Archive pour le Tag 'universel'

Le CETU (Compte épargne temps universel) adopté

 Le CETU (Compte épargne temps universel) adopté

Le compte épargne temps universel (Cetu), a fait l’objet d’un accord mardi entre plusieurs syndicats et une organisation patronale, il «vise à donner à chaque salarié plus de liberté dans la gestion de ses temps de vie». Selon le projet, le salarié peut épargner ses jours de congés non pris au-delà de quatre semaines par an, c’est-à-dire au minimum une semaine. A cela peuvent s’ajouter des congés supplémentaires prévus par accord de branche ou d’entreprise. Les jours de RTT, les heures supplémentaires et les primes peuvent également servir à alimenter le Cetu.

L’employeur verse à la Caisse des dépôts et consignations la somme correspondant aux congés, RTT ou primes stockés par le salarié. Au cours du temps, cette somme d’argent est réévaluée chaque année en fonction du salaire horaire de base des ouvriers et employés (SHBOE).Le CETU pourra être utilisé:

 

  • Sans condition d’ancienneté pour aider un proche, parent ou enfant, en situation de fragilité ou pour prolonger un congé lié à l’arrivée d’un enfant.
  • Au bout d’un an d’ancienneté, le salarié peut utiliser son Cetu pour un engagement associatif ou citoyen ou pour acquérir une qualification dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle à son initiative.
  • À partir de trois ans d’ancienneté, le salarié peut utiliser son Cetu pour tout motif personnel.

Outre des congés, le salarié peut utiliser son Cetu pour réduire son temps de travail en fin de carrière dans la limite d’un mi-temps.

Le salarié qui veut mobiliser son Cetu devra prévenir son employeur au moins un mois à l’avance pour une absence inférieure à cinq semaines, trois mois à l’avance pour une absence comprise entre 5 semaines et six mois, et six mois à l’avance au-delà.

 

Service national universel: gadget Inutile

Service national universel: gadget inutile

Dans sa nature, dans son ampleur et dans ses modalités, le service national dit universel est toujours aussi ridicule. C’est un mensonge, il ne concerne qu’une partie infime de la population ensuite la généralisation supposée paraît complètement illusoire notamment faute de moyens. Pourtant la secrétaire d’État à la jeunesse remet à l’ordre du jour le projet de généralisation.

Dans une interview au média Brut, la secrétaire d’État chargée de la jeunesse et du SNU Prisca Thévenot a reconfirmé cette volonté de généralisation.

La généralisation et l’obligation tiennent cependant du serpent de mer. Dès 2020, le gouvernement annonçait la généralisation de son programme pour l’horizon 2024.

Le service national dit universel n’aura impliqué selon les années que 10 000 à 20 000 jeunes alors qu’il y a 800 000 jeunes concernés chaque année. Soit aussi un coût de 2 milliards par an. Et surtout un contenu qui relève davantage de la colonie de vacances ou du scoutisme que du service militaire.

Pourtant il y a bien une urgence de rétablissement du service militaire d’abord pour des questions de stratégie de défense. En effet la guerre en Ukraine nous rappelle la place essentielle des hommes dans un conflit et la nécessité y faire face avec des soldats formés.

Sinon, c’est accepter au dernier moment de faire appel à la jeunesse qu’on jette dans une véritable boucherie. Enfin, le rétablissement du service militaire est clairement nécessaire pour le brassage républicain et le rappel des valeurs .

Le projet avait finalement été enterré par le gouvernement durant le mouvement contre la réforme des retraites, celui-ci souhaitant « rajouter un ingrédient dans un cocktail explosif » en plein mouvement social, comme l’expliquait un conseiller ministériel à BFMTV.com.

Pourtant la secrétaire d’État confirme l’objectif de la généralisation du dispositif mais ajoute-t-elle avec prudence: « Il n’y aurait rien de pire que de forcer un jeune à aller faire le SNU, ce serait contre-productif », assurait-elle le 4 août dernier.

Bref, le service ne sera donc pas obligatoire, ni national, ni universel et ni militaire !

Service national universel pour tous: encore un mensonge

Service national universel pour tous: encore un mensonge

Service national universel : toujours aussi ridicule

Dans sa nature, dans son ampleur et dans ses modalités, le service national dit universel est toujours aussi ridicule. C’est un mensonge, il ne concerne qu’une partie infime de la population ensuite la généralisation supposée paraît complètement illusoire notamment faute de moyens. Pourtant la secrétaire d’État à la jeunesse remet à l’ordre du jour le projet de généralisation.

Dans une interview au média Brut, la secrétaire d’État chargée de la jeunesse et du SNU Prisca Thévenot a reconfirmé cette volonté de Généralisation.

La généralisation et l’obligation tiennent cependant du serpent de mer. Dès 2020, le gouvernement annonçait la généralisation de son programme pour l’horizon 2024.

