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Transdev va concurrencer les taxis

Transdev va concurrencer les taxis

Transdev veut concurrencer les taxis et il faut s’attendre à de vives  réactions de cette profession plombée par une fiscalité spécifique et notamment le coût exorbitant de la licence.(autour de 200 000 euros à Paris) . Transdev, le troisième groupe de transport français, a annoncé mardi 4 février à ses équipes en France qu’il se lancerait au printemps sur le marché des VTC, les véhicules de tourisme avec chauffeur qui concurrencent les taxis. Il est le premier acteur de poids à s’installer sur le secteur. L’entrée de ce groupe pourrait ainsi changer la donne. Transdev est un des poids lourd du transport à l’échelle mondiale, avec plus de 8 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit le troisième acteur en France derrière la SNCF et la RATP, une présence très importante en Ile-de-France, et une expérience déjà développée à Londres sur ce même secteur avec une centaine de véhicules. La décision a donc été annoncée aux équipes françaises mardi, et le groupe a bien l’intention de mettre les moyens pour s’installer. « Le marché est encore naissant », déclare le PDG, Jean-Marc Janaillac. « On sent que les petits acteurs vont se consolider, il ne faut plus tarder ».  Pas de chiffres sur le nombre de véhicules mis en service, mais le patron dit dans un sourire: « vous savez, à Londres, les acteurs qui comptent déploient aujourd’hui plusieurs milliers de voitures ». Transdev travaillera sous le régime de la franchise, les chauffeurs seront soit propriétaires de leur véhicule, soit locataires auprès de la compagnie. « Le modèle sera imposé, nous voulons au moins des véhicules hybrides, et très vite nous imposerons le véhicule électrique », poursuit Jean-Marc Janaillac. Cela rentre dans un plan global des géants du transport pour développer ce qu’ils appellent le « transport à la demande », la gestion des derniers kilomètres, un transport totalement individualisé. Pour Transdev cela représente 8% du chiffre d’affaires, et l’ambition est de la porter à 13%. Dernier point, ce groupe est en lien étroit avec les élus et cultive une réelle science du lobbying. Pas sûr que les taxis lui fasse vraiment peur.

 

Le matraquage fiscal va handicaper la consommation en 2014

Le matraquage fiscal va handicaper la consommation en 2014

Plus des trois quarts des Français ressentent l’augmentation de la pression fiscale. Un sentiment qui aura des conséquences sur leur consommation cette année. C’est ce qui ressort du baromètre BFM Business mis au point par l’Observatoire d’Emmanuel  Lechypre avec CA Com et LH2.Selon cette étude semestrielle sur le pouvoir d’achat des ménages, publiée ce jeudi 30 janvier, 78% d’entre eux ressentent, en effet, la hausse de la pression fiscale, et 30% considèrent même que le montant de leurs impôts et cotisations sociales a fortement augmenté sur le semestre de juin à décembre 2013.Cette perception est particulièrement aigüe parmi la classe moyenne, manifestement la plus touchée : les foyers dont le revenu excède 3.000 euros bruts par mois considèrent à 86% que leurs prélèvements ont fortement augmenté. En conséquence, sept Français sur dix prévoient de procéder à des arbitrages de leurs dépenses pour équilibrer leur budget. Une proportion encore plus élevée concernant les familles nombreuses (84%), les classes les moins aisées (81%) et les femmes (77%). Le principal poste de réduction des dépenses sera, sans surprise, les loisirs, pour 64% d’entre eux. Viennent ensuite l’habillement (43%), les nouvelles technologies (36%) et enfin la voiture ou les transports (20%). En outre, la proportion de Français déclarant renoncer à des dépenses de base, pour leur santé, leur alimentation ou leur logement par exemple, poursuit sa progression constatée lors de la précédente édition de cet indicateur, en juin 2013. Elle augmente de 6 points sur le semestre. Ce sentiment de recul du pouvoir d’achat ne concerne pas que les classes défavorisées. Ceux qui déclarent pouvoir acheter ce dont ils ont envie, soit 45% du panel, en repli d’un point, le font dans la limite du raisonnable, probablement par anticipation d’une nouvelle dégradation de la situation économique française. Seuls 2% des personnes interrogées déclarent dépenser sans compter. Le ras le bol fiscaldevrait également avoir des conséquences politiques, estime Rodolphe Bonnasse, le directeur général de CA Com, pour qui cette question « sera évidemment au cœur de préoccupations lors des municipales en mars prochain ».

