Archive pour le Tag 'UMP'

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UMP : vers l’implosion

UMP : vers l’implosion

 

L’UMP, après les différents scandales et les luttes appareils, voit son image très dégradée dans l’opinion au point que se pose maintenant la question de son implosion. Même Sarkozy paraît discrédité, ses casseroles et sa piètre gestion du pays ne semblent guère le requalifier pour reprendre la tête de l’UMP et à fortiori pour se représenter en 2017. Ce serait encore du pain béni pour Marine Lepen d’évoquer la litanie des affaires de l’ancien président. Comme aucun leader ne s’impose et que les postions des dirigeants sont complètement contradictoires, on peut penser que l’UMP risque de disparaître. En effet alors que le PS et le président Hollande connaissent une période d’impopularité très importante, l’UMP n’en profite pas. Selon un sondage IFOP publié dimanche par le JDD, seuls 31% des Français pensent que le parti d’opposition a « des dirigeants de qualité » et 26% jugent qu’il est « proche des préoccupations des Français». Dans ce sondage réalisé les 30 et 31 mai, après la crise qui a conduit à la démission de Jean-François Copé de la tête du mouvement, 52% des personnes interrogées sont « plutôt d’accord » avec le fait que le principal parti d’opposition « s’oppose suffisamment au gouvernement » (47% « plutôt pas d’accord »). En revanche, elles ne sont que 31% à juger que l’UMP « a des dirigeants de qualité », contre 69% qui pensent le contraire. En août 2012, 41% des sondés répondaient par l’affirmative, un chiffre qui était ensuite déjà tombé à 33% en novembre de la même année, après la bataille Fillon-Copé pour la présidence du mouvement. Chez les seuls sympathisants UMP, 62% pensent encore que leur mouvement a des dirigeants de qualité, loin toutefois des chiffres de 2012 (86% en août, 76% en novembre). 70% des sondés estiment par ailleurs que l’UMP n’a pas de « projet pour la France » (29% jugent que si, 1% n’ont pas d’avis). Même parmi les sympathisants de l’UMP, ils ne sont que 59% à penser que leur mouvement a un projet pour le pays, alors qu’ils étaient 86% en août 2012 et 89% en novembre de la même année. Enfin seuls 26% des sondés pensent que le parti « est proche des préoccupations des Français » (73% sont d’un avis contraire, 1% ne savent pas). Un chiffre qui remonte 58% pour les seuls sympathisants UMP, bien loin toutefois des 90% d’août 2012 (85% en novembre 2012).

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

 

Plus de deux Français sur trois (65%) estiment « plutôt » ou « tout à fait » qu’il faudrait « dissoudre l’UMP pour créer un nouveau parti d’opposition »selon une enquête de OpinionWay pour Clai/metronews/LCI publiée ce vendredi 6 juin. Ils sont 40% à considérer qu’aucun des partis habituels ne  »s’oppose le mieux au gouvernement ».  Pour 34% des sondés, le Front national est la formation politique qui offre la meilleure opposition, loin devant l’UMP, citée par 14% des personnes interrogées. Par rapport à la dernière enquête, remontant à mai 2013, le FN progresse de 13 points et l’UMP chute de 7 points.  Après le FN et l’UMP viennent ensuite le Front de gauche (7%, -11), le MoDem (3%, +1), l’UDI, stable à 2%. Sondage réalisé auprès d’un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et interrogé par téléphone à domicile du 2 au 4 juin. Méthode des quotas.

 