Le service national dit universel n’aura impliqué selon les années que 10 000 à 20 000 jeunes alors qu’il y a 800 000 jeunes concernés chaque année. Soit aussi un coût de 2 milliards par an. Et surtout un contenu qui relève davantage de la colonie de vacances ou du scoutisme que du service militaire

Le projet avait finalement été enterré par le gouvernement durant le mouvement contre la réforme des retraites, celui-ci souhaitant « rajouter un ingrédient dans un cocktail explosif » en plein mouvement social, comme l’expliquait un conseiller ministériel à BFMTV.com.

Pourtant la secrétaire d’État confirme l’objectif de la généralisation du dispositif mais ajoute-t-elle avec prudence: « Il n’y aurait rien de pire que de forcer un jeune à aller faire le SNU, ce serait contre-productif », assurait-elle le 4 août dernier.

Bref, le service ne sera donc pas obligatoire, ni national, ni universel et ni militaire !

Service national universel : toujours aussi ridicule

Service national universel : toujours aussi ridicule

Dans sa nature, dans son ampleur et dans ses modalités, le service national dit universel est toujours aussi ridicule. D’abord il ne concerne qu’une partie infime de la population ensuite la généralisation supposée paraît complètement illusoire notamment faute de moyens. Pourtant la secrétaire d’État à la jeunesse remet à l’ordre du jour le projet de généralisation.

Dans une interview au média Brut, la secrétaire d’État chargée de la jeunesse et du SNU Prisca Thévenot a reconfirmé cette volonté de Généralisation.

La généralisation et l’obligation tiennent cependant du serpent de mer. Dès 2020, le gouvernement annonçait la généralisation de son programme pour l’horizon 2024.

Le service national dit universel n’aura impliqué selon les années que 10 000 à 20 000 jeunes alors qu’il y a 800 000 jeunes concernés chaque année. Soit aussi un coût de 2 milliards par an. Et surtout un contenu qui relève davantage de la colonie de vacances ou du scoutisme que du service militaire

Le projet avait finalement été enterré par le gouvernement durant le mouvement contre la réforme des retraites, celui-ci souhaitant « rajouter un ingrédient dans un cocktail explosif » en plein mouvement social, comme l’expliquait un conseiller ministériel à BFMTV.com.

Pourtant la secrétaire d’État confirme l’objectif de la généralisation du dispositif mais ajoute-t-elle avec prudence: « Il n’y aurait rien de pire que de forcer un jeune à aller faire le SNU, ce serait contre-productif », assurait-elle le 4 août dernier.

Bref, le service ne sera donc pas obligatoire, ni national, ni universel et ni militaire !

Vers la fin du Service national universel

Vers la fin du Service national universel ?


La fin déjà du service national universel qui n’était déjà qu’un ersatz du service militaire. Sorte de service civil ressemblant à une colonie de vacances vient de prendre fin dans le budget militaire. Budgétairement le SNU est supprimé pour autant il continuera d’êtreer financé mais on ne sait pas comment . Il est clair que ce service est évidemment complètement inadapté à une situation de guerre de haute intensité ou même à un apprentissage et une appropriation des valeurs républicaines. Finalement,il y aura quelques heures de cours à l’école ou le retour de l’éducation civique d’antan. Le nombre de jeunes concernés étaient très marginale de l’ordre de quelques dizaines de milliers quand une génération représente 800 000. 50 000 Jeunes sont concernés au maximum par le SNU en 2023. Bref la plus grande confusion sur l’objectif, les modalités et les moyens.

Le Service national universel (SNU) ne figurera donc pas compte tenu du contexte social dans la prochaine Loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période 2024-2030. En revanche, la LPM sera bien présentée mardi prochain en conseil des ministres après quelques hésitations de l’exécutif. « On a l’intention d’aller de l’avant résolument sur le processus relatif à la loi de programmation militaire, dont le projet a été envoyé au Conseil d’État », confirmait-on lundi à l’Élysée. Le coût budgétaire du SNU est estimé autour de 3,5 milliards d’euros pas an, dont une partie pèse sur le budget du ministère des Armées.

Voulu par Emmanuel Macron, le SNU vise « à impliquer davantage la jeunesse dans la vie de la Nation, à promouvoir la notion d’engagement, à renforcer la mixité territoriale et à favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes ».

Pour une généralisation hors temps scolaire, le nombre de personnes recrutées devrait être compris entre 39.375 et 52.500. Concernant le scénario d’une généralisation du SNU sur le temps scolaire, les besoins de recrutement seraient moins élevés (entre 14.000 et 16.153 personnes).Un imbroglio total entre SNU à l’extérieur, un SNU à l’intérieur de l’école et des cours d’éducation civique pour tous.

La fin du Service national universel , déjà !