 

Syrie: Hollande va demander l’avis au parlement….américain

Syrie: Hollande va demander l’avis au parlement….américain

 

 

Finalement Hollande s’est piégé tout seul en jouant les va-t-en guerre. Il est désormais le seul Chef d’Etat à avoir décidé une intervention en Syrie ; il ne le fait pas, pourquoi ? Simplement parce qu’il suivra les Etats Unis. Or Obama a demandé l’avis du congrès, ce qui n’est pas le cas de Hollande qui ne le demandera certainement pas. Du coup, Hollande est accroché au vote du parlement américain car Obama ne décidera pas seul d’une opération qu’il sait hasardeuse en Syrie.  Au mieux, ou plutôt au pire, il y aura une petite intervention plus que symbolique de la  part des américains qui ne changera rien sur le plan politique en Syrie et qui pourrait déstabiliser un peu plus un moyen orient qui constitue déjà une poudrière. Après le vote du Parlement britannique qui a opposé un « no » définitif à une intervention de ses soldats en Syrie, Barack Obama a annoncé samedi soir sa décision de consulter le Parlement américain. Alors que les frappes aériennes semblaient imminentes, les débats devant la Chambre des représentants et le Sénat américain ne s’ouvriront que le 9 septembre.  A Paris, un proche du dossier s’en inquiète: « Plus la sanction s’éloignera de la date du 21 août plus elle risque d’être affaiblie dans ses effets militaires et politiques ».  En attendant, François Hollande fait face aussi à une pression politique croissante. L’exécutif avait envisagé un simple débat sans vote au Parlement le 4 septembre. Mais il est déjà contraint de lâcher du lest.  Matignon a annoncé dimanche que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault recevrait lundi les principaux responsables parlementaires -présidents de l’Assemblée et du Sénat, des groupes parlementaires, des commissions des Affaires étrangères et de la Défense- pour les informer de la situation en Syrie.  Le gouvernement va aussi prochainement déclassifier des documents secret-défense sur l’arsenal chimique syrien, a annoncé dimanche une source gouvernementale.  Une récente note des services de renseignement français, dont le contenu dévoilé par le JDD a été confirmé à l’AFP de source gouvernementale, fait état notamment de « plusieurs centaines de tonnes d’ypérite » et « gaz sarin » détenus par le régime syrien, soit un stock total dépassant les 1.000 tonnes d’agents chimiques. La publication de tels éléments suffira-t-elle à vaincre les réticences à une intervention? Les appels se font en tout cas de plus en plus pressants pour l’organisation d’un vote en bonne et due forme.  Lancés en début de week-end par l’opposition, UMP et centristes en tête, ils ont été relayés dimanche par l’écologiste Jean-Vincent Placé et jusque dans les rangs socialistes, le député Patrick Mennucci jugeant que refuser ce vote serait « politiquement une erreur ».  Pour la gauche de la gauche, ce vote va « de soi », a dit Jean-Luc Mélenchon, accusant François Hollande d’être devenu « un supplétif » des Etats-Unis.  Samedi soir, dans la foulée de la déclaration de Barack Obama, c’est Jean-Louis Borloo (UDI) qui avait appelé à un « vote formel » des députés et sénateurs, Christian Jacob, chef de file des députés UMP, souhaitant même que le gouvernement engage sa responsabilité. Constitutionnellement, rien n’empêche le vote. L’exécutif peut s’en tenir à la lettre de la Constitution et de son article 35 qui prévoit que « le gouvernement informe le Parlement de sa décision de faire intervenir les forces armées à l’étranger, au plus tard trois jours après le début de l’intervention », un simple débat qui « n’est suivi d’aucun vote ». Mais il peut très bien aussi passer outre, comme le relèvent les constitutionnalistes interrogés par l’AFP. Deux voies au moins seraient envisageables. L’artillerie lourde avec « une déclaration de politique générale suivie d’un vote à l’Assemblée nationale et, le cas échéant, au Sénat » comme l’avait fait François Mitterrand en 1991 pour faire « parler les armes » dans la première guerre d’Irak, explique Didier Maus.  La seconde voie, plus légère et suggérée par Dominique Chagnollaud, serait de recourir à l’article 50-1 de la Constitution introduit par la révision constitutionnelle de 2008, qui autorise le gouvernement à faire devant « l’une ou l’autre des assemblées » et « sur un sujet déterminé, une déclaration qui donne lieu à débat » et peut « faire l’objet d’un vote » sans engagement de responsabilité.  Il y aurait même une troisième voie, sans vote mais ô combien solennelle, selon Didier Maus: la convocation du Parlement en Congrès à Versailles pour une déclaration du président de la République,

