Archive pour le Tag 'Une'

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Seine-et-Marne: une équipe de football attaquée en plein match !

Seine-et-Marne: une équipe de football attaquée en plein match !

Encore une preuve de l’ensauvagement d’une partie de la société notamment chez les jeunes. Un jeune a été grièvement blessé à l’arme blanche dimanche après-midi en Seine-et-Marne dans l’attaque de l’équipe de foot de Meaux des moins de 20 ans à la mi-temps d’un match les opposant à Dammarie-les-Lys, a appris l’AFP de source policière.

Le match des U20 comptant pour le Régional 2 se déroulait dans le calme au stade de Dammarie-les-Lys devant le public lorsqu’un groupe de jeunes de la ville est entré dans l’enceinte, armé, pour s’en prendre aux joueurs de Meaux. «Là, il y a une confusion générale. Il semble que, dans la bagarre, un des joueurs agressés donne un coup de couteau à un assaillant. Du coup, les autres veulent leur faire la peau et deux joueurs sautent dans la Seine», a relaté une source policière en se basant sur les premiers éléments de l’enquête.

Arrivés sur place, des policiers ont sauté dans le fleuve pour repêcher l’un des deux jeunes, qui ne savait pas nager. Tous deux ont été interpellés.

Déclarée en urgence absolue par les pompiers, la victime a été transportée par hélicoptère à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Le commissariat de Melun est en charge de l’enquête.

 

La rédaction vous conseille

Trump président : une menace pour l’économie mondiale

Trump président : une menace pour l’économie mondiale

 

Il n’est pas certain que Trump applique même la moitié de son programme. Cela sera cependant suffisant pour déstabiliser une économie mondiale déjà très fragile. Les déclarations tonitruantes et contradictoires de Trump répandent en effet un climat d’incertitude dans le monde économique. Or le principal danger pour l’économie c’est l’instabilité.

En matière économique, le président américain prévoit essentiellement d’augmenter de façon significative les droits de douane. Par représailles les pays touchés nécessairement vont également répondre par une augmentation des taxes sur les importations. Au total les ménages et les entreprises vont subir une forte inflation car en dernier ressort ce sont eux qui paieront la facture. Les États-Unis pourraient même être les premières victimes de l’envolée des taxes douanières de Trump puisque de l’ordre de 70 % des produits consommés viennent de l’étranger.

Après la crise de l’énergie de ces dernières années il a fallu faire d’importants efforts de lutte contre cette inflation qui mine le pouvoir d’achat des entreprises et les ménages. Il suffirait de quelques mois d’incertitude pour réduire à néant ses efforts.

Les marchés financiers ont déjà réagi négativement face aux déclarations tonitruantes de Trump et son équipe de marchands de tapis. Cette réaction négative va générer une fébrilité pendant la période du marchandage qui va forcément durer compte tenu de la complexité des échanges internationaux. En clair, les entreprises fautent de vision claire de l’avenir vont au moins geler  une partie de leurs investissements et les ménages vont préférer épargner (ceux qui le peuvent) plutôt que de consommer.

On pourrait aussi déboucher sur une crise financière avec la folie en plus des d’imposer les cryptomonnaies, modèles par excellence de l’instabilité.

Politique-Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

Politique-Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

 

Après des interviews dans la presse régionale, Macron revient à la télé à propos de l’intelligence artificielle . Macron qui a de plus en plus de mal à exister va encore s’autoriser une intervention publique à la télé cette fois pour parler de l’intelligence artificielle qui serait bien utile au président et au pays tout entier pour sortir du bourbier politique et économique actuel.

En marge du sommet mondial sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris, Emmanuel Macron va s’exprimer dans la foulée du journal télévisé de 20 heures de France 2 ce dimanche 9 février. Depuis le Grand Palais, le président de la République «répondra aux questions de Laurent Delahousse (France 2) et de Palki Sharma Upadhyay (Firstpost – Vantage)», le tout dans un dans un format inédit, précise un communiqué de la chaîne publié ce mercredi. «Emmanuel Macron s’exprimera sur les grands enjeux de l’IA pour la France et le monde», avance le média public.

