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Inflation : la hausse des prix va durer longtemps

Inflation : la hausse des prix va durer longtemps

Sans doute par ignorance de la culture économique, les gouvernants et autres experts peuvent procéder par amalgame pour affirmer que l’inflation va être maîtrisée et que sous-entendu les prix aussi.

Il s’agit bien entendu d’une erreur fondamentale voulue pour confondre l’évolution de l’inflation et l’évolution des prix.

Bien entendu, l’inflation qui était de l’ordre de 10 % sur un an l’année dernière va se tasser et n’atteindra qu’environ 5 % en 2023. Cette inflation va encore diminuer en 2024.
Pour autant les prix vont-ils diminuer ? Certainement pas car les différentes phases d’inflation se cumulent définitivement sauf écroulement total de l’économie.

Dit autrement les hausses s’ajoutent aux hausses. Ainsi par exemple dans l’alimentaire la hausse des prix va se maintenir à 20 % au moins sur deux ans. Et les tarifs et prix vont se maintenir dans nombre de services et de produits.

D’ailleurs concrètement la plupart des tarifs ont été revus à la hausse pour tenir compte de l’inflation passée mais aussi par précaution.

Budget Etat 2024 : le gouvernement va utiliser encore le 49–3

Budget Etat 2024 : le gouvernement va utiliser encore le 49–3

En dépit des tentatives de tractations du gouvernement avec l’opposition surtout les républicains, le gouvernement Choisit d’utiliser le passage en force à l’Assemblée nationale avec le recours aux 49–3.

Les républicains reprochent en particulier à ceux budget d’être trop laxiste. À l’inverse, l’opposition de gauche critique l’austérité qui marque le budget notamment dans le cadre des réformes sociales ( chômage, ANPE etc). Un peu d’ailleurs les mêmes reproches qui ont été faits par Pierre Moscovici Dans le cadre très officiel du Haut conseil des finances publiques qu’il préside

« La trajectoire de finances publiques prévue manque encore à ce jour, à notre sens, de crédibilité », a critiqué le président du HCFP Pierre Moscovici, lors d’une conférence de presse.

Au chapitre des prévisions excessives de recettes figurent surtout la surestimation de la croissance avec un chiffre de 1,4 % alors que la plupart des experts et même la Banque de France considère que l’activité n’atteindra même pas 1 %.Le même optimisme excessif caractérise les années suivantes.

Pour les années 2025 (1,7%), 2026 et 2027 (1,8%), les magistrats financiers considèrent également que les projections de Bercy sont encore « optimistes ».

Le Haut conseil considère également que le gouvernement est notamment trop optimiste dans ses prévisions de dépenses des Français et donc dans ses prévisions de consommation et de croissance. Le même volontarisme irréaliste concerne aussi les perspectives d’évolution des investissements des entreprises

De son côté, Pierre Moscovici a pointé le manque d’économies « documentées » dans les documents budgétaires envoyés par l’exécutif. Résultat, « le HCFP a estimé qu’en l’absence de précision sur la nature de ces économies, il ne pouvait juger le réalisme de la trajectoire de dépenses ni en apprécier les conséquences sur le scénario macroéconomique ».

Dernière critique et non des moindres : 57 milliards d’intérêts en 2024 et ce montant atteindrait 84 milliards en 2027 » !

Budget 2024 : le gouvernement va sans doute utiliser encore le 49–3

Budget 2024 : le gouvernement va sans doute utiliser encore le 49–3

En dépit des tentatives de tractations du gouvernement avec l’opposition surtout les républicains, il est probable qu’une nouvelle fois du gouvernement sera contraint d’utiliser le passage en force à l’Assemblée nationale avec le recours aux 49–3.

Les républicains reprochent en particulier à ceux budget d’être trop laxiste. À l’inverse, l’opposition de gauche critique l’austérité qui marque le budget notamment dans le cadre des réformes sociales ( chômage, ANPE etc). Un peu d’ailleurs les mêmes reproches qui ont été faits par Pierre Moscovici Dans le cadre très officiel du Haut conseil des finances publiques qu’il préside

« La trajectoire de finances publiques prévue manque encore à ce jour, à notre sens, de crédibilité », a critiqué le président du HCFP Pierre Moscovici, lors d’une conférence de presse.