Total va déménager à Londres

Total va déménager  à Londres

Après Publicis qui déménage aux pays bas après la fusion, c’est au toutrde Total de commencer par déménager sa trésorerie et la suite suivra sans doute. Le groupe Total a confirmé lundi sa décision de transférer à la fin de l’année la gestion de sa trésorerie et sa communication financière à Londres, tout en minimisant un mouvement qui ne concernerait au plus que 70 personnes. « L’idée, c’est de se rapprocher de Londres, qui est la place financière et pétrolière en Europe, pour permettre au groupe d’améliorer sa visibilité internationale », a déclaré un porte-parole du groupe, confirmant une information de Mediapart. « Ça concerne entre 60 et 70 personnes, maximum 70 personnes, sur un groupe de 100.000″, a-t-il ajouté. Le directeur de la trésorerie Humbert de Wendel et le directeur de la communication financière Martin Deffontaines partiront pour Londres avec leurs équipes, a-t-il expliqué en précisant que le directeur financier, Patrick de La Chevardière, resterait à Paris. La trésorerie et la communication financière du groupe pétrolier se rapprocheront ainsi de leurs interlocuteurs au quotidien à Londres, la place « où il faut être pour parler business, pétrole, finance », a poursuivi le porte-parole. Cette décision risque d’irriter le gouvernement français mais Total a fait savoir qu’il continuerait à payer ses impôts en France. Le groupe a versé au fisc 1,2 milliard d’euros en 2012, a souligné le porte-parole.

 

Rejet des comptes de Sarkozy : l’UMP va devoir faire la manche

Rejet des comptes de Sarkozy : l’UMP va devoir faire la manche

 

Sitôt la nouvelle publiée, le président du parti Jean-François Copé s’est rendu chez Nicolas Sarkozy, dans ses bureaux parisiens de la rue de Miromesnil. En début de soirée, il a annoncé le lancement par l’UMP d’ »une grande souscription nationale ».  M. Copé a également décidé de réunir « la semaine prochaine, le Bureau politique statutaire de l’UMP (la direction du parti) afin d’examiner toutes les conséquences » de la décision des neuf Sages.  De son côté, l’ex Premier ministre François Fillon, en déplacement au Liban, a appelé dans un communiqué sa « famille politique » à « assumer de manière solidaire les conséquences financières » du rejet des comptes de M. Sarkozy.  Depuis les élections législatives de 2012 et la perte de 125 députés par rapport à la mandature précédente, les finances de l’UMP se sont réduites comme peau de chagrin, la dotation de l’Etat, proportionnelle au nombre d’élus, étant passée d’un peu plus de 33 millions à un peu plus de 20 millions d’euros.  Le trou est conséquent si on le compare aux budgets annuels de l’UMP (54 millions d’euros en 2009, 50 millions en 2010).  La décision du Conseil « est très injuste. Nicolas Sarkozy voulait une campagne exemplaire, on a fait du sur-mesure », a affirmé à l’AFP le député Philippe Briand, qui fut le trésorier de campagne du candidat Sarkozy. « Tout était justifié, tout était impeccable, sincère ».  Il s’est demandé notamment pourquoi a été réintégrée dans les comptes de campagne la moité des sommes engagées pour le grand meeting de Villepinte, le 11 mars 2012, « alors qu’en 2007, on avait été autorisés à le faire pour celui de la Porte de Versailles », les frais engendrés par la grande réunion publique de Toulon antérieure à sa déclaration de candidature (15 février 2012) et « même 70.000 euros pour le Magazine de l’Union », qui ne s’adresse pourtant « qu’aux militants ».  Semblant désarçonné par cette décision, M. Briand se demande si « on n’est pas en train d’inventer une nouvelle jurisprudence ». « Un président ne pourrait plus s’exprimer l’année qui précède la présidentielle. Il n’est plus élu pour cinq ans mais pour quatre, ça devient compliqué! ».  Dominique Dord, ex-trésorier de l’UMP, a jugé auprès de l’AFP qu’à propos du meeting de Villepinte, « on (était) dans l’épaisseur du trait ». « Comment déterminer la part des dépenses qui revient à l’UMP, celle qui revient au candidat? ».  Il a calculé que pour « éponger » les 11 millions d’euros manquant dans les caisses de l’UMP, le parti devrait faire des efforts correspondants à 2,5 millions d’euros jusqu’à 2017, « par des réductions de dépenses ».  Au-delà de ces problèmes de trésorerie, se pose, aux yeux du député de Savoie, « un fait politique assez hallucinant ». « Le Conseil constitutionnel prend une énorme responsabilité juridique. Qu’aurait-il fait si M. Sarkozy avait gagné l’élection? »  Le problème aurait pu se poser en 1995 pour Jacques Chirac dont les comptes de campagne ont été aussi contestés. Mais Roland Dumas, à l’époque président du Conseil constitutionnel, ne l’avait révélé que bien des années après. « La France avait besoin d’un président de la République. Elle venait d’élire Jacques Chirac (…) Annuler les élections, comme cela aurait été possible », c’était « laisser la France sans capitaine », affirmait-il en 2011.  Un élu UMP ne peut s’empêcher de voir « une curieuse coïncidence » entre les bons sondages de M. Sarkozy et toutes les affaires auxquelles son nom est mêlé. « Si on voulait abattre un homme, on ne s’y prendrait pas autrement », a affirmé un autre, ajoutant: « et l’UMP n’a plus les moyens d’expression nécessaires à un parti d’opposition. Tout cela a mauvaise allure ».