La fin du Service national universel , déjà !

La fin déjà du service national universel qui n’était déjà qu’un ersatz du service militaire. Sorte de service civil ressemblant à une colonie de vacances vient de prendre fin dans le budget militaire. Budgétairement le SNU est supprimé pour autant il continuera financé on ne sait pas comment . Il est clair que ce service est évidemment complètement inadapté à une situation de guerre de haute intensité ou même à un apprentissage et une appropriation des valeurs républicaines. Finalement il y aura quelques heures de cours à l’école ou le retour de l’éducation civique d’antan. Le nombre de jeunes concernés étaient très marginale de l’ordre de quelques dizaines de milliers quand une génération représente 800 000. 50 000 Jeunes sont concernés au maximum par le SNU en 2023. Bref la plus grande confusion sur l’objectif, les modalités et les moyens.

Le Service national universel (SNU) ne figurera donc pas compte tenu du contexte social dans la prochaine Loi de programmation militaire (LPM) couvrant la période 2024-2030. En revanche, la LPM sera bien présentée mardi prochain en conseil des ministres après quelques hésitations de l’exécutif. « On a l’intention d’aller de l’avant résolument sur le processus relatif à la loi de programmation militaire, dont le projet a été envoyé au Conseil d’État », confirmait-on lundi à l’Élysée. Le coût budgétaire du SNU est estimé autour de 3,5 milliards d’euros pas an, dont une partie pèse sur le budget du ministère des Armées.

Voulu par Emmanuel Macron, le SNU vise « à impliquer davantage la jeunesse dans la vie de la Nation, à promouvoir la notion d’engagement, à renforcer la mixité territoriale et à favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes ».

Pour une généralisation hors temps scolaire, le nombre de personnes recrutées devrait être compris entre 39.375 et 52.500. Concernant le scénario d’une généralisation du SNU sur le temps scolaire, les besoins de recrutement seraient moins élevés (entre 14.000 et 16.153 personnes).Un imbroglio total entre SNU à l’extérieur, un SNU à l’intérieur de l’école et des cours d’éducation civique pour tous.

15 jours de service national universel

15 jours de service national universel !!!

par
Jean-Paul Delahaye

ancien directeur général de l’enseignement scolaire dans Le Monde

Jean-Paul Delahaye, inspecteur général de l’éducation nationale honoraire, soulève, dans une tribune au « Monde », le paradoxe d’assigner au SNU des objectifs qui sont mis à mal à l’école publique.

Il est beaucoup question ces derniers jours de la généralisation à venir du service national universel (SNU) expérimenté depuis quatre ans. Sans anticiper ce qu’il en adviendra réellement, il peut être intéressant de questionner les objectifs qui lui sont assignés.

On ne peut qu’approuver celui qui consiste à « renforcer la cohésion nationale ». Celle-ci est en effet en péril dans un pays où 3 millions d’enfants et adolescents (un élève sur cinq) sont empêchés d’apprendre sereinement parce qu’ils vivent dans des familles pauvres. La « cohésion nationale » est aussi mise à mal quand l’origine sociale pèse aussi lourd sur les destins scolaires en France, et quand les classes favorisées font sécession et scolarisent leurs enfants à part, dans des établissements publics ou privés de l’entre-soi, en les protégeant ainsi de la fréquentation des enfants du peuple.

Que dire encore quand le financement par la République de la concurrence privée de son école publique est plus important en France que dans la plupart des pays en Europe ? Et, comme si subventionner à 73 % sur fonds publics les établissements privés sous contrat ne suffisait pas, le seul résultat de l’obligation scolaire à 3 ans décidée en 2019 a été un financement accru des écoles maternelles privées. Afficher « cohésion nationale » et, parallèlement, construire et financer le séparatisme social est pour le moins contradictoire.

Enfin, comment comprendre cet objectif de renforcement de la cohésion sociale dans le cadre du SNU quand, dans le temps même où celui-ci a été expérimenté, de 2018 à 2022, l’objectif de mixité sociale et scolaire dans les établissements a disparu totalement des radars ministériels ? Plusieurs expérimentations engagées depuis 2015 avaient malgré tout été courageusement poursuivies et ont obtenu des résultats prometteurs. Des mesures sont annoncées à ce titre pour les prochaines semaines et suscitent une forte attente au sein de l’école publique. Quinze jours de SNU vont peut-être mettre en relation fugitive des jeunes qui ne se côtoient jamais à l’école, mais ne pourront jamais réparer les dégâts d’un séparatisme social mortifère, assumé par des élites qui n’ont jamais été autant clonées.

Plaidoyer pour le revenu universel !

 

Les trois économistes Nezih Guner, Remzi Kaygusuz et Gustavo Ventura étudient, dans une tribune au « Monde », les scénarios permettant d’instaurer aux Etats-Unis un « revenu universel » versé à chaque Américain.