Au chapitre des prévisions excessives de recettes figurent surtout la surestimation de la croissance avec un chiffre de 1,4 % alors que la plupart des experts et même la Banque de France considère que l’activité n’atteindra même pas 1 %.Le même optimisme excessif caractérise les années suivantes.

Pour les années 2025 (1,7%), 2026 et 2027 (1,8%), les magistrats financiers considèrent également que les projections de Bercy sont encore « optimistes ».

Le Haut conseil considère également que le gouvernement est notamment trop optimiste dans ses prévisions de dépenses des Français et donc dans ses prévisions de consommation et de croissance. Le même volontarisme irréaliste concerne aussi les perspectives d’évolution des investissements des entreprises

De son côté, Pierre Moscovici a pointé le manque d’économies « documentées » dans les documents budgétaires envoyés par l’exécutif. Résultat, « le HCFP a estimé qu’en l’absence de précision sur la nature de ces économies, il ne pouvait juger le réalisme de la trajectoire de dépenses ni en apprécier les conséquences sur le scénario macroéconomique ».

Dernière critique et non des moindres : 57 milliards d’intérêts en 2024 et ce montant atteindrait 84 milliards en 2027 » !

Société- Maroc : « Le petit peuple va encore payer « 

Société-Maroc : « Le petit peuple va encore payer  »

Choqué par l’ampleur du tremblement de terre qui a tué plus de 2 800 personnes, le romancier marocain Abdellah Taïa rappelle, dans une tribune au « Monde », qu’un mouvement de contestation contre les injustices et la précarité était né après le séisme de 2004 dans les régions très pauvres du nord du pays.

Le tremblement de terre très puissant qui s’est produit dans la région de Marrakech a bouleversé le Maroc tout entier. Ses secousses ont été ressenties jusqu’à la ville de Fès. Presque personne n’a pu dormir dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 septembre. Très choqués, mes proches avaient peur de rester à l’intérieur de leur maison. C’était l’apocalypse. C’était la fin. En quelques secondes, tout bouge, tout change, tout tombe, y compris les corps et les âmes. Sincères, ils disent en pleurant : désormais, vivre n’aura plus jamais le même goût.

Cette catastrophe a créé comme un lien inédit entre les Marocains. Ils ont vu la mort de leurs propres yeux. Ils ont compris à quel point ils sont plus que jamais vulnérables. Abandonnés. Seuls. Si seuls face à la nuit interminable et à ses forces destructrices.

Dès samedi matin, ils ont commencé à penser aux autres, qui ont été les plus touchés. Et, chacun à sa façon, ils ont voulu exprimer leur solidarité avec ces autres. Ce tremblement de terre a mis tout le pays face à cette vérité qu’on ne peut plus se permettre de cacher, de maquiller : ce sont les plus pauvres qui vont principalement souffrir des conséquences de cette tragédie. Les Marocains des villages de l’Atlas. Les bourgs. Les douars. Les souks.

Ils ne sont pas si loin que ça de Marrakech, de ses riads luxueux et de sa jet-set internationale. De la place Djemaa El-Fna, en levant la tête, on voit clairement cet autre Maroc ignoré, qui vit depuis trop longtemps dans le dénuement et la précarité. Les villageois qu’on voit sans réellement les voir. On passe constamment à côté d’eux. Ces Berbères que les touristes adorent prendre en photo. Ils sont si beaux, si simples, si généreux, si merveilleux, si authentiques, il ne faut surtout pas qu’ils changent. Des gens sans cesse transformés en objets exotiques. Des images d’un Maroc éternel qui fait tellement plaisir à ceux qui ne veulent toujours pas dépasser leurs fantasmes orientalistes.

Ce petit peuple marocain va encore une fois payer le prix fort. A Casablanca, à Agadir, à Rabat et ailleurs, les citoyens marocains ne cessent de s’organiser pour lui venir en aide. Ils improvisent comme ils peuvent. Il y a là quelque chose d’admirable. Vraiment. Mais malheureusement leur solidarité ne suffira pas.