 

L’impôt va tuer la croissance et les rentrées fiscales en 2013

L’impôt  va tuer la croissance et les rentrées fiscales en 2013

 

Cette fois la France est engagée dans un cercle vicieux type Espagne voire Grèce. Le matraquage fiscale tue non seulement la croissance mais mécaniquement plombe les recettes fiscale ;  résultat :  la fiscalité supplémentaire qui devait régler les déficits ne fait que les aggraver. Si ce rythme se prolongeait sur l’ensemble de l’année, la progression des recettes fiscales nettes de l’Etat serait de 1,3 milliard d’euros en 2013, alors qu’elle est prévue à 30,2 milliards par rapport à l’exécution du budget 2012 en raison des fortes hausses de prélèvements votées. En cause, les rentrées de TVA, la principale recette de l’Etat, qui reculent de 2,3% sur fond de consommation atone et sans doute, estime Denis Ferrand, de problèmes de trésorerie des entreprises. Celles de l’impôt sur les sociétés régressent dans le même temps de 5,8% et la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques de 6,1%. Parallèlement, les dépenses de l’Etat ont augmenté de 5,6% à fin avril, une hausse ramenée à 1,1% hors éléments non récurrents qui est en ligne avec la progression en valeur de 1% attendue cette année. Dans le détail, les dépenses de personnel de l’Etat affichent d’un an sur l’autre une progression de 1,6% à périmètre constant et celles d’investissement reculent de 14,1%. Quant aux prélèvements sur recettes au profit des collectivités locales, ils sont en repli de 2,2% sur quatre mois. Le gouvernement prévoyait de ramener les déficits publics, dont le solde est la principale composante, à 3% du PIB en fin d’année, un objectif auquel il a renoncé avec le feu vert de la Commission européenne en raison de la faiblesse de la croissance en ce début d’exercice. Cet objectif reposait sur un déficit budgétaire ramené à 62,3 milliards d’euros à fin 2013 contre 87,2 milliards en 2012. Le gouvernement prévoit maintenant un déficit public à 3,7% du PIB cette année sur la base d’une croissance limitée à 0,1%, des hypothèses jugées trop optimistes. Les décalages substantiels déjà constatés amènent l’opposition à réclamer un projet de loi de finances rectificative, que le gouvernement a jusqu’ici refusé. « Le déficit s’aggrave, les recettes fiscales ne rentrent pas. Le gouvernement cache la réalité », a déclaré l’ancienne ministre du Budget Valérie Pécresse dans un « tweet ».

 