 

Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

 

Macron qui a de plus en plus de mal à exister va encore s’autoriser une intervention publique à la télé cette fois pour parler de l’intelligence artificielle qui serait bien utile au président et au pays tout entier pour sortir du bourbier politique et économique actuel

En marge du sommet mondial sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris, Emmanuel Macron va s’exprimer dans la foulée du journal télévisé de 20 heures de France 2 ce dimanche 9 février. Depuis le Grand Palais, le président de la République «répondra aux questions de Laurent Delahousse (France 2) et de Palki Sharma Upadhyay (Firstpost – Vantage)», le tout dans un dans un format inédit, précise un communiqué de la chaîne publié ce mercredi. «Emmanuel Macron s’exprimera sur les grands enjeux de l’IA pour la France et le monde», avance le média public.

 

Les sols sont une solution pour réguler l’eau

Les sols sont une solution pour réguler l’eau 

 

L’urbanisation et les techniques de l’agriculture intensive ont réduit la capacité des sols à jouer leur rôle de capteur l’eau, alerte, dans une tribune au « Monde », Marc-André Selosse le professeur du Muséum national d’histoire naturelle, qui propose une série de mesures pour prévenir les catastrophes.

 

Inondations dans l’Ouest, en Haute-Loire, dans les Hauts-de-France, à Cannes ou à Valence [Espagne] : que d’eau, de désarroi et de pertes économiques… Nos océans, plus chauds, évaporent plus d’eau dans une atmosphère dont le réchauffement augmente la capacité en eau. Le changement climatique nous promet des précipitations annuelles semblables ou accrues, mais davantage automnales ou hivernales, avec plus de précipitations extrêmes – et à l’inverse, des sécheresses en été (− 10% de précipitations estivales en 2050). La misère humaine sous les pluies violentes ne fait que poindre. Comment éponger cette eau ? Nos sols sont une solution !En effet, sous une surface d’un mètre carré, le sol peut retenir de 40 à 500 litres d’eau ! Les plus gros pores des sols laissent pénétrer l’eau, tandis que les plus petits la retiennent par capillarité. Entre deux pluies, les premiers se ressuient lentement dans les rivières et les nappes, tandis que les seconds nourrissent les plantes. Plus nos sols boiront d’eau, mieux nous écrêterons les inondations et, du même coup, mieux nous mettrons en réserve pour les étés secs. Notre gestion des sols est-elle à la hauteur de ces enjeux ? Non.

Ensuite, nos sols manquent de matière organique, ces restes de végétaux morts : les engrais sont à présent en grande majorité minéraux ; nul engrais organique (fumier ou compost…) ne vient plus compenser la matière des plantes qu’on récolte.

Bande de Gaza: une nouvelle promesse de coiffeur de Trump

Bande de Gaza:   une nouvelle  promesse de coiffeur de Trump

 

 

Encore une promesse tonitruante du président américain qui veut prendre le contrôle de la bande de Gaza et la reconstruire. Trump prend la précaution cependant de dire qu’il s’agit d’une intention pour le long terme qui évidemment a peu de chances de se réaliser mais qui médiatiquement fait plaisir à Israël et à certains électeurs de Trump. 

Donald Trump a annoncé mardi 4 février que les États-Unis allaient «prendre le contrôle de la bande de Gaza» lors d’une conférence de presse au côté du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. «Les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza et nous allons faire du bon boulot avec. Nous la posséderons et serons responsables du démantèlement de toutes les bombes dangereuses qui n’ont pas explosé et de toutes les armes», a déclaré le président américain, ajoutant que les États-Unis allaient «aplanir la zone et se débarrasser des bâtiments détruits», afin de développer économiquement le territoire.

Trump: une menace pour l’économie mondiale

Trump: une menace pour l’économie mondiale

 

Il n’est pas certain que Trump applique même la moitié de son programme. Cela sera cependant suffisant pour déstabiliser une économie mondiale déjà très fragile. Les déclarations tonitruantes et contradictoires de Trump répandent en effet un climat d’incertitude dans le monde économique. Or le principal danger pour l’économie c’est l’instabilité.

En matière économique, le président américain prévoit essentiellement d’augmenter de façon significative les droits de douane. Par représailles les pays touchés nécessairement vont également répondre par une augmentation des taxes sur les importations. Au total les ménages et les entreprises vont subir une forte inflation car en dernier ressort ce sont eux qui paieront la facture. Les États-Unis pourraient même être les premières victimes de l’envolée des taxes douanières de Trump puisque de l’ordre de 70 % des produits consommés viennent de l’étranger.

Après la crise de l’énergie de ces dernières années il a fallu faire d’importants efforts de lutte contre cette inflation qui mine le pouvoir d’achat des entreprises et les ménages. Il suffirait de quelques mois d’incertitude pour réduire à néant ses efforts.