Sorte de plaidoyer qui passe sur le fait que les plus démunis ne seront jamais en capacité d’épargner pour couvrir des besoins sociaux essentiels comme la santé ou la retraite ( Ce qui n’interdit pas évidemment d’éclaircir sérieusement le maquis des prestations actuelles). NDLR

 

La proposition d’un revenu universel (RU), c’est-à-dire d’une allocation publique versée sans condition à tout individu, est abondamment débattue par les économistes et les politiques. Selon certains, il pourrait être la solution à la croissance des inégalités de revenu et à l’insuffisance des allocations existantes.

Pour d’autres, ce serait un moyen de réduire l’inefficacité du système de prestations actuel, qui consiste généralement en un patchwork de nombreux programmes gérés par une bureaucratie pléthorique. Les dépenses sociales représentent environ 20 % du produit intérieur brut (PIB) des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

En France, leur part est d’à peu près 30 %, le plus haut taux des pays de l’OCDE, alors qu’aux Etats-Unis il est de 18 %, à peine inférieur à la moyenne. La santé et les retraites s’adjugent la part du lion, et le reste, soit 8,1 % du PIB en France et environ 2,7 % aux Etats-Unis, correspond à des allocations versées à la population en âge de travailler.

Ces allocations sont en général soumises à conditions de ressources, c’est-à-dire que seuls les individus ayant un revenu inférieur à un certain seuil sont en droit de les percevoir. Ces allocations peuvent être soit des prestations monétaires, en liquide ou en chèque, versées directement ou sous forme de crédit d’impôts, soit des services en nature, comme le logement social ou les crèches payées par le gouvernement.

Si l’on répartissait le montant actuel de ces allocations entre tous les habitants, enfants comme adultes, cela représenterait 3 100 euros par personne et par an en France, et 1 400 euros aux Etats-Unis. Aujourd’hui, tout le monde ne reçoit bien entendu pas cette somme-là, car beaucoup de gens perçoivent des revenus suffisamment élevés pour être inéligibles, tandis que ceux qui ont droit aux allocations publiques reçoivent en général une somme relativement plus importante.

Imaginons que soit mis en place un revenu universel. La France verserait alors 3 100 euros par an à tout le monde, et les Etats-Unis 1 400 euros, en supprimant tout simplement tous les programmes d’allocations existants et en adressant un chèque annuel .

Société-Pour la généralisation du Service national universel ?

Pour la  généralisation du Service national universel ?

Dans une tribune à l’Opinion, une centaine de maires dont ceux de Nice, Angers, Reims ou Ajaccio militent  pour une généralisation à l’ensemble de la France du Service national universel, dispositif lancé par Emmanuel Macron et porté par la secrétaire d’Etat, Sarah El Haïry

 

Une démarche intéressante mais qui fuit – Essentiellement pour des motivations politiciennes- le rétablissement du service militaire autrement plus adapté à l’enjeu sociétal et à la stratégie de défense ( comment expliquer par exemple qu’on ne peut envoyer que 5000 hommes au Sahel autrement !). Par ailleurs une tribune d’inspiration un peu trop macronienne qui devrait souligner l’échec quantitatif total du service national universel :quelques milliers effectivement concernés 700 à 800 000 candidats potentiels ! NDLR 

Tribune

Nous maires ayant accueilli des centres de Service national universel sur notre commune ou ayant à cœur de porter des politiques fortes d’éducation à la citoyenneté pour notre jeunesse, appelons de nos vœux à la généralisation du SNU sur l’ensemble du territoire.

En janvier 2018, le président de la République confirmait sa volonté de faire du Service national universel le socle d’un creuset républicain renouvelé. Aujourd’hui, malgré le contexte sanitaire, ce dispositif, porté par Sarah El Haïry, secrétaire d’Etat chargée de la Jeunesse et de l’Engagement, est sur les rails dans tous les départements : en 2022, 50 000 jeunes Françaises et Français de 15 à 17 ans prendront part aux séjours de cohésion du SNU et réaliseront une mission d’intérêt général. Loin du fantasme d’un rétablissement illusoire du service militaire, Emmanuel Macron a posé les jalons de ce qui sera demain un véritable rite de passage républicain qui favorise de vrais temps de brassage social et territorial.

Bien sûr, la mise en place du SNU à un coût. Mais ces dépenses (dont bénéficient principalement les associations locales, les foyers de jeunes travailleurs, les cuisines centrales de nos territoires…) sont en réalité un vrai investissement dans notre jeunesse et peuvent évitent les spirales d’échec de certains publics, que la solidarité nationale est alors appelée à assumer et à prendre en charge ensuite longtemps dans leur vie d’adulte. De par son caractère universel, car il devra concerner à terme chaque année les 700 000 jeunes Français qui constituent une classe d’âge, le Service national universel est une politique

Pour la généralisation du Service national universel ?