Emploi : Renault va embaucher à Flins

Emploi : Renault va embaucher à Flins

  »C’est une bonne nouvelle pour l’usine, pour Renault, pour la France ». Invité de l’émission C’est arrivé cette semaine, samedi sur Europe 1, Carlos Ghosn, le PDG de Renault-Nissan, a commenté la décision de produire la prochaine Micra de Nissan à l’usine de Flins, dans les Yvelines, une « conséquence de l’accord de compétitivité » signé en mars avec les syndicats.  Le site de Flins « produit aujourd’hui un peu plus de 120.000 voitures par an, donc le fait de rajouter 80.000 voitures, cela ne peut pas se faire avec le nombre de personnes aujourd’hui dans l’usine », a développé Carlos Ghosn, ajoutant : « on va être obligés d’embaucher ». Pour l’heure, l’usine emploi 2.650 CDI, 750 intérimaires et 200 personnes en mission venues d’autres sites de Renault. D’après un responsable syndical FO, l’arrivée de la Micra sur les chaînes de montage de Flins devrait conduire à l’embauche d’une équipe supplémentaire, soit environ 1.000 personnes. La CGT avait, quant à elle, émis des doutes sur la volonté d’embaucher. « Je me méfie des effets d’annonce, et j’attends de voir si les Micra représenteront vraiment un volume supplémentaire pour Flins, et si elles ne vont pas remplacer une partie des Clio produites sur place », a ainsi réagi vendredi Ali Kaya, représentant CGT du site de Flins. Carlos Ghosn semble ainsi s’engager à « ajouter » la production de Nissan Micra à celle de Clio, sans la remplacer.   »Dans tous les cas, la décision de Nissan a été basée sur des purs critères économiques », a expliqué Carlos Ghosn. « L’autre option, c’était de continuer à produire la Micra en Inde et l’exporter en Europe. Il a fallu à tout prix battre cette hypothèse », a indiqué le PDG pour qui la décision prise par le groupe a « un sens économique ». Selon lui, « il y a un intérêt à produire là ou on veut vendre : cela élimine des couts de logistique et souvent quelques barrières douanières ».Carlos Ghosn a aussi estimé que d’autres acteurs du secteur automobile pouvaient être « tentés » par une production en France, et affirmé : « c’est une très grande chance pour Renault de montrer sur un cas très précis que produire en France, c’est attractif ».

Sondage Popularité Hollande : chute dramatique qui va continuer

Sondage Popularité Hollande : chute dramatique qui va continuer

L chute est dramatique pour Hollande qui bat tous les records d’impopularité (sondage IFOP JDD qui confirme tous les autres); dramatique aussi pour la France dont les institutions vont de faiat se trouver bloquées et l’économie avec. Ce sera encore davantage la politique du ni-ni, chaque mesure désormais apportera son lot de mécontents et l’indice de popularité de Hollande ne pourra que se détériorer jusqu’à atteindre le score de Jospin, un score qui risque de placer le PS derrière le front national ( en cas délections présidentielles Hollande serait derrière Le Pen avec autour de 20%) .En bref on se prépare comme en Italie a avoir un pays ingouvernable. Avec 74% de Français qui se déclarent « mécontents », le chef de l’Etat bat un record absolu sous la Ve. Jusqu’à présent, c’est Nicolas Sarkozy qui détenait ce record avec 72% de mécontents atteint en… avril 2011, c’est-à-dire un an avant la fin de son quinquennat. On assiste donc à une incroyable accélération du temps politique. Plus préoccupant surtout pour Français Hollande : il passe sous son socle électoral. Avec 25% de Français encore satisfaits, il s’éloigne des 28,6% de ceux qui avaient votés pour lui au premier tour de la présidentielle il y a un an. Le recul est général. Il baisse notamment chez les professions intermédiaires traditionnellement acquises aux socialistes (de 41% à 24%), chez les professions libérales (de 38% à 29%) et même chez les sympathisants socialistes (de 77% à 64%). Dans leurs réponses, les Français interrogés par l’IFOP estiment que le Président et son gouvernement s’attardent sur des sujets non prioritaires comme le mariage pour tous et le choc de moralisation. Tout se passe comme si l’affaire Cahuzac avait mis en évidence le manque d’autorité de François Hollande. Plus que l’affaire en tant que telle, les sondés déplorent le manque de vigilance du Président lorsqu’il a choisi son ministre du Budget indélicat. Loin d’agir comme un bouclier, Jean-Marc Ayrault baisse au même rythme que son patron : – 6 points ce mois. Le Premier ministre n’a pas plus que 30% de personnes satisfaites.

 

Mélenchon : « Le gouvernement va dans le mur » (interview BFM)

Mélenchon : « Le gouvernement va dans le mur » (interview BFM)

Jean-Luc Mélenchon  interrogé sur les retaites  : « Les Allemands discutent de passer à la retraite à 70 an, ça suffit ! »

Sur la taxe à 75% : François Hollande a annoncé que cette taxe toucherait finalement les entreprises où les salaires dépassent le million d’euros, dont les clubs de football.  

Jean-Luc Mélenchon : Passer d’une tranche de 45% à 75% c’est stupide. Un impôt n’est pas destiné à punir mais à partager. Ca devrait être un niveau dans l’impôt sur le revenu, pas une taxe sur les entreprises ».