Sarkozy : un retour casse-cou pour l’UMP

Sarkozy : un retour casse -cou pour l’UMP

Il est clair que l’UMP est englué d’une part dans les affaires, d’autre part dans les divisions ; Il est tout aussi clair qu’aucun leader naturel ne s’impose pour remettre de l’ordre et de la sérénité dans ce pari. D’où le retour possible de Sarkozy qui sans doute parviendrait à s’imposer à l’UMP. Toutefois, pour Sarko, l’UMP n’est qu’un tremplin pour 2017. Or avec toutes les casseroles qu’il traine, Sarko n’est pas du tout sûr d’être autorisé par la justice à se présenter à la présidentielle. Le risque, c’est donc qu’au denier moment un autre candidat UMP se présente et qu’il finisse en troisième position derrière Le Pen et derrière le candidat de gauche (qui ne sera sans doute pas Hollande). L’opération reconquête de l’UMP par Sarko se fait dans la précipitation. Il y a encore peu, Roger Karoutchi évoquait le mois d’octobre pour le retour du chef. L’affaire Bygmalion puis le sondage dans lequel Nicolas Sarkozy a perdu 12 points de popularité, laissant Alain Juppé devenir champion des électeurs de droite, montrent qu’il faut aller vite. Vite dans le calendrier et dans l’exécution. Sarkozy veut prendre l’UMP, la repeindre du sol au plafond et sauter la case primaire. Pour cela, il faut reculer légèrement le congrès prévu pour l’heure en octobre. D’où les remarques de Hortefeux et de Karoutchi pour un report d’un mois de la réunion des militants. Ensuite, il faut flinguer l’idée même d’une désignation par les adhérents du candidat pour la présidentielle de 2017. Hortefeux et Karoutchi ont également commencé à le faire. Sauf que la précipitation donne l’impression que les objectifs ont changé chez Nicolas Sarkozy. L’ex se voyait en recours pour la France. En janvier, il disait que quand on est « Président, on a un devoir ». L’été dernier, devant des parlementaires, il promettait « de ne pas laisser François Hollande et Marine Le Pen en tête-à-tête ». Désormais, il faut avant tout sauver le parti en piteux état. « Même Nicolas n’est pas certain de sauver le parti », s’inquiétait un sarkosyste dans le JDD dimanche. Ses adversaires à l’UMP expliquent qu’il s’agit pour lui de prendre de cours la justice en reprenant un statut politique officiel, en se déterminant comme futur candidat à la présidence de la République.

Sondage UMP : Sarkozy en tête mais contesté

UMP : Sarkozy en tête mais contesté

Nicolas Sarkozy meilleur candidat de la droite mais de plus en plus contesté par l’appareil UMP. Une candidature par ailleurs largement hypothéquée par le nombre de casseroles que Sarko traîne, la dernière étant le financement tde sa  campagne de 2012.  demeure le meilleur opposant à François Hollande et au gouvernement pour 44% des sympathisants de l’UMP devant Alain Juppé (37%), selon un sondage BVA-I>Télé-CQFD et Le Parisien/Aujourd’hui en France publié samedi 31 mai.  A la question, parmi les personnalités suivantes de l’UMP, quel est le meilleur opposant à François Hollande et au gouvernement, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 44%, chez les sympathisants de l’UMP, devançant Alain Juppé (37%) et François Fillon (7%). Sur l’ensemble des Français, en revanche, Alain Juppé arrive en tête (39%) devant Nicolas Sarkozy (23%) et François Fillon (12%). « Juppé semble s’installer en rival de Sarkozy pour incarner l’opposition, alors même que l’ancien président de la République est confronté à un climat affairiste défavorable« , souligne Erwan Lestrohan, directeur d’études chez BVA Opinion. Enfin, les sympathisants de droite souhaitent à 49% que le positionnement politique de l’UMP soit « ni plus ni moins à droite« , 37% « plus à droite », 11% « moins à droite

