“Toutes les données nécessaires sur BioNTech sont disponibles”, a écrit dimanche le ministre allemand de la Santé Jens Spahn sur Twitter.

“Le Royaume-Uni et les États-Unis ont déjà accordé leur approbation. Une évaluation des données et une approbation par l’EMA devraient avoir lieu le plus rapidement possible”, a-t-il ajouté.

L’EMA a défendu début décembre sa procédure plus lente, la jugeant aussi plus sûre car basée sur davantage d’éléments et de vérifications que celle de son homologue britannique, effectuée en partie par une analyse “roulante” des données au fur et à mesure de leur disponibilité.

Vaccin d’AstraZeneca efficace à 70,4% ?

Vaccin d’AstraZeneca efficace à 70,4% ?

Des interrogations planent sur l’efficacité du vaccin AstraZeneca . Se posera aussi comme pour les autres vaccins la question de la durabilité.  L’étude, publiée par le journal médical The Lancet, montre que l’efficacité du candidat vaccin a été de 62% pour ceux qui ont reçu deux doses complètes et de 90% dans un sous-groupe n’ayant reçu qu’une demi-dose puis une dose complète.

AstraZeneca a commencé à soumettre des données aux autorités réglementaires du monde entier pour obtenir une homologation rapide, a déclaré Pascal Soriot, PDG du groupe anglo-suédois.

“Nos chaînes d’approvisionnement mondiales sont opérationnelles, prêtes à commencer rapidement à livrer des centaines de millions de doses”, ajoute-t-il le communiqué publié par l’Université d’Oxford.

Covid » Malgré le vaccin, une troisième vague »

Covid » Malgré le vaccin, une troisième vague »

Il faudra du temps pour contrôler l’épidémie alors que les conditions de propagation du virus persistent, expliquent dans le Monde Renaud Piarroux et Bruno Riou, l’épidémiologiste et le directeur du centre de crise de l’Assistance publique.

Tribune.

 

 

Après une première vague de Covid-19 au printemps, très déstabilisatrice pour notre système de santé, et aux conséquences économiques, sociales et humaines considérables, nous venons de passer le pic d’une deuxième vague, plus complexe à gérer en raison des retards dans la prise en charge des patients non atteints du Covid, et plus étendue dans le pays. Au cours de ces deux périodes, nous avons frôlé dangereusement le débordement capacitaire de nos hôpitaux et services de réanimation, tandis que les conséquences sanitaires à moyen et long termes commencent seulement à être analysées et sont particulièrement inquiétantes. Alors même que la vaccination est devenue une réalité proche, le risque existe toujours de devoir affronter une troisième vague dans les mois qui viennent.

Plusieurs éléments se conjuguent pour expliquer cet apparent paradoxe. Premièrement, les conditions environnementales de propagation du virus persistent et vont même s’aggraver : l’hiver, saison idéale pour la propagation d’une virose à transmission respiratoire n’a pas encore commencé, le confinement nécessaire a été abrégé pour des raisons économiques et sociétales, et les fêtes de fin d’année font craindre que des contaminations importantes intrafamiliales aient lieu, comme ce fut le cas lors des fêtes de Thanksgiving au Canada.

Difficulté de tester-tracer-isoler

Notre capacité collective à respecter la distanciation et les gestes barrières, y compris dans des réunions familiales (gel hydroalcoolique, port du masque, aération, limitation du nombre) sera déterminante. Deuxièmement, le tester-tracer-isoler que nous avions prôné dans Le Monde dès le 27 avril n’a pas été suffisamment développé : nous avons mal testé (les tests ont été nombreux, mais mal ciblés et trop tardifs), peu ou mal tracé (en ne tenant pas compte des résultats d’un système dont l’insuffisance était patente dès le mois d’août), et pratiquement pas isolé.

Au moins, nous saurons annoncer la troisième vague à temps car nous disposons de tous les indicateurs nécessaires pour le faire (« Early indicators of intensive care unit bed requirement during the COVID-19 epidemic : A retrospective study in Ile-de-France », par Bruno Riou, PLOS One, Public Library of Science).

Encore faudra-t-il être entendu par les instances politiques et la société pour qu’elles acceptent de confiner suffisamment tôt, un confinement pouvant être plus court et rester néanmoins efficace s’il intervient précocement. Il est cruel de rappeler que le conseil scientifique appelait, dès le 9 septembre, à prendre des mesures courageuses, qui n’ont été prises finalement que le 22 octobre (le couvre-feu) et le 30 octobre (le confinement).

Coronavirus : AstraZeneca, encore un nouveau vaccin

Coronavirus : AstraZeneca, encore un nouveau vaccin

Selon des premiers résultats, le laboratoire anglo-suédois associé à l’université d’Oxford a mis au point un vaccin efficace en moyenne à 70 %, moins a priori que ceux de Moderna et Pfizer-BioNTech. Efficace et facile à produire et à conserver, il offre toutefois un certain nombre d’avantages par rapport à ceux de ses concurrents.

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