Archive pour le Tag 'une hausse'

Coût de l’énergie pour les entreprises : une hausse de plus de 80 % en 2023

Coût de l’énergie pour les entreprises : une hausse de plus de 80 % en 2023 (Insee)

Globalement d’après l’INSEE la hausse des coûts de l’énergie serait de 84 % pour les entreprises en 2023. L’industrie et l’agriculture, particulièrement exposées, devraient subir de plein fouet la flambée des prix de l’électricité payés aux fournisseurs. « En 2022, la hausse globale était de 20% pour tous les acteurs économiques. En 2023, on s’attend à une augmentation de près de 100% par rapport à l’année dernière.

S’agissant de 2023, la hausse des prix de l’électricité la plus spectaculaire attendue par l’Insee concerne l’industrie et l’agriculture. Les conjoncturistes tablent sur une envolée de 92% pour ces deux secteurs. Compte tenu du poids de l’énergie dans l’activité de l’industrie et de l’agriculture, de nombreuses entreprises pourraient vaciller dans les mois à venir. Dans les services marchands (privé) et le tertiaire non marchand (public), l’Insee anticipe respectivement des bonds de 77% et 66%.

Par taille, ce sont principalement les grandes entreprises qui pourraient enregistrer les plus fortes hausses (+101%). A l’opposé, les petites entreprises devraient moins subir (38%).

L’évolution des prix des produits industriels au-delà de 2023 est à ce stade difficile à prévoir. « Il ne se passait pas grand-chose depuis 2016 sur l’évolution des prix des produits industriels depuis 2016 et on a vu apparaître une montagne à partir de janvier 2021 », a expliqué Nicolas Studer, chef de la division des prix à la production. « La reprise après le Covid et les problèmes d’approvisionnement ont commencé à faire grimper les prix, » a-t-il poursuivi.

L’invasion de l’Ukraine par la Russie a ensuite propulsé les prix des produits industriels vers des sommets avant qu’ils ne redescendent au milieu de l’été. « C’est une situation nouvelle et inédite.

Dans le détail, les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, sans vraiment retrouver leur niveau d’avant crise sanitaire. C’est également le cas dans l’industrie chimique, le bois, le papier et carton ou encore les produits en caoutchouc ou les produits métallurgiques et métalliques. Surtout, les prix des produits de l’industrie alimentaire sont restés à des niveaux bien supérieurs à ceux d’avant 2019, sans véritablement commencer à s’infléchir.

Du côté des ménages, l’organisme public a calculé que la hausse des factures d’électricité devrait être relativement limitée. D’après les réponses fournies par les fournisseurs d’énergie, cette augmentation devrait être de 16% en raison du bouclier tarifaire.

L’année dernière cette hausse était de 5%. « Les ménages bénéficient d’un marché davantage protégé que les clients professionnels, » soulignent les économistes dans l’étude. Il reste que les derniers chiffres d’inflation de janvier (6%) pourraient encore peser sur le porte-monnaie des Français.

D’après les dernières enquêtes du service de statistiques du ministère du Travail, les revenus réels en euros constants, c’est-à-dire en prenant en compte l’inflation, ont chuté pour la plupart des catégories professionnelles au troisième trimestre 2022. Le salaire mensuel de base (SMB) a baissé respectivement de 1,3 %, 1,1 %, 2,9 % et 3,0 % sur un an pour chacune de ces catégories (ouvrier, employé, profession intermédiaire et cadre), soulignent les statisticiens.

Popularité Macron: une hausse due au refus du confinement

Popularité Macron: une hausse due au refus du confinement

 

Une hausse qui semble liée assez directement au refus de Macron de reconfirmer. On comprend mieux que la problématique sanitaire soit elle-même contaminée par la problématique politique et inversement. Ce qui peut nourrir des doutes tout autant vis-à-vis de la politique de santé que vis-à-vis de la cohérence des décisions politiques.