Les marchés financiers ont déjà réagi négativement face aux déclarations tonitruantes de Trump et son équipe de marchands de tapis. Cette réaction négative va générer une fébrilité pendant la période du marchandage qui va forcément durer compte tenu de la complexité des échanges internationaux. En clair, les entreprises fautent de vision claire de l’avenir vont au moins geler  une partie de leurs investissements et les ménages vont préférer épargner (ceux qui le peuvent) plutôt que de consommer.

On pourrait aussi déboucher sur une crise financière avec la folie en plus des d’imposer les cryptomonnaies, modèles par excellence de l’instabilité.

Bande de Gaza: Encore une promesse de coiffeur de Trump

Bande de Gaza:  Encore une promesse de coiffeur de Trump

 

 

Encore une promesse tonitruante du président américain qui veut prendre le contrôle de la bande de Gaza et la reconstruire. Trump prend la précaution cependant de dire qu’il s’agit d’une intention pour le long terme qui évidemment a peu de chances de se réaliser mais qui médiatiquement fait plaisir à Israël et à certains électeurs de Trump. 

Donald Trump a annoncé mardi 4 février que les États-Unis allaient «prendre le contrôle de la bande de Gaza» lors d’une conférence de presse au côté du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. «Les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza et nous allons faire du bon boulot avec. Nous la posséderons et serons responsables du démantèlement de toutes les bombes dangereuses qui n’ont pas explosé et de toutes les armes», a déclaré le président américain, ajoutant que les États-Unis allaient «aplanir la zone et se débarrasser des bâtiments détruits», afin de développer économiquement le territoire.

 

Foot- Coupe de France : une petite victoire du PSG qui suffit

Foot-  Coupe de France : une petite victoire du PSG qui suffit

Le PSG a disposé sans briller de l’équipe du Mans ( Nationale)  par deux à zéro.

 

Lombard pour une immigration de travail

Lombard pour une immigration de travail

 «Nous avons besoin d’une immigration de travail, les entrepreneurs le souhaitent, et, d’ailleurs elle se fait», a assuré dimanche le ministre de l’Économie et des Finances Éric Lombard sur LCI.

 

«On a besoin de l’immigration pour remplir les jobs dans les entreprises, les usines, à l’hôpital», a soutenu le ministre. Et ce, alors que le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui souhaite resserrer les critères de régularisation, considère que «l’immigration n’est pas une chance pour la France». Assumant sa différence de vision, Éric Lombard a rétorqué : «On peut avoir à l’intérieur d’un gouvernement des appréciations différentes (…) Ce n’est pas ma vision de l’immigration».

 

Sur les retraites,  Il pense qu’il est «légitime» que des personnes «qui font un métier pénible et ont une carrière longue parce qu’ils ont commencé tôt partent plus tôt». Mais, par souci «d’équilibre», «si on permet pour des raisons de solidarité nationale à tel ou tel salarié de s’arrêter plus tôt, il faut trouver ceux qui sont d’accord pour travailler plus longtemps», a-t-il glissé.

Les retraités plus riches que les jeunes : une évidence normale !

Les retraités plus riches que les jeunes : une évidence !

Certains mettent en cause le fait que les retraités soient plus riches que les jeunes. En fait d’après les chiffres, le revenu moyen est à peu près équivalent entre retraités et actifs (autour de 2200 euros). Bien sur il s’agit d’une moyenne qui ne tient pas compte de la grande dispersion des situations.

 

Il s’agit pourtant d’une évidence. Après 40 ou 50 ans de travail, il n’est pas anormal que les plus âgés, surtout les plus anciens, disposent de  patrimoines supérieurs aux jeunes générations. Pour critiquer cette situation on s’appuie sur le fait que nombre de retraités, une grande majorité, possèdent leur logement. Par parenthèse il faudrait faire de façon plus précise une comparaison économique entre la situation de propriétaire et de locataire. La propriété des retraités est bien entendu le fruit du travail pendant des dizaines et des dizaines d’années.

Pour beaucoup, on ne travaillait pas 35 heures avec un mois et demi de vacances. Les plus anciens ne comptaient même pas leurs heures. La différence de propriété de son logement n’a pas grand-chose à voir avec les retraités.

Elle découle surtout de l’inflation folle sur l’immobilier et sur la sur concentration des populations dans les grandes villes qui ont fait flamber le prix des logements. Un problème d’urbanisme et d’aménagement du territoire, aussi de spéculation . Pour éponger les déficits chroniques du budget, il ne sert à rien d’opposer les catégories sociales.