 A propos de l’accord sur la réforme du travail, qui arrive ce mardi à l’Assemblée et qui prévoit plus de flexibilité pour les entreprises contre davantage de protection pour les salariés. Ce texte transpose l’accord national qu’avait conclu le patronat (Medef, CGPME, UPA) et trois syndicats (CFDT, CFTC et CFE-CGC) le 11 janvier dernier. L’accord porte sur davantage de flexibilité pour les employeurs contre de nouveaux droits pour les salariés.

 Jean-Luc Mélenchon : « Cessez de nous prendre pour des gamins : on nous l’a déjà fait l’accord de compétitivité. Pendant deux ans on garantit l’emploi, et après ? On dit juste qu’il faut se serrer la ceinture pendant deux ans ».

  Jean-Luc Mélenchon : Nous allons déposer 4500 amendements sur ce texte. »Jean-Luc Mélenchon :« Ce n’est pas le travail qui pose problème. Le problème c’est que les carnets de commande ne sont pas remplis. Il faut donc avoir une politique de développement de l’activité. Or le gouvernement veut réduire les coûts du travail, ce qui amène de plus en plus de chômage, ce qui déséquilibre tous les comptes sociaux. Cette politique va dans le mur. »

 Jean-Luc Mélenchon : « C’est très choquant. Quand vous avez d’un côté le Medef, de l’autre, certains syndicats qui discutent, vous avez deux parties. Une troisième partie est impliquée mais absente de la discussion : c’est la société tout entière, qui paye pourtant pour le chômage». -Jean-Luc Mélenchon : « Nous allons déposer 4500 amendements parce que c’est un texte très technique. Nous allons essayer de le désarticuler ce texte parce qu’il est globalement mauvais. Il nuit à l’économie. Il va être une méthode de plus pour mettre le pistolet sur la temps des travailleurs. Ca va être une fragilisation des rapports sociaux dans l’entreprise. Or il faut penser au collectif de travail, pas seulement aux patrons et aux actionnaires ».

 

 

ArcelorMittal : va recevoir 19 millions pour fermer le site Florange ; motif : non pollution !

ArcelorMittal : va recevoir 19 millions pour fermer le site Florange ; motif : non pollution !

 

 

On monétarisé la pollution, du coup ArcelorMittal va recevoir 19 millions pour non pollution du site de Florange. Une aberration évidemment car l’acier sera fabriqué ailleurs en Asie par exemple où on est moins regardant sur les atteintes à l’environnement.Le site Notre planète.info révèle que le géant franco-indien pourrait continuer à engranger des millions d’euros grâce à la fermeture définitive des hauts-fourneaux lorrains. Pendant que les métallos de Florange remuent ciel et terre pour sauver leur emploi et que l’Etat indemnise leurs périodes de chômage partiel, ArcelorMittal, qui a prévu de fermer les hauts-fourneaux du site en mars 2013, devrait tout de même percevoir ses quotas de permis à polluer. « Lorsqu’une installation a cessé ses activités, l’État membre concerné ne lui délivre plus de quotas d’émission à compter de l’année suivant la cessation des activités », précise en effet la Commission européenne, citée par le site d’informations. Le nouveau plan d’allocation français, pour la période 2013-2020, prévoit ainsi, selon Notre planète.info, un quota gratuit de 3,8 millions de tonnes de CO2 de permis à polluer pour le site de Florange. A environ 5 euros la tonne sur le marché des droits à polluer, cela représente un joli pactole de 19 millions d’euros ! Florange fait en effet partie, explique le site, des quelque 10.000 sites industriels européens qui ont été intégrés au système d’échange de quotas d’émissions de CO2 mis en place en 2005. En fin d’année, si le site industriel dépasse son quota, il doit acheter des « droits à polluer » sur le marché carbone pour compenser ses émissions. Si, à l’inverse, il n’utilise pas tout son quota, il peut engranger et accumuler ses permis d’émissions pour ensuite les revendre à des entreprises qui ont dépassé leurs propres quotas. D’après Notre planète.info, ArcelorMittal n’a pas dépassé son quota annuel en 2009, 2010 et 2011, économisant plusieurs millions de tonnes de CO2. Et ce, en partie grâce à la mise en sommeil de ses hauts-fourneaux de Florange ! Au niveau mondial, ArcelorMittal serait même la compagnie qui a accumulé le plus grand excédent de quotas.

 

 

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