Archive pour le Tag 'UMP'

Page 2 sur 11

Départementales : Valls a mobilisé….. au profit de l’UMP

Départementales : Valls a mobilisé….. au profit de l’UMP

 

 

 

 

Valls dans son  intervention télévisée a affirmé avoir mobilisé par son discours contre le FN. D’après les chiffres,  effectivement l’électorat s’est mobilisé  d’une  manière plus importante qu’attendue dans les bureaux de vote. L’abstention  avait en effet été pronostiquée entre 55 et 60%par les instituts de sondage. En fait l’abstention va tourner autour de 50%. Ce qui signifie qu’effectivement le discours radical ( et simplificateur) de Valls a porté ses fruits mais au bénéfice de l’UMP. Certains électeurs de droite se sont sentis davantage concernés mais ont voté pour l’UMP. Il en est de même vraisemblablement pour certains électeurs gauche qui pour faire barrage au FN ont voté UMP. Valls a donc commis une double erreur stratégique d’abord en nationalisant le débat alors qu’il s’agissait dune élection locale, ensuite en centrant tout sur le FN ; Dans son interview Vals a simplement oublié de parler du score du PS. La conséquence sera catastrophique pour le PS qui risque maintenant de perdre de l’ordre de la moitié des départements où il avait la majorité.

Le parti républicain, nouveau nom de l’ UMP

Le  parti républicain, nouveau nom de l’ UMP

 

La marque UMP est obsolète depuis longtemps ; du coup Sarko cherche un nouveau nom. Ce sera «  le parti républicain »  comme aux Etats Unis. Un image à l’américaine qui plait bien à Sarko et à son folklore :  coté bling-bling, , le fric et  la campagne électorale transformée en « one man show ». Un nouveau nom pourquoi pas mais le changement d’  emballage ne suffira pas, il faudra un programme  qui tarde à arriver. Faute de vrai contenu,  les meetings de Sarko ressemblent  de plus en plus à celle d’un humoriste qui fait du stand-up ( théâtralisation, blaguounettes, , tonalité, gestuelle etc.). Des prestations assez récréatives sur la forme mais qui ne comportent  guère de fond politique. Finalement le nom de « Rassemblement » n’aurait donc pas été retenu pour devenir la nouvelle image de l’UMP. Le « Journal du Dimanche » a dévoilé le nom choisi ainsi que les trois logos déposés à l’INPI. Changer le nom de l’UMP. C’était l’une des priorités de Nicolas Sarkozy en arrivant à la tête du parti. Ainsi, l’ancien Président souhaitait faire oublier l’affaire Bygmalion mais aussi la guerre des chefs entre François Fillon et Jean-François Copé. Dans un entretien au Figaro, Nicolas Sarkozy avait confirmé que le parti aurait un nom et non pas un sigle. Alors que le congrès fondateur du nouveau parti qui remplacera l’UMP se tiendra le 30 mai prochain, le nom retenu serait « Les Républicains », selon le Journal du Dimanche. Les ténors du parti ont longtemps hésité avec le terme de « Rassemblement », mais celui-ci faisait référence au RPR des gaullistes, précise le journal. Nicolas Sarkozy a reconnu que « Les Républicains » était  »une des propositions », sur France Info. « La marque a déjà été déposée auprès de l’Institut national de la propriété intellectuelle (INPI), par l’agence de publicité Aubert et Storch Associés Partenaires (ASAP) », ajoute le journal. Trois logos ont aussi été déposés. Du côté de l’UMP, aucun contrat n’aurait été signé avec l’entreprise de communication. La société explique avoir travaillé à « titre gracieux », mais se défende de toutes allusions au parti américain. La référence concernerait plutôt l’histoire française et la « IIIe République ».

 