L’ampleur des dérives financières nécessiterait l’effort proportionné de tous en termes de contribution financière et en termes de travail ( la durée totale de travail des Français tout au long de leur vie est notoirement insuffisante au regard des pays comparables).  Bref, trop d’inactivité partielle ou totale qui pour autant évidemment ne gomme pas des inégalités entre le statut et la situation des travailleurs (actifs et retraités).

Avec Trump, une nouvelle organisation économique mondiale ?

Avec Trump, une nouvelle organisation économique mondiale ?
L’accession de Donald Trump à la tête de la première économie mondial intervient dans un contexte macroéconomique en pleine mutation, estime Jean-Yves Guillou, cofondateur de la plateforme Vancelian et expert des stratégies d’investissements.( dans La Tribune).   L’arrivée de Donald Trump à la tête des États-Unis pour un second mandat marque le début d’une nouvelle phase de disruption économique mondiale. Sa politique, centrée sur un « America First » exacerbé, pourrait intensifier la fragmentation des blocs économiques. Cela se traduirait par une combinaison de mesures ultralibérales et protectionnistes : baisse des impôts sur les entreprises, dérégulation des marchés, et politiques visant à réduire le déficit commercial vis-à-vis de la Chine et de l’Europe.

Cette transition intervient dans un contexte macroéconomique en pleine mutation. Contrairement aux cycles économiques passés, la lutte menée depuis deux ans contre l’inflation par les banques centrales a permis une certaine maîtrise du phénomène sans toutefois l’éradiquer complètement : L’inflation américaine devrait diminuer régulièrement, passant de 6,5 % en 2023 à 3,4 % en 2024 puis 4,5 % en 2025.

Cette nouvelle donne génère des opportunités inédites pour les investisseurs en quête de performance mais elle induit aussi un risque géopolitique qui pourrait contrarier la croissance attendue.

La relative stabilisation monétaire encourage un regain d’appétit pour les actifs risqués, qui sera alimenté par des innovations structurelles de grande ampleur. L’avènement simultané de l’intelligence artificielle (IA), de la technologie blockchain et de la transition énergétique représente la véritable révolution industrielle du 21ᵉ siècle. Ces transformations nécessitent des investissements massifs, notamment dans les infrastructures.

Parallèlement, les taux d’intérêt, bien qu’en légère décélération, devraient rester au-dessus des niveaux prépandémiques en 2025. Cela fragilise le rôle traditionnel des obligations en tant que stabilisateurs de portefeuille, ces dernières devenant plus volatiles et corrélées positivement avec les actions.

Ce contexte ouvre des perspectives pour les investisseurs tout en posant des défis pour les positions traditionnelles. Conformément aux perspectives 2025 de BlackRock, des stratégies d’investissement ciblées et dynamiques sont essentielles pour tirer parti des transformations en cours. Les secteurs bénéficiant directement de ces afflux massifs de capitaux, comme les technologies liées à l’IA et aux infrastructures, devraient être privilégiés. A titre d’exemple, IDC prévoit que les entreprises devraient dépenser cette année plus de 330 milliards pour soutenir l’intelligence artificielle.

Les actions technologiques américaines, et notamment celles qu’on surnomme les sept fantastiques, devraient surperformer leurs concurrentes européennes et chinoises, grâce à un environnement économique et réglementaire favorable aux États-Unis. L’approche protectionniste américaine, couplée à une innovation technologique soutenue, renforcera probablement cette tendance.

La gestion de la volatilité sur le marché obligataire restera un défi majeur. Dans ce contexte, le bitcoin pourrait jouer un rôle croissant dans les stratégies de diversification des portefeuilles. Les investisseurs institutionnels reconnaissent de plus en plus son potentiel en tant qu’actif non corrélé, offrant des rendements distincts des classes d’actifs traditionnelles.

Et plusieurs projets évoqués par le candidat Trump pourraient directement bénéficier aux cryptomonnaies : Au-delà de la nomination de Paul Atkins à la tête de la SEC, le nouveau Président envisage la création d’une « Strategic Bitcoin Reserve« , sur le modèle des réserves pétrolières avec l’arrêt de la vente systématique des cryptomonnaies saisies dans le cadre d’affaires judiciaires. Rappelons que gouvernement américain détient déjà plus de 200 000 Bitcoins, provenant de saisies dans le cadre d’affaires judiciaires. Il est aussi prévu d’apporter un soutien officiel à l’industrie minière américaine de Bitcoin.