On pourrait conclure que les politiques naviguent en fête à vue  en tenant compte sans doute de l’avis  des experts par ailleurs pas toujours d’accord entre mais autant en tenant compte des sondages.

Les Français interrogés sont 42% à déclarer avoir une bonne opinion d’Emmanuel Macron. Il s’agit d’un résultat en hausse de cinq points par rapport au mois précédent et qui rejoint les niveaux d’octobre et novembre, selon cette étude réalisée pour Orange et RTL. Les opinions favorables progressent bien au-delà des sympathisants de son propre camp (96% ; +5 points), à gauche (LFI ; +10 points, EELV ; +10 points) comme à droite (LR ; +7 points) à l’exception des sympathisants du RN (17%, stable).

Castex bénéficie aussi de la même dynamique.

 

 «Le couple exécutif bénéficie directement et nettement de ses choix concernant la crise sanitaire», avance l’institut qui ajoute que «la dynamique est encore plus nette pour son Premier ministre qui, rappelons-le, avait porté l’annonce du non-reconfinement». Près des 2/3 des Français (63%) ont déclaré approuver cette décision de ne pas reconfiner, même localement, selon l’Institut. Incarnée par cette décision, la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement retrouve du crédit (39%; +9 points).

*Enquête réalisée le 17 et le 18 février par Internet auprès d’un échantillon représentatif de 1.003 personnes, âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.


Automobiles Europe : une hausse en juillet mais baisse sur un an

Automobiles Europe : une hausse en juillet mais baisse sur un an

 

Le  marché automobile européen est sur ue tendance de -5% sur lannée, son plus bas niveau depuis près de 20 ans,mais  a connu en juillet sa deuxième hausse mensuelle de l’année, ce qui entretient l’espoir d’une stabilisation des ventes au second semestre. Selon des données publiées vendredi par la VDA, l’association des constructeurs allemands d’automobiles, les immatriculations de voitures neuves ont augmenté de 4,8% le mois dernier par rapport à juillet 2012, à 1,02 million d’unités. « Le résultat positif de juillet (…) est un bon début pour la stabilisation que nous anticipons pour le second semestre », a déclaré Matthias Wissmann, président de la VDA, cité dans un communiqué. « La reprise économique naissante en Europe occidentale semble se refléter dans l’évolution de la demande automobile », a-t-il ajouté, notant que les progressions à deux chiffres enregistrées en Espagne, au Portugal ou encore en Grèce étaient de bon augure. Le marché allemand, le premier en Europe, a été marqué par une légère hausse des ventes de voitures neuves, ce qui s’explique par un jour ouvré de plus par rapport à juillet 2012. Ajustées de cet effet calendaire, les immatriculations ont reculé de 2,3% le mois dernier, selon les calculs du cabinet d’études Dataforce. Les bonnes performances enregistrées par Volkswagen en Chine et aux Etats-Unis, n’ont pas réussi à compenser le recul de 4,1% de ses ventes sur le marché allemand, ramenant la croissance des ventes mondiales du constructeur à 3,2%, son plus bas niveau en quatre mois. « La situation de certains marchés a parfois été très difficile », a reconnu Christian Klinger, directeur des ventes du groupe. « Le climat économique reste mauvais. » Sur les sept premiers mois de l’année les ventes du groupe, en incluant les marques Audi et Porsche, ont diminué de 3,1% à 2,16 millions de véhicules. En dépit des espoirs d’amélioration, le directeur des ventes en Europe du constructeur américain Ford a déclaré jeudi à Reuters s’attendre à une poursuite de la guerre des prix sur le marché européen tant que les volumes n’augmenteront pas de manière significative. L’année 2013 devrait être la quatrième année consécutive de contraction du marché automobile en Europe. Sur les sept premiers mois de l’année, les ventes de voitures neuves ont baissé de 5,2%, à 7,46 millions d’unités.




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