Maroc : « Le petit peuple va encore payer « 

Maroc : « Le petit peuple va encore payer  »

Choqué par l’ampleur du tremblement de terre qui a tué plus de 2 800 personnes, le romancier marocain Abdellah Taïa rappelle, dans une tribune au « Monde », qu’un mouvement de contestation contre les injustices et la précarité était né après le séisme de 2004 dans les régions très pauvres du nord du pays.

Le tremblement de terre très puissant qui s’est produit dans la région de Marrakech a bouleversé le Maroc tout entier. Ses secousses ont été ressenties jusqu’à la ville de Fès. Presque personne n’a pu dormir dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 septembre. Très choqués, mes proches avaient peur de rester à l’intérieur de leur maison. C’était l’apocalypse. C’était la fin. En quelques secondes, tout bouge, tout change, tout tombe, y compris les corps et les âmes. Sincères, ils disent en pleurant : désormais, vivre n’aura plus jamais le même goût.

Cette catastrophe a créé comme un lien inédit entre les Marocains. Ils ont vu la mort de leurs propres yeux. Ils ont compris à quel point ils sont plus que jamais vulnérables. Abandonnés. Seuls. Si seuls face à la nuit interminable et à ses forces destructrices.

Dès samedi matin, ils ont commencé à penser aux autres, qui ont été les plus touchés. Et, chacun à sa façon, ils ont voulu exprimer leur solidarité avec ces autres. Ce tremblement de terre a mis tout le pays face à cette vérité qu’on ne peut plus se permettre de cacher, de maquiller : ce sont les plus pauvres qui vont principalement souffrir des conséquences de cette tragédie. Les Marocains des villages de l’Atlas. Les bourgs. Les douars. Les souks.

Ils ne sont pas si loin que ça de Marrakech, de ses riads luxueux et de sa jet-set internationale. De la place Djemaa El-Fna, en levant la tête, on voit clairement cet autre Maroc ignoré, qui vit depuis trop longtemps dans le dénuement et la précarité. Les villageois qu’on voit sans réellement les voir. On passe constamment à côté d’eux. Ces Berbères que les touristes adorent prendre en photo. Ils sont si beaux, si simples, si généreux, si merveilleux, si authentiques, il ne faut surtout pas qu’ils changent. Des gens sans cesse transformés en objets exotiques. Des images d’un Maroc éternel qui fait tellement plaisir à ceux qui ne veulent toujours pas dépasser leurs fantasmes orientalistes.

Ce petit peuple marocain va encore une fois payer le prix fort. A Casablanca, à Agadir, à Rabat et ailleurs, les citoyens marocains ne cessent de s’organiser pour lui venir en aide. Ils improvisent comme ils peuvent. Il y a là quelque chose d’admirable. Vraiment. Mais malheureusement leur solidarité ne suffira pas.

Economie-Le prix du carburant va plomber la consommation et la croissance

Economie-Le prix du carburant va plomber la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Economie- Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance

Economie- Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Inflation: Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance

Inflation: Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Le prix du carburant va tuer la croissance

Le prix du carburant va tuer la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite. Jeudi, l’Opep+ précisera les nouvelles coupes qu’elle envisage, alors que la demande mondiale de pétrole augmente habituellement au dernier trimestre.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était en léger repli mardi dans la matinée, évoluant autour de 88,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Le prix du baril de pétrole va tuer l’économie

Le prix du baril de pétrole va tuer l’économie


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite. Jeudi, l’Opep+ précisera les nouvelles coupes qu’elle envisage, alors que la demande mondiale de pétrole augmente habituellement au dernier trimestre.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était en léger repli mardi dans la matinée, évoluant autour de 88,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Niger: La fermeture des frontières va provoquer un drame économique et social

Niger: La fermeture des frontières va provoquer un drame économique et social

Le Niger a fermé ses frontières terrestres, suite au coup d’Etat militaire du 26 juillet 2023 qui a renversé le président Mohamed Bazoum. Au même moment, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a décidé des sanctions financières contre Niamey. Hassan Abdo Mamane est enseignant-chercheur à la Faculté des sciences économiques et de gestion de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. Il décrypte les conséquences économiques de la fermeture des frontières du pays.