Abrogation loi santé : NKM, comme l’UMP pas claire

Abrogation loi santé : NKM, comme l’UMP pas claire

Difficile en ce moment de connaître vraiment les positions de l’UMP. Une UMP critique mais qui ne donne guère d’éclairage sur ses propositions exemple sur le mariage pour tous, sur les 35 heures, et là sur la loi santé. En fait NKM rentre dans le rang, c’est à dire dans le brouillard sarkosiste  qui recouvre  libéraux,  étatistes et fachos. On objectera que les contradictions à gauche ne sosnt pas moindres mais cela ne saurait constituer uen excuse pour u parti qui vraisemblablement reprendra le pouvoir prochainement.  Nathalie Kosciusko-Morizet est souvent présentée comme étant l’électron libre, et même l’enfant terrible de l’UMP. Cette fois-ci, elle apparaît plus « assagie. Elle était dans la ligne du parti. Elle a défendu le ‘ni-ni’ dont on sait qu’elle n’était pas pour. Elle a fait son métier de vice-présidente, mais il manquait le grain de folie », estime Alexis Brézet. La liberté d’expression de Nathalie Kosciusko-Morizet, y compris sur son propre parti, son légendaire et ont parfois fait des ravages Éric Revel en arrive à se demander si ce n’est pas la raison pour laquelle Nicolas Sarkozy a préféré la nommer vice-présidente de l’UMP et donner un autre rôle à Laurent Wauquiez. « La liberté d’expression de Nathalie Kosciusko-Morizet, y compris sur son propre parti, est légendaire et a parfois fait des ravages. En faisant cela, le président du parti l’a installé dans un pré extrêmement borduré duquel elle ne peut pas sortir », explique-t-il. NKM a fait le job mais ne répond pas à la question l’abrogation de la loi. Concernant le projet de la Santé de Marisol Touraine, la députée demande son retrait. Avec cette réaction, Nathalie Kosciusko-Morizet « fait le job », selon Alexis Brézet. Cependant, il est étonné de ne pas avoir eu de réponse concernant l’abrogation de cette loi. « Elle fait une pirouette. Elle est dans l’opposition, donc dans son rôle, mais elle oublie qu’à une autre époque c’était compliqué de répondre aux médecins quand la droite était au pouvoir », souligne Éric Revel.

Elections départementales : l’UMP vainqueur au deuxième tour grâce au réflexe républicain

Elections départementales : l’UMP vainqueur au deuxième tour  grâce au réflexe républicain

 

C’est peut-être paradoxal mais  c’est le bon report des voix du PS sur l’UMP qui permettra à cette formation d’emporter la mise au second tour. En effet 50% des électeurs de gauche vont voter UMP au second tour ( en cas de duel FN-UMP) tandis que 27% seulement des lecteurs de l’UMP voteront pour le PS au second tour ( en cas de duel PS-FN). Par ailleurs 50% des électeurs du FN voteraient UMP( encas de duel PS-UMP) contre 5% pour le PS.  Du coup avec l’abstention record ( près de 60%).qui va surtout concerner en premier les électeurs de gauche et ce déséquilibre dans le report des voix entre Ps et UMP, la gauche risque de ne conserver qu’un dizaine de départements.  À un peu moins de deux semaines du premier tour des élections départementales, l’écart semble se resserrer entre le Front national et l’UMP ( il faut cependant  relativiser les sondages eu égard au record abstention).  »Toujours premier parti de France avec 31% des intentions de vote dans le sondage Odoxa pour RTL, le Front national aborde ce scrutin en position de force », analyse l’étude. Ainsi, l’UMP et l’UDI remporteraient 29% des voix, tandis que le Parti socialiste et ses alliés en obtiendraient 20%. Quant au Front de gauche et à Europe Écologie Les Verts, ils récupèrent respectivement 8% et 4% des voix. Cependant, il est important de préciser que par rapport à un sondage également établi par Odoxa le 2 mars dernier, le Front national recule de deux points, contrairement à l’UMP, qui en gagne deux. En ce qui concerne le second tour, les reports de voix « annoncent surtout un raz-de-marée pour l’UMP et une déroute historique pour le Parti socialiste », estime l’institut de sondage. Selon certaines estimations, le Parti socialiste pourrait perdre entre une trentaine et une quarantaine de départements. Seule consolation pour le parti de la majorité :  »De bonnes réserves de voix à gauche lui offriront des possibilités de ‘sauver les meubles’ au second tour, dans les cantons où il pourra se maintenir ». La vague bleue montrerait que le front républicain fonctionne très bien auprès des électeurs de gauche (52% voteraient UMP), mais pas du tout auprès de ceux de l’UMP. Les électeurs seraient même symboliquement un peu plus nombreux à préférer le Front national au Parti socialiste (28% à 27%). Mais ils seraient surtout 45% à s’abstenir. Dans le cas d’un duel « classique » entre le Parti socialiste et l’UMP, les électeurs du Front national pencheraient à 50% pour l’UMP, contre 5% pour le Parti socialiste. 45% choisiraient l’abstention.

Sondage Départementales : l’UMP devant le FN au premier tour, du bidonnage ?

Sondage Départementales : l’UMP devant le FN au premier tour, du bidonnage ?