Pour la  généralisation du Service national universel ?

Dans une tribune à l’Opinion, une centaine de maires dont ceux de Nice, Angers, Reims ou Ajaccio militent  pour une généralisation à l’ensemble de la France du Service national universel, dispositif lancé par Emmanuel Macron et porté par la secrétaire d’Etat, Sarah El Haïry

 

Une démarche intéressante mais qui fuit – Essentiellement pour des motivations politiciennes- le rétablissement du service militaire autrement plus adapté à l’enjeu sociétal et à la stratégie de défense ( comment expliquer par exemple qu’on ne peut envoyer que 5000 hommes au Sahel autrement !). Par ailleurs une tribune d’inspiration un peu trop macronienne qui devrait souligner l’échec quantitatif total du service national universel :quelques milliers effectivement concernés 700 à 800 000 candidats potentiels ! NDLR 

Tribune

Nous maires ayant accueilli des centres de Service national universel sur notre commune ou ayant à cœur de porter des politiques fortes d’éducation à la citoyenneté pour notre jeunesse, appelons de nos vœux à la généralisation du SNU sur l’ensemble du territoire.

En janvier 2018, le président de la République confirmait sa volonté de faire du Service national universel le socle d’un creuset républicain renouvelé. Aujourd’hui, malgré le contexte sanitaire, ce dispositif, porté par Sarah El Haïry, secrétaire d’Etat chargée de la Jeunesse et de l’Engagement, est sur les rails dans tous les départements : en 2022, 50 000 jeunes Françaises et Français de 15 à 17 ans prendront part aux séjours de cohésion du SNU et réaliseront une mission d’intérêt général. Loin du fantasme d’un rétablissement illusoire du service militaire, Emmanuel Macron a posé les jalons de ce qui sera demain un véritable rite de passage républicain qui favorise de vrais temps de brassage social et territorial.

Bien sûr, la mise en place du SNU à un coût. Mais ces dépenses (dont bénéficient principalement les associations locales, les foyers de jeunes travailleurs, les cuisines centrales de nos territoires…) sont en réalité un vrai investissement dans notre jeunesse et peuvent évitent les spirales d’échec de certains publics, que la solidarité nationale est alors appelée à assumer et à prendre en charge ensuite longtemps dans leur vie d’adulte. De par son caractère universel, car il devra concerner à terme chaque année les 700 000 jeunes Français qui constituent une classe d’âge, le Service national universel est une politique

Vaccin universel contre tous les coronavirus ?

 Vaccin universel contre tous les coronavirus ?

Un article de Betsy McKay Dans le Wall Street Journal (extrait)

Chercheur de l’armée américaine spécialisé dans les maladies infectieuses émergentes, M. Modjarrad travaille sur un vaccin visant à assurer une protection contre toute une série de coronavirus entraînant des maladies chez l’être humain, y compris des variants de la Covid-19 susceptibles d’échapper aux vaccins aujourd’hui disponibles.

L’objectif est d’empêcher un prochain variant de se propager à travers la planète. Un tel vaccin pourrait peut-être même combattre les coronavirus responsables des rhumes ordinaires.

L’équipe de recherche de M. Modjarrad est répartie en une vingtaine de groupes basés dans le monde entier, qui travaillent sur des projets de vaccins dits « universels » ou « pancoronavirus », c’est-à-dire capables de bloquer un certain nombre de virus liés, y compris des spécimens n’ayant encore infecté personne. Après avoir consacré des années à lutter contre les virus Ebola, Zika et H1N1, ainsi que d’autres nouveaux agents pathogènes, M. Modjarrad et différents spécialistes des maladies émergentes expliquent vouloir trouver un vaccin permettant de contrer tout nouvel agent susceptible d’apparaître.

 

« C’est la solution grâce à laquelle nous pourrons sortir non seulement de cette pandémie, mais de ce cycle d’épidémies », souligne M. Modjarrad, qui dirige le pôle des maladies infectieuses émergentes à l’Institut de recherches Walter Reed de l’armée américaine à Silver Spring, dans le Maryland.

Trois nouveaux coronavirus mortels sont apparus au cours des dix-huit dernières années, y compris l’agent responsable du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (Mers), et les scientifiques s’attendent à ce qu’un autre émerge. De nombreux animaux, chauves-souris et lapins inclus, sont porteurs de coronavirus qu’ils pourraient transmettre à l’être humain. Des millions d’individus à travers le monde sont actuellement exposés au virus Sars-Cov-2 responsable de la pandémie de Covid-19, ce qui augmente les risques de voir apparaître des variants qui résisteraient aux vaccins, alertent les scientifiques.