Affaire « pique millions » -UMP : Copé le tricheur viré

Affaire « pique millions » -UMP : Copé le tricheur viré

Copé viré sans ménagement ; il était temps car l’UMP était prête à imploser. Depuis les tricheries sur son élection à la présidence de l’UMP, le parti de droite ne s’est jamais remis. Copé a donc été viré sans ménagement. Copé aura du mal à faire admettre qu’il n’était pas au courant des fausses factures. Invité du 20h00 de TF1, Copé a demandé aux Français de « ne pas douter » de son « intégrité », affirmant que « des collaborateurs » avaient « abusé de (sa) confiance ». « Une page se tourne, je ferai de la politique autrement », a-t-il dit. « Quand il y a une extrême droite qui peut tout se permettre, toute faiblesse devient une faute », a déclaré Hollande à l’issue d’un sommet européen à Bruxelles. « Si tous les partis ne sont pas intraitables par rapport à ces questions là, c’est la démocratie qui peut s’en trouver affectée, infectée même », a-t-il ajouté. Jean-François Copé, a tout tenté pour se maintenir à la présidence de l’UMP, poste conquis de très haute lutte en 2012, ferraillant pendant plus de deux heures devant ses pairs réunis en bureau politique depuis 8H30 à l’Assemblée nationale. Mais les ténors comme François Fillon, Xavier Bertrand, NKM ou François Baroin faisaient de son départ la condition sine qua non de la survie du mouvement créé en 2002 par  Jacques Chirac.  Fillon en particulier lui avait demandé de « se mettre en réserve » du parti, faute de quoi il se retirerait de la direction. « Nous n’avons que quelques semaines pour sauver l’UMP du désastre », avait prévenu l’ancien Premier ministre. Un congrès extraordinaire devrait se tenir à Paris le 12 octobre, un an avant la date prévue -une proposition soutenue notamment par la chef de l’opposition à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet. En attendant ce congrès, trois anciens Premiers ministres – l’actuel favori des sondages, Alain Juppé, le sénateur Jean-Pierre Raffarin et François Fillon – prennent la barre du parti.  Nécessaire pour permettre au mouvement de retrouver sa « sérénité »Alain Juppé Le maire de Bordeaux a salué mardi soir la décision « courageuse » de Copé, nécessaire pour permettre au mouvement de retrouver sa « sérénité », annonçant au passage qu’il ne briguerait pas lui-même la présidence du mouvement lors du congrès. L’UMP a été devancée de quatre points par le Front national aux élections européennes de dimanche et son siège parisien a été perquisitionné toute la nuit de lundi à mardi, dans le cadre de l’enquête Bygmalion.  L’atmosphère du Bureau politique été, selon plusieurs grands élus, « extrêmement violente ».  »Tu as servi tes amis, ça se retourne contre toi ! », a cinglé NKM, tandis que Baroin avertissait : « Nous ne nous serrons plus la main ». L’accusé n’a guère trouvé de soutien, à la rare exception de Nadine Morano ou Renaud Muselier.  J’ai compris, je démissionneJean-François Copé « J’ai compris, je démissionne », a fini par lâcher Copé. « Donnez-moi quinze jours pour régler les affaires courantes », a-t-il demandé, selon un participant au Bureau politique. Le député-maire de Meaux avait convoqué le bureau politique la semaine dernière, afin de faire la lumière sur les relations de l’UMP avec la société de communication Bygmalion, fondée par deux de ses proches, et dont une filiale fait l’objet d’une enquête préliminaire pour faux, abus de biens sociaux et abus de confiance, en raison des montants astronomiques qu’elle a facturés à l’UMP et à Nicolas Sarkozy en 2012.  Selon un grand élu, le nom de Nicolas Sarkozy n’a pas été cité lors du bureau politique. Pourtant « l’affaire Bygmalion, c’est l’affaire des comptes de campagne de Sarkozy », avait accusé la veille l’avocat de cette agence de communication, Patrick Maisonneuve. Lundi 26 mai, le trésorier de campagne de Sarkozy, Philippe Briand, a contesté cette version et Brice Hortefeux, l’un des plus proches de Nicolas Sarkozy, a assuré mardi que l’ex-chef de l’Etat était « très mécontent de voir son nom associé » à la « curieuse actualité » autour de Bygmalion. Auréolée de sa victoire aux Européennes, Marine Le Pen s’est elle réjouie que Nicolas Sarkozy soit désormais « totalement disqualifié ». 

 

Copé : règlements de comptes et trahison à l’UMP

Copé : règlements de comptes et trahison à l’UMP

Ce sera la grande lessive mardi à l’UMP ou Copé sera bien contraint de trahir ses amis de Bygmalion s’il veut sauver sa peau. La « preuve » est entre les mains de Jean-François Copé depuis vendredi après-midi. Un document interne  d’une page et demie. Il a été remis au patron de l’UMP par sa directrice financière  Fabienne Liadzé. En deux pages, Jean-François Copé dispose de toutes les sorties comptables de l’UMP en lien avec la société de communication Bygmalion et de ses filiales entre le 1er janvier et le 30 juin 2012. Selon le JDD, les vérifications internes à l’UMP confirment l’enquête accablante publiée par Libération. Elle détaille les 70 prestations suspectes commandées à l’UMP pour un montant de « 18 millions et quelque ». « Il n’y a aucun doute en interne que la plupart de ces opérations ont été soit surfacturées soit n’ont carrément pas existé », admet au JDD une source très haut placée dans l’appareil néo-gaulliste. Au siège de l’UMP, les règlements de comptes ont commencé. L’ambiance est lourde en attendant les inévitables perquisitions. Sur le plan politique, la semaine s’annonce très tendue pour Jean-François Copé. Conseillé par Jean-Pierre Raffarin, le maire de Meaux va faire ce qu’il faut « faire pour que la gangrène ne l’atteigne pas » selon l’expression d’un proche. Il devrait annoncer les remplacements de son directeur de cabinet Jérôme Lavrilleux et du directeur général des services de l’UMP Eric Cesari. Le sacrifice de deux fusibles sera-t-il suffisant? Pas certain. Mais les barons de l’UMP – les Juppé, Fillon, Le Maire, Bertrand et les autres – s’observent. Pas pressé de renverser un Copé désormais à la tête d’un parti au bord de la banqueroute et abandonné par un nombre croissant de militants. 20% seulement d’entre eux auraient, selon certaines sources internes, renouvelé leur adhésion.