Curieux sondage en vérité qui contredit tous les autres. Jusque là le FN était nettement en tâte avec de  30 à 35% des intentions de vote, l’UMP à 27 et le PS autour de 20. Cette fois ces l’UMP qui serait en tête. Selon un sondage OpinionWay pour Metronews et LCI, l’alliance UMP-UDI prend la tête des intentions de vote aux élections départementales (29%) de fin mars, jusque devant le Front national (28%). C’est une  interprétation bidonnée des sondage. D’abord on agglomère les résultats de différentes familles  politiques par exemple à gauche ce qui n’a aucun sens au premier tour d’autant que les divisions vont favoriser le FN ( aussi l’UMP). Ce sondage OpinionWay   »met fin à plusieurs semaines de règne du Front national dans les intentions de vote pour les départementales des 22 et 29 mars », écrit Metronews. Cette interprétation ressemble à une sorte de tripatouillage méthodologqiue. On peut évidemment regretter que l’UMP et Ps soient à un aussi faible niveau mais ce n’est pas en tordant le coup aux sondages qu’on fera avancer le smilblick.  En fait le FN risque d’être largement en tête pour la simple raison que son électorat et de loin le plus mobilisé. Deuxième net et surtout parce que l’abstention sera historique, près de 60% et que les électeurs de gauches seront les moins présents dans les bureaux de vote. Or ce phénomène de l’abstention est mal  pris en compte dans les sondages. Au second tour cependant l’UMP devrait bénéficier du «  reflex républicain et emporter près de 90% des départements ( à l’inverse le Ps bénéficiera de beaucoup moins de reports lorsqu’il sera au second tour, 50% environ en provenance de l’UMP°.  Si le premier tour des élections départementales se tenait dimanche, 29% voteraient pour l’UMP et ses alliés (UDI, DVD soutenus ou en alliance) et 28% pour le Front national, selon un sondage OpinionWay pour Metronews et LCI. 21% des personnes interrogées se prononcent, elle, pour le PS et ses alliés (RDG, DVG, EELV soutenus ou en alliance). Le Front de gauche rassemblerait 7% des électeurs et EELV, hors alliance, 2%. L’UDI seule, hors alliance avec l’UMP, ferait 1%, soit autant que le MoDem et l’Union du centre. « Autres divers gauche » et « autres divers droite » auraient un score identique, 5%. Au total, la gauche et la droite disposeraient chacune de 35% des intentions de vote, et le Front national de 28%. Par ailleurs, OpinionWay estime l’abstention à 56%, rappelant qu’elle avait été de 55,7% aux élections cantonales de 2011.

Sondage Départementales : l’UMP et FN à 29%, PS à 23%

Sondage Départementales : l’UMP et FN à 29%, PS à 23%

C’est le souhait des français, pas forcément ce qu’ils vont voter. Une nuance de taille car abstention elle pourraiat atteindre entre 50 et 60%. Or c’est dans le camp du PS que les électeurs sont le moins, mobilisés, ensuite à l’UMP. Du coup les intentions de vote, elles tournent selon les sondages autour de 30% pour le FN, 27% pour l’UMP et 20% pour le PS. ‘ (notons que la gauche est assez divisée).  L’UMP, allié à l’UDI, fait jeu égal avec le Front national dans le souhait des français de les voir remporter les élections départementales fin mars. Le sondage que publie le JDD, réalisé par l’IFOP, démontre que 29% des personnes interrogées veulent que ces deux partis l’emportent. Le Parti socialiste reste distancé, avec un résultat de 23%. Si l’UMP et le FN font jeu égal, leurs partisans sont différents : le parti de Marine Le Pen obtient ses meilleurs scores chez les ouvriers (50%) et les employés (50%). L’UMP fait ses meilleurs résultats chez les professions libérales et cadres supérieurs (45%). L’abstention s’annonce forte les 22 et 29 mars : 57% des personnes interrogées disent vouloir s’abstenir. Mais elle serait inégalement répartie : beaucoup plus forte à gauche qu’à droite. Avec un pic impressionnant chez les moins de 35 ans.