« Il faut que nous travaillions de manière proactive sur ces virus, et sur beaucoup d’autres », affirme David Veesler, biochimiste à l’Ecole de médecine de l’université de Washington, dont le laboratoire teste un vaccin expérimental contre un groupe de coronavirus.

Les scientifiques ont passé des années à tenter de mettre au point un vaccin universel contre la grippe, sans succès à ce jour. Les coronavirus, qui mutent moins souvent et présentent un moins grand nombre de lignées distinctes, pourraient constituer une cible plus facile à atteindre. Les scientifiques notent toutefois qu’il pourrait falloir des années pour produire un vaccin capable de protéger l’être humain contre la plupart des coronavirus susceptibles de l’infecter, et que le chemin est semé d’embûches.

La Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI), une organisation basée à Oslo qui finance le développement de vaccins contre des maladies épidémiques, investit 200 millions de dollars sous forme de subventions dans les premières phases de développement de vaccins visant à assurer une protection contre des coronavirus dangereux. Aux Etats-Unis, l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, dont les scientifiques cherchent à mettre au point des vaccins contre les coronavirus, a accordé 95 millions de dollars à d’autres chercheurs, dont 36 millions à des équipes de l’université Duke, de l’université du Wisconsin – Madison et du Brigham and Women’s Hospital à Boston.

Plusieurs entreprises travaillent sur des vaccins polyvalents contre la Covid-19, qui cibleraient les variants du Sars-CoV-2. L’administration Biden et d’autres bailleurs de fonds devraient accorder la priorité au développement de vaccins assurant une large protection contre ces variants, estime Eric Topol, directeur du Scripps Research Translational Institute à La Jolla, en Californie. « Ce dont nous avons réellement besoin, c’est d’un effort mondial de collaboration », observe-t-il.

Les vaccins actuellement en développement ne protégeraient pas contre tous les coronavirus. Ceux-ci sont très distincts les uns des autres, ce qui complique la production d’un vaccin à même de les cibler tous. La plupart des chercheurs se concentrent d’abord sur des vaccins contre les sarbecovirus, le groupe de virus suscitant le plus d’inquiétudes parce qu’il inclut les agents pathogènes responsables de la Covid-19 et du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras).

S’ils parviennent à mettre au point un vaccin contre les sarbecovirus, la prochaine étape consistera à développer des vaccins capables de bloquer les bêtacoronavirus, qui incluent les sarbecovirus ainsi que le virus responsable du Mers, détecté pour la première fois en 2012 et dont le taux de mortalité avoisine les 35 %. Ce groupe comprend également deux virus à l’origine de rhumes ordinaires.

« Avant de tenter d’atteindre Mars, il faut prouver qu’on est capable d’aller sur la Lune », souligne M. Modjarrad.

De récentes études menées sur les anticorps d’individus infectés par le Sars-CoV-2 contribuent à accélérer le développement de vaccins, indique Dennis Burton, immunologiste au Scripps Research Translational Institute. Lui-même et d’autres chercheurs ont identifié des « anticorps neutralisants à large spectre », qui combattent à la fois le virus actuel et de proches cousins. Des vaccins peuvent ensuite être mis au point dans le but de produire ces anticorps chez les patients recevant l’injection, explique M. Burton.

Pour produire un vaccin universel, les chercheurs ciblent des extraits d’agents pathogènes viraux identiques, ou conservés, de virus liés. Beaucoup se concentrent sur la protéine spike des coronavirus qu’ils étudient, laquelle est présente à la surface du virus et peut ainsi s’accrocher aux cellules humaines et les infecter.

M. Modjarrad et ses collègues ont récemment testé un vaccin expérimental à base de copies de la protéine spike du Sars-CoV-2 attachées à une nanoparticule en forme de ballon de football et composée de ferritine, une protéine sanguine de stockage du fer. Ce vaccin a protégé des macaques contre le virus initial de la pandémie, ont indiqué les chercheurs. Le sérum sanguin des macaques vaccinés est aussi parvenu à résister aux principaux variants du Sras, a précisé M. Modjarrad.

Avec ses collègues, M. Martinez a utilisé l’ARN messager, comme l’ont fait Moderna et Pfizer/BioNTech pour mettre au point leurs vaccins contre la Covid-19. Plutôt que d’exploiter le matériel génétique d’un seul coronavirus, ils ont assemblé les codes génétiques d’extraits de protéines spike issues de quatre virus semblables au Sras : le Sars-CoV, le Sars-CoV-2 et deux virus de chauve-souris.

La production des vaccins hybrides n’a été possible qu’en novembre, parce qu’un composant essentiel également nécessaire à la fabrication des vaccins Pfizer et Moderna était en quantité limitée. Lorsque les vaccins expérimentaux ont été testés sur la souris, ils sont parvenus à protéger les animaux contre des variants de la Covid-19, des coronavirus de chauve-souris ainsi que d’autres virus encore.