Dans The conversation

Quelles sont les raisons de cette fermeture ?
La principale raison de la fermeture temporaire des frontières terrestres et aériennes, accompagnée d’un couvre-feu nocturne, est sécuritaire après le coup d’Etat au Niger. Il s’agit de mesures conservatoires visant à sécuriser les auteurs du coup de force et à protéger les citoyens du pays pour leur permettre de vaquer à leurs occupations quotidiennes en contrôlant les entrées et les sorties frauduleuses des individus, de groupes de personnes ou des États “mal intentionnés”. Dès que la situation se stabilise les auteurs du coup d’Etat lèveront ces meures. D’ailleurs, les frontières aériennes ont été rouvertes puis fermées pour des raisons sécuritaires.

Quels sont les secteurs économiques les plus touchés ?

Le commerce transfrontière formel avec le Nigeria et le Benin est directement affecté négativement dans l’immédiat et à court terme. Ce resserrement des contraintes extérieures s’exerce sur l’économie nigérienne et touche principalement les secteurs économiques concernés par les sanctions prises par les chefs d’Etat membres de la CEDEAO qui cherchent à infléchir la position rigide des auteurs de coup d’Etat. Cette intensité de la contrainte extérieure est d’abord appréhendée au niveau de la sphère réelle de l’économie avant d’être traitée au niveau de ses contreparties financières et monétaires.

Dans l’immédiat, les secteurs économiques directement affectés négativement sont ceux qui dépendent des approvisionnements en produits pharmaceutiques, en produits alimentaires périssables, comme les légumes, les fruits, les désherbants importés du Nigeria ainsi que les animaux sur pied et les sacs d’oignon transportés dans des camions et exportés vers ce pays.

Les exportations du Niger vers le Nigeria s’élevaient en 2019 à 193 millions de dollars en 2022, soit 26,23 % des exportions totales nigériennes. A la même date, les importations en provenance de ce pays, représentaient 87, 143 millions de dollars, soit 5 % du total des importations nigériennes.

Le port de Cotonou, au Bénin, quant à lui, fournit essentiellement des produits pharmaceutiques. L’impact est lié, dans une large mesure, à l’importance du stock des entreprises. Ces stocks de matières premières et de produits finis qui présentent un intérêt majeur permettent aux entreprises en situation d’incertitude de continuer à produire jusqu’à un certain temps m’excédant pas le plus souvent deux à trois mois.

Toutefois, si les nouvelles autorités ne sensibilisent pas les opérateurs économiques le plus rapidement possible, ces opérateurs économiques derniers vont commencer à spéculer en augmentant le prix de leurs marchandises même si leurs stocks des produits et biens de consommations intermédiaires sont importants. La hausse des prix qui en résulte lamine le pouvoir d’achat déjà très faible des consommateurs. Les secteurs économiques, quant à eux, seront diversement affectés par les fermetures des frontières.

Le secteur industriel, toujours embryonnaire, risque d’être affecté directement et instantanément avec l’arrêt des importations des intrants importés, acheminés par le port de Cotonou, et des commandes en cours, par exemple du lait en poudre en provenance de l’Union européenne, principal input des industries laitières.

Au niveau du secteur tertiaire, les services marchands seront les plus affectés : le commerce, le transport, l’hôtellerie et le tourisme. Aussi, le blocage va impacter négativement toutes tous les services publics et privés à terme.

En définitive, la fermeture du pays va mettre de nombreux individus au chômage, les forçant à quitter leur domicile, déstabilisant leur cellule familiale, alors que leur accès à l’eau potable, aux produits de base, à l’éducation, aux soins médicaux est fortement limité. Les inégalités sociales, véritable source d’instabilité, augmentent.