 

SONDAGE départementales : FN 30%, UMP 28, PS 20

 

 

 

Ce sera d’abord le triomphe des abstentionniste puisqu’environ la moitié des sympathisants de l’UMP et du PS ne se déplaceront pas pour voter.( Une abstention globale de  près de 60%); Ensuite le triomphe celui du FN au premier tour, ensuite celui de l’UMP au second. Au final uen véritable débâcle pour le PS qui peinera à conserver 20 départements au lieu de 60 actuellement. Un PS par ailleurs victime d’une  très mauvaise dynamique du reflexe républicain. Le sondage réalisé par l’IFOP pour Le Figaro à un mois des départementales vient confirmer les tendances constatées scrutin après scrutin depuis cinq ans. Avec 30 % des intentions de vote mesurées, le FN devancerait l’alliance des forces UMP et UDI (28 %), reléguant les candidats du PS à la troisième place avec 20 %. Aucune des autres propositions ne passe la barre des 10 %: EELV recueillerait 7 %, le Front de gauche 6 %, l’extrême gauche 2 %. Il s’agit toutefois d’un sondage d’intentions de vote national, qui ne tient pas compte des particularismes locaux. Dans un contexte de forte abstention (mesurée par l’IFOP à 57 %), les électeurs du FN se montrent d’ailleurs les plus motivés: 53 % de ses sympathisants déclarent qu’ils se rendront aux urnes, contre 45 % de ceux de l’UMP et 44 % de ceux du PS. La progression serait importante par rapport aux cantonales de 2011 lorsque le FN avait atteint 15 % en présentant des candidats dans trois quarts des cantons, soit un résultat d’environ 19 % en moyenne par candidat. Finalement des élections très peu démocratique puisque un candidat pourra être élu avec un score de 12,5% des inscrits au premier tour.

 

Sondage : 50% des sympathisants UMP pour le FN

Sondage : 50% des sympathisants UMP pour le FN

Un sondage TNT Sofres pour France info qui confirme les tendancs de l’élection de la législative du Doubs. 50 % des électeurs UMP prêts à voter FN ; Une  conclusion :  les départementales comme  les régionales seront un massacre pour le PS. sans parler de 2017 car  contrairement aux sondages rélisés  jusque là Marine le Pen aurait les plus grandes chances contre en candidat du PS  du fait du report des voix de l’UMP. Un sondage qui risque de bousculer la stratégie de l’UMP jusque là le cul entre deux chaises  avec son n i-ni et qui pourrait bien nettement droitiser son propos. En clair on s’oriente  vers une alliance qui ne dit pas son nom ( pour l’instant !)  entre l’UMP et le FN.

D’après ce sondage, la moitié des sympathisants UMP serait pour des alliances locales avec le Front national pendant les prochaines élections départementales et régionales. C’est dix points de plus que l’an dernier au moment des municipales. Et 43% n’auraient même rien contre un accord électoral national, contre 37% en 2014. Le Front national semble donc séduire de plus en plus dans les rangs de l’UMP, mais si on tient compte de l’ensemble des électeurs, toutes orientations politiques confondues, le parti serait en très léger recul. En effet,  62% des personnes interrogées se disent en désaccord total avec les thèses du FN, soit trois points de plus qu’il y a un an. Les Français seraient en outre un peu moins nombreux à trouver qu’il y a trop d’immigrés en France, ou que l’on accorde trop de place à l’islam. Certains chevaux de bataille du Front national semblent en revanche séduire de plus en plus, quel que soit le bord politique. Ainsi, 36% des personnes interrogées se disent notamment d’accord pour rétablir la peine de mort. C’est quatre points de plus qu’il y a un an.