 

UMP- Affaire Bygmalion : d’autres entreprises impliquées

UMP- Affaire Bygmalion : d’autres entreprises impliquées

L’affaire Bygmalion pourrait s’étendre à d’autres entreprises. Soupçonnée d’avoir surfacturé l’organisation de meetings de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012, l’entreprise fait l’objet d’une enquête. Cette société, fondée par deux proches de Jean-François Copé, patron de l’UMP, aurait touché au moins 8 millions d’euros pendant la campagne de 2012. La cellule anti-blanchiment de Bercy, Tracfin « a été saisie de vérifications bancaires sur au moins trois sociétés de prestations annexes », selon les informations de M6. Elles auraient fourni du matériel vidéo et de sonorisation à Bygmalion pour des meetings de l’ancien Président de la République. Les dirigeants et les actionnaires de ces entreprises seraient des proches de l’UMP ou de son ancêtre le RPR, explique M6. Le site ajoute que « Tracfin épluche les comptes bancaires de ces entreprises pour s’assurer qu’il n’existe pas « de surfacturations ou de mouvements bancaires anormaux ».

UMP : soupçons de détournements de fonds punblics

UMP : soupçons de détournements fonds

Le groupe du parti au Sénat fait l’objet selon Le Parisien d’une enquête pour détournement de fonds publics. « Face au silence assourdissant des dirigeants de notre parti, il est un moment où les Français, les militants et élus UMP de base disent stop », écrit Lionel Tardy dans une lettre ouverte à Jean-François Copé publiée mardi sur le site de France info. « En vous exprimant depuis le siège de l’UMP, vous avez tenté d’amalgamer une affaire personnelle (affaire Bygmalion), avec les affaires de l’UMP, ce qui a été tout a fait dommageable pour l’image de notre parti », ajoute-t-il. Lionel Tardy s’était déjà livré à une violente charge contre le dirigeant du parti après les nouvelles révélations de la presse sur la société Bygmalion. Dans l’affaire du Sénat, le groupe UMP affirme que les versements effectués au profit d’une association, l’Union républicaine du Sénat (URS), « s’inscrivent dans le cadre de la libre administration des groupes politiques. » « Ils correspondent à la mise à disposition de moyens à ces sensibilités afin qu’elles puissent dans le respect de leur objet social respectif exercer leurs actions politique et législative en complément de l’action menée par le groupe UMP lui-même », écrit-il dans un communiqué. Selon Le Parisien paru mardi, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour « détournements de fonds publics », « abus de confiance » et « blanchiment ».

Elections européennes : l’UMP remonte, le PS à 16%

Elections européennes : l’UMP remonte, le PS à 16%

 

Avec un taux d’abstention qui se situe entre 5à et 60%, les sondages varient. Selon un sondage Opinion Way réalisé pour Le Figaro et publié ce vendredi, l’UMP l’emporterait avec 23% des voix lors des élections du 25 mai. Le FN arriverait juste derrière (22%). A neuf jours des élections européennes, l’UMP et le FN sont au coude à coude. Selon un sondage OpinionWay réalisé pour Le Figaro publié ce vendredi, l’UMP arriverait en tête, devant le FN lors des élections du 25 mai, avec 23% des voix contre 22%. Le PS arriverait en troisième (16%), suivi par le MoDem/UDI (10,5 %), les Verts (9 %) le Front de Gauche (8 %), Debout la République (2,5 %) et Nouvelle Donne (2,5 %). « Quand les écarts sont petits, il faut être très prudent », prévient Bruno Jeanbart, directeur des études politiques d’OpinionWay ajoutant que 1 point de résultat aux européennes représente seulement 150 000 voix, soit environ deux fois moins qu’à la présidentielle (360 000 voix). « Cette élection s’annonce une nouvelle fois avec très faible participation, ce qui rend d’autant plus incertains les résultats », avertit-il.

Des meetings « bidon « facturés à l’UMP

Des meetings  »bidon  »facturés  à l’UMP

 

 Libération affirme dans son édition de jeudi que L’UMP a réglé pendant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 près de 20 millions d’euros à une filiale de Bygmalion, agence de communication dirigée par des proches de Jean-François Copé. Expliquant avoir eu accès aux factures de la filiale Event&Cie, sur la période de janvier à juin 2012, couvrant la campagne présidentielle, Libération insiste en particulier sur les 12,7 millions d’euros versés par l’UMP pour au moins 55 « conventions thématiques » qui ont laissé peu de souvenir aux principaux intéressés. Le journal cite notamment une « conférence sur l’accès au crédit » le 30 mai 2012, trois semaines après la défaite de Sarkozy, facturée 299.000 euros. Or le député UMP Pierre Lellouche, supposé en être le principal intervenant, ne s’y est pas rendu selon ses agendas et ses souvenirs. Libération relève également une conférence salle Gaveau le 14 avril 2012, où il ne semble y avoir ni foule ni invités prestigieux, facturée pour la somme exorbitante de 680.950 euros et consacrée une semaine avant le premier tour à « La France avec les printemps africains – Regards croisés ». « Ont-elles existé? », s’interroge le quotidien à propos des fameuses « conventions ». Au sein du parti, « les cadres interrogés sursautent, voire s’étouffent, à l’énoncé des montants », assure Libération. « Ce sont des francs CFA? » s’étonne un ancien ministre UMP, cité par le journal. Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé, a confirmé à Libération l’existence de « 80 évènements » en 2012 et un chiffre global de 19 millions d’euros versés par l’UMP à Bygmalion pour cette même année. Il affirme avoir les preuves de la tenue de ces réunions sans accepter de les fournir au quotidien, qui évoque l’hypothèse de « frais de campagne déguisés ». Et ce alors que le plafond autorisé pour la campagne était de 22,5 millions d’euros et que les comptes de campagne de M. Sarkozy ont déjà été retoqués. L’avocat de Bygmalion, Me Patrick Maisonneuve conteste dans le journal « toute accusation de surfacturation » et « toute rétrocommission ». Dans son édition du 27 février 2014, Le Point avait affirmé que Jean-François Copé avait favorisé Bygmalion, fondée par deux de ses proches, Bastien Millot et Guy Alvès. L’hebdomadaire évoquait alors une somme de 8 millions d’euros empochée par la société en « charge(ant) la mule sur certaines prestations facturées à l’UMP hors appel d’offres ». Pendant que Bygmalion jouit d’une santé financière « florissante », l’UMP a dû faire appel à ses sympathisants pour éponger les 11 millions manquants après l’invalidation des comptes du candidat Sarkozy, rappelait Le Point. En mars, Jean-François Copé avait dénoncé un « coup monté » et « un tissu de mensonges ». Il avait porté plainte contre Le Point. Event&Cie fait l’objet d’une enquête préliminaire pour faux, abus de biens sociaux et abus de confiance.

Sondage élections européennes : FN 22%, UMP 21, PS 17 %

Sondage élections européennes : FN 22%, UMP 21, PS  17 %

Le Front national fait la course en tête dans les intentions de vote pour les élections européennes avec 22% des voix, selon un sondage Harris Interactive pour LCP et Le Parisien diffusé mardi. L’UMP est en deuxième position avec 21% des intentions de vote, devant le Parti socialiste (17%), les listes centristes de l’UDI et du MoDem (9%) et celles d’Europe-Ecologie (9%), et celles du Front de gauche (8%). Selon cette enquête, 36% des sondés considèrent que la France gagne à être dans l’Union européenne, 28% jugeant qu’elle y perd et 34% répondant ni l’un, ni l’autre.

 

Frédéric Lefebvre (UMP) pour le programme de Hollande

Frédéric Lefebvre (UMP) pour  le programme de Hollande

« Les Français sont prioritaires et doivent passer avant les considérations partisanes. Notre opposition se doit d’être constructive », a déclaré Frédéric Lefebvre. Le député UMP a annoncé dans un communiqué qu’il voterait le programme de stabilité, présenté ce mercredi 23 avril en conseil des Ministres.  « En homme politique de droite actuel, compte tenu de l’urgence pour les acteurs économiques et de l’attitude d’une partie importante de la gauche qui veut empêcher ce virage, je me dois de prendre mes responsabilités », écrit le député des Français de l’étranger. « D’autant que le Premier ministre a fait siennes des mesures préconisées par l’opposition », a-t-il ajouté. »C’est ce qui m’amènera, mardi prochain, à voter le programme de stabilité qui doit être transmis aux instances européennes. Ce vote c’est aussi leur envoyer le signe que les parlementaires français sont responsables », explique-t-il dans son communiqué intitulé « Pourquoi j’ai décidé de voter ‘oui, mais’ ». « Ce programme rompt délibérément avec le recours systématique aux hausses d’impôts pratiquées depuis le début du quinquennat; même si sur certains points je reste en désaccord ou si sur d’autres je demeure en attente d’efforts supplémentaires », écrit-il. La direction de ce pacte est « bonne », juge-t-il.  L’ancien secrétaire d’Etat de Nicolas Sarkozy n’avait pas exclu début avril de voter la confiance au gouvernement Valls, avant de finalement voter contre.

 

Sondage Européennes : FN devant l’UMP et PS (Ifop)

Sondage Européennes : FN devant l’UMP et  PS selon (Ifop)

Selon un sondage Ifop pour Paris Match, le Front national arriverait en tête (23%) des intentions de vote pour les élections européennes, devant l’UMP (22,5%) et le PS (19,5%).  Un camouflet pour la droite traditionnelle comme pour la gauche. L’UMP, qui rêvait d’arriver en tête des élections européennes de mai prochain, n’arriverait qu’en seconde position de ce scrutin. En effet, selon un sondage Ifop réalisé pour Paris Match, le FN cumulerait 23% des intentions de vote, devant l’UMP (22,5%) et le PS (19,5%). L’UDI (10%), Europe Ecologie-Les Verts et le Front de gauche (8%) suivent.

 

Le maire d’Aix en Provence (UMP) mis en examen

Le maire d’Aix en Provence (UMP) mis en examen

La maire UMP d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), Maryse Joissains, a été mise en examen mardi soir pour « détournement de fonds publics » et « prise illégale d’intérêt », a-t-on appris mercredi de source judiciaire. L’élue a été mise en examen après l’ouverture d’une information sur les conditions de promotion de son chauffeur au plus haut grade de la fonction publique et l’emploi d’une collaboratrice de son cabinet chargée d’une mission sur la protection des animaux. Maryse Joissains avait été entendue en décembre par les enquêteurs de la division économique financière de la Direction Interrégionale de police judiciaire de Marseille sur des promotions dont auraient bénéficié son chauffeur et le fils de ce dernier. Maryse Joissains a été réélue pour un troisième mandat le 30 mars avec 52,61% des voix à l’issue d’une triangulaire.

 

Sondage : Européennes : l’UMP en tête, suivi du FN puis du PS

Sondage : Européennes : l’UMP en tête, suivi du FN puis du PS  

La punition pourrait être encore plus sévère pour le PS aux européennes puisque le l’UMP arrive en tête arrive, suivie du FN, le PS étant en troisième position. (Autour de 20%, son score aux municipales). Selon un sondage IFOP, les listes UMP sont créditées de 24 % des intentions de vote aux européennes, devant celles du FN (22 %) et du PS allié au PRG.  Si les élections européennes avaient lieu dimanche, les listes UMP  arriveraient en tête (24 %) devant celles du Front national  (22 %) et du Parti socialiste  allié au PRG, selon un sondage IFOP pour Sud-Ouest Dimanche. Suivraient à distance les listes Europe Écologie-Les Verts (8,5 %), MoDem et UDI (8 %) et Front de gauche (7,5 %).  Dans son étude, l’IFOP relève « une forte mobilisation des plus âgés en faveur de l’UMP » (37 %) et « une grande capacité (du FN) à mobiliser les catégories populaires, 30 % des employés et 44% des ouvriers ». Le précédent sondage IFOP sur les élections européennes, réalisé entre le 14 et le 17 janvier, plaçait le FN en tête (23 %). L’UMP (21 %) et le PS-PRG (18 %) suivaient.  Cette enquête a été réalisée en ligne du 31 mars au 4 avril auprès d’un échantillon de 1 872 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 957 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

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