Cet impact, qui se traduit par le ralentissement des activités productives, est aggravé par le problème du ravitaillement énergétique, notamment les délestages de la fourniture de l’électricité, conséquences de la suspension de l’énergie électrique en provenance du Nigéria, dont dépend le pays à près de 90 %. Mais des efforts de réorganisation des unités de production nationale ont permis la satisfaction des besoins à hauteur de 75 %.

Comment atténuer ces effets pervers?
Les incertitudes associées à ces effets pervers peuvent être atténuées, d’une part à court terme par l’offre intérieure des produits alimentaires issus de la prochaine récolte agricole, et d’autre part, par les échanges transfrontières de nature informelle. En effet, les niveaux des prix divergents entre le Niger et le Nigeria et la modification du taux de change du naira, la monnaie nigeriane, développent une forme d’intégration économique d’essence informelle pouvant renforcer le commerce non officiel des produits, et ainsi réduire l’efficacité des mesures de sanction.

On a d’ailleurs observé, suite à la fermeture unilatérale de sa frontière en août 2019 par le gouvernement nigérian, une intensification des échanges frontaliers informels qui a quasiment annulé tous les effets négatifs sur les consommateurs nigériens. Une telle résilience est historique puisque tous les chocs subis par l’économie nigérienne depuis 1980 ont été résorbés de cette manière.

Qu’en est-il de l’économie financière et monétaires ?
Au cœur de l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA), il y a la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), institution sur laquelle repose la confiance dans les obligations de ses huit Etats membres. Les mesures prises par cette dernière (dont la fermeture de son agence principale) contre le Niger à court et à moyen terme sur la liquidité mettent fin au refinancement des banques commerciales. Il n’y aura plus d’injection de nouvelles monnaies fiduciaires dans l’économie, seule la masse monétaire déjà en circulation continue de l’être.

Ces mesures punitives ont des conséquences immédiates sur les transactions financières, bancaires et monétaires, car, elles entraînent automatiquement l’arrêt des échanges interbancaires et le blocage des comptes du trésor national et des banques de second rang logés à l’agence principale de la BCEAO-Niger. Ceci entraîne l’arrêt instantané des activités entre la BCEAO, le trésor public et les banques de second rang. Ce qui affecte les opérations bancaires à plusieurs niveaux : paiements des salaires, transferts de fonds au niveau international, compensations bancaires, etc.

Quelles seront les conséquences de ces fermetures ?

Ce blocage des transactions commerciales internationales au niveau des portes d’entrée et de sortie des marchandises du Nigeria et du Bénin singulièrement, touche directement et instantanément la gestion des affaires publiques au Niger. Il impacte négativement les recettes douanières et, partant réduit drastiquement la capacité de l’État à faire face à ses dépenses de souveraineté (salaires des fonctionnaires, fonctionnement régulier de l’administration etc.).

A terme, le secteur privé sera à son tour affecté. Nous n’entrerons pas dans les détails à ce niveau pour la simple raison que de telles conséquences s’inscriront dans le plus ou moins moyen ou long terme.

Que peut-on faire pour minimiser l’impact ?
A l’heure actuelle, la fermeture des frontières ne concerne pas certains pays limitrophes du Niger : Algérie, Burkina Faso, Libye, Mali et Tchad. Le Niger ne vit pas en autarcie, même si les flux commerciaux avec ces Etats ne sont pas importants.

En guise de solidarité avec les auteurs du coup d’Etat, les autorités burkinabè ont levé l’interdiction d’exporter certains produits agricoles (mil et riz) pour permettre aux commerçants de leur pays de les exporter au Niger pour atténuer l’impact négatif des mesures de sanctions imposées par la CEDEAO.

En plus de la résilience liée au secteur informel, les opérateurs économiques nigériens peuvent progressivement réorienter leurs activités commerciales, soit vers le port de Conakry en Guinée, en passant par le Mali, au travers de la mutualisation des moyens et des stratégies des trois pays, soit en direction de l’Algérie qui approvisionne le nord du Niger en pâtes alimentaires à des prix défiant toute concurrence.

C’est le prix à payer pour contourner les sanctions de la CEDEAO. Cela ne peut qu’atténuer et non compenser toutes les pertes encourues par l’économie nationale. La mobilisation des ressources financières doit désormais s’orienter vers la fiscalité intérieure tout en faisant attention à ne pas conduire les entreprises du secteur privé vers la faillite.