Législatives Doubs : un électeur UMP sur deux a voté FN

Législatives Doubs : un électeur UMP sur deux a voté FN

La fin du front républicain pourrait bien changer  la donne politique. La porosité UMP-FN est de plus en plus grande mais aussi gauche –FN ( dans une moindre mesure). En fait le reflexe républicain fonctionne moins bien parce que les partis traditionnels de gouvernement sont largement discrédités, ensuite parce que le FN constitue une offre politique de protestation contre le système. Pas vraiment un vote d’adhésion puisque au moins 65% des francais estiment que le FN n’est pas compétent comme parti de gouvernement. Bref c’est la jacquerie politique, addition de protestations contradictoires mais qui veut faire entendre son ralbol. D’abord nombre d’électeurs de gauche vote désormais pour le FN au premier  tour et La moitié des électeurs qui avaient voté pour l’UMP au premier tour ont ensuite voté pour le FN au second tour, lors de la législative partielle dans le Doubs dimanche dernier, affirme le chercheur Joël Gombin dans une analyse publiée vendredi. Selon le modèle qu’il a pu établir, publié et expliqué sur le site slate.fr, M. Gombin, chercheur au CURAPP-université de Picardie-Jules-Verne, affirme que « la moitié environ des électeurs ayant choisi l’UMP au premier tour se sont portés sur la candidate frontiste au second tour. Un quart ont choisi le candidat socialiste; le dernier quart s’est abstenu ou a voté blanc ou nul », écrit-il. Dès lors, on ne peut « guère parler de succès du rassemblement républicain », souligne-t-il, mais plutôt constater « la fusion, relative certes mais néanmoins bien avancée, des électorats de l’UMP et du FN ». Autre enseignement: « Le FN n’aurait guère mobilisé de nouveaux électeurs entre les deux tours: à peine plus de 4% des abstentionnistes du premier tour », selon son modèle. Le chercheur souligne au passage que « la progression de 16 points enregistrée entre les deux tours par la candidate frontiste n’a rien d’exceptionnel », ayant « observé des progressions du même ordre, souvent même supérieures, à peu près chaque fois que le FN s’est retrouvé en duel au second tour d’une élection législative en 2012 et depuis, et ce quel que soit son adversaire ». Toujours d’après le modèle qu’il a établi, M. Gombin affirme que « la victoire du candidat socialiste » Frédéric Barbier « devrait beaucoup à sa capacité à mobiliser de nouveaux électeurs: pas moins de 17% des abstentionnistes du premier tour auraient voté en sa faveur au second tour. Si ce modèle est exact, ces nouveaux électeurs (environ 6.800) auraient même été plus nombreux que ceux qui ont voté pour le candidat socialiste aux deux tours (5.200)! Les électeurs de Charles Demouge (UMP) ayant choisi Barbier au second tour ne seraient eux que quelques 1.750″ (26%), ajoute-t-il. A noter aussi que, selon son modèle, 17% des électeurs au premier tour de M. Barbier ont voté pour le FN au second tour. « Le Front républicain, entendu comme coalition des partis ‘républicains’ contre le Front national, n’existe pas (parce que l’UMP refuse d’appeler à voter en faveur du PS, et parce que les électeurs de l’UMP se portent majoritairement sur le FN », affirme-t-il dans ses conclusions. « En revanche, la perspective de voir un candidat frontiste élu député permet une mobilisation réelle d’électeurs par ailleurs peu politisés et mobilisés, ou en tout cas abstentionnistes au premier tour », poursuit-il.
 

Jeunes UMP : des parcours d’aventuriers

Jeunes UMP : des parcours d’aventuriers

 

 

Les grands médias se focalisent sur la situation administrative de l’ancien responsable des jeunes de l’UMP. Avait-il des papiers ou non. Apparemment non, mais ce n’est pas la question fondamentale. Comment des individus sulfureux peuvent-ils en quelques années accéder aux plus hautes responsabilités d’un parti de gouvernement ? Et cela vauat pour de nombreux responsables descendants d’immigrés ou non. Rama Yade par exemple entrée à l’UMP en 2005 et ministre en 2007, Rachida Dati ou Vallaud Belkacem, responsable puis ministre en quelques années. Dans ces cas là il s’agit d’une manipulation consenti du statut de descendant d’immigré ; dans d’autres  cas l’accès direct aux fonctions nationales est permis grâce au passeport de l’ENA (sciences Po et autres instituts  d’études politique) ou tout simplement en raison de relations amoureuses.  Cette pratique ne date pas hier, Mitterrand avait l’habitude d’introduire directement dans les instances nationales  du PS des femmes parfaitement inconnues auxquelles il manifestait une affection particulière. En fait le système politique repose sur les principe d’une monarchie, le président monarque décide ce qu’il veut et seul , les princes qui dirigent  les partis en font autant ce qui permet la constitution de coteries hétéroclites ( amis, courtisans, aventuriers) avec les risques évidemment que de temps en temps un scandale éclate (Cahuzac  par exemple et autres conseillers de Hollande). Au PS comme à l’UMP ( et ailleurs)  la démocratie est formelle, on y vote certes des motions, des programmes mais,  sitôt au pouvoir, les partis  les « rangent »   au fond d’ un placard. .  Stéphane Tiki, lui,  s’est « mis en congé » de la présidence des Jeunes populaires. Né au Cameroun, il avait été désigné à ce poste mi-décembre. Celui qui est militant UMP depuis la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 est arrivé en France il y a dix ans. Le Canard Enchaîné a révélé mercredi qu’il serait sans-papiers. Selon Le Monde, Stéphane Tiki n’aurait en fait plus de titre de séjour en règle. Ce dernier affirme toutefois avoir fait une demande de naturalisation. Interrogés les principaux responsable de l’UMP affirment bien embarrassés qu’ils ne le connaissent pas ou à peine alors qu’on l’a aperçu des centaines de fois à la télé  pérorer sur les mérites de Sarkozy et de la droite forte. Pas seulement pathétique mais minable.