Les perspectives s’annoncent prometteuses pour les crypto-actifs, avec des prévisions optimistes pour le Bitcoin, dont la valorisation pourrait atteindre des sommets autour de 140 000 dollars. Cependant, cette dynamique ne s’appliquera pas uniformément à l’ensemble du marché. Les investisseurs devront cibler les segments porteurs, notamment les crypto-actifs liés à l’intelligence artificielle (DeFi et applications d’IA décentralisées).

Ainsi, avec l’arrivée du nouveau président américain, c’est l’innovation qui devrait marquer les opportunités d’investissement 2025.

Innovation en termes de secteurs avec les actions liées aux infrastructures, comme les énergies renouvelables et les data centers, mais aussi les technologies émergentes et l’IA. Innovation produits avec des alternatives comme le Bitcoin ou le minage de cryptomonnaies qui offrent des sources de rendement innovantes quand les obligations joueront moins leur rôle de stabilisateurs.

Foot –Mercato: une recrue importante pour le PSG

Foot –Mercato: une recrue importante pour le PSG

 

Le Paris Saint-Germain a officialisé ce vendredi la signature de Khvicha Kvaratskhelia lors du mercato hivernal. L’ailier géorgien arrive en provenance de Naples et s’est engagé jusqu’en 2029 avec le club francilien.

Un transfert estimé à environ 70 millions d’euros confirmé par le PSG, un prix divisé par deux par rapport aux attentes du Napoli l’été dernier.

 

Le Canada envisage de créer une « taxe Trump »

Le Canada envisage de créer une « taxe Trump »

Suite au matraquage fiscal qu’envisage Trump à l’égard du Canada, ce dernier pays pourrait bien à son tour créer  une taxe Trump sur les importations en provenance des États-Unis.

Selon une source gouvernementale à l’AFP, Ottawa réfléchit notamment à imposer des droits de douane plus élevés sur certains produits importés des États-Unis, notamment sur des produits en acier, sur les céramiques, telles que des toilettes et des éviers, de la verrerie et du jus d’orange de Floride. Des mesures qui pourraient entrer en vigueur dans les semaines qui viennent, après 15 jours à un mois de consultation. D’autres produits pourraient être touchés dans un second temps. Le Canada pourrait ainsi imposer des mesures de représailles sur des importations américaines représentant une valeur totale de 150 milliards de dollars canadiens (100 milliards d’euros), selon les médias canadiens.

 

Électricité : une baisse des prix de 15 % ?

Électricité : une baisse des prix de 15 % ?

 

Une baisse des tarifs  de 15 % pourrait concerner concerne au total 20 millions de ménages au tarif réglementé de vente de l’électricité auxquels s’ajoutent les quatre millions de ménages dont les contrats sont indexés sur le TRV.

Pour les 10 millions de ménages ayant opté pour un autre type de contrat, notamment les offres de marché, la CRE ( Commission de régulation) rappelle qu’ils ont « généralement d’ores et déjà bénéficié de la baisse des prix de marché depuis plusieurs mois, ce qui leur permet d’avoir aujourd’hui un contrat largement en-dessous des TRVE. » La commission de régulation de l’énergie estime toutefois que les fournisseurs alternatifs seront toujours capables de formuler des offres attractives.

« La plupart d’entre eux pourraient voir leur facture augmenter avec les hausses du TURPE (tarif de réseau) et des taxes, selon leur contrat et la politique commerciale de leur fournisseur, réduisant de fait l’écart avec le TRVE. »

Interrogée sur l’évolution future du tarif réglementé de vente, la CRE indique ne pas être en capacité de savoir l’orientation des prix de l’électricité qui reste soumise à « beaucoup trop d’inconnues » et dépendra des niveaux observés en 2025.

Quelques jours avant la censure de son gouvernement début décembre, l’ancien Premier ministre Michel Barnier avait indiqué renoncer à la hausse de la taxe intérieure sur la consommation d’électricité (TICFE) au-delà de son niveau d’avant-crise. Il avait alors précisé que cette décision se traduirait par une baisse de 14% du tarif réglementé pour les particuliers au lieu de 9%. Alors que la baisse du TRV atteint finalement 15%, Emmanuelle Wargon précise que le chiffre de 14% a « toujours été provisoire »:

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