La fermeture des frontières du Niger, suite aux évènements du 26 juillet 2023 qui ont mis fin au régime de Mohamed Bazoum, entraîne un bouleversement profond de l’économie et des finances du pays. Une telle situation va inévitablement contraindre les opérateurs économiques à réorienter, à terme, leurs activités commerciales vers d’autres pays, malgré les coûts supplémentaires qui seront certainement supportés, surtout par les consommateurs nigériens.

Le prix de l’ énergie va maintenir l’inflation

Le prix de l’ énergie va maintenir l’inflation

La remontée des prix de l’énergie pourrait bien à nouveau plomber l’inflation et inciter les banques centrales à relever encore les taux. C’est en tout cas ce qu’on peut déduire des minutes de la dernière réunion de la banque fédérale américaine qui confirme que la politique restrictive va continuer en raison notamment des hausses du prix de l’énergie. Bref la hausse des prix tant de la production que de la consommation va se poursuivre au lieu de se stabiliser comme espéré. Ce jeudi, le prix du baril de Brent évoluait autour de 86 dollars (85 dollars le 19 août), soit une hausse de plus de 9% en un mois. Même tendance pour le gaz. Le prix du gaz aura évidemment des conséquences sur les tarifs de l’électricité.

En cause aussi dans cette augmentation, une demande qui ne faiblit pas autant que prévu car la croissance mondiale semble mieux résister qu’attendu.

L’Arabie saoudite va prolonger d’un mois la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour entamée en juillet, ce qui menace logiquement de faire grimper encore plus les prix du pétrole. Cette mesure pourrait encore être « prolongée » au-delà de cette période, voire « prolongée et renforcée », selon le ministère saoudien de l’Energie dans un communiqué. En cause notamment les restrictions de production de l’Arabie Saoudite.

L’Arabie saoudite a annoncé la semaine dernière la prolongation de ses réductions volontaires de production d’un million de barils par jour jusqu’à septembre. La Russie a divulgué dans la foulée une réduction de ses exportations de pétrole de 300.000 barils par jour. Les cours du pétrole profitaient aussi du retour de l’appétit pour le risque des investisseurs et du repli du dollar, après qu’un responsable de la Réserve fédérale américaine a estimé mardi que les taux de l’institution pourraient rester stables lors de la prochaine réunion.

L’énergie va maintenir l’inflation

L’énergie va maintenir l’inflation

La remontée des prix de l’énergie pourrait bien à nouveau plomber l’inflation et inciter les banques centrales à relever encore les taux. C’est en tout cas ce qu’on peut déduire des minutes de la dernière réunion de la banque fédérale américaine qui confirme que la politique restrictive va continuer en raison notamment des hausses du prix de l’énergie. Bref la hausse des prix tant de la production que de la consommation va se poursuivre au lieu de se stabiliser comme espéré. Ce jeudi, le prix du baril de Brent évoluait autour de 86 dollars (85 dollars le 19 août), soit une hausse de plus de 9% en un mois. Même tendance pour le gaz. Le prix du gaz aura évidemment des conséquences sur les tarifs de l’électricité.

En cause aussi dans cette augmentation, une demande qui ne faiblit pas autant que prévu car la croissance mondiale semble mieux résister qu’attendu.

L’Arabie saoudite va prolonger d’un mois la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour entamée en juillet, ce qui menace logiquement de faire grimper encore plus les prix du pétrole. Cette mesure pourrait encore être « prolongée » au-delà de cette période, voire « prolongée et renforcée », selon le ministère saoudien de l’Energie dans un communiqué. En cause notamment les restrictions de production de l’Arabie Saoudite.

L’Arabie saoudite a annoncé la semaine dernière la prolongation de ses réductions volontaires de production d’un million de barils par jour jusqu’à septembre. La Russie a divulgué dans la foulée une réduction de ses exportations de pétrole de 300.000 barils par jour. Les cours du pétrole profitaient aussi du retour de l’appétit pour le risque des investisseurs et du repli du dollar, après qu’un responsable de la Réserve fédérale américaine a estimé mardi que les taux de l’institution pourraient rester stables lors de la prochaine réunion,

L’énergie va maintenir l’inflation

L’énergie va maintenir l’inflation

La remontée des prix de l’énergie pourrait bien à nouveau plomber l’inflation et inciter les banques centrales à relever encore les taux. C’est en tout cas ce qu’on peut déduire des minutes de la dernière réunion de la banque fédérale américaine qui confirme que la politique restrictive va continuer en raison notamment des hausses du prix de l’énergie. Bref la hausse des prix tant de la production que de la consommation va se poursuivre au lieu de se stabiliser comme espéré. Ce jeudi, le prix du baril de Brent évoluait autour de 86 dollars, soit une hausse de plus de 9% en un mois. Même tendance pour le gaz. Le prix du gaz aura évidemment des conséquences sur les tarifs de l’électricité.

En cause aussi dans cette augmentation, une demande qui ne faiblit pas autant que prévu car la croissance mondiale semble mieux résister qu’attendu.

L’Arabie saoudite va prolonger d’un mois la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour entamée en juillet, ce qui menace logiquement de faire grimper encore plus les prix du pétrole. Cette mesure pourrait encore être « prolongée » au-delà de cette période, voire « prolongée et renforcée », selon le ministère saoudien de l’Energie dans un communiqué. En cause notamment les restrictions de production de l’Arabie Saoudite.

L’Arabie saoudite a annoncé la semaine dernière la prolongation de ses réductions volontaires de production d’un million de barils par jour jusqu’à septembre. La Russie a divulgué dans la foulée une réduction de ses exportations de pétrole de 300.000 barils par jour. Les cours du pétrole profitaient aussi du retour de l’appétit pour le risque des investisseurs et du repli du dollar, après qu’un responsable de la Réserve fédérale américaine a estimé mardi que les taux de l’institution pourraient rester stables lors de la prochaine réunion,

L’énergie va à nouveau peser sur l’inflation

L’énergie va à nouveau peser sur l’inflation

La remontée des prix de l’énergie pourrait bien à nouveau plomber l’inflation et inciter les banques centrales à relever encore les taux. C’est en tout cas ce qu’on peut déduire des minutes de la dernière réunion de la banque fédérale américaine qui confirme que la politique restrictive va continuer en raison notamment des hausses du prix de l’énergie. Bref la hausse des prix tant de la production que de la consommation va se poursuivre au lieu de se stabiliser comme espéré. Ce jeudi, le prix du baril de Brent évoluait autour de 86 dollars, soit une hausse de plus de 9% en un mois. Même tendance pour le gaz. Le prix du gaz aura évidemment des conséquences sur les tarifs de l’électricité.

En cause aussi dans cette augmentation, une demande qui ne faiblit pas autant que prévu car la croissance mondiale semble mieux résister qu’attendu.

L’Arabie saoudite va prolonger d’un mois la réduction de sa production de pétrole d’un million de barils par jour entamée en juillet, ce qui menace logiquement de faire grimper encore plus les prix du pétrole. Cette mesure pourrait encore être « prolongée » au-delà de cette période, voire « prolongée et renforcée », selon le ministère saoudien de l’Energie dans un communiqué. En cause notamment les restrictions de production de l’Arabie Saoudite.

L’Arabie saoudite a annoncé la semaine dernière la prolongation de ses réductions volontaires de production d’un million de barils par jour jusqu’à septembre. La Russie a divulgué dans la foulée une réduction de ses exportations de pétrole de 300.000 barils par jour. Les cours du pétrole profitaient aussi du retour de l’appétit pour le risque des investisseurs et du repli du dollar, après qu’un responsable de la Réserve fédérale américaine a estimé mardi que les taux de l’institution pourraient rester stables lors de la prochaine réunion, en septembre. Les achats de pétrole, libellés en dollar, sont en effet plus attractifs pour les investisseurs utilisant des devises étrangères, la dépréciation du billet vert augmentant leur pouvoir d’achat.

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