Un sans papier à la tête des jeunes de l’UMP

Un sans papier à la tête  des jeunes de l’UMP

 

D’une certaine manière ce pourrait être le GAG du jour, le président des jeunes de l’UMP est un sans papier, pire il envisageait de se présenter aux élections régionales de décembre. Ce qui choque ce n’est pas tellement que ce secrétaire national de l’UMP soit étranger mais la facilité avec laquelle n’importe quel aventurier peut accéder aussi rapidement aux plus hautes fonctions dans un parti qui n’en est pas un (pas plus et pas moins que le PS). Du coup le copinage de salon permet d’accéder en quelques  années aux plus hautes fonctions comme Rachida Dati ou encore Belkacem (devenue porte parole de Ségolène après seulement 5 ans d’adhésion au PS), des beurettes au parcours fulgurant devenues même ministres  grâce à leur relations mondaines. Cela ne vaut pas que pour les français d’origine étrangère. Aussi pour n’importe quel personnage sulfureux en quête de pouvoir, de reconnaissance-ou d’argent. Une grande gueule, une belle gueule, du copinage, c’est suffisant pour faire son chemin dans la monarchie républicaine. Pas besoin de brevet de militantisme, de compétence et même de conviction. Il suffit d’approcher les princes comme sous l’ancien régime !     Stéphane Tiksi, président des Jeunes Populaires (les adhérents de l’UMP âgés de moins de 30 ans), est de nationalité camerounaise et vit en France depuis dix ans, mais n’a pas de titre de séjour, affirme Le Canard enchaîné à paraître mercredi. Il a annoncé mardi soir à l’AFP qu’il « se met en congé » de la présidence des Jeunes UMP. GAG supplémentaire, Stéphane TKI appartenait à la droite forte de l’UMP finalement très proche idéologiquement du FN.   L’information était d’abord paru dans la presse d’extrême-droite début janvier. Elle a été confirmée mardi soir par le Canard Enchaîné : Stéphane Tiki, président des Jeunes Populaires (les adhérents de l’UMP âgés de moins de 30 ans), est de nationalité camerounaise et vit en France depuis dix ans, mais n’a pas de titre de séjour. Stéphane Tiki, 27 ans, avait été nommé président des Jeunes Populaires en décembre dernier. Stéphane Tiki a annoncé mardi soir à l’AFP qu’il « se met en congé » de la présidence des Jeunes UMP après ces révélations. Il s’est également expliqué sur sa page Facebook. Membre de la Droite forte, courant sarkozyste de l’UMP dirigé par Guillaume Peltier et Geoffroy Didier, Stéphane Tiki était jusqu’alors délégué national des Jeunes et secrétaire national de l’UMP. Selon l’hebdomadaire satirique, Stéphane Tiki avait fait part en décembre aux Jeunes Populaires de sa volonté d’être candidat aux élections régionales de décembre. En tant qu’étranger, il peut bien entendu être président des Jeunes Populaires, mais ne peut en aucun cas prétendre à des fonctions électives. Sollicité par l’AFP, Stéphane Tiki n’avait pas réagi mardi en fin de journée.

 

UMP : « La mayonnaise ne pend pas avec Sarkozy » (Lemaire)

UMP : « La mayonnaise ne pend pas avec Sarkozy » (Lemaire)

Dit ou pas dit cela ne change pas grand-chose.  D’après le Canard Enchaîné, Bruno Le Maire et Valérie Pécresse portent aujourd’hui un jugement sévère sur le retour aux affaires de l’ex-chef de l’Etat. La sentence du premier, par ailleurs son ex-rival dans la course à la présidence de l’UMP : « Partout sur le terrain, c’est le même message : la mayonnaise Sarkozy ne prend pas. Les gens ne veulent plus de lui. ».  La deuxième, elle, compare Nicolas Sarkozy à Jacques Chirac. Pas vraiment un compliment, pour celui qui traita naguère son prédécesseur de « roi fainéant ». Pourquoi cela ne change-il pas grand chose ? Tout simplement parce que  c’est la réalité. Sarkozy n’a pas encore réussi son retour. Plusieurs raisons à cela, il ya d’abord le lourd handicap de son bilan, encore trop récent pour être gommé. Certes les Français oublient mais il leur faut quand même un peu moment peu de temps. Second élément explication, Sarkozy en dépit de se affirmations n’a pas changé d’un iota, c’est le même, toujours aussi impulsif, donneur de leçons, presque pire que sa caricature avec des mimiques difficilement supportables. L’important n’eet pas là mais dans le vide complet de son programme. Rien, strictement rien de véritablement pertinent et de nouveau y compris sur la sécurité qui était pourtant son jardin préféré en tant qu’ancien premier flic de France. Enfin Sarkozy dans le costume du  rassembleur, ce n’est  vraiment son rôle, lui qui n’est vraiment à l’aise que dans la fonction de leader. Evidemment rien n’est joué. Pour l’instant Hollande et  la gauche bénéficient de un peu de la vague d’union nationale suite aux attentats mais très reviendront tout autant prioritaires les questions économiques et sociales. Et là c’est  le vide absolu pour la gauche qui n’a à offrir que sa  réformette micron Macron et les hypothétiques résultats du pacte de responsabilité. Sarkozy courbe l’échine en ce moment et cela lui mais  il n’a qu’un seul objectif, se qualifier pour le second tour de 2017 avec la bénédiction du PS et du reflexe républicain. (En fait c’est le même raisonnement que Hollande mais qui n’a pratiquement aucune chance de se qualifier).