L’équipe cherche actuellement des financements pour réaliser un essai clinique de première phase chez l’être humain, et développe un vaccin contre le Mers et des bêtacoronavirus liés, précise M. Martinez.

A l’université de Washington, M. Veesler et ses collègues ont mis au point un vaccin contre la Covid-19 à partir d’une nanoparticule semblable au virus, constellée de copies de l’extrait de la protéine spike qui se lie à un récepteur sur les cellules humaines. Ce vaccin fait actuellement l’objet d’études cliniques de phase avancée.

Après avoir identifié plusieurs anticorps neutralisant à large spectre contre des virus semblables au Sras, les chercheurs se sont lancés dans l’élaboration d’une « version 2.0 » de leur vaccin, explique M. Veesler. Ils ont fixé sur la nanoparticule des copies d’extraits de la protéine spike du Sars-CoV-2 et de trois autres virus similaires : le virus à l’origine du Sras et deux virus de chauve-souris. Testé sur la souris, le vaccin a démontré sa capacité à assurer une large protection contre les virus de type Sras.

L’équipe affine à présent son vaccin et prévoit de procéder à d’autres tests.

Les chercheurs ont par ailleurs identifié des anticorps capables de résister à toute une série de bêtacoronavirus, dont le virus responsable du Mers, indique M. Veesler. De nombreux défis restent cependant à surmonter : les anticorps sont 30 à 50 % moins puissants que d’autres, et sont moins courants, explique le chercheur.

Les anticorps « ouvrent la voie à la conception de vaccins pancoronavirus, mais nous n’en sommes pas encore là. »

 

Covid: un anticorps universel français

Covid: un anticorps universel français

une start-up française a mis au point un anticorps universel pour lutter contre le que vide. Les essais auront lieu courant 2022. Avec une même efficacité sur tous les variants « inquiétants », SPKM001 est un candidat prometteur. Lors des premiers essais pré cliniques in vitro et sur des animaux, l’anticorps monoclonal développé par la jeune biotech SpikImm a donné de très bons résultats. Il neutralise efficacement la souche originale du virus, mais aussi les variants Alpha (variant « anglais »), Beta (« Sud-africain »), Gamma (« Brésilien ») Delta (« Indien ») et Delta Plus.

Société–Le retour du revenu universel !

Société–Le retour du revenu universel !  

 

Trois responsables du Mouvement français pour un revenu de base expliquent, dans une tribune au « Monde », que le revenu de base peut constituer le premier dénominateur commun d’un programme qui fera émerger la gauche autour d’un candidat unique à la présidentielle de 2022. Bref le retour des illusions socialiste à la veille des élections. On  fait évidemment l’impasse sur le manque de compétitivité, de productivité et la faiblesse du nombre de travailleurs  en France. Bref on s’attache à distribuer une richesse sans se soucier des conditions de sa production.Un classique dans la gauche d’inspiration marxisante.

 

Tribune.

 

Les immenses inégalités sociales mises en lumière par la colère des « gilets jaunes » ont été encore aggravées par la pandémie. Des associations estiment qu’en 2020 le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté – qui, en France, est établi à 60 % du revenu médian (soit 1 075 euros en 2020) – a franchi la barre des 10 millions, soit presque 15 % de la population.

La politique d’aide sociale permet heureusement de limiter la dégradation des conditions de vie. Mais elle est contraignante et très lacunaire. Et le coup de frein brutal sur l’économie pendant la pandémie a démontré que la protection sociale ne peut plus reposer principalement sur l’emploi.

En effet, si l’emploi s’est effondré à l’arrivée du virus, il était déjà en régression, quantitative et qualitative, dans un système qui n’est conduit que par la rentabilité à court terme. Il est impératif de combiner le partage du travail avec celui de la richesse pour assurer une activité et des ressources à tous les citoyens.

 

Derrière l’épidémie de Covid-19 se profilent d’autres catastrophes, de nature et d’ampleur imprévisibles, liées au désastre écologique et à ses conséquences climatiques. Cela pose un second impératif : nous devons repenser en profondeur et le plus rapidement possible notre système économique. Des milliers d’emplois dans les secteurs nuisibles doivent disparaître, des milliers d’autres doivent être créés dans les secteurs vertueux tels que l’agriculture durable, le développement des énergies renouvelables ou encore les services publics.

 

Il nous faut assurer cette transition avec le minimum de dégâts sociaux et le maximum de sérénité. Il nous faut assurer une redistribution des richesses afin que chacun dispose d’un minimum vital et d’un avenir plus durable, et de la possibilité de choisir sa vie avec le maximum de sens.

Comment accepter qu’une partie de la population manque du nécessaire alors que nous disposons de suffisamment de richesses pour empêcher cela ? Comment accepter que nous nous divisions ainsi entre ceux qui peuvent et ceux qui sont impuissants ? Comment ne pas réveiller les valeurs de liberté, de solidarité et de fraternité de notre République et qui sont foulées aux pieds chaque jour ?

 

Société–Service national universel: l’échec monumental

Société–Service national universel: l’échec monumental

L’échec du service national universel est à la fois qualitatif et quantitatif.

Les effectifs devaient  être portés à 30.000 à 40.000 « appelés » en 2020 puis à environ 150.000 en 2021 en fait il y aura 18 000 recrutés pour 2021.

En outre un dispositif qui devait devenir obligatoire. Sur le plan qualitatif, c’est aussi un échec total car il n’y a évidemment rien de militaires, rien de pédagogique et même rien d’intérêt national dans ce service.

Pour atteindre les 400.000 jeunes en 2022 et généraliser le dispositif en 2023 ou 2024 (soit 800.000 jeunes), il lui faudra faire autrement. « A un moment, il faudra le rendre obligatoire pour une partie des jeunes, et pas pour les autres », avait confié Gabriel Attal aux « Echos », en juin.

 

Certains chercheurs affirment dans le JDD que : « Toute l’histoire du service militaire puis du service national le montre : une obligation n’est acceptée que lorsque sa finalité fait l’objet d’un consensus social suffisamment fort pour que ses contraintes soient admises. Si le service militaire a fonctionné à partir de 1905, c’est parce que ce consensus, peu ou prou, existait : une menace toute proche pesait sur les Français. Et c’est parce que ce consensus a commencé à se diluer que, déjà, dans les années 1960, le service militaire a connu ses premiers signes de faiblesse. ».

Une appréciation qui témoigne de l’écroulement même des valeurs qui fondent une nation. Avec le même raisonnement on pourrait aussi supprimer toute régulation judiciaire des délits ou même toute fiscalité. Pour peu qu’on fasse aussi un sondage chez les très jeunes. Il sera aussi possible d’envisager la suppression de l’école. Ou quand la recherche tombe dans le niveau d’une discussion de bistrot

Le retour du revenu universel à gauche!

Le retour du revenu universel !  

 

Trois responsables du Mouvement français pour un revenu de base expliquent, dans une tribune au « Monde », que le revenu de base peut constituer le premier dénominateur commun d’un programme qui fera émerger la gauche autour d’un candidat unique à la présidentielle de 2022. Bref le retour des illusions socialiste à la veille des élections. On  fait évidemment l’impasse sur le manque de compétitivité, de productivité et la faiblesse du nombre de travailleurs  en France. Bref on s’attache à distribuer une richesse sans se couper des conditions de sa production.

 

Tribune.

 

Les immenses inégalités sociales mises en lumière par la colère des « gilets jaunes » ont été encore aggravées par la pandémie. Des associations estiment qu’en 2020 le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté – qui, en France, est établi à 60 % du revenu médian (soit 1 075 euros en 2020) – a franchi la barre des 10 millions, soit presque 15 % de la population.

La politique d’aide sociale permet heureusement de limiter la dégradation des conditions de vie. Mais elle est contraignante et très lacunaire. Et le coup de frein brutal sur l’économie pendant la pandémie a démontré que la protection sociale ne peut plus reposer principalement sur l’emploi.

En effet, si l’emploi s’est effondré à l’arrivée du virus, il était déjà en régression, quantitative et qualitative, dans un système qui n’est conduit que par la rentabilité à court terme. Il est impératif de combiner le partage du travail avec celui de la richesse pour assurer une activité et des ressources à tous les citoyens.

 

Derrière l’épidémie de Covid-19 se profilent d’autres catastrophes, de nature et d’ampleur imprévisibles, liées au désastre écologique et à ses conséquences climatiques. Cela pose un second impératif : nous devons repenser en profondeur et le plus rapidement possible notre système économique. Des milliers d’emplois dans les secteurs nuisibles doivent disparaître, des milliers d’autres doivent être créés dans les secteurs vertueux tels que l’agriculture durable, le développement des énergies renouvelables ou encore les services publics.

 

Il nous faut assurer cette transition avec le minimum de dégâts sociaux et le maximum de sérénité. Il nous faut assurer une redistribution des richesses afin que chacun dispose d’un minimum vital et d’un avenir plus durable, et de la possibilité de choisir sa vie avec le maximum de sens.

Comment accepter qu’une partie de la population manque du nécessaire alors que nous disposons de suffisamment de richesses pour empêcher cela ? Comment accepter que nous nous divisions ainsi entre ceux qui peuvent et ceux qui sont impuissants ? Comment ne pas réveiller les valeurs de liberté, de solidarité et de fraternité de notre République et qui sont foulées aux pieds chaque jour ?

 

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