Législative Doubs : l’UMP tombe dans le piège du « ni-ni » contre l’avis de Sarkozy

Législative Doubs : l’UMP tombe dans le piège du   »ni-ni » contre l’avis de Sarkozy

 

C’était le piège, ils sont tombés les deux pieds dedans à LMP. Contre l’avis de Sarkozy, ils ont choisi le ni Ps, ni FN. Avec comme arrière pensée de ne pas décevoir les lecteurs du FN. Du coup ils vont décevoir les électeurs de gauche pour les second tours des prochaines élections notamment celles de 2017. Sarkozy souhaitait une position plus ambiguë qui ménage la chèvre et le chou mais il a été battu lors du bureau politique. De ce fait l’élection du Doubs risque d’être très serrée et dépendra en fait de l’évolution de l’abstention. Il est probable que les clivages qui se sont manifestés au bureau politique de l’UMP vont amener Sarkozy à accélérer la transformation de son parti toujours englué dans les contradictions des caciques. De quoi vraiment l’encourager à faire une vraie cure de rajeunissement. Le Bureau politique de l’UMP a donc opté mardi soir de justesse pour le ni-ni (ni PS, ni FN) à la législative partielle du Doubs, contre l’avis de Nicolas Sarkozy qui plaidait pour un texte appelant à faire barrage au FN, selon des participants à la réunion.  L’UMP a appelé mardi ses électeurs à voter blanc ou à s’abstenir lors du second tour de l’élection législative partielle du Doubs, qui opposera le PS et le Front national, une stratégie du « ni-ni » qui ne fait pas l’unanimité au sein du principal parti de droite. Le FN doit être combattu « avec la plus grande fermeté » et la présidence de François Hollande a conduit la France « dans une impasse économique, sociale et politique aux effets catastrophiques« , peut-on lire dans la déclaration adoptée par le bureau politique de l’UMP.  « En conséquence, confirmant sa position constante, l’UMP appelle tous ceux qui se reconnaissent dans ses valeurs à exprimer leur double opposition en votant blanc ou en s’abstenant. » La position majoritaire du « ni-ni » est notamment soutenue par Valérie Debord.  Un peu plus tôt dans la journée, Nicolas Sarkozy avait déclaré devant son groupe parlementaire à l’Assemblée qu’il refuserait d’appeler à voter pour le candidat PS, qui affrontera dimanche prochain une candidate Front national. L’élimination du candidat UMP Charles Demouge au premier tour de cette législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs a plongé dans l’embarras le parti de Nicolas Sarkozy. L’ancien Premier ministre Alain Juppé a appelé à « faire barrage » au FN, la candidate d’extrême-droite Sophie Montel, étant selon lui raciste. Alain Juppé, qui est soutenu par la vice-présidente de l’UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, n’entend pas pour autant s’engager « dans un front républicain qui scellerait une alliance avec le PS« . L’ancien ex-Premier ministre UMP, François Fillon, a pris l’exact contre-pied en exprimant son refus d’appeler à voter pour un candidat PS, tout en disant vouloir combattre le FN. Le sénateur Bruno Retailleau, président du groupe UMP au Sénat, a ainsi déclaré à Sud Radio que ce qu’il souhaitait entendre de Nicolas Sarkozy, « c’est la liberté de choix« .

Départementales : « un carnage aussi pour l’UMP »

Départementales : «  un carnage aussi pour l’UMP »

 

C’est Nadine Morano qui le prédit pour l’UMP dans les zones rurales. Certes il y a de la part de la rancœur puisqu’en fait elle a été écartée de la nouvelle direction de l’UMP au profit de personnalités comme NKM. Pas sûr que Morano ait tort et que le coté BCBG de NKM Vauquiez soient de nature à renforcer la crédibilité d’un parti qui (comme le PS) se cherche un positionnement politique. Théoriquement le mode de scrutin est favorable à l’UMP mais effectivement la réforme territoriale bâclée ( et qui risque d’accentuer la désertification)du gouvernement pourrait aussi sanctionner le parti de Nadine Morano.  Nadine Morano, qui fut ­ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle dans le gouvernement Fillon III et qui est aujourd’hui députée européenne, ne décolère pas. Comment Nicolas Sarkozy, pour qui elle s’est battue depuis toujours et par tous les temps, a-t-il pu la laisser sur le bord du chemin à l’heure de la refondation de l’UMP, ne lui proposant (et encore : avec retard) qu’un poste de secrétaire nationale tandis que NKM accédait, elle, vertigineusement à la vice-présidence du parti? Ce titre de secrétaire nationale, Nadine Morano ne l’a pas seulement refusé (« Chez moi, en Lorraine, on ne déshonore pas les gens. Il me doit autant que je luis dois ») ; elle répète depuis, car sa colère n’est pas retombée, qu’elle a dit au nouveau président de l’UMP ses quatre vérités. Et les murs ont tremblé. Pour faire bonne mesure, la militante Morano – qui parle carré, n’a jamais aimé les salons bourgeois et achève un récit où elle a décidé de livrer, loin de ceux qui la moquent ou la sous-estiment, sa part de vérité – a dit sur RTL, l’air de rien, qu’Alain Juppé était un homme d’État et qu’après tout, le jour venu, entre Sarkozy et le maire de Bordeaux… C’est peu de dire que Nicolas Sarkozy n’a pas apprécié. ­D’autant qu’elle ajoute maintenant que le retour de Sarkozy a « ressoudé la gauche ». Bigre! Nadine Morano – qui a déposé en 2012 les statuts d’un petit parti dont elle n’est pas peu fière, le Rassemblement pour le peuple de France – assure que « la politique politicienne l’insupporte au plus haut point », qu’elle en a marre « des cire-pompes », qu’elle ne comprend pas « le management de l’UMP », qu’elle veut parler du « fond » et que les prochaines élections risquent d’être, ­notamment en milieu rural, « un ­carnage » car on sous-estime, selon elle, ce qui se passe du côté du FN. Le poids de l’amertume?

Loi Macron : Lefebvre (UMP) pour une union nationale

Loi Macron : Lefebvre (UMP) pour une union nationale

Frédéric Lefebvre s’étonne que son parti l’UMP ne soutienne pas un texte qui correspond à certaines des propositions de son parti. Il votera donc la loi Macron. En réalité ce n’est pas la loi Macron qui est l’acte fondateur de la modernisation de l’économie, loin s’en faut. Pour Lefebvre c’est l’occasion de plaider pour une union nationale de droite et de gauche de responsables  raisonnables. Frédéric Lefèvre a cependant peu de chances d’être entendu car il est sans doute sur ce point en avance de plusieurs années. Dommage !  Le député UMP Frédéric Lefebvre votera la loi Macron, un texte à ses yeux « bon pour le pays » et espère que les élus de son camp sur la même ligne seront « nombreux ».  Dans une tribune de ce mercredi 31 décembre publiée par L’Opinion, celui qui fut secrétaire d’État de Nicolas Sarkozy écrit que le projet de loi préparé par le ministre de l’Economie va « dans le bon sens. D’autant que sur nombre de points, ce sont nos propres propositions ».Quand un texte proposé par la gauche me semble bon pour le pays, je le vote.  « Quand un texte proposé par la gauche me semble bon pour le pays, je le vote. C’est du bon sens, même s’il faudrait aller plus loin pour être pleinement efficace« , insiste l’élu des Français d’Amérique du Nord. Nous serons nombreux, j’espère, malgré les pressions, à aller au bout de cette logique de la sincérité.  « Je constate avec satisfaction que sur la loi Macron, cette fois, je ne serai pas seul. Hervé Mariton a annoncé son intention de la voter, Olivier Carré aussi. Nous serons nombreux, j’espère, malgré les pressions, à aller au bout de cette logique de la sincérité », poursuit Frédéric Lefebvre. Plus généralement, il exprime sa « certitude que la France rêve d’être gouvernée par un bloc central de responsables politiques raisonnables, de droite comme de gauche, capables de s’unir sur l’essentiel ».

 

12345...11



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol